Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Alone ?

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Alone ? Vide
MessageSujet: Alone ?   Alone ? EmptyDim 3 Mai - 17:09

Premier post : Douzt


"O Seigneur, s'il y a un Seigneur ; sauvez mon âme, si j'ai une âme."
________________


La pierre. Très belle matière. Noble, puissante. Le problème avec ce matériel, c'est sans doute l' échos. Un simple sifflement se fait entendre dans toutes les entrailles du monuments. Un sifflement. Voilà la chose qui sortis Ed de son sommeil. Le garçon s'était endormis dans la salle commune des Gryffondor et un sifflet vint le réveiller. Sur la table basse était posé une lettre. Le garçon, intrigué par cette apparition s'approcha et, après avoir lu son nom sur le papier, décida de l'ouvrir. Sur un papier d'écolier était écris :

Grande porte – 00h00

La grande porte ? A une heure pareil ? Avec le nouveau règlement s'était franchement une chose impensable. Voilà la raison pour laquelle Edward la jeta au feu. Puis, il commença a sortir de la salle commune. Il passa le tableau quand la grande pendule de bois sonna 00h00. La raison aurai dirigeait Edward vers son dortoir. Seulement, la curiosité pris rapidement le dessus. Le garçon pris la direction de l'entrée principale de l'école. Il savait qu'avec le nouveau règlement, il risquait une retenus ou bien pire... Mais il s'en moquait. Voilà sans doute l'un des moyens de piéger le fils Armstrong, avec sa curiosité. Il emprunta les escaliers, sauta par dessus certaines barrières de sécurité pour gagner du temps et arriva prêt de la grande porte.

L'atmosphère qui régnait dans le château depuis quelques temps était noire et crispante. Le garçon attendit quelques instant avant de sentir un frisson. Écoutant son instinct, il sortis sa baguette avant d'entendre un bruit de pas. Il tourna la tête immédiatement mais ne vis rien. Le bruit se rapprochait. Il aperçu alors un élève de Serpentard. Éclairé par la seul lueur de sa baguette, Gabriel (s'était son prénom) approchait, un sourire en coin. Le vert dit avec un ton calme :

Échec.


Edward compris alors qu'il s'agissait d'un piège. Pourquoi ? Aucune idée. Ce qu'il fallait s'était sortir d'ici ! Mais, trop tard, des amis du Serpentard avaient déjà encerclé le rouge et or et l'un d'eux lui avaient déjà utilisé le sortilège de Doloris. Le jeune garçon se tordis alors de douleur. Les verts s'amusaient a le jeter contre un mur, puis un autre. L'un d'entre eux jeta le garçon en l'air avant de le laisser tomber en chut libre.

Eh bien mon cher, je vois que tu es en infraction, et je me dois de te punir.

Approche sans tes gorilles, on va voir si …

Ed n'eus pas le temps de finir sa phrase qu'un de ses ennemis lui lança a nouveau un Doloris. Gabriel s'avança vers lui en disant :

Menace, sortis a une heure interdite ... tu aurais pu venir chez Serpentard.

Mais le garçon ne pouvais pas répondre, tant la douleur était horrible. Les autres continuèrent leurs jeux. A cet instant, Ed ressemblait plus a un ballon qu'a autre chose. Ils poursuivirent leurs jeux pendant quelques minutes. A la fin, Edward perdis connaissance. A son réveil, il était couvert de bleus et saignait au front. Il devait être trois, ou quatre heures du matin. Il rejoignis son dortoir tant bien que mal, et fut apostropher juste avant de rentrer par un membre du personelle. Debout a une heure pareil, la punition tomba aussi sec : retenus.

Le lendemain, le garçon fut envoyé dans les cachots avec pour tache de les laver. Le garçon avança dans l'un d'eux quand le vent fit ce qu'il sait faire le mieux : claquer la porte. Voila que le jeune Armstrong se trouva enfermé dans un des cachots. Voyant que l'imposante porte ne pouvait s'ouvrir que de l'extérieur, il renonça a toute tentative d'évasion et préféra attendre. Il alla s'assoir dans un coin, sortit une cigarette et l'alluma. Il resta ainsi de nombreuses minutes, et passa plusieurs cigarettes.
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Douzten J. Burton
Douzten J. Burton



▌Maison : Gryffondor
▌Poste au Quidditch : Attrapeuse.


AND MORE...
▌Relations:

Alone ? Vide
MessageSujet: Re: Alone ?   Alone ? EmptyDim 3 Mai - 23:52








    C’était toujours la même rengaine, elle fessait quelques choses de mal et on l’envoyait illico-presto en retenue. Pourtant, dormir en classe ce n’était pas si pire comme incident, elle avait fait bien pire. Bon, en faite, elle n’avait pas dormit en classe, mais durant la classe. Et lorsqu’elle c’était rendu compte de l’heure, elle l’avait jugée beaucoup trop avancée pour débarquer à l’improviste dans la salle de classe. Alors elle avait préféré aller se promener dans les couloirs, à la recherche d’autres «loffeurs» et voilà qu’elle tombait sur son professeur «préféré» avec son air pincé et austère. Sa voix crissait légèrement, on pouvait la comparer à une porte mal huilée qui grinçait : «Mmh, Madame Burton n’est pas en classe à ce que je vois.», ajoutant, descendant ses lunettes en demi-lune, celle-ci étant crasseuse par endroit, pour mieux la regarder « Vous allez vous attirez des ennuies, encore une fois. Vous devriez vous concentrer sur vos études». Elle lui répondit, servit de son plus beaux sourire, qu’elle allait justement en classe : « Mon réveil matin m’a fait défaut ce matin Monsieur.». Elle garda son grand sourire qui aurait paru forcé pour un étudiant, mais les yeux de ce vieux presbyte n’en verraient rien. Elle le salua poliment, du moins le plus poliment qu’elle pu, se forçant un peu à être joviale. Elle n’avait nulle envie de rencontrer, et encore moins de discuter, avec ce vieux crouton. C’était à se demander s’il avait déjà été jeune. Ce qui en le regardant était peu plausible et fort difficile à imaginer. Elle emprunta donc un couloir opposé pour être certaine de ne pas le recroiser, ayant la certitude qu’elle n’irait pas en classe aujourd’hui, et ne sachant pas qu’elle autre baliverne elle aurait pu lui dire pour expliquer sa présence dans les couloirs. Les études, c’étaient inutiles, ses parents en étaient la preuve ; ils n’étaient pas plus heureux pour autant. Elle prit donc la direction de la bibliothèque, endroit où elle se rendait peu souvent, étudiant et lisant peu (en public), mais endroit bien choisi pour se cacher et ne pas attirer les soupçons sur sa période de «loffage». Elle prit place entre deux rangées de livres et commença à lire les titres des livres pour passer le temps. Elle prit quelques ouvrages, s’installa à une table de travail, puis se mit à griffonner des dessins sur un bout de papier, fessant bien attention de ne pas écrire sur les livres. Une grande de dernière année finit par la toiser, apparemment, toutes les places étaient prises et elle avait remarqué que Douzt ne travaillait pas vraiment.

    « Je crois que tu devrais partir.» Lui dit-elle d’une voix agaçante et aigu. Encore une autre qui se croyait tout permis. C’était une petite blondinette qui passait corps et âme dans ses études. Elle aurait du se suicider dès toute de suite au lieu de perdre du temps à ne rien faire de sa vie et a gaspiller l’air des autres. «J’étais là avant. », répondit Douzt d’un ton sec.

    «Mais tu ne travailles pas.» Elle haussait les sourcils, un air renfrogner sur le visage.

    «Prouve-le

    La blondinette semblait bouillonner à l’intérieur. Elle regardait autour d’elle cherchant s’il y avait un endroit qu’elle aurait omis, mais ce ne fut pas le cas. Elle lâcha un petit grognement de mécontentement, ce qui arracha quelques rires à Douzt. La jeune blondinette prit les livres que Douzt avait prit pour couverture et les plaça à une autre table. Douzten ce leva furieuse. Elle était plus petite que la blondinette, mais plus imposante d’esprit. «Tu me les redonnes. »

    «Quoi qu’est-ce que tu vas faire sinon.?» dit la blondinette de sa voix aigu et désagréable.

    Apparemment, la jeune fille ne connaissait pas Douzt. La jeune brunette s’avanca vers la blondinette des éclairs dans les yeux. Si c’était la guerre qu’elle cherchait, elle allait l’avoir. Apeuré, la blondinette recula, cherchant un coin où se cacher. Elle finit par agripper un livre et pas le lancer à la figure de Douzt, elle la manqua de peu, mais juste assez pour la frustrer. Douzt se lança sur la jeune fille, les poings prêts à attaquer, grognant, irritée. Les cris de la blondinette attirèrent les regards et la bibliothécaire qui du séparer Douzten de la jeune insignifiante. Malheureusement, la bibliothécaire n’aimait pas beaucoup la jeune Douzt qu’elle avait vu roder et faire quelques conneries dans sa bibliothèque chérie. La jeune blondinette râla quelques instants. Douzt aurait pu faire ou dire n’importe quoi, la jeune bibliothécaire avait déjà son opinion de fait et le verdict. Direction la retenue pour Douzt ; c’était elle la fautive apparemment. Avoir su, elle serait allée en classe. On lui donna la tâche d’enlever les toiles d’araignées dans le cachot, quoi de plus agréable. C’est l’esprit ailleurs, et un peu dégouter, qu’elle s’arma d’un balai et qu’elle nettoya le sous-sol sous la juridiction d’un surveillant plutôt mignon, quoique peut-être trop poilu. «Va nettoyer dans cette pièce. Elle se barre toute seule, mais je reviens te chercher dans quelques minutes.». Joie, elle allait être enfermé dans une salle pleine de toile d’araignée, et donc avec pleins d’araignée. Et puis la confiance ça existait. Elle aurait pu profiter pour prendre la poudre d’escampette. Ce n’était pas un rigolo le surveillant. Elle s’installa dans un coin sombre qu’elle avait prit le soin de nettoyer à l’avance. Elle ne s’asseyait pas, par peur de donner plus d’espace aux araignées pour monter sur elle. De toutes ses retenues, c’était bien celle qui la fessait le moins rire. Elle tenta donc d’attendre et lorsque la porte se rouvrit, ce ne fut pas le beau surveillant qui rentra, mais le jeune Edward Armstrong. Un jeune homme qu’elle avait quelques difficultés à blairer. Celui-ci semblait effrayer d’être enfermé, au grand plaisir de Douzt qui le vit forcer sur la poigné. Il alla s’asseoir dans un coin, et à son déplaisir, alluma une cigarette.
    «C’est pas bon fumer.» dit-elle d’un ton maussade. Ce n’était certes pas agréable être enfermé en pareil compagnie. Elle lui arracha la cigarette de la bouche et l’écrasa entre sa chaussure et le sol. «J’ai pas le goût de mourir par ta faute.» ajouta-telle. Elle retourna dans son coin, s’éloigner du jeune homme à l’air ahurit de découvrit quelqu’un ici. Avec la noirceur, les cachettes ne manquaient pas. « Qu’est-ce qu’il fait ici Monsieur Parfait, monsieur sans vie. Tu me suivais comme toujours .? J’avoue que c’est plaisant respirer le même air que la fameuse Douzten Jac Burton. » Dit-elle un grand sourire narquois aux lèvres.







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MessageSujet: Re: Alone ?   Alone ? EmptyMer 15 Juil - 16:41

Connaissez vous cette sensation ? Vous savez lorsque vous pensez fort a quelqu'un que vous ne voulez pas voir et qu'il arrive en face de vous. Comme si votre Karma ou je ne sais quelle force de la nature vous punissait pour une mauvaise action. Bien, vous voyez de quoi je veux parler ? Et bien c'est exactement cette impression de mal être qu'éprouva Edward lorsqu'il aperçu que Douzten était enfermée avec lui. Encore une punition qui va être longue... très longue. Inutile de préciser que Edward et Douz' sont en conflit. Un conflit assez important. Bref ils ne se supportent pas. Et très vite, l'attitude de la jeune fille allez montrer le rapport conflictuel. Lorsqu'elle arracha la cigarette de la bouche du garçon, celui-ci se leva. Il ne supportait pas que l'on touche a ses cigarettes. Il défia la jeune fille du regard. J’ai pas le goût de mourir par ta faute. Voilà ce qui l'avais toujours amusé chez cette jeune femme. Ses valeurs et ses aprioris. Pour lui, la jeune Burton était une fille bornée qui était incapable de réfléchir a quoi que ce soit. Mourir en respirant juste un eu de fumée ? Pfff n'importe quoi ! Mais devant cette gamine, aucun besoin d'expliquer les dangers de la cigarette sur le long terme... et pas besoin d'en rallumer une sans quoi, elle aurai surement la même réaction ! Qu’est-ce qu’il fait ici Monsieur Parfait, monsieur sans vie. Tu me suivais comme toujours .? J’avoue que c’est plaisant respirer le même air que la fameuse Douzten Jac Burton. La question stupide. Mais que pouvais bien faire Ed dans ces cachots ? Il dit avec un soupçon d'ironie :

Bin, là tu vois, je me promène !

Ses lèvre commencèrent a esquisser un sourire qui devint vite très perceptible. Il dit en se moquant ouvertement d'elle :

Tu sais, avec le temps je te trouve formidable. Ce que tu dit est si … improbable. Tu es vraiment très distrayante.

Eh oui, Edward avait le sens du compliment... plutôt du rentre dedans ! Il tourna le dos a la jeune Gryph' pour regarder la quantité de travail qu'ils étaient sensés faire. Nettoyer cet endroit allait sans doute être une tache éreintante. Encore faudrait il que l'un des deux se mettent au travail. Edward n'en avais franchement pas envi. Il regardait sur le mur un long fil de toile qui flottait dans l'air presque féeriquement, portait pas la brise des courants d'air qui filaient sous la porte de bois du cachot. Il ignorait totalement la jeune femme et ne la regardait pas.
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