Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Vienne la nuit, sonne l'heure..

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Vienne la nuit, sonne l'heure.. Vide
MessageSujet: Vienne la nuit, sonne l'heure..   Vienne la nuit, sonne l'heure.. EmptySam 2 Jan - 14:48

Premier message réservé à Alice M. Ewing.

    Roh. Quelle journée de merde. Non, franchement ! Depuis que tout avait basculé lors du bal, les choses allaient de mal en pis. Déjà que dormir avec les Serpentard, c’était la galère, alors avoir des aurors qui collaient leurs yeux dans les derrières à tout le monde pour voir. Merci, franchement, merci. Pauvre gamin ingrat qu’il était, Marc Antoine ne se doutait pas que ce soir, filer pour Pré Au Lard signerait sa perte. Il avait voulut provoquer. Simplement provoquer ! Mais c’était de toute façon trop tard. Les rues étaient complètement vides, il n’y avait pas une âme qui vive. Entre les rumeurs de Détraqueurs qui se baladaient, de loup-garous qui devenaient incontrôlables… Seul, dans la ruelle, ce n’avait probablement pas été la meilleure idée. Surtout à ses petits 14 ans. On se croit grand, quand on a 14 ans. Mais en réalité, on est minuscule face aux forces maléfiques qui cherchent à nous anéantir. Seuls ses pas semblaient résonner parmi les ruelles du village qui s’était renfermé. Rien. Pas un bruit. Et puis un écho qui n’avait pas correspondu avec le poser de ses pieds. Soudain, la chair de poule. Le cœur accélère. L’adrénaline commence à courir le long des veines. Se retourner ? Pour voir ? Il s’arrête. Marc Antoine tourne tout doucement la tête pour finalement voir la ruelle vide. Il avait peut-être hésité trop longtemps, celui qui l’avait suivit avec dû avoir le temps de fuir… Se redressant, il continua son chemin.

    Autour de lui, il faisait sombre. Peut-être qu’il était simplement Janvier, mais il faisait horriblement froid. Très froid. Il était certain qu’un Détraqueur le suivait, et il voulait le démasquer. Sans prévenir, il bifurqua derrière une maison et pointa la baguette, comme dans les films moldus où l’agent secret pointe son arme sur la tempe du méchant et tire sans hésiter. Sauf que là, rien. Rien de rien. Fronçant les sourcils, le fils de moldus se retourna, dégoûté. Revenir à Poudlard le plus vite possible. Car, autour de lui l’atmosphère devenait hostile. Il ne se sentait plus aussi confiant que lorsqu’il avait quitté son dortoir, certain qu’il pouvait vaincre le monde. Le petit garçon adorable qui ne cessait de distribuer des câlins était devenu une peste et pire que n’importe qui en matière de mauvaises blagues. Hautain, arrogant. Le petit Gryffondor n’avait pas voulu écouter les règles. Il lui en coûterait cher. Peu importait tous les dégâts autour de lui, il n’y réfléchissait pas. Alban, Ange, Zeké, Ashley, Synthia, Damian, le nouveau prof’ de potions, le retour d’Alice, la directrice qui avait craqué sa carte de crédit. Non, rien ne lui avait mis la puce à l’oreille. L’idée même de fuir la sûreté de Poudlard pour un pique nique improvisé à Pré au Lard lui avait plus le moment où l’idée lui était venue en plein cours d’Astronomie avec l’autre prof qui se pensait über sex. M’enfin. Que faire, à présent, qu’il était trop tard ?

    A nouveau, un faux écho. Cette fois il se retourna derechef, et fixa les ténèbres autour de lui. Perdant patience, il donna un coup de pied violent dans un caillou qui allait valdinguer dans un buisson. Cette fois commençait à être vraiment trop. Il se racla la gorge et prit la parole.

    MA – «
    Non mais, qui va là ?! »

    Il se rappela que 007 lui ne faisait pas ça. Il allait se plaquer contre un mur et attendait que quelque chose se passe. Naïf, il aurait fait pareil. Le buisson dans lequel il avait envoyé la pierre remua, et perdant toute envie de jouer à James Bond, Marc Antoine pris les jambes à son cou et tenta de courir pour aller se cacher. Il trouva refuge derrière des poubelles, et s’y accroupit, priant pour que la menace passe. Lui, en agent secret, il n’aurait vraiment pas fait fort. A peine peureux d’un balais, il n’avait jamais osé remonter sur l’instrument de ménage depuis le premier cours. Trop moldu pour faire confiance à un simple bâton dans le genre, supposons. Autour de lui, il faisait froid. Ou peut-être était-ce simplement une impression ? Sa respiration faisait une buée. Il avait terriblement froid. Comme si on le fixait. La chair de poule revint, et il se frotta les bras malgré son pull, souhaitant perdre cette sensation de froid qui ne cessait de le couver, comme un monstre languissant sa chair fraîche. Avoir vu l’œil de la bête droit dans les yeux, l’impression de déjà vu revint lorsqu’il ouvrit les yeux. Son imagination lui jouait des tours. Depuis qu’il avait fait face au loup qui s’était caché en Zeké le soir du bal, Marc Antoine avait empiré et avait finit par devenir une peste qui se protégeait en faisant du mal aux autres. Les bruits avaient cessé. Si c’était un détraqueur, il devait penser à un souvenir heureux, c’était ça ? A quoi donc ? La victoire de son équipe de football préférée ? Oui. Ca devrait le faire. Il ferma les yeux et serra fort. Songeant au plus fort à cette pensée qui était censée l’aider. Sauf qu’il ne savait pas qu’il fallait aussi produire un Patronus, donc il était grillé dans tous les cas. Et ce froid qui n’arrêtait pas… Puis des bruits de pas, qui brisèrent sa concentration. Il retint sa respiration, demandant à son cœur d’arrêter de battre pour ne plus faire de bruit…

    « Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure. »



Désolée, c'est pas terrible =/
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Alice M. Ewing
Alice M. Ewing
You sold your soul to feed your vanity, your fantasies, & lies.


▌Citation :
Il n'y a qu'un seul monde et il est faux, cruel, contradictoire, séduisant et dépourvu de sens. Un monde ainsi constitué est le monde réel. Nous avons besoin de mensonges pour conquérir cette réalité, cette "vérité".NIETZSCHE

▌Clan : Avec moi-même, ça en fait moins à trahir.
▌Âge : 18 ans
▌Année : Huitième
▌Maison : Serpentard
▌Sang : Impur
▌Humeur : lost.
▌Crédit(s) : Ava (c) texas-flood & icon (c) Fox

AND MORE...
▌Relations:

Vienne la nuit, sonne l'heure.. Vide
MessageSujet: Re: Vienne la nuit, sonne l'heure..   Vienne la nuit, sonne l'heure.. EmptyVen 22 Jan - 23:14

Ne dit-on pas qu’il ne fallait jamais braver les interdits? Cela pourrait être sans conteste la morale de l’histoire. Braver les interdits, et c’est signer sa perte. Toutes les histoires finissent pareil ou presque. Des histoires destinées aux gamins afin de leur faire comprendre qu’il vaut mieux pour eux qu’ils obéissent. Des histoires qui contiennent toujours une morale, une morale à deux balles. Une morale qui finissait néanmoins par faire son effet. Et puis, quand on grandissait, on comprenait. On avait envie de désobéir. D’envoyer bouler la morale, la bienséance. Juste par défi, juste par pur esprit de contradiction. Paraissait que ça s’appelait faire sa crise d’ado. Durant cette période, l’on devenait infernal, l’on osait braver toute forme d’autorité, parfois à ses dépends. Surtout à ses dépends, ça n’avait jamais rien de bon de braver les interdits. Tôt ou tard, on finissait par en payer le prix. Il y avait aussi les si j’avais su. Avec ces simples mots, on pouvait en noircir des pages, mais ça ne faisait pas revenir en arrière. Et si certains avaient prévu ce qui se passerait s’ils n’avaient pas désobéi, pour sûr qu’ils n’auraient pas essayé de braver les interdits. Ils seraient restés sages et ils seraient peut-être encore en vie. Sauf que nul ne peut prédire l’avenir, tout du moins les personnes en mesure de le faire sont extrêmement rares, et le commun des mortels malheureusement devait s’en remettre au hasard, et faire des choix sans connaître par avance les conséquences de leurs actes. C’était là toute la machinerie de la vie, si tout était prévisible il n’y aurait pas ses si chers aléas et la vie serait bien ennuyeuse. Et s’il y a toujours une morale à l’histoire, il y a aussi toujours un gentil et un méchant. Le gentil est toujours sans tâches, et l’âme du méchant est toujours condamnée à brûler en enfer sans avoir la chance de passer par le purgatoire. Le méchant faisait souffrir le gentil et finissait toujours par perdre, parce que le bien triomphe toujours du mal, les lumières sont toujours victorieuses sur les ténèbres.

Mais c’est bien manichéen comme vision des choses, n’est-ce pas? Et si? Je sais bien qu’avec des si on peut mettre Londres en bouteille, mais prenons un peu les choses à rebours si vous le voulez bien. Dans cette histoire, il y a donc un gentil et un méchant. Comme dans toutes les autres. Sauf que cette fois, la fin est différente. Et si cette fois c’était le méchant qui gagnait? Quelle serait donc la morale, puisque le but premier de la victoire du héros étant de défendre une valeur? Eh bien figurez vous que la morale serait toujours d’obéir. L’obéissance vous sauvera. Ou une quelconque connerie du genre. Bref. Le méchant de l’histoire n’était pas un mais une méchante. Et la méchante en question était Alice. Alice Ewing de son nom entier. Ca aurait pu être une de ces sorcières au nez crochu, au menton en galoche sur lequel trônait une merveilleuse verrue poilue. Mais Alice était belle, dangereusement belle pour ses dix huit ans. Elle avait un regard à faire peur, un regard où on pouvait y lire le néant, la destruction et le chaos. Un regard où cohabitaient la démence et la perversion, un regard qui reflétaient le morbide et la noirceur d’une âme vouée à l’enfer. Cette jeune fille aurait pu être la personnification de la mort si elle l’avait voulu, elle avait déjà immolé deux personnes dont une de sang froid au terme d’une évasion qui aurait pu faire pâlir de jalousie n’importe quel gangster. Alors oui, dans l’histoire il y avait une méchante, et la méchante n’avait rien à envier à la vilaine sorcière qui donna la pomme empoisonnée, puisque cette dernière pouvait aller se rhabiller, ne faisant incontestablement pas le poids face à Alice.

Et puis il y avait aussi un gentil, comme dans toute histoire. Pour compléter la dualité, être l’autre partie dans le sempiternel combat. Le gentil qui pour une fois s’était mal comporter, et qui allait payer son travers. Parce qu’un gentil ne devenait pas méchant. Un gentil devait rester gentil, pour que l’opposition manichéenne des contes de fées persiste. Mais l’histoire que nous racontons actuellement n’était pas un conte de fées, mais la réalité. L’horrible et atroce réalité. Une réalité qui donne des frissons d’horreur, qui glace d’effroi. Une réalité cauchemardesque, dont on ne veut plus. Une réalité faite de sang, de cadavres, de haine. Une réalité mutilée par une guerre entre le bien et le mal, une guerre qui avait déjà fait de nombreux morts, tous des innocents. Une guerre où, pour en sortir gagnant, il ne fallait pas être gentil. Car si t’es gentil, tu crèves, n’ayant aucune chance de t’en sortir dans un monde décadent et qui transpirait la haine et l’adversité. Le monde pétait les plombs et rares étaient ceux qui n’étaient pas affectés par le phénomène. Il restaient certains bastions pour la gentillesse et ceux-ci finissaient par tomber, laissant à la méchanceté gagner le terrain. A ce train là, les contes finiraient par être réécrits et faits de façon à ce que le mal triomphe sur le bien, ce qui en ce moment était plus proche de la réalité. Dans une guerre il y avait toujours des morts et celle-ci n’échappait pas à la règle. Cette fois, comme dans beaucoup d’autres guerre, le mort en question allait être une innocente petite victime, qui avait toute la vie devant elle. Une petite victime que la méchante avait voulu attirer dans un traquenard pour mieux l’avoir.

Il faisait donc nuit, et sombre. Les ruelles du petit village sorcier étaient désertes. Le froid était mordant, impitoyable. L’hiver régnait en maître absolu et ne laissait aucune chance aux errants. Un SDF était couché au bas d’une maison, roulé en boule dans son duvet, son chien montrant la garde à côté de lui. Alice ne se souciait pas vraiment d’eux, d’ailleurs le chien grogna un peu à son approche mais ne fit rien de plus. Tant mieux pour lui, le sinistre personnage n’aurait pas hésité à user et abuser de l’avada pour que les éléments gênants ne disparaissent. Le diable en talons aiguille marchait dans la rue, un mégot de cigarette incandescent entre les doigts. Alice n’avait jamais été fan de la cigarette, mais elle avait noué des liens très étroits avec ce plaisir interdit. Une dernière pour la route, avant que la mission ne commence. La jeune femme écrasa sa cigarette à terre, et sortit de sa poche un petit flacon de verre qui contenait une potion. Elle sortit ensuite un petit sachet de plastique qui contenait une mèche de cheveux, puis en sortit un cheveu. Un cheveu appartenant à Zeké. Un cheveu entrant dans la composition du poly nectar, cheveu qu’on ajoute en toute fin. Alice ne savait pas vraiment si utiliser un cheveu d’un garçon loup-garou était contrindiqué, après tout, elle avait eu vent de cette histoire de poils d’animaux, la potion ne marchant pas pour les transformations animales, mais à la guerre comme à la guerre, c’était son plan et le mioche allait arriver d’une minute à l’autre. Alice mit donc le cheveu de Jordan dans la fiole et attendit. Un sifflement se fit entendre, signe que le breuvage réagissait. Le chien couina, tourna en rond et se coucha, la queue entre les pattes. La jeune femme but alors le breuvage, qui avait un goût particulier mais détestable, et attendit qu’elle fasse effet. La transformation fut douloureuse, alors qu’elle se transformait en Zeké Jordan; l’idole de sa toute jeune proie. C’était probablement la transformation de la jeune criminelle qu’il avait entendu, puisqu’il lança un:

« -Non mais, qui va là ?! »

Se remettant physiquement de la transformation, Alice s’avança doucement vers Marc-Antoine, avec l’apparence du capitaine de l’équipe de Quidditch. Elle sentait la terreur dans la voix du mioche, son envie de se casser. Mais ce dont il n’était pas au courant, c’était qu’il avait pris un aller sans retour, un ticket pour la morgue. Parce que oui, l’histoire de Marc-Antoine s’arrêtait là, en ce soir funeste de Janvier. Il aura au moins passé la nouvelle année, alors que d’autres n’auront pas eu cette chance. Alice ne savait pas si elle saurait camper le rôle de Zeké, après tout elle connaissait le jeune homme que par sa réputation et les avances qu’il avait repoussées de sa part, ainsi il se pouvait que dans son interprétation elle soit à côté de la plaque. Mais vu que le monde tournait pas rond en ce moment, ça ne sera pas étonnant et le gamin, normalement ne devrait y voir que du feu. Maintenant niveau timing, qu’avait-on? Elle disposait d’une heure pour emmener le môme à la tanière du loup, là où se trouvait aussi Sezuan. Une heure, c’était assez suffisant pour discuter. Convaincre l’enfant de la suivre. Et vu que le ciel était lourd de pluie, celle-ci n’allait pas tarder à tomber. Parfait. Ca serait suffisant comme prétexte pour se trouver un abri. Un abri où se cacher le prédateur. Un abri où la proie allait se faire dévorer, comme ça, sans prévenir. Ayant guetté l’enfant un moment, Alice décida de sortir de l’ombre. Elle ne s’habituait à cette carrure plus imposante, à ces pas plus lourds. Elle avait même les vêtements de Zeké sur le dos, son odeur aussi. Elle était lui. Restait plus qu’à agir comme lui. Elle prit son inspiration, avant de murmurer:

« -Marc-Antoine? Qu’Est-ce que tu fais là? T’es pas censé être au château? »

Des questions. Alice savait que la tâche ne serait pas facile, le loup qui était en Zeké avait fait son coming-out lors du bal d’Halloween et le gamin l’avait probablement vu. Il fallait qu’il lui fasse confiance. C’était primordial pour la suite du plan. Mais il ne serait pas vraiment judicieux de parler du bal maintenant. Objectif numéro un. Le mettre en confiance. Alice réfléchit un moment, avant de demander, se retenant d’afficher un rictus sadique qui n’aurait certainement pas convenu à Zeké.

« -Et Ashley? Comment va-t-elle? Elle a eu ma lettre? Elle me manque. Tu lui diras? Tu lui diras que je l’aime? »

Non seulement elle avait l’apparence de Zeké mais en plus elle devait se comporter en Zeké. Trouver les sujets qui le préoccupaient, et Ashley au grand dam d’Alice en faisait partie. La vert et argent n’avait jamais compris ce que le séduisant capitaine trouvait à cette bimbo déguisée en caniche rose. Et rien que de prononcer ces mots lui donnaient envie de vomir. L’amour. Un sentiment niais et stupide. Elle en avait déjà assez de parler avec cette voix grave qu’elle avait du mal à reconnaître. Alice voulait redevenir elle-même. Une petite heure. Ce n’était question que d’une petite heure.
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Vienne la nuit, sonne l'heure..

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