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 La danse est une cage où l'on apprendre l'oiseau.

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AuteurMessage
Muse A. Steadworthy
Muse A. Steadworthy
    « The prodigal daughter » muse



▌Citation :

«Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.»

▌Clan : Plus de libertés, moins de contraintes.
▌Âge : 18 ans (25 avr.)
▌Année : 9ème année.
▌Maison : Serdaigle.
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Les 7 nains tu connais ? Imagine le mélange entre prof et joyeux, ça t'aideras.
▌Responsabilité : Cela fait 3 ans qu'elle refuse le poste de préfète.
▌Poste au Quidditch : A choisi d'être remplaçante.

▌Crédit(s) : (c) fae

AND MORE...
▌Relations:

La danse est une cage où l'on apprendre l'oiseau. Vide
MessageSujet: La danse est une cage où l'on apprendre l'oiseau.   La danse est une cage où l'on apprendre l'oiseau. EmptyVen 5 Aoû - 22:43

La danse est une cage où l'on apprend l'oiseau.


Elisabeth Blackstone && Muse A. Steadworthy
crédit - dreams <3 && Miss Victory


Premier post pour Elisabeth B.
Descendre. Descendre rapidement des escaliers en colimaçon à la visibilité assez réduite. C’était justement ce que faisait notre Muse, si bien qu’elle manqua de justesse de percuter deux élèves qui eux au contraire montaient vers les dortoirs des Serdaigle. Elle s’excusa brièvement dans un sourire, et reprit de plus belle. Jusqu’à ce que son pied touche le sol de la salle commune. Un regard circulaire dans la pièce, elle y reconnu quelques visages, à force de vivre ici il fallait bien que sa mémoire fasse son ouvrage. Et puis sa tête tourna vers l’âtre de la cheminée, devant lequel s’y trouvait une silhouette pour le moins familière. Il était de dos, mais elle aurait pu le reconnaître entre mille, pas seulement à cause de leurs nombreuses années de complicités et de rires à se regarder dans le blanc des yeux, mais surtout parce qu’elle avait une mémoire visuelle surprenante. Mettant alors un nom sur cette personne, elle s’arrêta dans sa course vers la sortie pour bifurquer vers le canapé qui était occupé par son ami. Elle n’avait pas cherché à masquer son avancée, ni même à vouloir prendre par surprise le jeune homme, cependant ce dernier la prit presque de cours alors qu’elle se trouvait encore dans son dos. « Tu vas rester là, ou venir me dire bonjour ? » Les lèvres de la bronze et azur s’étirèrent en une moue dubitative, pour finalement contourner le meuble et se laisser tomber à côté de Virgilio, la tête vers le plafond. « Bonjour. », dit-elle vaguement, un sourire rempli de malice accroché aux lèvres non sans avoir pu résister à lui lancer un regard en coin du même acabit. Ce simple échange entre les deux amis pouvait leur suffire. « Et tu cours où comme ça petit lapin blanc ? » Sourire encore, vers le feu, tandis qu’elle croisait ses mains sur son ventre. « Au pays des merveilles dans la tour voisine. » La prodigue sentit alors le regard insistant de son meilleur ami sur elle, c’est pourquoi elle tourna la tête sur le côté de la même manière que lui attendant quelle serait la remarque qu’il allait bien pouvoir lui faire. « Tu vas voir la Reine de Cœur et ses étagères assassines ? », son regard rieur provoqua un réaction immédiate chez l’aînée Steadworthy. Elle fit une légère frappe sur la jambe du Serdaigle. « Alphaïce ne ferait pas une bonne Reine de Cœur. », ajouta-t-elle tout de même les lèvres pincées avant de rire légèrement pour se redresser. Il lui fallait s’en aller, chose qu’elle fit après quelques échanges de bon goût avec le charmant italien.

Pour dire vrai, elle n’avait pas rendez-vous avec le jeune homme, Alphaïce j’entends. Mais disons que depuis le début de l’année scolaire, avec le nouveau statut de leur duo, le départ de Damian pour la France, et puis le poids de ses propres sentiments, il lui arrivait plus souvent d’avoir envie de déranger son apprécié génie de Gryffondor. On pourrait alors croire qu’elle passait plus de temps avec lui, qu’elle avait même doublé les moments passés avec lui. Que nenni, ce qui avait doublé c’était le temps de recherche pour trouver l’élu de son cœur. Elle avait épuré les cachettes les plus saugrenues, en passant même par les placards à balais où seul un enfant de dix ans aurait pu s’y glisser. Soit. Elle qui pensait connaître le château comme sa poche depuis quelques années déjà, elle avait pu se rendre compte que ce n’était toujours pas le cas. Comme quoi Poudlard recèle toujours de surprises.
Chemin faisant vers le rouge et or, elle leva les yeux vers les murs et croisa un tableau sur lequel évoluait sans relâche une superbe danseuse étoile. Une vision furtive, qui fut doucement sourire notre brune. Elle ne s’était pas attardée devant la ballerine, mais son ombre était restée dans son esprit, jusqu’à ce qu’elle se mettre à voir défiler dans sa tête des images de sa mère. Madame Steadworthy était une moldue professeure de danse. Muse avait passé des heures à l’observer, faire ses pointes, ses arabesques, ses grands jetés, pour passer d’un style à l’autre toujours avec la même passion. Elle admirait le talent de sa mère. Comme une petite fille, elle serait encore capable de dire que sa mère était la meilleure parmi toutes et tous. C’était ainsi voilà tout. Les pensées remplies de pas de bourrés ou encore de tours parapluie, il lui sembla passer devant le lieu présumé de la salle sur demande. Une brève analyse lui permit d’en prendre conscience. C’est toujours dans l’optique de retrouver son ami d’enfance qu’elle effectua le rituel de la « salle secrète ». Les trois allers-retours effectués, elle prit soin de se poster face au mur. Une porte simple se matérialisa alors et elle y posa sa main. Sauf que voilà, Muse en grande rêveuse n’avait pas su se défaire de ses pensées, et sa mère restait omniprésente dans son esprit. Alphaïce en avait été chassé à coup de tours pointés. Voilà pourquoi, comme une évidence lointaine, elle savait très bien qu’elle ne pourrait pas mettre la main dessus puisqu’elle ne pensait pas assez à lui pour espérer le rejoindre dans la salle. Par contre, si sa mère avait été dans l’école, cela aurait été le cas. Si bien que lorsqu’elle passa la porte de la salle, elle ne fut qu’à moitié surprise du spectacle qu’elle avait sous les yeux.

Voilà qu’elle se retrouvait dans une salle tout ce qu’il y avait de familier mais aussi de banal pour une personne ayant les pensées rivées vers une mère danseuse. Des miroirs à perte de vue, quelques barres pour faire des étirements, et venant d’un lieu qu’elle n’identifiait pas encore une musique en fond sonore. Elle évolua doucement sur le parquet, mit un nom sur la source de musique, un vieux gramophone tournait d’un disque vierge auquel il faudrait juste y donner un coup de baguette magique pour en changer le thème. Emportée par ses souvenirs et surtout ses envies, elle se déchaussa sans cérémonie, et retira de la même manière ses chaussettes afin d’apprécier le sol de ses pieds nus. Chose faite, elle avança désormais en faisant glisser ses pieds sur le parquet ciré, suivant désormais son parcours dans cette salle de danse improvisée à travers les différents miroirs. De manière générale, la prodigue ne faisait pas attention à son apparence. Était-elle jolie, était-elle bien coiffée, devait-elle se maquiller, est-ce que ces deux couleurs portées ensemble était un préjudice moral à la mode ? D’une certaine manière, elle avait tendance à s’en moquer. Une salle de danse était alors le seul moment où l’on pouvait la voir s’observer avec autant de ferveur. Jusqu’à ce que comme sortie de nulle part, elle vit dans la glace une autre personne. Son regard s’était posée sur une demoiselle blonde. Muse se rendit alors compte, qu’elle devait être présente dans la salle sur demande bien avant elle déjà et qu’en fait elle venait jouer les parasites. C’est pourquoi elle salua la jeune fille, ou plutôt son reflet dans le miroir. « Ah. Je ne voulais pas te déranger. Hum. Je peux repartir. », dit-elle alors en entamant une retraite dans un gracieux demi-tour.
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