C’était une nuit paisible tout le monde dormait ou presque. Cette nuit semblait parfaite. La brise enveloppait Poudlard d’un doux vent non malfaisant. Ce vent si doux, pouvait se déchainer à tout moment et réduire en miette cet instant de pure magie. Le ciel était noir, d’un noir apaisant qui à lui seul pouvait vous rendre le sommeil. La lune était à son quart. Elle était plus que resplendissante, sa couleur d’un blanc acre éliminait à elle seul tout l’univers. Les étoiles faisaient plus que briller, elle chatoyait. Elles guidaient certains en leur montrant leur chemin. Elles frimaient devant les dieux. Et finalement réconfortait enfant et adulte qui dans le silence souffrait plus qu’ils en laissaient paraître. Le silence es un baume qui sur un cœur endoloris peux faire des miracles. Si anodin il est le meilleur ami de la réflexion et de la douleur. Plusieurs sortes de douleurs existent. Il y a les physiques qui souvent sont dût à des accidents, à première vus elles peuvent paraître pire. Une jambe qui ne tient plus aux autres membres, cela doit être horrible comme douleur. Oui vous avez tout à fait raison mais cette douleur finit par arrêter. On fait repousser le membre et le tour et joué. Vous pouvez ensuite vivre heureux et sans séquelles le reste de vôtre vie. La douleur mentale et plus sournoise. Elle commence par apparaître lors du moment où vous êtes le plus démunie puis elle s’en va peu à peu. Pendant quelque mois et même année vous vous croyez immuniser par cette douleur car vous l’avez déjà vécu. Malheureusement cette douleur n’est pas comme la variole qui après vous avoir attaqué ne reviens plus jamais. Elle reste toujours enfouie en vous. Puis un jours, peut-être le plus beau de vie, elle ressortira comme un vieux fantôme et vous rendra plus que vulnérable. Vous ne pouvez rien y faire, c’est la vie, la triste vie. Pourtant la majorité de la population vit avec une douleur comme celle-ci et la dissimule plus que bien. Personne ne veut que sa douleur sois découverte car tout le monde veulent paraître fort et invincible. Ils cachent leur douleur l’enfouisse et la vive dans le plus grand des secrets. Seul chez eux, dans une forêt, loin des autres. Es-ce la bonne solution ? La compassion des autres n’est pas l’un des meilleurs remèdes ? Seul Dieu le sait.
Dieu, qui est-il vraiment ? L’homme qui a créé l’humanité ? C’est ce que sa grand-mère lui avait raconté avec ferveurs depuis qu’il était tout petit. Qu’en savait-elle ? Elle ne vivait pas dans ce temps là … Quesque sa pouvait lui faire que sa soit lui ou un autre ? Pourquoi se questionnait il en se moment même sur tout cela ? Était ce un moyen d’oublier la douleur, de l’éviter ? Peut-être, il n’en savait rien. Il voulait seulement oublier ce vide au creux. Ce n’était pas la faim, il le savait très bien ce que c’était mais il avait peur, peur de la revoir apparaître. C’était sa bête noire son démon. Il aurait voulus courir, courir jusqu'à s’époumoner. Nager, nager jusqu'à ne plus sentir tout ces membres. Voler, voler jusqu'à qu’il soit une partie de l’univers. Il ne voulait pas rester là car il le savait, ce n’était plus qu’une question de temps, elle réapparaitrait. Il était sûrement le seul dans cette maudite école à ressentir cela, il était sûrement maudit. Toute sa jeunesse il avait vu sa mère souffrir. Elle criait, pleurait et tombait morte de fatigue sur le canapé. Il n’avait jamais osé lui demander ce qu’elle ressentait. Il avait peur de en l’apprenait elle lui transmettrait. Il était si naïf … Il l’avait aux fond de lui depuis qu’il était née cette douleur. Cadeaux de la mort. La première fois que le creux était apparu il avait crus être fou. Il s’était enfermer dans sa chambre et avait pleuré en silence pendant une journée complète. Il ne comprenait pas la cause de ce soudain chagrin, tout allait bien dans sa vie. Il continua à vivre sa vie comme il l’avait toujours vécus il ne prit pas la peine d’Informer sa mère de cette événement. Il enfouit se souvenir très loin dans sa mémoire pour que par distraction celle-ci jette cette ignoble souvenir. Malheureusement pour Ben l’a mémoire oublie ce qu’elle veut et non ce que tu veux. Le souvenir resta fraichement gravé dans sa mémoire. Le temps fila plus vite qu’il ne l’aurait pensé. Sa mère continuait à pleurer. Tout cela était un mystère pour Ben. Était cette une malédiction qui ne frappait que les Avery ? Es ce que sa grand-mère éprouvait se vide ? Des questions, des questions toujours sans réponses. Benjamin finit par rentré à Poudlard plus heureux que jamais, sa faisait deux bels années qu’il n’avait pas ressentit se vide. Quelle joie pour ce gamin. Ce fut le plus beau jour de sa vie, c’est ce qu’il raconta à sa mère. Ce n’était que mensonge. La journée avait bien été mais la nuit … Un cauchemar affreux pour un petit garçon en sucre. Le vide, il réapparut. Il frappa comme un tsunami don on ignore l’existence. Il était perdus, il pleura seul dans son lit toute la nuit. Il se réveilla le matin même et fut étonner de constater que son humeur était l’une des meilleurs. Que de Mystère dans cette histoire.
Il referma sa mémoire, il s’était rappeler suffisamment de choses. Il admira la lune pour la dernière fois. Il les rideaux de son lit à baldaquin. Les larmes perlèrent sur son doux minois. Cela commença lentement quelque larme, puis elles se multiplièrent et finirent par inonder le visage de Benjamin. Heureusement, lui ne criait pas. Il pleurait en silence sans que personne ne se doute que dans le dortoir des Serpentard un jeune homme était en proie d’une douleur déchirante. Il était trois heures du matin quand Benjamin finit par sombrer dans le sommeil, épuisé. Sa nuit fut très courte avouons le mais nôtre jeune Benjamin c’était habituer à ceci. Le soleil se leva et une toute autre journée commença. Tout le monde se réveillait peu à peu dans le dortoir et personne ne se doutait de l’incident de la nuit passer. Benjamin avait soigneusement pris le temps de se rendre aux salles de bains avant les autres pour pouvoir se rincer le visage pour éliminer toute trace de larme. Il était habituer à cette routine il pouvait le faire jusqu'à trois fois par mois. Après avoir finit sa toilette il fila à la grande salle. Il n’avait aucune envie de parler à qui se soit, il s’assit dans un coin de la table de Serpentard et se pris une tartine. Il n’avait pas faim comme toujours. Il finit par opter pour une marche matinale, il pourrait être seul et calme. Il sortit de la grande salle calmement et déboucha sur la pelouse du terrain. Il y avait peu de personne à cette heure si qui fréquentait l’extérieur de Poudlard. Tout l’élève était entrain de s’empiffrer de leur petit déjeuné. Il balaya le terrain du regard et se dirigea vers la forêt. La forêt supposé interdite était fréquenté par presque tout les étudient. Peu obéissait aux règles concernant la forêt. Benjamin marchait tranquillement, il profitait de chaque bouffer d’air qu’il inspirait. Plus il avançait plus il distinguait une silhouette. Il espérait que sa ne serait pas un de ces môme qui essayait d’avoir l’ère courageux pour impressionner les autres, il devait sûrement relever un de ces défis stupide que les mecs de lançait. Il avait toujours trouvé cela immature et préhistorique. Il constata avec joie que la personne n’était pas un élève car il ne portait pas le sublime costume de Poudlard. Il fit quelque pas et le reconnus subitement. C’était Isak son parrain l’un des nombreux surveillant de Poudlard. Que pouvait-il bien faire une rose à la main ici ? Il ne voulait pas poser la question car il avait l’ère bouleversé. L’homme ne ressemblait pas à son parrain il avait l’ère mélancolique … Peut-être qu’il sentait ce creux aux fond de lui, peut-être savait il se qui le rendait si malheureux ? Des questions sans réponses. Il en avait marre. Marre des questions sans réponses des pleures sans cause et de se vide sans raison. Il allait prendre son courage à deux mains et essayer d’en parler avec lui. Il était la deuxième personne qui le comprenait le plus après sa douce mère. Il s’approcha tranquillement de son parrain, il ne voulait pas l’effrayer ou le rendre furieux. Il était maintenant à quelques centimètres de lui c’était le temps de parler. Il pensa rapidement aux mots qu’il allait prononcer et enfin parla.
"- Tu le ressens ce vide toi aussi ? Es ce que … Tu sais pourquoi …"
Il en avait pas la force prononcer ces mots le rendait vulnérable et faisait resurgir la douleur. Il attendit dans le silence la réponse de son parrain.