CARTE D'IDENTITEMarine « Nina » Gabrielle Chevalier Nom: Chevalier
Prénom(s): Marine « Nina » Gabrielle
Âge & années : 18 ans, 9eme année.
Date & Lieu de Naissance: Montréal, Canada, le 7 mars 2013.
Sang: Mêlé.
Maison : Serdaigle
Futur envisagé : Médicomage.
APPARENCE
Physique: « You have angel’s eyes. You are my angel.
- Comment peut-tu le savoir, tu n’en a jamais vus.
- You’re the most beautiful angel God ever created.
- Non, Satan était le plus bel ange de la création.Il hoche la tête avec sérieux.« I know… and just like him, with a simple look, you could drag my soul to hell. »Yeux vert-gris. Ce serait la manière la plus simple de la décrire. Le reste n’étant que des informations superflues rapidement oubliées lorsqu’on était happé par la beauté étincelante de son regard. On ne remarquait pas que ses cheveux étaient blonds comme une journée d’Août, que son nez droit annonçait toute la personnalité, que ses lèvres roses semblaient faîtes pour sourire. On n’arrivait même pas à réaliser qu’elle était immensément grande, qu’elle avait des jambes interminables et des cils blonds qu’ils l’étaient tout autant. C’est à peine si on voyait sa taille fine et ses mains délicates. On ne pouvait voir tout ça, car lorsqu’elle vrillait son regard sur vous, vous ne voyiez rien d’autre. Nina, c’est la femme aux yeux vert-gris.
Signe particulier: Elle a une cicatrice en forme d’étoile sur le dos de la main gauche.
CARACTERE
Description:« Je n’aime pas la crème glacée.
- Alors pourquoi en manges-tu ?
- C’est plus facile de manger avec modération ce qu’on n’aime pas, tu ne trouves pas ? »Certaine personne sont comme des livres ouverts, ou comme des rivières limpides dans laquelle on voit avec une précision étonnante toutes les petites roches de formes régulières qui peuplent son fond. Nina est une rivière limpide : Calme, réfléchie et sage et incapable de dissimuler quoique ce soit. Elle dit tout ce qu’elle pense, sans violence avec ce flegme déconcertant et le regard vrillé au votre, comme si dire la vérité allait de soi, comme respirer ou sourire. Il n’y rien que Marine Gabrielle Chevalier puisse penser qu’elle ne puis dire. Cette transparence est le résultat d’une effarante honnêteté et probablement celle d’une éducation vaguement anarchiste saupoudrée d’une touche d’esprit hippie. Elle respecte les autres et leurs valeurs et accorde une importante capitale à l’empathie bien qu’il lui arrive, par abus de vérités, de vexer involontairement son entourage. Malgré tout, ses amis savent qu’ils peuvent compter sur sa loyauté et sa tête de mule ! Entêté comme pas deux, elle sait parvenir à ses fins, coûte que coûte. Avec un peu de patience, la rivière peut creuser une brèche dans la plus rigide des pierres. Nina est le genre de femme qui sait allier douceur, dureté, ruse et rire pour faire d’elle une femme remplie de contradictions et attachante, mais dangereuse par son intelligence implacable et son sourire fatal.
Principales Qualités: Honnête – Généreuse – Patiente
Principaux Défauts: Rancunière – Entêté – Manque de tact
En plus: Il lui arrive parfois d’avoir la langue très acérée, surtout lorsqu’elle manque de sommeil.
HISTORIQUE
Histoire & découverte de la magie: « C’est un garçon, j’en suis sûre. Ophélie jeta un regard peu amène sur sa belle-mère avant de reporter son attention sur le vendeur. Oui, elle avait accepté de laisser la mère de Luc l’accompagner à la quincaillerie parce qu’elle était vieille et seule mais elle n’avait jamais promis de lui laisser la vie sauve et l’idée de l’abandonner dans le métro commençait à lui démanger sérieusement.
- Le médecin a dit que c’est une fille. L’échographie a dit que c’est une fille. Je dis que c’est une fille.
- Je n’ai aucune confiance en ton médecin, tu as vu comme elle est jeune ? Sûrement inexpérimentée. Tu aurais dû prendre Dr Bano.
- Et la machine aussi est inexpérimentée, peut-être ?
- Non, mais elle est vieille. Et ne fonctionne probablement plus très bien »« Toi non plus, vieille branche. » Répliqua la jeune femme… dans sa tête. Elle se contenta de reporter son attention sur les tonnes d’échantillon de couleurs en haussant les épaules. Heureuse d’avoir eu le dernier mot, Dorys Chevalier sourit avec satisfaction ; la femme de Luc était autrement plus docile que celle de Stéphane qui passait son temps à pépier sur dieu se quoi et ne la fermait jamais. C’était clair dans sa tête, son premier petit-fils s’appellerait Gabriel, comme son feu grand-père et comme tous les premiers-nés de la famille Chevalier et ce n’était pas une jeune française pincée qui allait se mettre au travers des traditions ancestrales. Ou au travers de quoi que ce soit. D’un geste autoritaire, elle tendit un échantillon de couleur au vendeur.
« Nous allons prendre cette couleur. »Elle jeta à peine un regard du côté d’Ophélie qui ne répondit rien. Elles se dirigèrent ensuite vers la caisse et la future grand-mère paya les multiples pots de peinture qu’elle avait achetés et elles se dirigèrent en silence vers la voiture. Un silence tendu du côté de Dorys, mais serein mais même un peu amusé chez la jeune maman. Ses yeux brillaient d’une malice enfantine qui détonnait dans son air « femme d’affaire coriace qui préfère détruire les obstacles plutôt que les contourner » : tailleur pantalon noir, chignon sévère et talons hauts vertigineux. Mais de temps en temps, un sourire rappelait qu’en dessous de la femme se cachait un enfant, un enfant roux au visage parsemée de tâche de rousseur et de deux fossettes. Et elle sourit à belle-mère, voire pire ennemie de son sourire le plus innocent et le plus machiavélique.
- Quand veux-tu que nous commencions à décorer la chambre de mon petit-fils ?
- Oh mais c’est déjà fait ! Depuis déjà une semaine.
- Mais pourquoi ne m’as-tu rien dis ! Tu m’as laissée t’acheter toute cette peinture alors que savais que tu n’en avais pas besoin ?Une expression perplexe se peignit sur les trait d’Ophélie, mais l'expression était bien trop sincère pour l'être réellement
- Ce n’était pas pour toi ? Tu m’as dit que tu voulais refaire ton salon.
- Pourquoi voudrais-tu que j’achète de la peinture « Bleue bonbon » et du papier peint d’éléphant pour mon salon.Ophélie Faivre haussa les épaules, indifférente.
- Comme tu ne m’as pas demandé mon avis, j’ai cru comprendre que c’était pour toi. ***
« Maman ! Maman ? Maman. Maaaaman . »Comme à son habitude, Marine dite Nina prononçait avec délectation son mot préféré avec aucune intention particulière de recevoir de l’attention, seulement pour entendre le son merveilleux qu’elle créait et à chaque fois que sa mère l’imitait, elle se mettait à rire en tapant des mains, hilare. Attiré par les rires de sa fille, Luc apparut dans la cuisine, un sourire aux lèvres. Nina était un vrai rayon de soleil, toujours heureuse et conciliante et d’une curiosité sans borne, déjà ayant à peine un an. Ça laissait présager le pire…
- Comment va ma petite princesse ?
- Extrêmement bien, à ce que tu peux voir. Mieux que si une vieille dame machiavélique s’occupait d’elle.
- Ne parle pas ainsi de ma mère. Elle a fait beaucoup pour nous.
- Je ne pensais pas à ta mère, mais si tu trouves la description ressemblante…Luc et Ophélie se mesurèrent du regard, chacun campant sur ses positions. Le sujet de dispute le plus fréquent chez les Chevalier ? Mme Chevalier. Il suffisait de prononcer son nom pour mettre le feu aux poudres. Elle mettait son grain de sel partout ; dans le choix de l’emplacement de leur maison, dans celui du nom du bébé, de leur destination de voyage, de la longueur de son voile de mariée, du son coiffeur, de l’école de Nina, la marque de la poêle à frire, c’était à rendre dingue le plus sain d’esprit des sains d’esprit. Et pourtant, Luc ne disait jamais rien et se contentait de laisser sa mère dire. Et c’était une chose que sa femme lui reprochait amèrement. Pourtant… n’importe qui avec une minimum de jugeote ne prendrait pas le risque de contredire Dorys Chevalier, s’il tenait à la vie, cette femme était un vrai dragon, de ceux de la mythologie qui crachaient du feu et dévorait les gens pas la tête. Rien à voir avec une mamie-gâteau semi amnésique qui cuisinait des gâteaux et des tartes.
- Ma mère n’est pas commode, j’en conviens. Mais c’est une bonne personne ! Elle t’a accueilli chez elle à bras ouvert quand tu en as eu besoin !
- À bras ouvert ? Avec une brique et un fanal, oui ! Elle m’a carrément traitée de salope et m’a accuser de t’avoir aguiché et de t’avoir corrompu, toi son fils si parafait !
- Ne dis pas ça devant Nina.
- Justement, parlons-en de Nina. Tu te rends compte qu’elle a kidnappé notre fille ? Je la cherchais partout et j’ai même appelé la police! C’est NOTRE fille, pas la sienne et elle n’a aucun droit sur elle ! ET MA FILLE N’IRA JAMAIS DANS UN PENSIONNAT EN SUISSE !Le hurlement d’Ophélie fit trembler les vitres de la maison et Nina se mit à hurler. De rage, peut-être. Mais quelque chose d’étrange se passa : La température baissa de plusieurs degrés. Subitement. Puis elle passa sous le cap du zéro. Les parents de Marine se mirent à trembler, éberlués. Luc se précipita pour prendre sa fille dans ses bras pour la réchauffer alors que sa femme se dirigeait vers le thermostat, et tentait d’augmenter le chauffage, en vain. -10… -13… -18…-23… -30… Bientôt, du givre se déposa sur les fenêtres. Puis aussi subitement que le froid était arrivé, Nina cessa de pleurer et la chaleur revint. Les deux événements coïncidaient si bien que cela ne pouvait être que le fruit du hasard. Les Chevaliers se jetèrent un regard effaré : Leur pire cauchemar venait de se réaliser. La malédiction des Faivre poursuivait sa proie jusqu’à l’autre côté de l’Atlantique. Nina, indifférente, gazouillait, heureuse de voir que le silence était revenu… un silence glacé.
***
Tic. Tac. Tic. Tac. Mes yeux s’ouvrirent d’eux même et la lumière vive m’aveugla un instant. Je clignai des yeux, déroutée, puis mes yeux s’adaptèrent à l’envahisseur. Ou plutôt aux envahisseurs. Sans même avoir levé la tête, je savais que je n’étais pas seule, je sentais le parfum de lavande et de lilas qui flottait autour et je souris. Certaine personne savaient quand vous aviez besoin d’elles, sans avoir à le dire.
- Grand-Mère. Sans répondre, elle posa une main chaude sur ma joue et quelque chose de blanc obscurcit ma vue. Je l’attrapai et je la regardai avec attention : Une lettre ? Pourtant, ce n’était pas ma fête, ma fête de dix ans n’était pas avant des mois (9 mois, 3 semaines, 2 jours et 23 heures) … Et j’avais déjà obtenu mon bulletin de fin d’année ce qui voulait dire que cette lettre tombait dans la catégorie des lettres OOB (Out Of the Blue) et juste en regardant l’espèce de sceau avec un lion, un serpent, un oiseau et une… taupe (?) je savais que je ne seras pas déçue du contenu. Juste avant de l'ouvrit, je regardai ma grand-mère qui me fixait d’un air à la fois triste, heureuse, fier, résigné et impatient; je voyais toutes ces émotions danser comme autant d’étoiles dans le ciel saphir de son regard. Ou peut-être mon imagination me jouait des tours, ce ne serait pas la première fois… ni la dernière. Poussant mes pensées dans un coin de ma tête et j’ouvrai la fameuse lettre.
- Spoiler:
COLLÈGE DE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE
Directrice : Maureen Fillzter
Docteure ès Sorcellerie
Cher Mrs Chevalier,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendrons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, cher Mrs Chevalier, en l'expression de nos sentiments distingués. Edward MurrayDirecteur-adjoint
Je regardai ma grand-mère, incrédule. C’était quoi ces délires ? Docteure ès sorcellerie ? Hibou ? Non vraiment, la directrice de cette fameuse école était tombée sur la tête. Poudlard ? Sûrement un nom de code pour illuminés dangereux ! Ce n’était pas le genre de ma grand-mère de faire pareille plaisanterie, ce devait donc être mon insupportable voisin, Thomas, qui s’amusait à mes dépens. Non mais une école de magie ! Avait-on déjà vu moins plausible dans l’histoire des mauvaises plaisanteries ? Pourquoi ne pas inviter quelques trolls et quelques loups garous ? Le bal des débilos serait complet. Je remis la lettre à Laurie en souriant.
- Je crois que Thomas a décidé de me faire une plaisanterie, pas très drôle. Mamie fronça les sourcils, perplexe. Elle prit la lettre attentivement puis la reposa sur mes genoux en riant. Au moins, une deux nous deux trouvais cela amusant.
- Qu’est-ce qui te fait croire que c’est une plaisanterie, Petite Rose ? Je trouve que ce sceau à l’air très réel. Mon visage s’affaissa. Est-ce qu’elle était en train de me dire qu’elle y croyait à cette histoire de sorcière ? Peut-être qu’elle était moins saine d’esprit qu’elle ne le paraissait… à son âge, la sénilité la guettait, avec tout le stress que la vie...
- Hé ! Un oreiller venait de m'atterrir en plein visage, sans aucun avertissement. Ce que je trouvais limite malpoli. Mamie me regardai en riant, l’air de dire que mon expression était hilarante.
- Je t’attends penser Marine Gabrielle Chevalier ! Comment oses-tu considérer sa grand-mère sénile ?!Je commençais à croire que cette histoire de sorcellerie était peut-être vraie. Ma grand-mère avait toujours eu une super-ouïe, et elle avait toujours fait des choses qui rentraient assurément dans la catégorie WIS (Weird and Inexplicable Situations). Mais de toutes les WIS que j’avais vécus avec elle, je devais avouer qu’elle venait de se surpasser : Entendre les gens penser, c’était fort. Mais assez pratique en fait, ça m’évitait de devoir parler pour rien.
- Tu dois avouer que cette histoire de balai volant et de formules magiques te donne pas un air super crédible, là tout de suite.
- Bon, d’accord, tu n’as pas tout à fait tort... mais, tu dois comprendre que cette histoire de balai volant de de formules magiques, comme tu l’appelles, aussi débile qu’elle te semble est parfaitement vraie. Et tu le sais parfaitement. N’as-tu jamais trouvé que des évènements étranges se passaient autour de toi lorsque tu perdais le contrôle de tes émotions ? Penses à cela, je vais aller parler avec tes parents.Et elle me laissa en plan, sans une tape rassurante sur l’épaule. Ouais… bien qu’elle était très affectueuse, elle avait toujours dit qu’à ses yeux les démonstrations d’affections étaient d’une mièvrerie insupportable. Sauf que dans la confusion dans lequel je nageais, je n’aurais pas dit non à un peu de mièvrerie. Je pouvais appeler Dorys ? Si Laurie était une sorcière – état qui expliquait son don de VOYANCE et ses APPARITIONS ! -, mon autre grand-mère devait être le croisement entre un vampire (pour le côté implacable), un dragon (pour le côté féroce) et une fée (pour l’apparence inoffensif et adorable). Mon père devait avoir du sang humain pour être aussi normal avec une mère aussi extra-terrestre. Malgré que j’adorais ma grand-mère Dorys, même moi je devais admettre qu’elle était vraiment… quelque chose. Avec elle, c’était soit tu la révérais (comme moi), soit tu rêvais en secret de lui tirer une balle dans la tête, puis de la réduire en cendres et de les répandre au quatre vents pour être sûr que rien ni personne pourrait la ramener à la vie (comme ma mère). Mais je savais que si j’avais besoin de quelqu’un pour me remonter le moral, elle serait là. Je pris le téléphone pour l’appeler et elle ne répondit pas. Mes aïeules s’étaient liguées contre moi ? «
Laissons-la se débrouiller toute seule ». Merci beaucoup. Je me levais donc pour aller au salon et à mesure que j’approchais du salon, j’entendais des éclats de voix.
- Ah parce que ma mère ne peut pas l’envoyer en Suisse mais vous, vous pouvez l’envoyer dans un trou perdu dans le fin fond de l’Angleterre ?!
- Ce n’est pas une question d’envoyer Nina quelque part, c’est une question d’héritage !
- Ma fille n’ira pas à Poudlard.
- Ma petite-fille ira à Poudlard.
« Et si je décidais moi-même où j’irais ? »Mon père, ma mère et ma grand-mère Laurie se tournèrent vers moi dans un bel ensemble. Avec beaucoup de surprise s peignant sur leur visage, un peu de culpabilité aussi (sauf sur celui de ma mère). Elle m’ouvrit d’ailleurs les bras et je courus m’y réfugier. Et d’un mouvement de tête, elle chassa les autres et nous nous retrouvâmes seules. Elle s’assit par terre et m’invita à faire de même.
- Pourquoi ne m’as-tu jamais dis que j’étais une sorcière ?Elle sembla réfléchir ce qui me parut une éternité. Les yeux perdus dans ses pensées.
- Je suppose que je ne voulais pas que tu te sentes forcée de choisir la magie comme je l’ai été. Mes deux sœurs ainées, tes tantes Anne et Lola, n’ont pas hérité de la magie. Maman fondait tous ses espoirs sur moi et je ne voulais pas la décevoir… - Et si moi elle m’intéressait ?
- Je sais. J’ai cru te donner le choix alors qu’en réalité, je t’en privais. Je t’ai forcé à être une moldue. Mais sache que le choix final te revient. Si tu veux aller à Poudlard, je ne t’en empêcherais jamais. Si tu veux rester ici, je ne t’en empêcherai pas non plus. Je vais t’encourager à choisir ce qui te correspond. Je ne dis rien. Je la regardai et j’essayais de choisir avec mon cœur. Oui l’idée d’être exilée dans un pays que je ne connaissais pas, pour apprendre la magie avec des sorciers me terrorisais, je sentais que c’était ce que e devais faire. Même si je voulais à tout prix rester avec mes amis, avec mes gens, chez moi.
- Où on pourrait trouver un chaudron en étain ? ***
Je regardai mon journal avec un sourire. Je ne regrettais pas qu’être à Poudlard. J’aimais être apprendre. La curiosité était mon moteur et je pratiquais tous les jours pour être sûre de maîtriser parfaitement les sorts que j’apprenais. Je savais où je voulais aller dans la vie et j’étais prête à remuer ciel et terre pour y arriver ; j’allais devenir un médicomage.
Famille:
Ophélie Faivre – Mère
(Agente immobilière. Sorcière)
« Mon roc. Le roc de notre famille. Elle semble frêle mais en réalité, elle possède une si grande force intérieure qu’elle brille littéralement. S’il y a quelqu’un en qui j’ai une confiance absolue, c’est elle. »
Luc Chevalier – Père
(Propriétaire d’un restaurant. Moldu)
« Mon père est la personne la plus hilarante que je connaisse. Si je veux connaître la vérité, c’est vers le lui que je me tourne. Mais il sait dire la vérité d’une façon si drôle qu’elle ne fait plus mal. Une main de fer dans un gant de clown. »
Relations amoureuses:Thomas West– (Étudiant de Poudlard. 9eme année)
« Mon meilleur ami. Mon meilleur amant. Je ne sais pas ce qu’il est pour moi. Mais je sais que je ne pourrais pas vivre sans lui. Je suis son ying, il est mon yang. »
Relations:Doraleen M. Lowell – Meilleure amie (Étudiante de Poudlard. 9eme année)
« Doraleen, c’est moi. Moi, je suis Doraleen. On est tellement identique qu’on a l’air d’être des sœurs. C’est ma sœur cosmique. »
DETAILS
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle. Bien que la question ne s’étant jamais véritablement posée, il n’y a donc pas de véritable réponse.
Baguette Magique: 37 centimètre, bois d’Érable avec un poil de licorne.
Balai: qui vole ? Sinon un éclair de feu, son bébé, la prunelle de ses yeux – qui lui a coûté les yeux de la tête, justement.
Animaux: Un chat (Un bleu russe mélangé avec une chartreuse) nommé Socrate en l’honneur de sa gueule de philosophe grecque.
Forme du Patronus: Un cygne.
Forme de l'Epouventard: Un loup-garou.