Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Do you know what's worth fighting for?

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Riley R. Cuthbert
Riley R. Cuthbert



▌Citation :
    Do you know what's worth fighting for? Katiegif2
    « Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre »

▌Clan : Plus de libertés, moins de contraintes.
▌Âge : 17 ans
▌Année : 7e année
▌Maison : Poufsouffle
▌Sang : Mélé
▌Crédit(s) : Avatars: Younglust

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MessageSujet: Do you know what's worth fighting for?   Do you know what's worth fighting for? EmptySam 17 Juil - 2:46

Do you know what's worth fighting for? Shenae36&Do you know what's worth fighting for? Kc4-1b78911

Do you know
what's worth fighting for? When it's not worth dying for?
Green Day - 21 Guns
Premier post réservé à Muse A. Steadworthy

flashback La fillette n’arrivait pas à fermer l’oeil de la nuit. Probablement parce que ce lit était beaucoup trop différent du sien, beaucoup trop dur. Puis, il y avait ce fichu arbre qui ne cessait de venir frapper sur le battant de sa fenêtre, l’effrayant quelque peu. Elle n’y pouvait rien, c’était cette ombre créée par la pénombre qui lui donnait la chair de poule. Puis, comment pouvait-elle dormir avec ce terrible mal de coeur? Elle n’était pas habitué à la cuisine de sa grand-mère. Aussi bien dire que sa mère lui manquait déjà, même si cela ne faisait que quelques heures qu’elle était partie avec son père, la laissant donc ici, pour que l’on veille sur elle. Or, autant qu’elle pouvait aimer ses grands-parents, la fillette de sept ans détestait cette vieille maison qui craquait à chacun de ses pas. Parce que oui, la gamine s’était extirpée de son lit en vitesse, ayant peur dans le noir, jusqu’au long couloir de l’étage. Elle avait soif; terriblement soif. Ce fut donc de ses petits pieds dénudés qu’elle descendit silencieusement les grands escaliers. Pourtant, elle stoppa droit au milieu, se penchant quelque peu pour mieux visualiser la scène qui s’offrait dans le petit hall, à travers les barreaux de bois de la rambade. Pourquoi y avait-il un drôle d’homme habillé d’une longue cape noire, montrant un drôle de truc doré, qui ressemblait drôlement à un badge de policier, à sa grand-mère qui semblait toute épouvantée? Curieuse, la petite Riley Rose tendit l’oreille, malgré toute les fois qu’on lui avait mentionné qu’il était impoli d’écouter les conversations d’autrui sans y être invité. D’ailleurs, ici même, il s’agissait d’une discussion entre grandes personnes. Sur le coup, elle n’avait pas trop le choix de toute façon... La petite était trop gênée pour descendre et se diriger vers la cuisine, se faisant ainsi repérer à cette heure aussi tardive. Cela faisait des heures, en effet, qu’elle était sensée dormir.

« Toutes mes condoléances, madame. J’aurais aimé pouvoir vous dire qu’ils n’ont point souffert, mais je me risquerais alors à vous mentir... »

L’enfant fixait l’homme, sans comprendre de quoi il pouvait bien parler. Qu’est-ce que c’était, d’abord, des condoléances? D’ailleurs, pourquoi sa grand-mère éclatait soudainement en sanglot? Elle n’y comprenait rien à rien. Pourtant, elle ne bougea pas de sa position, tendant toujours l’oreille jusqu’à entendre le principal indice qui lui révéla tout. Choquée, voire même paralysée ou estomaquée, la blondinette se laissa choir sur la marche de l’escalier, sa petite bouche grande ouverte. Ce qu’elle venait d’entendre était impossible. Elle ne voulait pas y croire, même si sur le coup, elle ne semblait pas tout à fait comprendre ce qu’était... la mort.

« L’Endoloris est l’un des trois sorts impardonnables. Ceux qui le jettent sont de la pire espèce, croyez-moi, j’en connais un rayon. D’ailleurs, j’aurais voulu vous dire qu’ils n’ont pas souffert ou du moins, pas trop longtemps, mais ce sort est sans nul d’un doute le plus souffrant. C’est de la torture à l’état pure. Nous les avons retrouvés complètement [...] »

Si sa grand-mère n’avait pas été moldue, sans doute que l’inconnu n’aurait pas eu besoin de tout expliquer en détail et ainsi, la petite Riley n’aurait pas imaginer toute cette horreur. En une fraction de seconde, voire en une banale soirée où on l’avait portée chez ses grands-parents pour du baby-sitting, elle était devenue ce que l’on appelait une orpheline. Du moins, c’était ce qu’elle comprenait à tout cela, pour son jeune âge. Puis, même si elle comprenait un peu, pour simplement dire qu’elle réalisait peu à peu que son esprit y réfléchissait, c’était beaucoup trop d’informations en si peu de temps. Elle espérait tant se réveiller et pouvoir dire que tout cela n’était qu’un mauvais rêve et pourtant, c’était loin d’en être le cas. Ses parents étaient morts, assassinés. D’autres sorciers avaient osé lever leur baguette sur eux et poser un geste impardonnable. On lui avait tout retiré... Pire encore, on avait détruit tout ce qu’elle avait de plus précieux...


J’eus préféré avoir entendu tout autre chose. Pouvoir me dire que je n’avais pas eu à m’en faire et que la peine que je vécus avait été inutile, voire inexistante. Me dire que tout allait pour le mieux et qu’à ma graduation, ce serait mes parents qui m’accueilleraient de nouveau à bras ouverts, me félicitant tout en me ramenant à la maison suite à ma dernière année de scolarité. Et pourtant, cela n’avait rien à voir, rien de réelle. J’ai tout perdu à cette époque, tout attache. En dehors de mes grands-parents, je n’étais plus rien d’autre que l’orpheline du quartier... À tous mes problèmes, ils ne pouvaient pas m’aider. Je n’étais pas comme eux et parfois, ils avaient tendance à ne pas comprendre ce que j’étais, tout comme ils n’avaient pas comprit ce que leur fille, ma mère, avait été. Sans doute que cette rancoeur envers ceux qui avait tué leur fille unique ne faisait qu’empirer les choses à mon égard. Je ne pus faire autrement que les comprendre... Probablement parce que moi-même, je développai bien plus de haine qu’eux deux réunis...

L’adolescente s’était étendue sur l’herbe haute du parc en cette journée ensoleillée et pourtant, si tout était au rendez-vous pour la bonne humeur, la jeune femme était lasse. Cela lui arrivait de temps à autres, quoique plus fréquemment que la normale. C’était cette esprit mélancolique qu’elle avait et dont elle n’arrivait pas à se défaire. Probablement que ce dernier n’avait alors fait qu’empirer avec le décès de son grand-père l’été dernier et le départ de sa grand-mère dans un établissement pour personnes âgées aux capacités réduites. Cette dernière n’arrivait même plus à se souvenir de qui elle était, souffrant de la maladie d’Alzheimer. Or, parce qu’elle n’était pas encore majeure, on avait dû lui trouver un autre tuteur légal qui se trouvait à être nulle autre que Maïka O. Allen, sa tante qu’elle ne portait pas dans son coeur. Tant mieux alors, c’était réciproque. Heureusement alors pour Cuthbert, elle n’avait pas à l’endurer à Poudlard. Ici, elle pouvait se changer les idées plus facilement et se concentrer dans son seul et unique but. C’était quelque chose de stupide pour certains, peut-être, mais cela avait de l’importance pour Riley... Elle avait toujours eu ce besoin de vengeance en elle et pour ce faire, elle se devait d’être forte. Pourquoi alors passait-elle ses journées à la bibliothèque à feuilleté les bouquins de sortilèges ou encore, à rester jusqu’à tard le soir dans une salle de classe à pratiquer les nouveaux sorts assimilés? Ce n’était aucunement pour le plaisir... Du moins, la seule forme de plaisir qu’elle arrivait à se procurer n’était qu’en présence de sa meilleure amie, Muse. À cette dernière, d’ailleurs, Riley Rose lui avait donné rendez-vous dans le parc pour leur activité quotidienne. C’était quelque chose qu’elles partageaient à deux, mais pas tout à fait un secret. Non, c’était plutôt une activité dont Riley ne se voyait faire qu’en compagnie de la Serdaigle et pas uniquement parce que l’élève prodige était la seule capable -à sa connaissance- à la surpasser en matière de duels. Or, perdue dans ses pensées les plus sombres, la bronze attendait patiemment sa venue... Parce qu’elle en était certaine, Muse allait venir. Elle ne pouvait pas manquer un entraînement. Puis, peut-être qu’ensuite, elles allaient parler un peu... À savoir pourquoi, Riley avait à la fois tout et rien à lui dire. Elle avait besoin d’une oreille attentive, mais à quoi bon si jamais elle n’avait réellement parler d’elle?

« Enfin, tu es là...» sans même se retourner, la Poufsouffle l’avait reconnu. C’était sans doute dut au parfum de son amie, emporter doucement par la douce brise jusqu’à elle et l’ayant reconnu ainsi ou bien encore, à sa façon de marcher contre l’herbe tout en se rapprochant d’elle. « Cela fait un moment déjà... Je croyais qu’Alphaïce t’avais, je ne sais pas moi, kidnappé ou quelque chose du genre. Je me suis ennuyée de ta présence. Comme quoi on a été occupée chacune de son côté ces derniers temps. J’ai d’ailleurs l’impression d’être rouillée, pas toi? Je crois bien que ce sera moi qui paiera la bière au beurre cette fois-ci! » Ce pari était aussi vieux que leur amitié. Celui qui perdait était, en quelque sorte, celui qui déboursait. Ce n'était qu'une raison débile pour se donner encore plus dans ce duel, même si leur orgueil était sans doute plus fort encore. Pour ce qui était du reste, il ne s'agissait que de passer du bon temps ensemble, comme le faisait les meilleures amies. Riley se tourna alors vers Muse, se relevant par le fait même afin de s'avancer quelque peu vers elle, affichant un doux sourire.

OMG ! C'est nul, navrée ! J'avais cru bon exploité l'histoire de Riley afin de mieux la situé en RP, mais ciel que la fin est merdique. J'ai eu de la difficulté à intégrer le sujet. Je vais me rattraper pour le prochain, promis! Suffit d'être lancer et v'là!
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Muse A. Steadworthy
Muse A. Steadworthy
    « The prodigal daughter » muse



▌Citation :

«Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.»

▌Clan : Plus de libertés, moins de contraintes.
▌Âge : 18 ans (25 avr.)
▌Année : 9ème année.
▌Maison : Serdaigle.
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Les 7 nains tu connais ? Imagine le mélange entre prof et joyeux, ça t'aideras.
▌Responsabilité : Cela fait 3 ans qu'elle refuse le poste de préfète.
▌Poste au Quidditch : A choisi d'être remplaçante.

▌Crédit(s) : (c) fae

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MessageSujet: Re: Do you know what's worth fighting for?   Do you know what's worth fighting for? EmptyMer 28 Juil - 16:09

Un pile de livres, de parchemins et de notes. Voilà ce à quoi ressemblait le lit de la jeune demoiselle. Son édredon n’avait plus rien d’en édredon, et elle avait envoyé au sol ses deux coussins pour avoir plus de place. Cela devait bien faire une demi-heure qu’elle passait d’un livre à l’autre. Si bien qu’elle avait commencé à éplucher la déontologie des médicomages, puis elle s’était plongée dans un ouvrage traitant sur le corps humain en général. Évidemment, bien avant, elle disposait des connaissances qu’elle jugeait élémentaires, comme savoir placer les différents os du corps humain, à la manière du péroné qui une fois sur deux se retrouvait en avant du tibia chez les novices. Cependant, elle était désormais en mesure de situer correctement les douleurs issues des maux de bouches. Bien que à part pour sa petite culture, et sa soif d’apprendre, cela ne lui serve à pas grand-chose dans la vie de tous les jours de savoir distinguer les différentes glandes actrices de la production de salive. Ce serait un manque de classe certain que de vouloir se mettre à parler de parotide ou de sous-maxillaire. Ce n’était pas tant le nom qui pouvait être gênant, mais juste l’explication qui en découlait. Notre prodigue était parfaitement au courant du manque d’ouverture d’esprit de pas mal de ses camarades, ou bien alors, était-ce elle qui avait du soucis à se faire. Néanmoins, les efforts qu’elle était en train de fournir dans ce domaine là étaient intéressés, autre que par le fait de vouloir mettre fin à son ignorance dans ce domaine. La fin de l’année approchait, et donc les vacances également. Vacances dont elle passerait le premier mois à Sainte-Mangouste pour cause de stage. Alors autant dire, qu’elle ne voulait pas passer pour idiote. Ce qui expliquait pourquoi elle voulait bien encombrer son cerveau, sublinguales, isthmes et autres oropharynx. Bien qu’elle avait l’impression d’être en train d’apprendre une toute autre langue. Impression qui se traduisait par les regards en biais qu’elle avait obtenu de la part de ses camarades chambres. Comme toujours Muse ne leur en tenait pas rigueur, il pouvait tout à fait être surprenant de voir un de ses pairs se lancer dans telle aventure. Ceci étant dit, si la Serdaigle devait entendre la moindre critique à ce propos, il ne faudrait pas attendre longtemps pour qu’elle se mette à changer sa vision des choses. Elle était gentille, pas conne.

Un regard par la fenêtre, lui fit comprendre que le beau temps ne s’était toujours pas enfui. Son appréciation en fut mitigée. D’un côté, elle aurait bien voulu voir quelques gouttelettes venir taper contre les carreaux, et offrir aux élèves cette mélodie de l’intempérie. La chanson de la pluie, à la fois naturelle et constamment différente. Inutile de préciser qu’il n’était pas rare de la voir assise parmi les grandes arches menant à l’extérieur à écouter ce doux clapotis, un livre ou un cours pas loin bien évidemment. On ne change pas la demoiselle. Mais il ferait bon, et finalement ce n’était pas une mauvaise chose, car elle avait un rendez-vous particulier. Une sorte de retrouvailles avec une amie qui en valait plus que la peine. Cela devait faire un bon bout de temps qu’elle n’avait pu passer un bout de temps avec elle, plus de deux semaines, imaginez un peu le vide qu’elle pouvait ressentir. Surtout pour une personne comme Muse, qui s’attache assez rapidement et certainement pas à moitié. D’ailleurs maintenant qu’elle y pensait, peut-être fallait-il qu’elle songe à quitter tout ce capharnaüm. En tailleur sur son lit, elle surplombait l’ensemble de son lit, ce qui la fit soupirer, car sa baguette magique était visiblement enfouie sous les ouvrages. Passant la main dans ses cheveux, elle se mit à soulever différents livres, tout en les refermant en même temps. Il était définitivement pas possible qu’elle quitte le dortoir en laissant autant de désordre derrière elle. Non, c’était génétiquement impossible, elle finirait par faire demi-tour dans les escaliers pour revenir et ranger ses affaires. En soit, il n’y avait pas de quoi fouetter un fléreur, mais elle avait des excès de maniaquerie qui faisait que cela devenait important d’être réalisé. Autant dire, que Muse avait tendance à en faire un peu trop par moment. On parlait de fléreur non ? Quand la brunette se releva celui de la demoiselle jugea bon de préciser qu’il était toujours là, en plantant gentiment le bout de ses griffes dans la peau nue du pied de sa maîtresse. Cette dernière serra les dents. « Lubis ! ». L’animal retira sa patte, et la regarda marcher à cloche pied. Il devait sans nul doute en éprouver une certaine satisfaction. Comme tout fléreur qui se respecte, Lubis était d’une fierté et d’une infatuation sans pareil, ce qui par moment avait le don de prendre de cours Muse. Passant la main sur son pied, elle put bien rapidement se rendre compte qu’il y avait plus de peur que de mal et cela ne l’empêcherait pas de se rendre dehors. Surtout maintenant qu’elle avait fait trois piles de livres de taille parfaitement égale, et qu’elle avait mis la main sur sa baguette magique qui en fait lui servait de marque page dans le recueil des fables de Jean de la Fontaine, cet auteur moldu dont elle appréciait énormément les morales. Et certainement aussi le fait que les animaux parlent, combien de fois s’était-elle mise face aux animaux de la maison et avait essayé de leur faire la conversation.

Ayant quitté ses studieuses lectures, la jeune fille déambulait désormais dans les couloirs du château. Elle ne fut d’ailleurs pas bien longue à atteindre les parcs de l’école, et à y reconnaître une silhouette aux cheveux d’ors. Comme à son habitude, pendant qu’elle avançait sur les chemin, elle se mit tout de même à regarder les différentes personnes allongées au sol, mais force était de constater qu’il n’y avait pas grand monde pour une fois, et surtout pas la personne qu’elle recherchait. Tempi alors.
La voix de son amie la fit tourner la tête vers elle, car oui, elle avait avancé en aveugle jusqu’à maintenant bien préoccupée par sa recherche que le reste. Mais tout disparu à l’entente de cette voix. En effet, elle avait quelques minutes de retard. Et pour une fois contrairement à ce que disait Riley, ce n’était pas à cause d’Alphaïce. Non, pas du tout, elle était juste entrée dans une crise de rangement aigu juste au moment de partir, voilà tout. Cela dit, elle n’était pas tout à fait prête à l’avouer à sa meilleure amie, pas qu’elle en ait honte, c’est juste qu’il y aurait pleins de détails qu’elle se verrait obligé de lui fournir, et elles avaient bien mieux à faire non. Comme un petit duel bien mérité par exemple… Les deux amies étaient passées maîtresses dans cet art. C’était d’ailleurs ce qui les avaient étrangement uni. Répondant à son amie elle commença avec malice. « Oh Alphaïce, pas de nouvelles depuis deux jours. Je pense qu’il est encore dans une grande élaboration géniale… enfin », dit-elle en balayant l’air de la main comme si ce n’était pas important. Dans cette conversation, ça ne l’était pas, pour la jeune fille c’était tout le contraire. Elle préférait savoir exactement ce que faisait beta, histoire qu’elle ne se reprenne pas un livre en plein visage à cause de ses plans idiots. Car oui, depuis ce jour, Muse avait prit parti, c’était idiot. « Ne t’en fais pas. Avec cette chaleur, nous allons finir par mourir de soif, deux tournées ne seront certainement de trop. », ponctua-t-elle dans un clin d’œil et un grand sourire. Mais malgré toute cette bonne humeur, elle ne savait pas si c’était elle qui voyait encore les choses de manière trop rose, ou bien c’était Riley qui avait un petit coup de mou ? Elle décida de laisser ces interrogations de côté, elle verrait bien si Riri avait quelque chose à dire. Prenant sa baguette magique depuis la poche arrière de son vieux jeans elle reprit. « Tu m’avais l’air pensive, tu penses que tu vas réussir à te concentrer ? ». Muse avait parlé d’une petite voix innocente, mais au fond ce n’était là que le début de leur petite rivalité qui existait avant même qu’elles n’entrent dans le vif du sujet. C’était à partir de ce moment là que le livre des Souvenir de la jeune fille avait du mal à analyser la relation.

J'ai réussit, j'ai réussit, j'ai réussit ! Ça ne ressemble plus du tout au premier jet, mais je m'en fiche lol
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Riley R. Cuthbert
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MessageSujet: Re: Do you know what's worth fighting for?   Do you know what's worth fighting for? EmptyJeu 12 Aoû - 4:05

La simple vu de ce visage-là était suffisant pour extirper un sourire de la part de la Poufsouffle. En effet, il était pour elle source d’un certain bonheur. Pour une fois, elle pouvait être certaine qu’en fin de compte, elle n’était peut-être pas si seule après tout. On avait répondu à son appel. Or, tout ce qui pouvait bien tracasser l’esprit de la jeune femme pouvait bien disparaître pour une durée indéterminée. Uniquement parce que Muse était là... Oui, la Serdaigle était arrivée, empêchant à Riley de sombrer davantage dans ses pensées pour la plupart mélancoliques ou haineuses. Pire encore, se tracasser pour des histoires de coeurs sans futur. Que l’adolescence pouvait se montrer pénible ! Le monde magique lui aussi, pouvait se montrer tout aussi pire. Pour ce qui était des avantages, Cuthbert n’y voyait que ces duels amicaux en compagnie de sa meilleure amie. Le reste n’était que des actes lâches pour la plupart ou sans réel but. Toute son expérience avec la magie l’avait fait voir des choses bien sombres tel que le décès de ses parents. Pour ce qui était du reste, c’était sans intérêt. Il ne fallait donc pas lui en vouloir d’avoir une si faible estime de ses propres dons. Puis, son humeur était loin de lui venir en aide, question de voir la vie de façon un peu plus gai. M’enfin, elle pouvait bien laisser tout ça derrière désormais. Or, souriant à son amie, la septième année avait presque l’impression que cela faisait une éternité qu’elles ne s’étaient pas vu. Ce cher Alphaïce devait sans doute toujours lui tourner autour. C’était d’ailleurs une relation que la Poufsouffle ne comprenait pas en totalité, mais elle devait avouer qu’à voir le Gryffondor, elle trouvait cela assez drôle. Néanmoins, elle se demandait souvent comment Muse pouvait le supporter.

« Oh Alphaïce, pas de nouvelles depuis deux jours. Je pense qu’il est encore dans une grande élaboration géniale... enfin » Riley se mit à rire, levant les yeux au ciel, comme si cela avait été une évidence. Ce qui l’était, d’ailleurs. Pour le peu qu’elle connaissait le garçon, il semblait toujours bien calculateur pour un je-ne-sais-quoi. Un génie que certains disaient. Alors là, la jeune Anglaise demandait à voir. Non pas qu’elle pouvait douter de son intelligence, mais sa curiosité se voyait piqué à chaque fois que l’on affirmait une telle chose à son égard. Après tout, pour que même Muse en fasse part quelques fois, c’est parce qu’il devait bien y avoir une raison, pas vrai? « Ce sacré Alphaïce... Cela m’étonne presque de lui ! » Bien évidemment, ce fut avec sarcasme qu’elle parlait de lui. Cependant, ce qu’elle avait pu dire pouvait être pris à double sens. Si en même temps il était vrai qu’il ne fallait pas s’étonner que le jeune homme passe son temps à préparer ces idées folles, c’était une toute autre histoire lorsqu’on prêtait attention à l’intervalle de temps depuis leur dernière rencontre. Peu importe, la sorcière ne lui avait pas non plus posé la question pour parler de lui toute la journée. D’ailleurs, Muse ne semblait pas non plus vouloir en parler, balayant le sujet de la main. Elles avaient autre chose à faire, ce pourquoi elles se retrouvaient toutes les deux à l’extérieur. Cette rivalité qui remontait à bien longtemps maintenant ne semblait pas vouloir s’éteindre. Il était tout aussi possible de dire que cela les vivifiaient presque. C’était d’ailleurs parce que c’était Muse et non quelqu’un d’autre que Riley y prenait un certain plaisir. En effet, elle parvenait à y trouver une certaine motivation à se perfectionner davantage afin qu’il n’y ait plus qu’un seul gagnant à ces fichus duels et non pas un alternation à chaque rencontre. Quoique, de ce point de vue, c’était sans doute mieux pour le porte-feuille de celui qui aurait été destiné à ne connaître que l’échec face à l’autre. Ce vieux pari devait être aussi vieux que leur propre amitié qui naquit à l’avant d’une classe devant pleins de spectateurs. « Ne t’en fais pas. Avec cette chaleur, nous allons finir par mourir de soif, deux tournées ne seront certainement de trop. » L’orpheline sourit davantage. Cette très chère Muse devait avoir raison, même si elle savait bien qu’elle ne disait peut-être cela afin de banaliser le résultat du duel. Elle avait bien raison de te faire, car de toute façon, le moment le plus important était bien le temps qu’elles passaient toutes les deux ensembles et rien d’autre. Du temps pour décrocher la Serdaigle de ses bouquins le temps de quelques heures et changer les idées de la Poufsouffle.

« Tu m’avais l’air pensive, tu penses que tu vas réussir à te concentrer ? » Sincèrement, Riley allait devoir trouver le moyen de se montrer moins expressive, sans quoi toute la planète allait finir par lire en elle comme dans un livre ouvert. Certes, il s’agissait là de sa meilleure amie, il était donc normale que Steadworthy en sache un peu plus sur elle, mais tout de même... Lorsque même une simple connaissance comme Hope L. McGwen finissait par trouver que vous aviez l’air mal, il fallait se poser des questions à propos de l’image que l’on projetait à autrui. Malheureusement dans ces cas là, la jeune femme se voyait mauvaise pour les mensonges. Par contre, on comprenait bien vite qu’elle ne désirait pas en parler. Or, on la laissait tranquille bien assez vite... Ce n’était pas parce qu’elle n’avait pas confiance ou quoique ce soit, mais Cuthbert n’avait jamais été de celles à se confier. Pour dire vrai, elle avait toujours été tout le contraire; elle écoutait et se taisait à jamais. Il était parfois plus simple de gérer les problèmes des autres que les siens selon elle. C’était sans doute pourquoi elle préférait arborer le rôle de confident. « T’en fais pas pour moi, on ne me déconcentre pas aussi facilement. Tu devrais pourtant bien le savoir. » lui répondit-elle alors, lui adressant un clin d’oeil complice. « Donc, nous établissons toujours les mêmes règles: tous les coups sont permis ! » D’un mouvement rapide, la blonde sortit sa baguette de sa poche droit, la pointant vers Muse et faire semblant de tirer pour finalement souffler sur le bout du bâton, comme les vieux Far West moldus. Il fallait bien déconner de temps à autre, tout particulièrement lorsque l’on était aussi songeuse que Riley Rose Owen Cuthbert ! Le regard ainsi qu’un sourire malicieux, celle de la maison des blaireaux prenait plaisir à faire monter le niveau de rivalité, mais sans doute ne l’avouerait-elle pas, elle n’attendait qu’une chose... soit de se retrouver assise avec Muse, bière au beurre à la main autour d’une table au Trois-Balais. « Alors dis-moi, à quand l’officialisation entre Alpha et toi? » demanda-t-elle du tac au tac, changeant soudainement de sujet en pleine préparation pour leur duel. Était-ce une stratégie de distraction ou tout simplement de la curiosité? Probablement plus la deuxième option mélangée avec un soupçon de taquinerie dans sa voix. Rien de bien méchant, au contraire.

Pardon, c'est vraiment merdique encore. Je me reprendrai au prochain, promis >.vrai !
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Muse A. Steadworthy
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«Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.»

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▌Âge : 18 ans (25 avr.)
▌Année : 9ème année.
▌Maison : Serdaigle.
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Les 7 nains tu connais ? Imagine le mélange entre prof et joyeux, ça t'aideras.
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MessageSujet: Re: Do you know what's worth fighting for?   Do you know what's worth fighting for? EmptySam 21 Aoû - 13:12

Depuis qu’elle avait posé sa question de sa voix fluette à son amie, Muse jouait à la majorette avec sa baguette magique. Elle s’en sortait à merveille, comme toujours, je vous dirais. Pourtant il fallait savoir que la jeune fille n’avait jamais pris de cours de ce type, et qu’elle n’avait jamais même assisté à une répétition d’une de ses amies moldus - Muse a en effet deux amies modus qu’elle s’est faîte lors de sa visite d’une des bibliothèque moldues de Londres-. Malgré ce manque d’instructions à ce niveau il n’empêchait que sa baguette magique virevoltait dans les airs tels les bâtons des majorettes, et qu’elle n’avait pas encore atterri au sol. Pourquoi cela devrait-il arriver d’ailleurs, puisqu’elle arrivait à suivre à la fois le jeu de regard de Riley et la trajectoire que prenait son arme ? En soit, Muse prouvait que elle aussi n’était pas facile à déconcentrer d’une certaine manière car répétons-le, elle n’ignorait en aucun cas la Poufsouffle, bien au contraire, c’était à elle qu’elle portait le plus d’attention, le reste était presque du réflexe. D’ailleurs elle ne manqua pas le rappel de cette dernière quant la règle unique qu’elle avait posé à propos de leur amusement. Les limites c’est qu’il n’y en avait pas. Bien sûr, Muse ne se voyait pas rien que pour le plaisir de disputer le duel envoyer au tapis sa meilleure amie sous prétexte que tous les coups étaient permis. Il était certain que derrière cette expression elles s’entendaient, et il n’était pas question de faire volontairement du mal à l’autre. Sinon ce ne serait pas meilleures amies qu’elles seraient, et s’il était question de vouloir blesser physiquement son adversaire ce ne serait même pas de Muse dont il s’agirait. Elle n’était pas faîte de ce pain là. La violence et les coups bas gratuits très peu pour elle. Comme elle le disait si simplement, elle avait bien d ‘autres choses à faire que de perdre son temps dans des relations néfastes. Tout le monde s’évertue à vous dire sans cesse qu’il faut profiter de la vie, que cette dernière est bien trop courte, alors pourquoi se conforter dans des jeux de supériorité et de méchanceté ? Cela à juste l’effet de vous empêcher de suivre tranquillement votre voie. Nul besoin d’avoir une personne à frapper, à détruire moralement pour se connaître soi-même. Muse avait déjà entendu derrière son dos qu’elle ne savait pas se faire d’opinion car justement elle faisait toujours en sorte de rechercher l’amitié, même avec les élèves les plus haïs de cette école. Une opinion ? Muse en a constamment une. Mais pourquoi faire comme les autres lorsqu’il est possible d’être agréable avec une personne qui manque de ce genre de geste ? N’allez pas me dire que les pestes n’ont pas de cœur ? N’allez pas me dire que les indifférents sont totalement ailleurs ? Impossible. Voilà pourquoi Muse agit de la sorte avec la plupart des êtres qu’elle rencontre. Ce n’est pas un manque de jugement flagrant de sa part, ce n’est pas non plus parce qu’elle ne sait pas s’imposer. C’est juste que voilà. Ils sont tous là à vous dire lorsqu’ils ont fait une erreur qu’on a tous le droit à une deuxième chance. Regardez autour de vous. Qui vous le donne réellement ce second espoir ?

Riri ayant sorti sa baguette magique, la brunette cessa de faire voltiger la sienne et la tint dans la main droite. Sourire complice. Le duel n’allait pas par tarder à commencer. Comme toujours, une pointe d’excitation s’empara d’elle. Mine de rien, elle aimait énormément ces petites rencontres si particulières. Elle les aimait tellement qu’elle voulait bien enfreindre le règlement pour ces dernières. C’est pour dire ! C’est alors qu’elle s’avançait vers Miss Cuthbert que la blonde en question la fit s’arrêter complètement dans son geste. Une question. Une toute petite question. Banale. Anodine. Amusante. Courte. Taquine. Il nous faut alors revenir sur un point. Muse n’est pas facile à déconcentrer, sauf dans un domaine, et c’était précisément sur celui-là que venait d’appuyer la jeune Poufsouffle.
Extrait du Livre des Souvenirs de Muse, le jour même des évènements relatés par le livre.
« Je vois que tu viens de passer une journée absolument retournante, tous ces évènements me donne à moi-même le tournis et je ne suis qu’un livre. Cependant depuis qu’il m’a feuilleté je me doutais qu’il n’y avait pas que la curiosité qui l’avait poussé à le faire. Des sentiments à ton égard, je savais déjà qu’il en avait, je veux bien sûr dire des sentiments autres que l’amitié enfantine qui vous a toujours uni, même s‘il est extrêmement maladroit dans ses propos (et agaçant aussi, pardonne moi). Alors lorsqu’il t’en a parlé tu lui a demandé de te surprendre. Etrange manière de cacher son trouble, mais efficace cependant. Tu me ne feras pas croire à moi que ça ne t’as pas fait un petit quelque chose Muse. Il sera donc inutile de te voiler la face lorsque je te dirais que tu ne savais visiblement plus où te mettre lorsque tu es sortie de cours, recevant un mot de son meilleur ami, suivi de très près par des origamis. Signature du génie à n’en point douter. Surprise. Telle fut ta réaction lorsqu’il se posta devant toi dans le parc où les papillons de papier t’avaient mené. Surprise car il avait les larmes aux yeux, déçu de son illusoire médiocrité (pour une fois je suis dans son camp). Je dois dire qu’ensuite il s’est largement inspiré de toi en se jetant littéralement dans tes bras. Venant de sa part à lui c’est une grande première. Tout comme le fait qu’il t’ai simplement embrassé non ? »
Bouche semi-ouverte, Muse referma cette dernière sentant le rouge lui monter aux joues. Ce n’était pas le moment. Surtout que toutes ces péripéties, elle avait préféré les garder pour elle, pas bien sûre de la manière dont il fallait qu’elle prenne les choses. C’était inattendue comme revirement de situation. Ah ça oui, elle avait été surprise, et ce n’était qu’un euphémisme. « Dès que je le vois je lui en parle. », répondit-alors son éternel sourire aux coins des lèvres. Elle avait voulu paraître sûre d’elle. Cause perdue. Elle avait toujours les pommettes rosées, et il ne fallait pas s’appeler Dieu pour se rendre compte qu’elle était carrément ailleurs. Peut-être que maintenant la tournée de Bierreaubeurre serait pour Muse.
Extrait du Livre des Souvenirs de Muse, le jour même des évènements relatés par le livre.
« Félicitation. Après quatre jours à vous éviter depuis votre baiser tu as enfin réussi à aller lui parler. Tu aurais du voir ta tête lorsque Turner a débarqué pensant sauver son ami d’un long silence mortel. Je pense que si les éclairs dans tes yeux avaient été réels il ne s’en serait pas remis aussi facilement qu’après le coup de poing que lui a donné Alphaïce, quoique je vois le sang couler de son nez. De plus en plus surprenant cet individu. Où va-t-il chercher toute cette énergie soudaine ? Excuse moi. Lorsqu’il est revenu vers toi vous avez enfin parlé. Bonne chose. Mais combien de temps allez-vous vous chercher Muse ? Tu lui demande encore d‘attendre ?»
« De toute façon, il n’y a absolument rien à officialiser. », ajouta-elle dans la même veine que sa phrase précédente. Une seconde c’était le temps qu’elle donnait à Riley pour démasquer le mensonge. Dans ce genre de domaine par contre, Muse n’excellait pas. Le mensonge et la manipulation, très peu pour elle. Cependant, elle ne savait pas, mais si elle s’y entraînait plus souvent, elle pourrait très facilement berner tout le monde. Pourquoi ? Cette fille a un potentiel sans limite. Elle combla le vide qui la séparait de son amie, comme si de rien n’était. Avec un peu de chance la chaleur sur son visage n’apparaîtrait plus. Même la chance ne pouvait rien pour elle en cet instant, elle le savait pertinemment. Elle lança un regard un peu plus appuyé à Riley parmi tout ce trouble afin de lui faire comprendre qu’elles pouvaient commencer. Le duel ne les avait jamais empêché de parler, bien au contraire, c’était plus amusant de la sorte. Alors elle s’inclina légèrement comme le voulait la coutume, lorsqu’elle capta de nouveau les iris de blondinette un sourire malicieux s’empara de ses lèvres. Puis elle se tourna et commença à faire les trois pas. « Ce n’est pas comme si je voulais qu’il y ait quelque chose à officialiser, ah bon ?, C’est mon ami d’enfance.», laissa-t-elle s’échapper de sa bouche parachevant ainsi sa bien piètre plaidoirie.

Le début des hostilités t'appartient totalement, fait comme tu le sens, ça m'est égal. T'façon Muse n'est pas en état de débuter là xD
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