Chasse aux Souris & Rencontre Inoubliable [Libre.]

« Rita! Rita! Reviens ici! » Et Hop! La souris Blanche sauta de la commode de l’infirmerie pour partir dans le couloir. Elle était passé en dessous la porte. Sa propriétaire, Haylie Beaton, ne cessait de jurer et se remit vite en chasse de sa souris. Pourquoi diable, les souris ne sont-elles pas assez intelligentes pour rester gentiment dans leurs cages en fer. En tout cas, la souris blanche de Haylie, nommée Rita, était une vrai casse pied. Tout les jours à peu près, elle sortait de sa cage en douce. Mais c’était la première fois qu’elle échappait des mains de sa propriétaire. Elle sortit en courant et chercha du regard. Il y avait des centaines d’élèves à cette heure-ci. Elle choisit d’abord de se mettre à quatre pattes, mais pour se faire piétiné après c’est même pas la peine. Elle avança doucement en regardant à terre essayant de ne pas bousculer les élèves.

Malheureusement ce fut de courte durée puisque quelque un vint se cogner dans la tête de Haylie, elle eu très mal mais ne fit montré aucun symptômes de douleur. Elle avançait toujours. Haylie savait qu’elle retrouverais tôt ou tard sa souris, elle ne peut pas quitter l’école. Les portes sont aussi durs à pousser qu’à passer en dessous pour une souris. Elle ne se faisait aucune inquiétude la dessus mais le seul truc s’était que les élèves pouvaient avoir peur des souris. Alors valait mieux qu’elle la trouve et vite. Haylie sortit sa baguette pour la pétrifié si elle la voyait. Mais elle marcha pendant un quart d’heure et cela ne changea rien. Elle manqua même de se cogner dans un mur en oubliant de tourner. Haylie voulais tout de même la retrouvé. Mais pourquoi autant d’acharnements pour une malheureuse petite souris ? En faite, Rita a vécu 10ans auprès de Haylie. Elle a reçu cette petite boule de poil blanc avant son entré à Poudlard. Elle venait de sa Grand-mère et en plus, elle avait la bague des ancêtres que son père lui a remit à 15ans.

Voila pourquoi Haylie veut retrouvé Rita. C’est l’animal le plus attachant qu’elle ai eu de sa vie. Si elle ne compte pas sa chouette Ella. La chouette de Haylie doit justement être nourrit à la Voilière et si Haylie ne retrouve pas au plus vite sa petite souris, la chouette va mourir de faim, sans trop exagéré. Elle n’a mangé que hier matin à 11h. Bon, Haylie se remit en course et en baissant la tête en oublie complètement les élèves. Et Boum. Elle s’écrasa contre le sol froid du couloir. Mince, alors pourquoi ça arrivait qu’à elle. Elle s’accrocha aux pierres du mur d’à coté pour se relever. Haylie regarda l’élève qui s’enfuyait en courant. Elle rit et regarda devant elle cette fois. Elle aperçu un petit truc blanc entre les pas des élèves. « Rita ? Rita! » Elle avait d’abord murmurer mais il devint très vite un cri suivit par un élancement de pas.

Haylie était partie pour une course entre les élèves, bousculant certains et évitant d’autres. Elle poursuivait à présent sa souris comme une gamine qui courerait après son chien. Elle avait vraiment l’air d’un débile mais Haylie ne voulais pas laissé sa souris s’échappé et puis un peu d’exercice ça fait pas de mal, Hein ? Elle s’arrêta pour souffler deux secondes et reprit. La souris était vraiment imbatable. *Dit donc, Haylie pourquoi tu as appris à ta souris à courir sur la roue! Sa t’apprendra!* Elle était toujours en course mais ne voyait plus l’animal. Elle s’arrêta dans un coin et observa. Quelqu’un arriva près d’elle et lui parla. « Ce n’est pas cette petite bestiole que tu poursuivait ? ». Elle regarda l’animal que la personne tenait sans regarder qui s’était. Oui, c’était Rita. Elle sourit narquoisement et la pris dans sa main en la serrant un peu. « Merci. Elle m’énerve cette souris, elle n’en fais qu’à sa tête. C’est toujours la même chose. » Elle regarda enfin la personne et lui dit: « Je suis l’Assistante Infirmière, Haylie. »

{ Tu permets ? =] }

C'était le moment de la journée où il aurait bien aimé être endormi, confortablement étendu dans son lit à baldaquin dans le dortoir. Mais non, il ne pouvait pas y être maintenant. Des fois, il se demandait pourquoi il n'avait tout simplement pas refusé d'entrer à Poudlard. Peut-être était-ce parce que la découverte d'un monde fantastique avait paru si délicieux à ses yeux ? C'était sûrement cela. Et pour avoir pris cette décision là, le voilà sur le point de s'évanouir parce qu'un certain professeur avait donné tant de devoirs de dernière minute qu'il avait dû rester assis dernière un tas de livres jusqu'à trois heures du matin. Charmant. Vraiment, charmant. S'il avait continué de vivre dans le monde monotone des Moldus, il n'aurait sûrement pas besoin de manquer autant de sommeil (ce n'était pas un secret que le jeune Kroes ne dormait que très tard en moyenne ; il avait besoin de réviser et de refaire ses devoirs si la nécessité se pointait). Et, pour une mince fois, il avait ô-combien espéré pouvoir dormir normalement, hier soir ... Mais ses espoirs furent vite évanouis avec la déclaration idiot du professeur le plus sot au monde. « Pour demain, vous aurez à me rédiger deux rouleaux de parchemin sur ce que vous venez d'apprendre aujourd'hui. Et préparez-vous à recevoir un test. » Gah.

« Qu'il aille crever en Enfer, »

marmonna-t-il en longeant un couloir du troisième étage. Il s'apprêtait à descendre aux cuisines pour s'emparer d'une petite galette au brisures de chocolat - sans doute savourant -, puis rentrer dans la salle commune de Poufsouffle pour continuer une exercice de Métamorphose qu'il devrait remettre demain matin. Mais, pour une des rares fois, son cerveau désira regarder ce qui l'entourait. James s'arrêta donc près des escaliers qui auraient dû lui mener en bas et s'accouda à son rebord en pierre beige. Des centaines d'élèves allaient et venaient nonchalamment, traînant avec eux un sac à dos rempli de livres. Certains étaient en groupe, d'autres n'étaient qu'à deux alors que très peu étaient ceux (ou celles) qui se baladaient en singulier. Il était un des derniers. Il n'avait jamais aimé l'idée d'être en groupe ; et lorsqu'il était avec une autre personne, cette autre personne était souvent sa petite soeur adoptive, Suzanne, ou un autre élève de son année dans les cas rares. Il regarda en haut. Là-aussi, des étudiants se dépêchaient d'aller à un cours ou de rentrer dans leur salle commune. C'était comme toute autre journée normale, en fin de compte. Sauf qu'aujourd'hui, James était si fatigué qu'il se faisait des idées noires dans sa tête au lieu de penser avec banalité à ce qu'il devrait accomplir pour la journée suivante.

Au loin, sur le même étage, James entendit un cri ... désespéré.

C'était presque un miracle qu'il ait pu entendre cette exclamation dans la masse d'élève, entre les blablas et les gloussements habituels des filles et les rires soi disant féroces des garçons. Il regarda autour de lui, l'ennui se lisant très clairement dans ses yeux d'un vert perçant. Mais ce fut alors qu'il vit une petite boule toute blanche se faufiler entre les pas pressés des étudiants et s'abriter près d'une sorte de colonne en pierre. C'était une souris. Quelqu'un avait dû la perdre plus tôt et était sûrement à sa recherche, maintenant. Doucement, sans faire de mouvements brusques, il s'avança vers la boule de poils et, comme si de rien n'était, la prit dans sa grande main. Elle essaya de fuir, mais en vain. James ne laissait guère quelque chose s'enfuir si facilement entre ses doigts.

Il vit alors une jeune femme courir entre les élèves, un regard inquiet sur son visage. Elle évitait de son mieux les adolescents mais en bousculait certains, qui le fixèrent avec des yeux indignés. Elle semblait avoir couru une longue partie de la journée ... sûrement après l'adorable souris que James tenait dans ses mains et qui tentait de s'échapper. C'était sans doute cela. D'une démarche assurée et élégante - James était élégant en nature, donc c'était tout à fait normal de le voir marcher aussi gracieusement -, il s'approcha de la jeune. Ce n'était certainement pas une étudiante, elle ne portait ni l'insigne de sa maison, ni la robe noire et la cravate coloriée règlementaires.

« Ce n'est pas cette bestiole que vous poursuiviez ? »

demanda-t-il en lui tapotant l'épaule. Elle se retourna et, sans même dévisager celui qui la tenait, prit la souris des mains de James avec un sourire. Il avait donc eu raison de croire qu'elle était à la recherche de l'animal.

« Merci. Elle m’énerve, cette souris, elle n’en fais qu’à sa tête. C’est toujours la même chose.

Je suis l’Assistante Infirmière, Haylie. »

affirma-t-elle en le regardant finalement.

« De rien. C'est une bonne chose que je l'ai retrouvée avant qu'elle ne fasse peur à une des filles. Tu sais sans doute comment elles ont peur de petites choses qui sont le un douzième de leur taille, »

répondit-il avec un sourire en coin. Il resta poli, comme sa mère le lui avait appris lorsqu'il était jeune.

« C'est un plaisir de vous rencontrez, Haylie. Je suis James. C'est curieux, je ne savais franchement pas que l'école avait des assistantes infirmières ... Mais à vrai dire, cela fait un bout que je n'ai pas rendu visite à l'infirmerie. »

Il émit un petit rire en observant la jeune femme de son regard pâle.

Haylie sourit à son sauver. Apparemment, c’était un Poufsouffle. 1er point commun entre eux, puisque Haylie était autrefois une Poufsouflienne. « De rien. C'est une bonne chose que je l'ai retrouvée avant qu'elle ne fasse peur à une des filles. Tu sais sans doute comment elles ont peur de petites choses qui sont le un douzième de leur taille ». Effectivement, Haylie sait exactement ce que c’est. Elle a déjà vécu sa et en plus, c’est après ça qu’elle est « devenu » amie avec les souris.

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