Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Livre en chute libre

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Livre en chute libre Vide
MessageSujet: Livre en chute libre   Livre en chute libre EmptyMar 15 Juil - 1:31

Livre en chute libre
... ou rencontre avec un Serpent
premier post réservé à Benjamin Avery


Le mois de juin. Fameux mois de juin qui faisait naître en Heather des sentiments plutôt contradictoires. Non seulement, c’était synonyme de fin, de solitude anticipée, du reniement de ses origines, de ce qu’elle était, une sorcière à part entière en quête d’un peu d’amusement normal. Mais la fin des vacances signifiaient le retour à la vie normale selon ses parents. Ses grimoires seraient enfermés dans le triste grenier, loin de ses yeux curieux. Sa baguette mise sous clé dans le buffet de l’entrée. Elle ne pourrait faire aucune allusion aux dix derniers mois sous peine d’une punition qu’elle osait à peine imaginer. Heureusement, avec les années, elle avait eu le droit de retrouver une vie à peu près normal, de fréquenter ses amis du quartier, de sortir au ciné, d’aller faire les magasins entre filles. C’était une amélioration considérable si on considérait qu’à son premier été, son terrain de jeu se résumait à la cour arrière de la maison familiale.

Enfin, mis à part ses sentiments négatifs qui avaient le don de lui saper le moral, juin signifiait études. Les examens arrivaient à grands pas, exigeant plus d’efforts que d’habitude. Les professeurs ne faisaient preuve d’aucune clémence, donnant aux étudiants des devoirs parfois démesurés, question d’occuper les soirées de ces jeunes. Sachant qu’ils seraient occupés à remplir d’interminables parchemins, ils espéraient leur passer l’envie de traîner dans les couloirs à la nuit tombée et de faire des bêtises. Mais, pour Heather, les devoirs n’étaient pas un véritable problème. Elle aimait bien les matières à l’étude. Étant en sixième année, elle avait choisi celles qui seraient les plus à même de l’aider pour une future carrière dont elle ignorait encore le nom. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle ferait de sa vie plus tard, se contentant de remplir son esprit d’informations diverses.

Donc, c’était une journée normale et, pendant un temps libre, elle en profitait pour terminer un devoir d’histoire à remettre dans quelque jour. C’était étonnant qu’elle soit si juste dans le temps, elle qui avait pris l’habitude de les faire à l’avance. Avec tous les autres devoirs, elle avait mal calculé son temps. Voilà pourquoi elle se retrouvait toute seule, dans la bibliothèque, en quête d’un ouvrage d’histoire poussiéreux qui pourrait répondre à ses diverses questions! Les étages inférieurs, ceux à porté de sa main, n’étaient pas nécessairement les plus intéressants. Elle en avait déjà feuilleté quelques uns, parcourant habilement la table des matières de son index, légèrement accotée sur l’étagère. Les titres des chapitres ne donnaient rien de satisfaisant. Elle les remettait alors à leur place initiale, parmi la poussière, et repartait à la recherche d’un autre, plus révélateur. Pourtant, rien en vu. Pas même un titre accrocheur. Vraiment, les sorciers qui avaient écrit ces livres ne savaient pas comment accrocher le lecteur. Bien entendu, les titres résumaient bien le contenu des livres, mais il n’y avait aucune surprise. Quel sorcier normalement constitué voulait lire : « Vie des ministres sorciers : du moyen-âge à aujourd’hui » ou « Histoire de l’esclavage des elfes de maison : d’hier à aujourd’hui ». La plupart des sorciers ne se souciaient même pas de ces petites créatures. Quand à se renseigner sur eux, c’était de faire un effort inimaginable.

Elle en était encore là dans ses réflexions, aucun petit trésor dans ses mains, quand elle s’aventura dans les étages supérieurs pour trouver la perle rare. Elle avait grimpé dans une échelle pour regarder les titres des ouvrages. Ses yeux observaient attentivement les reliures de cuir. Or, si elle faisait bien attention aux mots, elle ne se souciait nullement du reste. Elle n’entendait pas les murmures des autres élèves, les claquements des livres qui se ferment, les plumes qui frottent sur les parchemins, frénétiquement. Elle trouva enfin un livre qui, même s’il n’avait guerre l’air intéressant, aurait au moins le mérite de satisfaire ses interrogations. Il était à porté de ses doigts, peut-être un peu loin. En tendant les doigts, elle arriverait à l’arracher à la prison de livres serrés sur cette étagère. C’est donc ce qu’elle fit, tendre les doigts pour attraper le livre. Ayant malheureusement mal calculé sa prise, le livre lui échappa des mains, tombant par terre. Un léger bruit se fit entendre, mais celui d’une couverture rigide se plaquant durement sur le sol. C’était plutôt la rencontre de la dite couverture avec la tête rigide d’un jeune homme. Aussitôt, Heather sauta à terre pour récupérer et le livre et le pardon du jeune homme assommé.

« Excuse-moi! J’t’avais pas vraiment vu! Tu sais, quand j’cherche un livre, j’fais pas attention au reste… malheureusement! »

Elle avait parlé tout naturellement, avec sa franchise habituelle. Le jeune devant elle était probablement plus jeune. Ni trop grand ni trop petit, il répondait aux critères de beauté actuels des filles, c’était certain. Peut-être pas des siens, mais de la majorité, c’était une évidence. Il appartenait à la maison de Serpentard. Plusieurs représentants de cette maison étaient durs avec les autres. Elle espérait simplement que le jeune garçon devant lui serait différent des racontars qui circulaient dans les couloirs. Ayant eu elle-même quelques mésaventures avec des serpentards, elle ne voulait tout simplement pas rajouter un cas comme les autres dans ses expériences négatives. Pourtant, réaliste – ou plutôt, pessimiste – comme elle l’était, elle voyait en ce jeune Serpy une attitude méchante et désinvolte. Elle était déjà prête à lui répondre au cas où il lui enverrait une pique. Les bras croisés sur sa poitrine, elle attendait qu’il daigne bien accepté… ou refusé… ses nobles et plates excuses, elle en convenait.
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Livre en chute libre Vide
MessageSujet: Re: Livre en chute libre   Livre en chute libre EmptyDim 10 Aoû - 4:07

- Solitude – État d’une personne seul.


Voici la définition que nous donnes le dictionnaire, courte et sans intérêts. Pourtant ce mot recèle plus qu’une définition. Chaque mot à son histoire. Chacun appartiens à une famille bien précise. Ils ont aussi tous une origine, latine, grecque ou autre. Les mots nous ressembles plus que l’on ne pourrait l’imaginer. Ils sont à l’origine de nôtre existence. Nous sommes tous uniques et avons tous nôtre propre ADN. Je n’embarquerais pas dans les détails de L’ADN des chromosomes et autre je veux seulement vous faire comprendre que chacun d’entre nous est un mot qui recèle une définition caché. Pensez si bien et vous verrez que ce n’es que pur vérité. Vôtre nom simple sois t-il ou compliquer recèle une identité. Chacun donne à son nom une identité différente. Vous pouvez connaître une Sarah au grand cœur comme vôtre amie peux en connaître une à corne. Pourquoi donc certain nom on plus de prestige ? Merlin, Napoléon et même Jésus sont des noms qui vous frappent. Qu’on il tous en commun ? Ils font tous partie de l’histoire. Voilà ce que Benjamin aimait. Il faisait plus qu’aimer l’histoire, il en était maniaque. Il pouvait devenir quasi euphorique en lisant ses notes de cours. C’était quelque peu inquiétant. Tout le monde à droit à sa passion non ? Même si celle-ci pouvait paraître plutôt inusitée.



Le jour c’était levé tôt, c’était normal puisque l’été était de retour. Cette saison que la plupart des gens aimait tant n’était pas la favorite de nôtre jeune serpentard. Premièrement c’était le temps des examens. Il n’avait rien contre les examens en tant que t’elle, il n’aimait pas l’atmosphère que ceux-ci amenaient. Tout le monde se fourrait le nez dans ses bouquins en pensant que la négligence d’étude pendant l’année serait compensée s’ils étudiaient comme des fous pendant la derrière semaines. Soudainement certains qu’on ignorait l’existence venait vous voir pour vous demander de l’aide dans une matière bien précise en vous proposant toute sorte de chose en échange. C’était barbant à la fin, comme si il voulait aider un de ces morveux sans cervelle à réussir ! Quand même ... Qu’il se débrouille avec leur problème. Ils n’ont pas étudié, ils doivent vivre avec les conséquences. C’était simple non ? Pourtant certains pensait que comme par magie une année négligence pourrait se terminer par un succès comme par magie.



Cela n’était que la première raison qui expliquait l’amertume que Benji éprouvait vis-à-vis la saison chaude. Une de ces raisons était l’abominable chaleur. Il ne pouvait la toléré. C’était inhumain. Cette chaleur faisait transpirer certains et ça sentait le diable dans les classes. C’était l’enfer. La Chaleur n’avait que des inconvénients ! Elle causait toute sorte de malaise aidant la transmission de maladie. Il ne pouvait croire que certains aimait cela ! On se sentait si mal au soleil brulant. La chaleur n’était pas ce qu’il haïssait le plus, c’était l’humidité. Son enfer personnel. Depuis qu’il

Était bébé, il était victime d’une sorte d’intolérance à l’humidité. Il éprouvait des étourdissements et des plaques d’urticaire faisaient apparition sur son corps. Il devait alors faire un tour à l’infirmerie pour que l’infirmière lui administre un calmant. Ses cheveux avaient aussi l’habitude de devenir impossible à coiffer. Les autres raisons étaient plus tôt hasardeuses du genre ; il y a plus de monde [Idiot] à l’extérieur et etc.



En cette journée chaude Benjamin avait trouvé refuge à la bibliothèque. Certains traiter cette endroit de « repère des nerdzs » , ils n’avaient pas tort. Benjamin n’aimait pas le terme nerdz. Cela faisait vulgaire et insignifiant comme si quelqu’un de cultivé qui tient à ses études était un ringard. C’était tout à fais faux, au contraire c’étais ceux qui se foutait de tout qui était les nazes. La bibliothèque était remplie à craquer en cette heure tardive. Chacun étudiait certains avec plus de ferveur que d’autre. La journée avait été longue selon Benjamin. Sa journée avait commencé à 3h du matin quand sont urticaire (dû à l’humidité) l’avait réveillé. Ne pouvant se rendormir Il dût patienter jusqu'à l’aube pour sortir enfin de son dortoir. Benjamin n’appréciait pas la salle commune des serpentards. Loin qu’elle soit moins confortable, seulement elle était trop sombre à son goût. Le soleil était l’essence même de l’énergie. Après avoir pris sa douche et s’être habiller d’une robe propre il était descendu à la grande salle pour prendre son petit déjeuné. Peu de gens était présent vu l’heure matinal. Benjamin aimait manger en solitaire il ne sentait pas le besoins de parler comme certains. Au contraire il trouvait que de parler de chose inintéressantes était une pure perte de temps. Benji avale vite fait son repas et partie Héré dans les couloirs, comme un fantôme.



Après sont dernier cours de la journée il décida de se rendre à la bibliothèque pour emprunter l’un de ses nombreux livres d’histoires préféré. Benjamin connaissait bien la bibliothécaire vu le nombre de livre qu’il pouvait emprunter en une année. Habituellement il demandait de l’aide pour trouver un livre car malgré le boulo que Caem faisait les livres finissaient toujours par ce retrouvé à l’endroit ou il ne devait pas. Aujourd’hui Benjamin avait du temps à tuer et allait donc chercher sois même un livre. Il n’avait pas encore d’idée du livre qu’il cherchait. Peut-être allait-il prendre la révolution des gobelins détaillé par Snisez ou bien l’histoire du ministère de la magie d’hier à aujourd’hui. Il devait être un des rares à emprunter ces livres car plusieurs croyaient que si le titre était ennuyant le livre l’était aussi. Ceci était une grave erreur. Le titre n’était qu’un indicateur des propos expliqué dans le livre. Le contenu était toujours bien plus intéressant que le titre. Rare était les livres ou le titre reflétait les merveilles que contenait le livre. Benjamin se dirigea vers la section histoire, sa préféré. Il n’aperçut personne. Il commença sa chasse aux trésors. Il lisait les titres des livres tout en se déplaçant, il gagnait donc du temps. Il marchait tranquillement quand tout à coup BOUM ! Un livre l’assomma. Benjamin commença par croire que c’était un de ces petits morveux qui s’amusait à lancer des livres sur les autres puis il entendit une voix.

« Excuse-moi! Je ne t’avais pas vraiment vu! Tu sais, quand j’cherche un livre, j’fais pas attention au reste… malheureusement! »

Une jeune serdaigle se tenait devant lui avec une mine désolé. Benjamin sentit la fureur monter en lui. Se n’était pas la jeune fille qui le rendait si colérique , c’était sa colère qui ressortait des jours passé. Il savait pertinemment que la jeune demoiselle n’y pour un rien et qu’elle n’avait pas à subir sa fureur mais il se sentait sur le point d’exploser et devait trouver une raison pour sortir toute cette agressivité. Il s’apprêtait à dire sa façons de penser à la jeune demoiselle quand il aperçut le livre qui lui était tombé dessus. Bingo ! Voilà le livre qui lui fallait ! Sa devait faire deux bonnes années qu’il le cherchait dans toute la bibliothèque avec Caem. Comme un ballon que l’on crève la colère de Benjamin s’estompa et fit place à du bonheur. Quel joie de retrouver ce livre! Il avait hâte de s’asseoir d’ouvrir le lire de lire ces pages et redécouvrir son histoire. Il flottait déjà dans un nuage quand il s’aperçut que la demoiselle était devant lui les bras croisé. Merde il avait oublié de parler. Il avait envie de s’enfuir avec le livre de s’enferme dans un placard et de le lire jusqu'à l’aube mais il se rendis compte que le livre intéressait peut-être aussi la Serdaigle. Il était un gentleman il se devait de demandé à la demoiselle si elle avait l’intention de l’emprunter.

- Es ce que tu avais l’intention d’emprunter ce livre , parce que sa fait un baille que je le cherche , je crois même deux ans. Tu sais quand on se met à chercher quelque chose un cherche partout sauf à l’endroit ou il devrait être.

Il fit un sourire en coin en attendant la réaction de la Serdaigle.
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