La peur dans la salle commune...

[Premier post a Ema ^_^ ]

Mathias se promenait seul dans le château. Il était encore dans ses pensé. Dans ses rêves, ou les chevaliers et les fées vivent et le font vivre. Il ne voit presque plus où il va. Le couloir s’est transformer en la demeure de la dame du lac et lui il est au coter de lancelot a regarder, a épier ses moindres fait et geste. Il marche avec lui. L’écoute marcher et répliquer tout de lui. Puis tout d’un coup Mathias s’arrête au milieu d’un couloir. Il regarde par une fenêtre. La réalité et la fiction se mêle et Mathias voit enfin la bagarre sont chevalier préférer se battre et a lui seul démonter nombreux ennemis. Pourquoi fait-il cela? Pourquoi cet homme ne craint pas la mort et fonce pour tuer son ennemie.

Mathias connaît déjà la réponse. Pour avoir lut le même ouvrage plusieurs fois. Le preux ne le fait que par amour. Se très grand sentiment impossible a échapper. Il se bat avec l’énergie du désespoir afin de garder celle qu’il aime en vie. Car son ennemie pourrait faire du mal a sa bien aimé et cela il ne pourrait le permettre. Dans la bataille il ne peut y avoir rien d’autre. Mais dans le conte il y a un problème à cet amour si grand. Un mariage arranger, un autre amour, une amitié cruelle qui déchire le bon preux et l’empêche d’être celui qu’il est vraiment. Puis Mathias s’enfonce dans son imaginaire laissant son livre tomber sur le sol. Il n’entend pas le bruit. Il fige. Devant lui, derrière la fenêtre il voit son héros se battre contre des milliers d’ennemis qui tombe du ciel. Puis comme si l’amour le quittait. Comme si tout courage toute invincibilité le quittait. Quelque chose de froid l’atteint en pleine poitrine. Son cœur se comprime et se débats comme un fou. Mathias referme les yeux devant se spectacle horrifiant. Le preux avait une faille et il la connaissait bien.

Tranquillement des larmes perlèrent aux paupières de Mathias. Une ombre passa dessus son chevalier puis une lumière d’un seul coup apparaît et disparaît. Mathias revient alors à la réalité. Il se trouve devant une fenêtre du château et dehors la pluie tombe comme si l’eau était filait à l’infinie. Puis la lumière se fit dans son esprit. Il ne voyait pas de faille au chevalier. Mais il voyait sa propre peur. Une lumière apparu d’un coup et s’éteignis. Mathias n’attendit pas. Il ramassa son livre et couru a toute jambe. Mais se fut trop tard. UN grand bruit sourd retenti. Les jambes de Mathias deviennent moles d’un coup et il tombe a terre. La douleur le frappa menton mais il n’en fait rien il se relève et cour encore plus vite. Il cour le plus vite qu’il peut comme si la mort le suivait. Il croise des élevés et ne leur accorde rien. Des larmes coulent sur ses joues. Puis il amorce une descente longue et pleine de tournant. Pour finalement finir dieu le sais comment dans la salle commune de poufsoufle.

Dans sa peur abominable il se jette alors sous une table d’étude. Il était allez directement sous la table en passant sous les hamacs il ne tenta même pas de remarquer si quelqu’un le voyait agir. Grâce a dieu personne ne traînais dans la salle a se moment même si tôt ou tard quelque le découvriras cacher sous la table transit de peur. Il ferme les yeux et reste recroqueviller sur lui-même. Une autre détonation fait vibré les murs. Même dans le sous-sol du château sa peur le poursuit. Mathias ne sait que faire. Il souhaite mourir, il souhaite ne plus avoir peur, il souhaite que tout cela prenne fin. Mathias tente alors de penser à autre chose. Son sport favoris, mais une autre détonation de l’enfer lui enlève l’idée. Puis Mathias ne pense plus, la peur l’emporte et en désespoir de cause il hurle..
-EEEMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!

Dessous la table en larme et tremblant de peur. Mathias n’a pas trouver autre chose que de crier le prénom de sa meilleure amie pour qu’elle viennent l’aidé. Qu’elle le tire de la, qu’elle chasse la peur. Puis une autre détonation encore plus forte retentis.

Emanuelle avait passé la journée entière avec un ÉNORME mal de ventre. Savez, cette chose-là...? Bon, alors voilà. Elle s'était reveillée ce matin là, à une heure normale pour une fois (elle allait souvent courir avant que tout le monde ne soit debout) et avait du faire un effort monumental pour se lever. Après sa toilette et sa douche, elle était allée rejoindre Mathias et, comme d'habitude, ils avaient passé la journée à déconner et à rire dans leur cours. À la fin de la journée, Emanuelle ne pouvait plus supporter la douleur. Elle n'arrivait plus à se concentrer sur rien, et bon...

Elle réussit à justifier de manquer la dernière heure de cours de la journée et retourna, vite fait bien fait, à la Salle Commune. Elle avait alors attrapé un coussin énorme et s'était callée dans un hamac qui pendant près de l'énorme foyer. Tourne, retourne, tourne encore... Rien à faire, la douleur ne voulait pas s'estompée.

Elle se releva peiniblement et traina sa carcasse jusque dans son lit, ou elle s'installa, en boxer avec un t-shirt immense, sous les couvertes. Elle prit alors une décision, celle d'user de sa baguette magique pour appliquer de la chaleur là où ça fait mal. Après quelques minutes d'ajustement et une ou deux brûlures superficielles, elle trouva enfin un petit réconfort. Elle finit par sombrer dans un demi-sommeil, rêvant à toute sorte de choses étranges, repensant à ses parents, à Londres...

Le tonnerre la réveilla, un orage s'abattait sur Poudlard. Elle adorait ces moments-là, quand la pluie battait fort contre les toits et que tout le château se retrouvait plonger dans un demi-obscurité. Elle adorait monter dans les tours et simplement écouter les bruits que le château faisait, comme pour combattre les bombardements de pluie. Elle fut ramenée sur terre par un nouveau coup de tonnerre et un hurlement provenant de la Salle Commune.

À contrecoeur, elle se leva et réagit rapidement. C'était rare que son meilleur ami crie avec autant de panique dans la voix, alors elle conclut que ce devait être un cas de force majeure. Sans prendre le temps de remettre des vêtements convenables, elle traversa le dortoir et déboucha dans la grande pièce, les yeux encore collés par le sommeil, mais la baguette bien droite devant elle en criant:

- Il est où le dragon? C'est un troll, c'est ça?

À peine avait-elle finit sa phrase qu'elle parvient à faire le focus et à parcourir la salle des yeux. Pour n'y trouver rien du tout d'étrange, sinon Mathias, sous en table, en larmes, tremblant. Comme un enfant de 8 ans, et ce, pour aucune raison apparente. Alors elle baissa sa baguette et poussa un soupir digne d'un opéra.

- Qu'est-ce que tu fous en dessous d'une table, MERD...

Les mains sur les hanches, elle regarda son ami avec la tête de sa mère quand elle faisait une bétise. Puis elle prit subitement conscience de sa tenue et croisa les bras contre sa poitrine, énormément gênée et rouge comme un Griffondor.

Mathias étais toujours sous la table a trembler a pleurer a ne rien voir en dehors de sa bulle qui était refermé sur lui. Il demandais au ciel de le sauver, a la mer de le calme, a la terre de le caché sous sa protection et a l’air de le lui laisser un espace de vie. Puis enfin comme, quelque chose perça la bulle, quelque chose perça sa frêle armure contre sa peur. Quelque chose entra en contact avec lui. Outre la peur il s’était maintenant couper de tout. Mais ce qui entra dans son espace était plus fort que le reste. La voix d’Ema lui parvenait jusque dans les veines. Il frissonna à l’entendre parler. Dans sa tête rien ne valait le réconfort de l’entendre. Les mots n’avaient nulle importance. Mais les mots exiges trop souvent une réponse et il devais alors se concentrer pour comprendre se que son amie lui disait.

- Il est ou le dragon? C’est un troll c’est sa?

Mathias n’en souligna aucunement l’ironie ou la pitrerie de la blague sa peur le menait a ne pas pouvoir comprendre la chose. Il leva vert elle des yeux vitreux et fatiguer, apeuré et détruis. Il la regarda dans le brouillard des larmes salées avant que le tonnerre ne lui coupe encore toute existence extérieure. Il se réfugia dans une autre bulle. Tentant de survivre a la pression que lui faisait la peur. Puis enfin la voix de son amie perça encore la défense. Frêle défense pensé vous? Peut-être mais Ema pouvais anéantir n’importe qu’elle défense de lui-même en n’importe qu’elle circonstance et il n’en savait guerre la raison.

- Qu’est ce que tu fou en dessous de la table, MERD…

Mathias se retourna encore une fois vers elle. Toujours les yeux vitreux et fatiguer. Il la fixa encore un moment avant de pouvoir trouver le courage de parler. Il s’attendait a une autre déflagration du ciel. Alors que celle-ci ne venait pas il parla..

-Tu.. Sais.. Aide moi.. Ema.. Le tonnerre..

Il n’en dit pas plus et bougea vers elle. Il rampa rapidement a elle et s’accrocha a ses jambe. Il ne remarqua nullement l’accoutrement de son amie. Il ne pouvait la voir en fait. Même en temps normal il l’aurait surment vu autrement.

Il la serra contre lui afin qu’elle le protége contre le tonnerre. Il n’avais nullement songer a comment elle pourrais faire cela. Mais… C’était Ema et pour lui elle pouvait vaincre le ciel et l’enfer.

-Reste avec moi je t’en pris EMa.. Ne t’en va pas.. Reste.. Ema.. le tonnerre.. Ema.. Reste avec moi.

Il était surment pathétique a voir, elle ne le verrais surment jamais plus aussi fragile, aussi dépendant d’elle qu’a se moment a moins que le tonnerre se présente encore. Il la suppliait maintenant de le sauver.

-Dit lui de me laisser.. Dit lui.. J’t’en suplis et je ferais se que tu veut.. Ema…

Les bras toujours croiser sur sa poitrine, Emanuelle regardait son ami trembler sous la table. Il leva les yeux vers elle et ce qu'elle pu voir la fit frissoner. Comment pouvait-elle rester là à le voir dans tous ses états, vulnérable à ce point, et toujours se convaincre qu'elle ne devait pas profiter de ces rares moments de faiblesse?

-Tu.. Sais.. Aide moi.. Ema.. Le tonnerre..

Il sorti sans prévenir de la table et vint se presser dans ses bras. Réticente à laisser retomber ses mains qui la protègeait un peu des regards, Emanuelle finit tout de même par se laisser avoir et elle serra Mathias dans ses bras.

-Reste avec moi je t’en pris EMa.. Ne t’en va pas.. Reste.. Ema.. le tonnerre.. Ema.. Reste avec moi. Dit lui de me laisser.. Dit lui.. J’t’en suplis et je ferais se que tu veut.. Ema…

Maintenant il la suppliait. Qu'est-ce qu'elle pouvait faire? Franchement, le ciel la dépassait un peu maintenant. Elle le traina lentement vers un des fauteuils qui trainaient, usés jusqu'à la corne. Elle s'assis et sans même un geste ou une invitation, il était déjà sur ses genous. Elle passa une main dans son dos et le frictionna.

- Chhh... Allez respire, c'est rien... Calme toi, Math...

Elle entreprit de faire cesser ses larmes, en le berçant tranquillement et en lui chantonnant une berceuse du bout des lèvres. Franchement, ça devenait de plus en plus dur de ne pas profiter du moment. La rougeur sur les joues de la jeune fille n'avait pas diminuer encore, et maintenant elle n'avait qu'une seule image en tête. Combien ça serait facile, là, tout de suite, de glisser doucement la main sur sa nuque et de l'attirer contre elle. De poser ses lèvres sur les siennes, de fermer les yeux... De laisser le moment durer au delà de la réalité... Ça serait tellement simple, parce qu'il n'y aurait aucune résistance, et elle le savait très bien. Mathias ne pourrait pas se débattre, ni partir, ni la repousser.

Manue poussa un petit soupir, et cessa sa berceuse.

- Allez, tu ferais mieux d'aller te coucher... Tu en aurais bien besoin, de toutes manières.

Mathias ne la lâcha guère. Elle pouvait sembler réticente ou peut importe il la serrait comme si elle était sa seule source de réconfort, de protection. Lentement elle le serra à son tour. Le contact fut d’un coup adoucissant.

Puis elle bougea, il fallais croire que la position était inconfortable pour la jeune femme car elle l’amena jusqu’a un fauteuil sur lequel elle pris place et même sans attendre d’un regard de sa par pour signaler de la rejoindre il y alla. Même dans son état de détresse il faisais attention a elle. Car en prenant place presque sur elle, il pris position pour transférer son poids autre part que sur la jeune femme. Puis elle passa la main dans son dos. A chaque fois cela laissait une traîner de chaleur indescriptible sur sa peau. Il avait les yeux ouverts très proches des siens et la regardais dans les yeux. Lentement elle arrivait a le calmé. Même quand le tonnerre se fit entendre il ne sauta guère.

- Chhh... Allez respire, c'est rien... Calme toi, Math...

Il n’entendit pas vraiment se qu’elle lui disait. Il le savait c’était des paroles de réconfort mais lui il continuais a la fixer. En outre plus le temps avançais plus les détonation ne l’affligeait plus. Il attendait qu’elle lui sourie. Il se surpris a désirer le sourire qu’elle lui donnait si souvent.

Puis elle commença à le bercer et à chanter une berceuse. Il eu presque l’instinct de faire semblant de ne pas se calmer tellement il était bien ainsi dans les bras de la jeune femme a entendre sa voix.

Lentement il pris conscience qu’une de ses main reposais sur le ventre de la demoiselle. Il en fut gêné mais n’en fit rien pour la déloger de sa place. Il ne savait pas pourquoi mais il n’avais aucune envie de la bouger.

Puis Ema poussa un soupir qui le déconcerta. Elle cessa sa berceuse. Mathias retint son souffle. Voila elle allais le repousser. Le relâcher et partir ainsi. Il était assez pitoyable ainsi a s’accrocher a elle comme un enfant qui a fait un mauvais rêve. Mais il n’y pouvait rien. Pourquoi était-il ainsi avec elle déjà? Ah oui le tonnerre, a la mémoire de sa plus grande peur Mathias eu un frisson de peur. Se cramponnant encore plus a elle.

- Allez, tu ferais mieux d'aller te coucher... Tu en aurais bien besoin, de toutes manières.

Au lit? Mathias n’avais aucune envie d’allez se coucher. Le tonnerre lui ferait passer une nuit si atroce. Et de plus il était si bien ainsi dans les bras de la jeune femme. Il ne desserra pas sa prise. Il était totalement contre l’idée d’allez au lit ainsi.

-non…

Il n’en dit pas plus pour le moment la fixant dans les yeux d’un air apeuré qui ne lui était aucunement d’ordinaire. Il voulait encore plus de berceuse encore plus de réconfort encore plus de cette chaleur inconnue.

-Ne me laisse pas Ema.. jveut pas être seul..

Mathias ne songeais même pas a l’heure qu’il était ni même a l’alternative qu’il proposait ainsi a Ema : Rester avec lui toute la nuit.

Il déplaça sa main qui était sur le ventre de la jeune femme vers le bassin. Puis prenant ainsi appuis différemment sans mettre aucun poids supplémentaire sur elle. Il se rapprocha touchant de sa tête la tête d’Ema.

-non.. Pas seul.. Pas encore..