# Too late

Le plus grand secret d’Adam était depuis quelque jours dévoilé aux personnes les plus dangereuses pour le jeune Serpentard. La directrice et Sean, un Auror connu et dangereux, dans le cas d’Adam. Une chose était sur, Adam aurait de grave conséquence, voir, peut-être aller à Azkaban. Pourtant, ce n’était pas ni la directrice, ni les Aurors qui avait découvert le secret morbide d’Adam. Charly, cette peste. En faite, Adam l’avait toujours bien aimé depuis le jours ou il c’était retrouvé dans le bureau de la directrice avec elle. Un peu de drogue, d’alcool et Adam avait avouer à Charly qu’il avait tuer le parrain Miss Johnson. Pourtant, il c’était toujours promis d’en parler à personne d’autre que Christopher. Okay, il en avait parler à Asmodeus, qui lui était un bon ami de toute manière. Et ses meilleurs amis, Judith et Theo, eux même n’en s’avait pas un mot. Pourtant, il était 80% du temps avec eux. Charly, c’était la pire chose qu’il avait pu faire. Elle qui racontait tout les secrets. Mais bon, c’était lui qui c’était mis dans la merde non ? Ce n’était tellement pas ses intentions.

Mais bien sur, tout cela n’allait pas rester comme se l’était. Adam avait déjà des idées, des “ conséquences “ à donner à Charly. Et croyez-moi, elle allait le regretter, carrément. Peut-être exagérait-t-il mais il avait en tête de tuer la Serdaigle. Elle lui faisait beaucoup trop de trouble, elle était dangereuse pour lui ... Elle en s’avait trop, beaucoup trop. Et puis, il était déjà la merde alors un meurtre de plus ... Sa haine était énorme, et de inquiétude le hantait. Et si il la faisait que souffrir ? Mauvaise idée, il avait déjà essayer avec Johnson pour lui faire avouer des trucs, mais sans résulta. Et puis, il se mettrait lui même dans la merde, on le surveillait, c’était sur. Et Charly avait la grande gueule qu’elle avait, tout le monde le saurait. Faire souffrir et tuer, ça c’était mieux non ? Enfin, verrons ce qui arrivera.

Aujourd’hui était une journée pluvieuse de printemps, une journée à Pré-Au-Lard pour la plutôt des élèves de Poudlard. Adam, qui habituellement restait dans son dortoir, par des jours comme celui-ci (Pré-Au-Lard, il n’en à rien à foutre !). Mais cette fois, il avait prévu y aller avec son petit ami, William. Pour que finalement, il eu une éclaire de génie. Charly ! Si elle allait à Pré-Au-Lard, il n’aurait qu’à la coincé, et l’amener dans la cabane hurlante et faire ce qu’il avait prévu. C’était sa chance, puisqu’à Poudlard, il ne pouvait pas tuer, ou blesser Charly sans être vu ou entendu. Mais réussirait-t-il à la coincé seul ?

Après avoir enfiler un Hoodie noir, sa grande cape avec capuchon qui lui cachait la moitié du visage, il fourra sa baguette magique dans la poche de son pantalon, sans oublier son couteau qui lui servirait probablement. Mais pour ce qui en était de son fusil, c’était trop risqué: On l’entendrait. De toute manière, un couteau et une baguette magique, il n’avait rien de plus parfait. Tranquillement, les mains dans les poches, il se camoufla dans la file, et comme tous les autres élèves : prit direction vers Pré-Au-Lard.

Il était vraiment rare qu’Adam allait dans ce petit village, d’abord, il détestait le magasinage. Il avait tout ce donc il avait besoin et s’il aurait quelque chose à aller acheter, il n’irait surtout pas se faire chier à y aller durant que plus de la moitié des élèves de Poulard y sont. Il avait toujours détesté les gens, toujours préféré être seul. Et quand il devait être dans ce troupeau de taureau, comme il les appelaient ...

Adam, qui était loin d’être presser marchait discrètement, observant chaque visage autour de lui qui ne semblait pas l’avoir remarqué. Il comprit bien vite que trouver Charly n’allait pas être aussi facile qu’il ne l’avait crut. Oh non. Peut-être même, qu’il ne la trouverait pas du tout. Et qui disait qu’elle était à Pré-Au-Lard ? Bref, il se découragea bien vite mais continua de marcher tandis que sa cape se faisait de plus en plus lourde, mouillé, bientôt trempe. 1,2,3,4,5 minutes de plus. Adam n’avait jamais été très patient. La tête fixant le sol, il s’éloigna des élèves pour aller vers une petite ruelle sombre, sans vie, et complètement déserte où il se laissa tomber sur le sol mouillé et frais. Il poussa un léger soupire, sortit tranquillement sa baguette magique de sa poche et la caressa à l’aide de ses longs doigts fins, il la tournait, l’observait. Pas plus de 30 secondes puis ... Peut-être que la drogue lui jouait des mauvais tours, mais il entendait des bruits de pas vers sa direction. Quoi ? Non impossible, qui viendrait ici ? Il se leva doucement tandis que le bruit se rapprochait, la personne se rapprochait ! Il leva tranquillement son capuchon afin de voir quelque chose. Charly ! Une jeune femme au cheveux blond presque blanc, seul, qui se promenait tranquillement dans cette ruelle pour je-ne-sais-qu’elle-raison. Charly ? Non impossible. Il laissa retomber son capuchon, mais trop tard, elle l’avait sûrement reconnu.

« Qu’est-ce que tu fais ici ? »

Il leva sa baguette vers elle.

« En faite, je suis plutôt content de te voir tu sais. »

Il rangea lentement sa baguette dans ses poches, il détestait se servir de ça, il préférait, la manière moldu. Il porta ses mains aussi lentement qu’il l’avait fait avec sa baguette, vers son capuchon qu’il enleva dévoilant son visage qui paraissait plutôt calme, sans colère pourtant.

« C’est moi, Adam le meurtrier. Pourtant, ce que j’ai fait n’est pas mal, si je l’est tué, c’est parce qu’il le méritait. »

Il serra les poings, et les dents. Ses yeux lançaient des éclairs, se qui signifiait rien de bon. Puis, avec vitesse cette fois, il foutu sa main sur l’épaule de la Serdaigle qu’il poussa sur le mur, remonta ensuite ses mains vers son cou, l’étranglent. Ses yeux étaient rouge par la drogue, sombre par la colère, ses dents si serré qu’on jurait qu’il casserait ...

« Tu m’avais pourtant promis de ne rien dire ! »

Il la lâcha brusquement pour lui gifler violemment et avec colère.

« Ferme ta gueule et suis-moi. Sinon ça ira mal. »

Il remis sa capuche, attrapa Charly par le bras, la traîna doucement comme si elle aurait pu être sa petite amie. En faite, c’était simplement pour éviter les regards. Elle n’avait qu’à rester calme, se la fermer et tout irait bien. Il accéléra le pas, traversa quelques autres ruelles, pour se rendre à la cabane hurlante. Une endroit qu’on l’on disait hanté, un endroit complètement abandonné.

Adam n’y était jamais été, peut-être simplement parce qu’il était paresseux, puisque cette cabane avait toujours attiré sa curiosité. Il ouvrit la porte, y poussa Charly et entra. Il lança quelques regards curieux autour de lui avant de monter en vitesse - tirant Cha’ par la manche - la grande escalier qui semblait l’amener à une étage plus haut. Voila qu’apparu une petite salle, abandonné, mais il y avait tout de même quelques fauteuils poussiéreux et quelques armoires. Il déposa sa main sur la nuque de la Serdaigle et la poussa sur le sol. Il s’assit sur son ventre, les deux mains sur ces épaules pour l’empêcher de se relever.

« Comme ça, t‘es pas capable de garder un secret ? Moi je croyais que tu étais comme ... Une amie ... »

Une amie ? Non quand même, mais il l’avait tout de même apprécier avant l’histoire du meurtre. Un peu difficile de ne pas l’apprécier lorsqu’elle passait la plupart du temps avec son meilleur ami, Theo. Il sortit rapidement sa baguette de ses poches et l’enfonça dans la gorge de miss Nichools. Une éclair, puis des cordes virent la ligotés.

« Tu verras, tu ne pourras même plus ouvrir la bouche, tu s‘ras morte ... JE VAIS TE TUER ! »

Voila, il venait d’éclater. Une autre gifle.

« JE NE T‘AI RIEN FAIT ! C‘ÉTAIT SI DUR DE GARDER UN SECRET ? TU ME DÉTESTAIT VRAIMENT ? T‘AVAIS PEUR OU QUOI ? »

Un coup de poing maintenant.

« À CAUSE DE TOI JE VAIS ME RETROUVER À AZKABAN ! À CAUSE DE TOI TOUT LE MONDE LE SAIS ! A CAUSE DE TOI J’SUIS DANS LA MERDE ! »

Il prit une grande respiration.

« TU TROUVAIS PAS QUE J‘ÉTAIS ASSEZ DANS LA MERDE COMME ÇA ? TU VEUT VRAIMENT QUE J‘AILLE À AZKABAN HEIN ?»

Il sortit doucement le couteau de sa poche, le sourire aux lèvres. Puis reprennent son calme :

« J’vais te couper en petit morceau jusqu’à ce qui ne reste plus rien de toi, jusqu’à ce que tu n’existe plus. »

Il approcha le couteau de son bras.

« Tranquillement, toujours en vie, tu connaîtra la douleur. Tu mourras peu à peu, tu deviendra un pâté que je vais servir à ton oncle. TON PUTAIN D‘ONCLE DE MERDE. »

Il était totalement sérieux dans ce qu’il disait, sur l’effet de la drogue, par contre. D’un coup de couteau, les mains tremblantes, il glissa la lame de son couteau sur une partit du bras - très petite - de la Serdaigle qui la coupa.

Découvrez Disturbed!

" Je suis en retard " résonnait dans la tête de la belle blondasse. Ses yeux fixaient un horaire. Son horaire. Elle avait si hâte que cette année finisse, elle en avait marre. Pourquoi ? Elle en avait juste ral le pompom de tout ce qui se passait. Matt, Adam, Sean, Matt, Adam, Sean...Lâchez-moi, avait-elle goût de crier a pleins poumons. Comment faire quand un malade mental avait découvert qu'elle savait et avait parlé à son charmant parrain, le chef des aurors ? Humm grâce à la directrice, qu'elle devait minimum de respect sinon Sean Evans pourrait l'engueuler pendant quatre ans à cause de son manque de savoir vivre. Blablabla. C'était stupide. La directrice, Maureen S. Filztter, avait beau être une puissante sorcière mais elle n'impressionnait à rien Charly. Justement, elle avait fait gaffe de parler à Adam devant Charly. Oh... Ce n'était pas bien ça. Finalement, elle avait de la chance, Charly, d'avoir ce qu'on appele un parrain très puissant et beau en plus. La chance. Justement, desfois c'était chiant car il la surprotégeait. Elle se demandait si elle comptait pour lui comme sa fille. Sean est comme son grand frère qu'elle n'a jamais eut. Sean était tellement gentil avec elle, elle a toujours été gâté par lui mais les biens matériels n'en disaient pas long sur l'Amour qu'elle portait pour Sean, une amour parternelle... Fraternelle. C'était bien compliqué. Elle l'Aimait de tout son coeur, mais lui il était comme un père même si ils avaient fait un faux pas ensemble. Charly pourrait recommencer, mais ce n'était pas adéquat. On s'en fiche pas mal, non ? Quand elle était une bonne fillle ? Rarement, non ? En tout cas, depuis qu'elle connaissait c'était quoi coucher, elle multipliait les garçons dans son lit ou elle était dans leurs lits ou encore dans un lit quelconque. Non seulement des jolis garçons mais aussi des jolies filles. Charly était bisexuelle. Elle ne pouvait être homophobe si elle était bisexuelle. De toute façon, elle se foutait pas mal des gens qui faisaient " Erk une fille qui est avec une autre fille ", c'était tout simplement con. Elle n'avait aucune envie d'eux la plupart du temps. Ceux-ci ne savent pas que les homosexuelles sont comme tout le monde sauf qu'ils aiment le même sexe qu'eux. Ce n'est qu'une préference, il n'y a rien à juger, c'est juste bien con. C'est sur que Charly avait une préférence, elle préfèrait les garçons mais aime aussi les filles. Cependant, elle aime mieu être en couple avec un garçon ce n'est pas la même chose. Elle aimait être dans les bras d'un garçon, recevoir des caresses par ceux-ci. Je dirai plus que Charly aime parfois le réconfort et la douceur des femmes mais n'a que envie sexuellement des envies rien de plus. Elle était bizarre. Elle ne comprennait rien à rien. Surtout pour revenir au sujet qu'elle était en retard... Pourquoi était-elle en retard en regardant un horaire ? Ah oui. Pré-au-lard, ses amis étaient déjà partit. Merde ! Les rattrapé ? Bonne idée! C'est ce qu'elle fit.

Charly descendit les marches qui menait à la tour des serdaigles, elle les descendait lentement. Elle avait peur d'être vêtu non conforme pour sortir, c'était sur, elle était jamais contente, c'est une fille difficile et gâté. Enfin de compte, elle se contenta de replacer une mèche de ses cheveux qui lui tombaient sur le visage, elle laissa tomber l'idée de rebrousser chemin pour aller se repeigner et se r'habiller dont elle voulait tant, elle voulait aguicher la belle Charly. Plus elle pensait, plus elle laissait tomber l'idée d'aguicher. La Serdaigle devait rester avec ses amis, profiter. Elle voulait prendre son temps pour les écouter, leurs raconter tout ce qui s'est passé de nouveau dans sa vie. Qu'est-ce qu'elle pouvait raconter De nouveaux dans sa vie ? Rien d'interessant justement. Sa vie était une platitude tellement grande. Raconté qu'elle avait couché avec des garçons différents en citant chaque fait et geste, qu'un jouissait et s'amusait énormément. Qui qui voulait savoir ça ? Des personnes en grand manque. Theo aurait eut du plaisir peut-être à écouter ? Si seulement Charly avait de quoi dans sa vie d'interessant, mais non, il n'y avait toujours rien. C'était pourri comme vie. De toute façon, elle ne voulait pas parler de Matt, puis elle ne pouvait pas parler de Sean et de sa conduite étrange. Parlé de Matt était trop dur pour elle encore après deux ans, sauf que Coltrane et Synthia on su sa grande peine, et le savec encore. Elle ne l'oubliera jamais. Comment parler d'une personne qui l'avait fait flotter sur un petit nuage ? Comment une personne a pu la rendre si faible ? Comment quelqu'un enquelques jours lui a fait tant de bien et après tant de mal pour la séparation ? Savez-vous ce qui s'est passé ? Charly était véritablement follement amoureuse de ce garçon, ils sortirent ensemble, il y a deux ans, après quelques jours, Charly le voulait dans son lit mais elle avait peur. Alors, elle décida de tenter, mais elle fut prise de panique et fuya. Cependant Matt l'a mal pris et ne voulait pu avoir à faire à Charly. Elle aimerait tant le ravoir mais cela était incensé et c'était demandé l'impossible. Elle essayait d'oublier mais c'tait trop dur. La drogue était son échappatoire. Pourquoi les histoires de coeur était si difficile ? Pourquoi devait-on aimé ? Pourquoi ? Pour c'était si dur d'accepter le fait qu'on doit laisser partir la personne qu'elle considérait comme le parfait.. ? Pourquoi elle avait détruit ce lien qui les unissait, ce lien était si fort ? Elle n'avait aucun moyen en sa possession pour recapturer le coeur de celui qui était dans son esprit chaque nuit, chaque heure du jour, chaque minute et chaque seconde depuis deux années complêtes. Elle voulait oublier. Partir ? Était-ce une idée ? Au moin, elle le verrait plus avant un bon bout, la paix, la chance de l'oublier. L'idée de l'oublier la terrorisait. Elle avait peur. Qu'est-ce qu'il allait se passer si elle oubliait sa vie auparavant? Recommencerait-elle les mêmes conneries ? Matt avait été sa vie en quelques jours, et maintenant, elle n'avait aucune raison de lui garder ce titre... Pourquoi était-ce si dur? Pourquoi l'aimé encore ? C'était tout de même bête. Deux ans, c'était appelé d'être accro à lui. Elle ne voulait pas. Elle ne devait pas. Elle n'avait pas le droit de se faire autant de mal. Oublié... Oublié... Elle prierait n'importe lequel dieu de lui arracher le coeur et ne plus penser à lui, ne plus penser à l'être parfait de Matt. Matt le garçon parfait, intelligent, beau avec un corp de dieu... La bave pouvait lui monter sur le coin des lèvres pour finalement couler sur son menton mais elle n'était pas accro à ce point. Elle était peut-être folle mais pas aussi extrême, elle n'était point Psychopathe. Oublié... à jamais... ce n'est que son seul souhait, ce n'était pas un caprice, mais une chance de la libéré d'un poid, se refaire, finalement, une vie.

Le calme dans le chateau, ses pas résonnaient sur le marbre. Elle avançait d'un pas léger et lent. Elle avait ses idées tournés vers Matt. C'Était atroce comment sa lui faisait mal. Oublié ! Elle supplierait les dieux à genoux. Elle voulait oublier. Qui pouvait l'aider dans son impasse. Quelqu'un serait-il combler son coeur autant qu'il l'avait fait en quelques jours ? Elle voulait ne rien savoir de lui, même si il la hantait, ses pensés n'étaient que pour lui... "Dégage Matt... Dégage... laisse moi, tu me fais mal.." , pensa-t-elle désespéré dans une tentative en marchant doucement vers le hall d'entré. Elle baissa la tête quand les derniers moments passé avec lui vinrent en tête, elle s'efforçait de ne pas verser une larme son maquillage allait tout de même coulé. Pourquoi personne n'était à la hauteur de faire chaviré son coeur ? Qu'est-ce qu'elle avait pu faire pour mérité cela ? Elle avait besoin d'un secour des bras forts qui aime, qu'ils peuvent l'entourer et lui faire du bien. Pas seulement sexuellement, elle pouvait se débrouiller avec n'importe quel con, mais elle voulait un peu d'amour, d'attention et des caresses qui font du bien au bon moment. Elle voulait passer quelques temps avec ce garçon ou cette fille qui sera très bien accueillit qui la fera oublier. Charly pensa à un instant à un garçon qui pourrait bien lui faire changer d'avis car elle l'aimait mais c'était qu'un flirt à ce jour avec lui, Francesco P. Rucci. Il était beau mais narcissique, c'était de valeur que celui-ci n'était qu'un flirt. Charly aimerait mieu le connaître. Elle regarda rapidement l'horizon. Elle vit la fille d'élève en attendant la venu de leurs tours pour la sortie de pré-au-lard. Elle alla s'y mettre à la fin de la queue. Elle allait attendre son tour comme les autres. Charly jouait avec ses cheveux puis après ses doigts, après bougeait d'un pied à l'autre. La pauvre se demandait où était rendu Synthia ou Coltrane. Où pouvait-il bien être ? Comment les retrouver ? Voilà son tour. Elle regarda à peine le concierge coché son nom sur la feuille qu'elle partit rapidement à la recherche de ses amis. Charly croyait les avoir aperçu et passa d'un pas décidé dans une ruelle. Puis une voix familière qui la fit frémir.

Adam « Qu’est-ce que tu fais ici ? En faite, je suis plutôt content de te voir tu sais. C’est moi, Adam le meurtrier. Pourtant, ce que j’ai fait n’est pas mal, si je l’est tué, c’est parce qu’il le méritait. Tu m’avais pourtant promis de ne rien dire ! Ferme ta gueule et suis-moi. Sinon ça ira mal. »

Charly avait remarqué les différents changement dans le comportement de Adam. Sa faisait réelement peur. Charly en avait peur. Elle savait ce qu'il pouvait faire. Elle n'osait pas bouger, elle avait peur. Il avait sa baguette. Elle ne saurait .certainement pas assez rapide pour la sortir de ses poches de son pantalon. De toute façon plaqué contre le mur, elle ne pouvait pas faire grande chose. Il était effrayant. Il était fou. Elle n'osait pas pleurer. Elle avait peur. Charly était si petite, elle n'était pas bien grande de grandeur et voilà qu'elle est prise avec un fou. Qu'est-ce que les dieux de ce monde lui voulait ? Elle était désespérée. Pourquoi elle était prise au piège avec lui ? Sean... Elle rêvait de le voir surgir comme un valeureux chevalier, tel un prince pour sauver sa princesse. À l,aide essaya-t-elle de crier, mais rien a faire Adam la menaçait. Rien à faire. Sentant les mains rudes de Garçon de Adam, elle eut peur. Elle avait raison. Il l'étranglait. Non. Sean... Sean. Vient vite. Elle aimerait bien avoir Sean a ses côtés pouvoir compter sur lui, peut-être les secondes étaient comptés... Elle était sûr de mourir entre les mains de Adam. Puis elle avait reçu une gifle. Elle pu respirer. Charly caressa sa joue marqué d'une trace rouge, on pouvait très bien voir la main de Adam tracé sur la joue de Charly. Quelques larmes coulèrent sur ses joues. Charly se fit empoigner de force. Elle avait beau lancé des regards suppliant au passant, tout le monde croyait que ce n'était qu'un manège pour attirer l'attention. Elle essayait de le ralentir, rien à faire, elle était fichue. Elle avait trouvé la façon d'oublier Matt... MOURIR. Adam allait très vite remedier la situation. Malheuresement, Adam faisait bien attention pour la serrer fort pour lui faire mal, donc elle se taisait. Pourquoi allait-elle à pré-au-lard ? Pourquoi n,avait-elle pas abandonné les recherche. Elle le regrettait. Elle n'avait pas envie de mourir comme ça. Ce n'était pas de la manière qu'elle voulait mourir.

Charly reconnut enfin une forme, une maison délabré... La cabane hurlante. Qu'est-ce qu'il allait faire là ? Charly ne voulait pas aller avec LUI la dedans. Elle se débattit. mais sa ne servait strictement à rien. Ils pénètrerent à l'intérieur.

Adam « Comme ça, t‘es pas capable de garder un secret ? Moi je croyais que tu étais comme ... Une amie ... »

Charly « Tu m'as jamais considéré ainsi »

Sa première phrase depuis le début, et c'était vraiment sincère.

Adam « Tu verras, tu ne pourras même plus ouvrir la bouche, tu s‘ras morte ... JE VAIS TE TUER ! JE NE T‘AI RIEN FAIT ! C‘ÉTAIT SI DUR DE GARDER UN SECRET ? TU ME DÉTESTAIT VRAIMENT ? T‘AVAIS PEUR OU QUOI ? À CAUSE DE TOI JE VAIS ME RETROUVER À AZKABAN ! À CAUSE DE TOI TOUT LE MONDE LE SAIS ! A CAUSE DE TOI J’SUIS DANS LA MERDE !TU TROUVAIS PAS QUE J‘ÉTAIS ASSEZ DANS LA MERDE COMME ÇA ? TU VEUT VRAIMENT QUE J‘AILLE À AZKABAN HEIN ? J’vais te couper en petit morceau jusqu’à ce qui ne reste plus rien de toi, jusqu’à ce que tu n’existe plus. Tranquillement, toujours en vie, tu connaîtra la douleur. Tu mourras peu à peu, tu deviendra un pâté que je vais servir à ton oncle. TON PUTAIN D‘ONCLE DE MERDE. »

Gifle. Coup de poing. Elle était perdue. La pauvre ne savait plus quoi faire. Elle laissa faire. Charly ne pouvait rien faire de plus. Charly n'essayait même pas de comprendre ce qu'il disait. Elle était complêtement sonnée. La seule chose qu'elle pensait c'était peut-être à ce qu'elle aurait aimé dans sa vie ou ce qu'elle aimerait, une sortie. Justement, elle sentit quelques choses de froid contre sa peau puis sa ^pénètra dans sa chaire ainsi que dans les muscles de bras.. Du sang chaud coula et un cri de douleur, rempli de détresse. Elle cria comme dans les films d'horreur ( Saw et Hostel, ce genre). Elle entendit des pas. Elle rampa vers la sortie mais le mal envie son bras, en même temps que l'adrénaline faisait son effet. Elle rampa loin.

Charly « A L'AIDE ! AIDÉ MOI ! AAA L'AIIIIDE ! »

Ce n'était qu'un essai, le désespoir l'avait pris entre ses filets...

Qui avait-il de plus emmerdant que les sorties à Pré-au-lard?

En temps normaux, Heath aurait été le premier à dire « Absolument rien ». Cependant, si l’on comptait le nombre de fois qu’il disait ça par jour, chaque fois pour un sujet différent, on pouvait rapidement se rendre compte que l’on ne devait accorder aucune crédibilité aux propos du jeune partisan de magie noire qu’était le jeune homme à s’en devenir. Seulement voilà, curieusement, ce n’était même pas une chose à faire en cette belle journée car comme précisé un peu plus haut, ce n’était qu’en temps normaux que le jeune allemand aurait affirmé cela. Et il se trouvait qu’il n’était pas dans un temps normal. Eh oui! Mais pourquoi cela? Eh bien pour la simple et bonne raison qu’une fois de plus, il s’était rendu compte qu’il avait épuisé ses réserves de pétards et qu’il lui fallait en racheter de chez Zonko, cet endroit étant le plus près de l’école. Mais, car il y avait bel et bien un mais, il avait réussit à écoper d’une belle retenue en la désagréable présence du professeur de Runes anciennes le jour même où devait avoir lieu la sortie… Foutu professeur! Il ne lui avait rien fait, au bougre! Mais peut être que monsieur devant qui toutes les étudiantes se paumaient n’avait pas apprécié de voir une de ses admiratrices aux mauvais traitements que lui, en gentil petit Serpentard malicieux, il avait décidé de lui prodiguer.

Crétin de prof! Pourquoi avait-il fallu qu’il se trouve au mauvais moment, au mauvais endroit? Crétin, crétin, crétin.

M’enfin, de toute façon, peu importait parce qu’Heathiie n’avait pas l’intention de se rendre à la retenue prescrite. Il savait que pour cela, monsieur Perth doublerait le temps qu’il avait envisagé de le garder mais il s’en moquait. La seule chose qui lui importait pour le moment était de faire attention où il allait. Il était encore dans le château, il ne pourrait certainement pas se rendre au village de la même façon que les autres élèves –parce que si l’enseignant l’apercevait, il ne le laisserait tout de même pas filer– et il se doutait bien que l’Italien de 32 ans le chercherait, que ce soit personnellement ou d’une autre manière, magique celle-là. Bref, le jeune natif de Munich devait se démerder pour sortir de l’école sans que personne ne le saches –bien que cela finirait par se savoir, lorsque monsieur Perth se rendrait compte qu’il demeurait introuvable. Quoiqu’il en soit, avant de tenter de filer (tentative qu’il savait qu’il allait réussir), Heath retourna au dortoir chercher quelques galions qu’il mit nonchalamment dans les poches du jeans délavé qu’il avait décidé d’enfiler en cette belle journée. Puis, cela fait, il prit la direction de la statue de la sorcière borgne. Il eut tôt fait d’arriver au deuxième étage et se dépêcha vers l’endroit voulu et avant de faire quoique ce fut, il s’accorda le luxe de vérifier que personne n’était dans le coin. Puis, il pointa sa baguette sur l’objet sans vie dont il comptait user avant de murmurer le mot de passe. Presqu’aussitôt, la bosse de la sorcière glissa, libérant l’espace dont Heath avait besoin pour se faufiler dans le passage secret. Certes, le passage était plutôt mince mais il ne posa aucun problème au jeune allemand puisque ce dernier avait de tout temps été peu corpulent.

Toutefois, avant de s’engager dans ce qu’il savait être un espèce de toboggan de pierre, Heath prit la précaution de mettre sa baguette magique en sûreté : il ne souhaitait pas qu’elle se casse durant la progression, ou plutôt, la glissade qu’il s’apprêtait à effectuer. Aussi la mit-il dans la poche intérieur de la veste classique qu’il portait avant de s’engager dans l’étroit passage secret. Il patina pendant ce qui lui sembla une éternité avant d’enfin sentir le sol sous ses pieds. Dès lors, il ressortit sa baguette et après qu’il eut songé à la formule adéquate, un trait de lumière éclaira la sombre galerie dans laquelle il se trouvait. Petit, bas de plafond, Heath savait que le couloir qu’il s’apprêtait à suivre ressemblait à un terrier de lapin tant l’endroit décrivait des courbes incessantes. Mais le véritable problème était que le plafond était vraiment trop bas pour les 6 pieds quelques que faisait le jeune homme à s’en devenir. Et même là, il n y avait pas véritablement de problème : il avait emprunter le passage des millions de fois, il s’était habitué à devoir se courber quelque peu pour atteindre l’autre côté. Il va s’en dire qu’il était tellement habitué à ce chemin qu’il le traversa en un temps quasi-record, en ne trébuchant que très rarement à cause du sol inégal.

Lorsqu’une petite pente douce se présenta devant lui, il avait su qu’à pas d’escargot, il n’était plus qu’à dis minutes d’un long escalier qui mènerait à une trappe… située chez Honeydukes. Seulement voilà, le natif de Munich n’était pas un escargot. Si quelqu’un s’aventurait à le comparer à un animal, eh bien c’aurait été non pas à un seul mais bien à deux car il se trouvait à être un croisement entre un guépard et un Heath, ce qui, en langue normale, signifie qu’il était extrêmement rapide, trait qui se rapportait au guépard, mais qui, contrairement à ce dernier, ne perdait pas vite haleine, ce qui qualifiait le Heath qu’il était. Mélangeant tout ça? Mouais. L’essentiel est que cela signifie qu’il lui fallu trois minutes pour rejoindre l’escalier, trois autres pour monter l’imposant escalier dont il avait dénombré plus de 3oo marches et une petite minute pour se retrouver sur l’étage de vente de chez Honeydukes. Bien sur, avant de quitter l’établissement, il déambula un petit instant à travers les étalages de friandises et en choisit quelque unes –dont beaucoup de chocolat– les paya et se dirigea enfin vers la sortie. Il prit par la gauche et marcha d’un bon pas jusqu’à l’endroit qu’il avait souhaité relier, à savoir, Zonko.

Comme à chaque fois qu’il se trouvait dans un magasin de farces et attrapes, Heathiie ne put s’empêcher de traînasser et de fouiner dans tous les étalages : c’était plus fort que lui, il ne pouvait pas qu’acheter des pétards. Il devait aussi se tenir informer de quelles étaient les nouveautés, s’il en aurait peut être besoin auquel cas il pouvait défrayer de relativement grandes somme d’argent, etc, etc. Tant et si bien que depuis déjà un bail, il était considéré comme étant un habitué du coin et il avait également fini par se lier d’amitié avec le détenteur de l’échoppe. Bref, lorsqu’il ressortit de l’établissement, la grande aiguille avait déjà eu le temps de faire un tour complet. Les vêtements qui se voulaient décontractés malgré la veste noire de style classique que portait le jeune homme semblaient avoir essuyé une tempête tant ils étaient froissés mais le sac que l’allemand portait à l’épaule ne semblait pas rempli, chose assez curieuse –d’un point de vue moldu– s’il en tenait en compte le nombre de choses qu’il était censé contenir –bombes puantes, poivre de Cayenne, pétards, feux d’artifices, etc. Pourquoi d’un point de vue purement moldu? Eh bien pour la simple et bonne raison que tout sorcier digne de ce nom n’ignorait pas que la magie pouvait faire en sorte qu’un endroit semblant petit n’en était pas pour autant minuscule, bien au contraire! Les sorciers savaient qu’il existait une petite formule très simple qui faisait en sorte qu’un endroit semble petit alors qu’à vrai dire, il était énorme.

Et puisque Heath était tout ce qu’il y avait de plus sorcier…

M’enfin bref, lorsque le natif de Munich en eut fini avec le magasin de farces et attrapes, il tourna à droite et se dirigea directement au bureau de poste qui se trouvait presque juste en face d’Honeydukes. Là, il ne fit qu’acheter un timbre qu’il destinait à être le cadeau d’anniversaire de cette chère Sweet puis, il s’en fut prestement. Toutefois, il n’avait vraiment, mais alors là, vraiment pas envi de retourner à l’école par le même chemin qu’à l’aller : il ne tenait pas tant que ça à se briser la colonne vertébrale au retour! Bref, il lui fallait emprunter un autre chemin. Le plus facile aurait été d y aller comme tous les autres élèves. Maintenant qu’il était en dehors de l’école, cela ne posait plus aucun problème à part un seul qui était également le plus manifeste.

Sérieusement, vous croyez vraiment qu’un petit imbécile de service à l’école laisserait rentrer un élève comme lui sans le fouiller ou plutôt, fouiller ses achats? Le jeune Serpentard n’était pas un idiot et savait que s’il passait par le chemin habituel, le concierge lui confisquerait les petites bébelles qu’il venait tout juste d’acquérir. Et de ça, il n’en était pas question. Donc, la route la plus avantageuse pour lui restait encore les passages secrets. Quatre étaient connus des concierges, un était obstrué et il n y en avait un autre qu’il ne voulait pas emprunter. Ce qui n’en laissait qu’un seul qui soit de sa connaissance et dont il pouvait se servir. Celui qui menait juste en dessous du Saule Cogneur, celui dont la partance était la Cabane Hurlante.

C’est donc vers la droite que le jeune allemand piqua et lorsqu’il reconnu l’allée qui menait vers l’endroit le plus hantée de la Grande-Bretagne, il eut un sourire sardonique. Ouuuh! Un endroit hanté, ce qu’il pouvait avoir peur! HAHA! En secouant la tête de droite à gauche d’un air platement ennuyé, Heathiie s’approcha de la vielle maison qui semblait vouloir s’effondrer à la moindre petite brise mais qui, apparemment, était dure comme roc.

Soudain, alors qu’il venait à peine de mettre un pied dans la demeure, il entendit des cris. Tiens tiens… Qu’est ce qui pouvait bien se passer? Intrigué et sans plus d'égards pour sa propre sécurité, le Serpentard s’engagea sans se presser dans l’escalier puisque les cris semblaient venir de l’étage supérieur et il eut la surprise de constater qu’il n y avait pas une mais bien deux vois qui criaient. Et curieusement, les deux intonations semblèrent familière au jeune homme qui sans plus déboucha dans une vieille salle abandonné.

Là, il haussa un sourcil septique avant d’avoir la présence d’esprit de comprendre ce que son cerveau lui faisait acheminer : Adam Whyte était en train de couper Charly Nicholls à l’aide d’un couteau et cette dernière hurlait à l’aide tandis que lui, il restait bêtement planté là, à apprécier le spectacle. Puis, dégoûté du sort que subissait son amie aux mains du serpent, Heath ne fut pas très long à sauter sur son sot de camarade de Serpentard et à le bourrer de gifles sur les deux joues, gifles ponctuées de gros mots qu’il serait indécent de réécrire ici. Il finit par l’acculer contre un mur et lui mettre un gros coup de poing dans le ventre avant de retourner vivement rejoindre Charly et la secouer sans ménagements.

– Ça va? Ça va? Visiblement, ça n’allait pas non mais que pouvait-il bien faire? Il ne pouvait quand même pas lui proposer son aide! Si quelqu’un voulait quelque chose de sa part, il fallait que la personne le demande! Heath ne faisait d’habitude jamais rien qui ne soit pas à son avantage. Donc, ses règles morales lui interdisaient de venir en aide à son amie tant et aussi longtemps que celle-ci ne le lui aurait pas demandé explicitement. Aussi, pour ne pas rester là à ne rien dire, le jeune homme fit simplement du même ton qu’il aurait utilisé pour demander combien de sucres elle voulait dans son thé : Espérons qu’il n y a pas de vampires dans le coin…, faisant référence au sang qu’elle pissait littéralement.

Adam tenait dans ses mains, un couteau. Un couteau ensanglanté, celui qui lui avait servit à blesser Charles, celui qui avait servis tant de fois pour menacé Ashley, celui qui lui avait servi de se mutilé bien des fois, et même, celui qui avait tué son père. Il était présentement en train de couper le bras de son ennemi. Adam avait réussi à faire une blessure assez profonde, mais ce n’était pas non, non pas du tout. Charly saignait, et saignait, Adam regardait le sang comme si c’était une bonne pizza. Plusieurs auraient pu le croire vampire, puisqu’il aimait tant le sang, et en plus, rare était les fois qu’il sortait dehors le jours. Il approcha la lame du bras de la Serdaigle pour une deuxième fois, la lame était qu’à quelques centimètres de la peau de Charly.

« A L'AIDE ! AIDÉ MOI ! AAA L'AIIIIDE ! »
« Non mais ... ! FEEERme ta gueule. » Dit-t-il se rendant compte que lui même, il avait crié.

Il foutu sa main sur la bouche de Charly afin de l’empêcher de crier. Il rentra ses ongles dans ses joues, il serrait les dents, il n’avait qu’envie de la frapper. Mais c’était risqué, elle ne devait pas crier, il n’y avait pas pensé. Quelqu’un allait les entendre.

« Tu préfères que je te tue tout de suite c'est ça ? » Avait-t-il dit dans un espèce de chuchotement/grognement, rentrant toujours ses ongles dans les joues de la jeune fille. Il n’avait qu’envie de lui déformer le visage. N’enlevant toujours pas sa main, il approcha sa deuxième main libre, celle qui tenait le couteau le rapprochant du bras de Charly. De plus en plus jusqu’à que la lame pointu rentra en contact avec la peau qui laissa échapper une goûte de sang. Il n’eut pas le temps d’en faire plus que ....

Il ne s’avait plus du tout ce qu’il se passait, sa tête avait cogné le sol si fort. Il sentait des mains lui tapé le visage, plusieurs gifles vraiment désagréables. Il ne pouvait plus rien faire, il n’avait pas le temps de réfléchir. Il ouvrit à moitié les yeux et pu apercevoir le visage de Heath. Il eu un grand frisson. Putain. Pas lui. Il n’avait aucune envie de le voir, il allait mourir, ce n’était plus Charly qui allait mourir, c’était lui, il le s’avait. Des jurons, il n’entendant que ça. Apparemment Heath n’était aucunement de bonne humeur, ce qui signifiait rien de bon. Il sentit son dos cogné contre le mur, puis deux coup de poing qui lui dans le ventre lui donnait l’impression qu’il venait de se faire défoncé l’estomac, l’impression que tous ses os c’étaient cassés en morceaux. Il tomba sur le sol en sanglot, mais surtout en colère. Il plaça ses deux mains sur son torse si squelettique & faible qu’il était.

« Ça va? Ça va? »

Heath avait tourné le dos à Adam, comme s’il avait fini à faire ce qu’il avait à faire, comme si tout d’un coup, sa colère était partit. Mais Adam lui, qui était présentement couché sur le sol, bouillait de colère. Il les regardaient, il les écoutaient. Il se rendit finalement compte qu’il n’avait plus son couteau; il devait l’avoir échapper lorsque Heath c’était jeté dessus lui. Il lança quelques coup d’oeils autour de lui et pu apercevoir enfin l’objet. La lame en sang. Il étira son bras le plus possible et fini par l’attraper discrètement.

« Espérons qu’il n y a pas de vampires dans le coin… »

Des vampires ? Adam eu un léger sourire sur ses lèvres tout en grognant de rage. Il fixait le dos de Heath, pff, ce qu’il était imprudent. En quelques seconde, Adam c’était lever en vitesse, c’était jeté sur le dos de Heath qui était tombé sur le sol. Son couteau à la main, il venait de planté dans le bras de Heath. Ce n’était pas voulu, mais il l’aurait fait quelques secondes plus tard de toute manière. Il mis ses bras en dessous des épaules de Heath et le poussa dans le mur. Il se jeta sur lui, sa main était rendu à sa gorge, il l’étranglait. Mais il lâcha presque aussitôt, ses deux mains tenaient le bras du Serpentard, il approcha son visage, mordant la blessure comme s’il était une bête, tout en suçant la blessure, ou plutôt le sang qui provenait de la coupure. Il n’enleva pas sa bouche de là, pas avant qu’on le repousse.

[Désolé du retard ! J'avais completement oublié le topic :s]