Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Un p'tit joint?

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Douzten J. Burton
Douzten J. Burton



▌Maison : Gryffondor
▌Poste au Quidditch : Attrapeuse.


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MessageSujet: Un p'tit joint?   Un p'tit joint? EmptyMar 2 Mar - 22:13

    Gentleman. Sur ce coup là, c’est ce qu’il avait été. Encore le souffle court, il l’avait cajolé, glissant ses doigts dans ses cheveux. L’air semblait rare, ses poumons requéraient de l’oxygène. Elle avait paniqué. Sa tête tournait légèrement, combien de verre avait-elle bu avant la soirée? Cela fessait longtemps qu’elle ne les comptait plus. L’alcool l’avait rattrapé? Ou était-ce autre chose …? Non, elle se sentait encore bien, elle avait juste besoin d’un autre verre. Les doigts de Keven en contact avec sa peau, la fessaient frissonner, ils étaient froids ou était-ce autre chose? C’était-il touché depuis cette fameuse nuit? Elle ne s’en souvenait plus. Elle ne savait plus si elle devait en être dégoutée ou attendrit. L’air finit par soulager sa souffrance. Elle prit le temps de prendre quelques grande « bouffé » d’air. Lorsqu’il posa ses lèvres pour déposer un baiser sur son front, elle se rendit compte de son moment de faiblesse et en eux hont. Son corps tremblait. Elle avait besoin d’un joint. Elle se leva doucement, la tête un peu lourde.

    « Dis-moi ce que tu veux Douzten… Que veux-tu… ? »

    À cet instant elle désirait tant de chose. Elle désirait qu’il parte, mais elle voulait également qu’il reste. L’embrasser. Le frapper, lui faire mal, lui dire qu’elle l’haïssait. De l’alcool. Un joint. D’être comprise, d’être aimer. Se sauver à toute jambe. Ne plus avoir peur. Elle voulait bien des choses, mais vouloir ne voulait pas dire réalité. Sur un coup de tête elle dit : « J’ai besoin d’un joint. Tu viens ? » Elle avança, vacillant un peu, se tenant au mur. Elle jeta un coup d’œil en arrière, le jeune homme la suivait. Elle ne saurait dire dans quel état d’esprit, s’en doute se fessait-il du soucis ? Un autre coup d’œil par dessus l’épaule, il y avait bien de l’inquiétude dans son regard. Ils passèrent devant la porte de la grande salle, elle jeta un coup d’œil à l’intérieur, son cavalier papotait avec une autre fille, très laide d’ailleurs, m’enfin pas aussi belle que Douzt’. Elle agrippa une bouteille de champagne, avant de monter les marches qui les mèneraient, elle et Keven à la salle commune des Gryffondors et des Serpentards. Elle prit quelques gorgés, trébucha dans l’escalier la menant à sa chambre. Elle resta étaler dans les marches quelques secondes à s’esclaffer de rire, le premier rire de la soirée. Finalement, en se relevant, elle mit la bouteille dans les mains de Keven.

    « Tu devrais prendre une gorgée … ou 3. T’as l’air tout crispé. »

    Puis, Doutz’ se remit en marche, direction le dortoir, là où elle avait caché ses joints. Elle finit par prononcer le mot de passe. Arrivé devant la porte du dortoir des filles, elle accepta qu’il entre. Elle vivait dans une modeste pièce, identique à celle où il dormait (ayant déjà visité à quelques reprises les chambres des garçons), alors elle n’avait rien à cacher. La peinture sur les murs était sans doute un peu plus fraîche et la décoration devait être sans doute semblablement la même, excepté peut-être cette photo de Keven, cible d’un jeu de dard improvisé. Elle sortit un joint et s’étendit sur son lit lorsqu’il fut enfin allumé. Le jeune homme semblait mal à l’aise. Alors qu’il semblait quitter la pièce, elle lui glissa, «Reste, on n’est pas obligé de parler si tu ne veux pas. » et après une pause d’hésitation « Ou on peut discuter.» Elle regrettait déjà ces paroles. Elle ne voulait que de la compagnie et puisque personne d’autre ne saurait de retour dans la tour avant encore plusieurs heures. Elle allait juste lui permettre de respirer le même air qu’elle. Voilà tout, elle n’était pas gentille avec lui pour autant. Elle ne lui fessait pas une faveur, du moins elle tentait de s’en convaincre.
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MessageSujet: Re: Un p'tit joint?   Un p'tit joint? EmptyJeu 4 Mar - 3:42

    Keven avait retrouvé la seule jeune femme qu’il aimait, mais pourtant ce n’était pas encore fait. Elle semblait encore réticente. Pourtant, le gryffondor commençait à travailler doucement pour qu’ils se rapprochent à nouveau. Il la voulait que pour lui. Il lui avait fait terriblement de mal, mais il voulait se faire pardonner par la seule qui lui faisait de l’effet. Il ne voulait pas la prendre comme les autres filles. Si elle ne voulait plus de lui, il partirait, mais jamais il ne sera le même. Il n’aura plus rien d’humain envers personne, mais son cœur lui appartiendra toujours. Il n’y avait aucune fille qu’il allait faire changer d’idée le méchant Keven qu’il était devenu. Le gryffondor avait besoin d’elle. Il avait terriblement besoin d’elle. Il était seul au monde, car il se mettait tout le monde à dos… il ne réussissait pas à être gentil, comme si une autre force avait pris possession de son corps. Elle était magnifique à ses yeux. Il n’allait pas changer d’avis, au fond. Elle avait toujours été presque la seule à lui avoir fait autant d’effet, mais jamais il ne le s’était avoué, surtout quand elle était partie sans rien lui dire quand elle était partie de misérable vie. Tout ça avait contribué à leur séparation amicale. Il ne l’avait pas vu avant qu’elle revienne auprès de lui. Pourtant la relation avait totalement changé. Pourtant, les sentiments qu’il avait éprouvé pour elle étaient revenus. Il était amoureux d’elle sans vraiment comprendre ce que cela voulait réellement signifier. Douzten était sa princesse. Elle était sa princesse rien qu’à lui. Il n’y avait rien au monde qui le rendait plus heureux que de la voir, mais il se sentait atrocement coupable de lui avoir fait du mal. Il le regrettait de tout cœur. Il ferait n’importe quoi pour lui plaire à nouveau. Il voulait être son héros à elle. Il voulait reprendre sa place auprès d’elle. Keven continuait à la fixer ne sachant quoi dire à sa demande des plus farfelues. Elle voulait un joint. Il ne croyait pas que c’était une bonne idée, mais il ne répondit. Il refusait de la frustrer pour à nouveau la perdre. Elle semblait lui en vouloir moins, mais il ne faisait toujours pas confiance en tout ça. Elle se leva et vacilla. Keven se mordit la lèvre et prépara ses bras pour la retenir pour ne pas que sa princesse se fasse mal. Il la suivait sans rien dire la laissant prendre ce qu’elle voulait en cour de route. Il refusait de faire quoique ce soit mise à part de la surveiller pour ne pas qu’elle ne se blesse. Keven descendit les marches en sa compagnie. Elle tomba même une fois. Il laissa échapper un hoquet de peur. Il approcha ses mains pour l’aider à se relever, mais elle se releva seule. Il la suivait sans dire un seul mot. Ils pénétrèrent enfin dans la salle commune des serpentard qu’ils partageaient avec les vilains Serpentard. Pourtant, on ne faisait plus la différence entre les méchants serpentard avec le méchant Keven. Il avait terriblement changé que ça en était troublant, même lui ne se reconnaissait plus. Il croyait qu’une force obscure avait pris place dans son esprit. Il était la marionnette d’un jeu tout simplement. Il la suivit jusqu’à sa couchette où elle trouva ses joints. Elle en alluma un. Il était mal à l’aise de la laisser se bousiller le cerveau. Il fit un pas dans la direction de la sortie pour ne pas avoir ça sur la conscience. Sa pauvre princesse. Sa pauvre princesse à lui.

    «Reste, on n’est pas obligé de parler si tu ne veux pas. Ou on peut discuter. »
    Il revint sur ses pas. « Tu devrais arrêter de boire et fumer. » dit-il froidement. Il venait d’ouvrir sa gueule pour un truc qu’il n’aurait peut-être pas du. « Je ne suis pas parfait, Douz’. Mais si tu savais… » il se mordilla la lèvre ne sachant pas comment se lancer. « Je crois que je ressens quelques choses pour toi d’unique. » il approcha sa main du visage de sa princesse. Il mit une mèche de cheveux de cette dernière derrière son oreille. « T’es magnifique, tu n’as pas besoin de ça pour te faire du fun. En plus, tu vas finir par te faire plus de mal qu’autres choses en prenant ça. » Il finit par souffler tout doucement ne sachant pas si elle allait entendre. « Je t’aime »
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MessageSujet: Re: Un p'tit joint?   Un p'tit joint? EmptySam 26 Juin - 2:19

    Plus rien n’intéressait Douzt à part son plaisir personnel, c’est ce qu’elle laissait paraître du moins. Les gens blessaient toujours les autres. Elle c’était fait une carapace et Keven l’avait inciter à ne plus jamais s’ouvrir à personne, action qui déjà été rare. Maintenant, elle passait de garçon en garçon, des simples histoires d’un soir ou de quelques semaines. Dans sa tête, elle ne portait pas Keven dans son cœur, il était responsable et voilà qu’elle lui donnait l’opportunité d’améliorer leur relation … ou plutôt leur moment-commun-entre-personne-qui-se-connaissent-plus-tout-à- fait et il osait lui faire la morale. Pour toute réponse, elle prit un bouffer de son joint et envoya la fumée en direction du jeune homme, un sourire narquois se dessina sur ses lèvres.

    «Tu pourrais te faire du fun toi aussi

    Elle lui donna le joint et lui fit signe d’essayer ajouta à cela un petit clin d’oeil. Elle commença à enlever son chandail, regarda Keven et lui fit signe de se retourner. Elle prit la peine de lui tournée le dos. C’était bien le seul homme devant lequel elle réagissait de manière pudique. Son gilet passa par dessus sa tête, elle enleva son soutien-gorge puis enfila un gilet propre et plus confortable. Puis, elle enfila un minishort, ce qu’elle pouvait avoir chaud, son corps était brulant. Se changer prit un certain temps, avec tout l’alcool qu’elle avait ingurgité. La chambre continuait à tournée dans tous les sens. Se rappellerait-elle qu’elle avait parlé à Keven ou aurait-elle l’impression que tout ceci était un cauchemar… non en fait elle ne l’avouerait à personne, mais c’était le plus beau rêve qu’elle avait fait depuis longtemps. La dernière fois qu’elle avait fait un aussi beau rêve, c’était le jour où elle avait rêvé qu’il lui tenait la main entre deux cours. Un rêve un peu banal… Douzt’ haussa les yeux au ciel pour une telle pensée, encore une stupidité. Elle annonça au faux-Keven, faux parce qu’il était dans son rêve, qu’il pouvait se retourner.

    « Je ne suis pas parfait, Douz’. Mais si tu savais… »

    Silence. Il semblait hésiter, se mordillant la lèvre, geste qui rendait Douzt’ folle. Instinctivement, Douzten se mordilla la lèvre inférieure. C’était tellement sexy, ça donnait le goût d’embrasser, mais c’était Keven, elle l’haïssait non ? Elle n’était plus certaine de rien. Son corps picotait, frissonnait, et elle avait chaud. Elle ne pouvait pas arrêter de penser à lui, mais pas toujours avec des pensées agréables. En fait, 80% du temps, elle aimait le rabaisser dans ses propos, penser à lui de manière péjorative était devenu la routine. Ouf, pourquoi est-ce que la chambre ne voulait pas arrêter de bouger ? S’asseoir allait l’aider, elle prit donc place sur le bout de son lit face à Keven.

    «Aller jette toi à l’eau, t’as pas grand chose à me cacher.» ricana t-elle sous l’effet de l’alcool et avec l’aide du joint qu’elle avait fumé.

    « Je crois que je ressens quelques choses pour toi d’unique. »

    Douzt’ cessa de rire d’un coup sec. Lui aussi l’haïssait pour mourir, c’est pour ça qu’il avait refusé de coucher avec elle, c’était ça le sentiment unique. Se rêve tournait au cauchemar, ce n’était plus du tout rigolo. Ses yeux devinrent lustrés, elle était sur le bord de pleurer. Mais si elle avait bu dans un rêve, est-ce qu’elle allait être bourré le lendemain ? Dans sa tête, c’était flou, la réalité était mélangée au rêve. Qu’avait-elle fait avant de dormir ? Elle ne se souvenait même plus quand elle s’était mise au lit. Il s’agenouilla devant elle, sans doute pour être au même niveau et lui cracher au visage toute sa haine. Une larme coula sur sa joue. Pleurer dans un rêve c’était naze. Il approcha sa main de son visage. Elle s’était trompé, il n’allait pas lui craché au visage, mais la frapper. Elle baissa la tête et ferma les yeux prête à encaisser le choque, mais l’impact ne venait pas. Une mèche de ses cheveux fut mise derrière ses oreilles. Elle ouvra les yeux et les plongea dans ceux du faux-Keven.

    « T’es magnifique, tu n’as pas besoin de ça pour te faire du fun. En plus, tu vas finir par te faire plus de mal qu’autres choses en prenant ça. »

    Voilà, c’était la preuve qu’elle était belle et bien en train de rêver. Il ne l’avait pas frappé. Elle essuya ses yeux. Et entendit tout bas : « Je t’aime ». Son corps tressauta, frissonna ; quelque chose volait dans son estomac, des papillons. Ses yeux s’agrandir et son souffle fut coupé.

    «Qu’est-ce que tu as dit ?» Son cœur battait la chamade. Elle ne voulait pas se réveiller. Non, il ne fallait pas. Elle agrippa doucement de la main droite la tête de Keven et la poussa à rejoindre là sienne. Sa tête s’inclina légèrement vers la droite, puis ses lèvres rencontrèrent celle de son «pire ennemi ». Elle y mit tout son amour, elle l’embrassa avec fougue. Puis elle se mit à pleurer, incapable de retenir ses larmes. Keven ne semblait pas comprendre et la questionna.

    «Je vais me réveiller demain et le faux-Keven ne sera plus là.»

    La chambre tournait, les larmes coulaient, son cœur battait la chamade, ses pensées ne pouvaient s’arrêter. Elle ne se sentait pas bien, elle cessa de pleurer. Sa tête pencha vers l’arrière, puis vers l’avant, à gauche, vers l’avant. Ses paupières étaient lourdes. Douzt’ se pencha sur le côté du lit, puis régurgita son souper. Sa tête était lourde, sa gorge brulait à cause de l’acide se trouvant dans l’estomac et qui se retrouvait maintenant sur le plancher. C’était quoi se rêve stupide ? Elle se trouvait tellement stupide en ce moment.

    «J’m'excuse. J’voulais pas ! » Douzt’ tenta de se lever. «Je vais nettoyer.»

    Douzt’ avait un mauvais goût dans la bouche, elle allait devoir se brosser les dents. La douche ne serait également pas de trop, elle se sentait sale, mais le plancher était le seul à plaindre côté propreté. En tentant de se lever, elle perdit pied et pour retrouver l’équilibre, elle dut se tenir sur le pauvre faux-Keven. Ses bras entouraient le cou du jeune homme et sa tête était accotée sur son torse. Elle marmonnait : «J’m'excuse. Vas t’en pas. Reste avec moi… j’m’excuse.»
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MessageSujet: Re: Un p'tit joint?   Un p'tit joint? EmptyVen 9 Juil - 0:49

En vérité, Keven Dawson était loin d’être le meilleur garçon qu’il soit depuis l’évènement étrange qui avait rendu fou à peu près tout le monde. Presque la totalité des gens avaient changé du jour au lendemain, comme lui. Il n’était plus le petit garçon parfait qu’on avait vu, il y avait des années plus tôt ou encore celui d’il y a quelques temps. Il n’était plus le Keven que Douzten a connu. Il n’était plus ce meilleur ami qu’elle avait eu. Elle n’était pas non plus celle qu’il avait connu en première année, il n’en faisait pas tout un plat. Pourtant, il avait empiré et à cause de ça, il avait fait empirer sa belle Douzten qui le boudait depuis. Il était décidemment un fouteur de trouble avec sa double-personnalité. Le gryffondor avait brisé la belle qui le tenait encore vivant. Elle était belle sa jolie brune qui faisait battre son cœur. Elle était sa princesse, mais il était le prince tant détesté. Il était le roi qui tenait un royaume froid et morbide où régnaient le mal et les infidèles qui se disaient son ami. Un monde où cette belle ne voulait plus venir partager une petite vie agréable. Il l’avait perdu, parce qu’il avait changé radicalement. Il avait toujours été gentil jusqu’au jour où un effet étrange est arrivé. Le Ciel lui était tombé sur la tête, comme dirait les gaulois en voyant le changement. Il était changeant et elle était changeante. Ça ne formait pas une paire plus que parfaite ? Il n’en savait rien. Keven était assis près d’elle sur son lit en la regardant se bousiller les neurones avec de l’herbe. Keven lui parlait, mais tout passait dans le beurre. Il ne la lâchait pas du regard, sauf quand elle s’était levée pour se vêtir autrement. Il eu le réflexe de regarder ailleurs par respect. Il se retourna par la suite pour la regarder droit dans les yeux lorsqu’elle eut fini de s’habiller. Il commença à lui parler de façon étrange. Il finit par lui dire la vérité. Il était amoureux d’elle. Un simple je t’aime passa ses lèvres. « Qu’est-ce que tu as dit ? » Il fronça les sourcils un instant en restant toujours à la même place sans essayer de la prendre dans ses bras. Il ne savait pas comment elle réagirait à son contact. Il avait peur qu’elle se mette à le frapper et qu’il fasse une erreur de plus dans cette histoire compliquée. « Je…je t’ai dit que je… je t’aimais » Avait-il répété franchement sans avoir eu honte de le faire. Par contre il était gêné, car dire ses sentiments n’étaient pas toujours faciles surtout pour l’orgueil du jeune homme qui avait totalement changé au cours de ses dernières semaines. Il la regardait, mais cette dernière vint l’embrasser. Il ferma les yeux et la colla contre lui en passant sa main dans son dos, avant de se séparer. Il la regardait droit dans les yeux intensivement. « Je vais me réveiller demain et le faux-Keven ne sera plus là. » Il la regardait pleurer. Il était incapable de faire quoique ce soit, mais il finit par revenir dans la réalité en séchant ses larmes avec l’une de ses mains pour enlever ses larmes qui coulaient sur ses joues. « Je suis le vrai Keven. Qui veux-tu que je sois ? » C’était la vérité. Il ne pouvait répondre plus que la vérité. Elle était tout ce qu’il voulait avoir. C’était certain. Pourquoi pleurait-elle & Pourquoi elle agissait ainsi. Keven gardait son regard sur elle ne comprenant toujours pas ce qui se passait. La jeune femme fit un geste de côté, puis elle vomit tout ce qu’elle avait avalé. Le jeune homme fit des yeux ronds un instant. «J’m'excuse. J’voulais pas ! » Il regarda le vomi, puis senti l’odeur, il n’eut pas le temps de rajouter un truc que cette dernière s’accrocha à lui, parce qu’elle avait faillit tomber dans son propre vomi. « J’m'excuse. Vas t’en pas. Reste avec moi… j’m’excuse. » Il fronça les sourcils pour la ramener se coucher sur son lit. « Va te laver. Je vais ramasser. » il sortit sa baguette et laissa échapper un sort pour nettoyer le plancher. « Regarde, c’est rien… c’est fini. J’ai tout ramassé. Tu dois dormir, tu as exagéré sur la bouteille. » Il la mit sur ses pieds et la colla contre lui en tirant sur les couvertures. Il la déposa dans son lit couchée sur le dos et remonta la couverture en s’assoyant à côté d’elle. Il passa le dos de sa main sur sa joue. « Ça va te faire du bien »
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