Ergo draco maledicte et omnis legio diabolica adjuramus te.
cessa decipere humanas creaturas, eisque aeternae Perditionis venenum propinare !
▌Clan : Avec moi-même, ça en fait moins à trahir. ▌Âge : 19 ans ▌Année : 7e ▌Maison : Serdaigle ▌Don(s) : : Loup-garou. ▌Sang : Mélé ▌Emploi : // ▌Poste au Quidditch : ex-Gardien & Capitaine de Serdaigle.
Il y avait des jours avec, et des jours sans. Forcément, quand on y pense, les jours sans reviennent le plus facilement… Aujourd’hui était un jour sans. L’entraînement de Quidditch prévu pour l’équipe des Serdaigle n’avait pas été repoussé à cause du mauvais temps (plus que mauvais, d’ailleurs), parce que ça ‘les entraînerait au cas où il y aurait une intempérie au moment du match’. Même si, avouons le, il y avait largement de quoi faire les jours normaux. Les plus jeunes de l’Equipe avaient du mal à tenir sur leurs balais, tellement il ventait. C’était pour dire. Les plus costauds, dont le capitaine, Zeké, n’avaient apparemment aucun problème pour tenir sur leurs balais. Le ciel était grondant, il y avait des éclairs qui zébraient les cieux, menaçant toujours de venir atterrir sur l’un des 9 joueurs de Quidditch. Neuf, parce qu’il y avait les deux remplaçants avec le reste de l’équipe. Le manque de luminosité avait déjà coûté deux grands chocs entre Poursuiveur et cognard, et Zeké avait refusé de lâcher le Vif d’Or, craignant de le perdre dans la tempête. Personnellement, il n’avait pas du tout – mais alors pas du tout – envie de faire face au professeur de Quidditch et lui annoncer que le Vif d’Or était perdu dans la nature à cause d’un entraînement qui s’était mal passé.
Le vent frappait les visages des joueurs comme des fouets, les gouttes de pluie qui n’étaient pas encore de la neige ni de la grêle tombaient sur le visage des joueurs comme des missiles, et les yeux étaient irrités par le froid et la sécheresse de l’air. Un coup de vent toutes les 5 secondes, menaçant de faire tomber les joueurs de leurs balais. Zeké avait déjà survécu à pire, et il allait faire en sorte que chaque joueur y survive. Quitte à abandonner son poste techniquement en face des anneaux dorés pour suivre le poursuiveur du flanc gauche du terrain – Coltrane – pour le briefer sur les coups de vents de front et par l’arrière. Le poids du corps sur le côté, les mains bien collées au bois du balais. Le visage, les écorchures par un morceau de glace ou autre, il ne fallait pas s’en soucier. Il y avait, après le match, tout un tas de sortilèges de soins plus importants que la douleur. Il tapota le crâne du joueur avant de s’approcher d’un des batteurs qui manquait une fois sur trois le Cognard qui partait sur un autre joueur. Il l’engueula fort et bien, en lui demandant de s’entraîner pour la prochaine fois, quitte à le faire la nuit s’il n’avait pas le temps à cause des devoirs.
Déjà bien irascible, Zeké écourta la séance de torture pour les sportifs et exigea qu’on aille tous dans les vestiaires. Sur les nerfs, en cette période pourtant joyeuse de fêtes, Zeké n’était pas fier du tout de son équipe. BON, D’ACCORD, il y avait là dehors un véritable monstre météorologique. BON, D’ACCORD, il faisait froid. D’ACCORD, il y avait des éclairs. Et alors ?! S’ils avaient peur, qu’ils quittent l’équipe de Quidditch de la maison ! Il y avait dans les rangs de la maison énormément de jeunes gens prêts à tout pour intégrer l’équipe, alors si cette dernière était composée de trouillard qui partaient pleurer dans les jupons de leurs mères dès qu’un éclair frôlait leur balais… Grosso Modo ? C’est ce qu’il annonça d’un ton plutôt agressif à ses joueurs. Si, si. On est capitaine ou on ne l’est pas, tout simplement.
Petit à petit, les joueurs quittèrent les vestiaires, annonçant un ‘A tout à l’heure’ à un autre, parfois un désolé, ou autre paroles simpliste. Mais Zeké était complètement perdu dans sa hargne, pour sa dernière année à Poudlard, il n’avait absolument pas envie de terminer dernier dans le tournois de Quidditch. L’équipe de Serpentard était très forte, celle de Gryffondor pareillement, et celle de Poufsouffle plus menaçante qu’il n’y paraissait. Etait-ce donc le seul de l’équipe à se soucier du bien être de cette dernière ? Après avoir été capitaine 3 ans, il était peut-être temps de se rendre compte de son ambition ! Mais bon, d’un côté, une fois qu’on connaissait sa famille (tous d’excellents joueurs de Quidditch, de père en fils), il était normal de constater que Zeké partageait la même passion pour le sport des sorciers.
Arrachant ses gants des mains, Zeké les jeta sur son sac d’affaires, dans son casier, et s’assit sur le banc en appuyant l’arrière de son crâne contre le mur. Il fixa le haut des vestiaires, le plafond, en songeant. Toutes sortes de pensées : Quitter le Quidditch devant l’incapacité de ses joueurs à faire de bons résultats (le classique…), ou tout simplement les engueuler plus. Vous savez, le genre d’état d’esprit où un rien vous énerve, et où vous pensez les pires choses du monde. Classique. Cependant, lorsqu’il se rendit compte qu’il y avait encore deux personnes dans les vestiaires il revint sur terre, et les observa du coin de l’œil. Il y avait Coltrane, et un des deux remplaçants. Il soupira, en se pencha pour enlever ses genouillères, habilement, démontrant l’habitude du geste. Il avait les cheveux trempés, les vêtements trempés, mais ne semblait pas souffrir du froid pourtant. Il aurait réchauffé la salle par un sortilège, mais ne l’avait pas fait. Bon pour le moral. Son père le lui avait toujours dit, ‘coûte que coûte, n’utilise jamais la magie pour améliorer tes conditions d’entraînement, parce qu’en match, la magie est interdite’.
Lorsqu’il quitta les genouillères et se redressa, il vit que Coltrane était toujours dans les vestiaires. Il fronça les sourcils, avant de soupirer de nouveau.
« Tu t’es bien démerdé, p’tit. »
‘P’tit’. Ouais, petit, parce que Colt’ était en cinquième année, et Zeké techniquement ne devait même plus être là. Bien trois ans de plus. Sorte de taquinerie entre joueurs. Il adressa un clin d’œil à Coltrane, avant de se relever, et enlever son maillot de Quidditch, laissant son débardeur classique (Même par 35° Celsius il avait toujours un débardeur sous le maillot), voir le jour. Il observa son balais, posé à quelques centimètres de ses mains, et sourit. Un cadeau. Au moins, il y avait ça de bien dans le Quidditch…
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Sujet: Re: Quand la pluie vient vous casser les pieds... Lun 29 Déc - 14:24
Une horreur. Bon plutôt une calamitée. Difficile pour Coltrane de définir l’ambiance dans lequel l’entrainement de Quidditch se déroulé. La pluie battaient et fouettaient le visage des joueurs, tandis que ceux ci tentaient tant bien que mal de faire leur boulot. Coltrane lui était un poursuiveur. Bon y avait pire comme emplois dans l’équipe. Sa seul obsession pour l’instant était d’éviter les cognards ainsi que de ne pas tomber par le déséquilibre d’un autre joueur. Beaucoup avait du mal aujourd’hui. Seuls les plus anciens comme le capitaine – Zeke – volaient sans problème. Lui, ben….il se débrouiller comme il pouvait ! La pluie ne le gênait pas mais difficile de jouer quand vos coéquipier sont a deux doigts de plonger la tête la première sur le gazon du stade. Désespérant…..
Le but de l’exercice avait était clair : fais son boulot comme dans un match et ne pas tomber sinon on risquait de se faire déchiqueter par le capitaine (sans jeu de mot). Coltrane réussissait plutôt son exercice, jusqu’à qu’il dut aider ses coéquipiers. Ils avaient réussi à ce rentré dedans ! Coltrane vola jusqu’a eux et les aidas à se remettre sur leur balai. C’était vraiment bête de perdre du temps comme ça, le tournoi étant des plus serré. Jamais les équipes de Quidditch n’avait été aussi rapproché au niveau de leur capacité. Il était donc urgent pour eux de s’entrainer et de s’améliorer. Au dessus de sa tête, il vit que l’humeur commençait à être mauvaise, et entendit les premiers reproches pleuvoir. Dur journée en vue. Déjà qu’il avait commencé par des cours de potions…..
Après quelques essais ratés malgré l’aide de l’attrapeur, il fut convenu de terminer l’entrainement. Apparemment, beaucoup avait peur de ne pas passer les fêtes les jambes entières. Coltrane lui s’en contrefichait. Comme chaque année, ils les passeraient seul aux châteaux. Alors avec une ou deux jambes en moins….il verrai pas la différence. Le vestiaire du Quidditch était aussi froid que la température de dehors. Coltrane s’assit dans un coin, loin du groupe car il savait ce qui allait ce passé. Zeke en sont humbles et conscience aller les engeuler et traiter de tous les noms pour les motiver et ne plus jamais revoir un entrainement aussi catastrophique. Personne ne pouvais lui reprochait quoi que soit, il avait raison. C’était bien sa le problème, il avait raison. Mieux valait alors se faire petit et ne pas ouvrir sa bouche.
« Finalement, c’était même mieux sur le terrain ». Coltrane sourit aux grommèlements de son camarade. En effet, la moitié de l’équipe c’était dépêché de partir, surement de peur de recevoir les foudres du capitaine. Le jeune Serdaigle lui ne se pressait pas. Son tee shirt lui collait à la peau, et il fut énerver de voir qu’une de ses grenouillèrent avait était abîmer par ces satanés Cognards. Au moins il saurait quoi s’acheter pour Noël. Pressé d’être propre, il enleva son maillot et remis son pull pour affronter le froid d’hivers. Lui aussi était un peu démotivé. Ce n’était pas le premier entrainement de ce genre, et cela devenait même de plus en plus fréquent. Il savait que Zeke ne rêvait que de gagner ce tournoi, surement un désir personnel. Coltrane ? Il voulait surtout prouver qu’il savait utiliser son balai et qu’il avait mérité sa place dans cette équipe voici deux ans. Se posant contre le mur, ils pensant alors à ces débuts en regardant le sol. Deux ans….le temps passait décidément trop vite.
« Tu t’es bien démerdé, p’tit. »
Coltrane releva la tête. Il s’agissait de Zeke. Il sourit face à sa taquinerie. Oui Coltrane était plutôt jeune : quinze années et cinquième année. Le capitaine était maintenant à sa dernière année à Poulard. Bizarrement, cela ne gênait pas trop qu’il soit aussi jeune. De toute façon Coltrane se considérait toujours plus vieux….sauf quand on lui rappelé. M****! Il devra exciter des potions pour vieillir !
« Merci Capitaine. Je m’excuse encore pour le cognard que vous avez failli recevoir, dit il en rougissant ».
Oui bon sa arrive ! Il tenté avec difficulté de faire tenir un de ses amis sur son balai quand le cognard est passé au dessus de lui. Si Zeke ne c’était pas baissé, on l’aura surement retrouvé dans le décor. Il pensait déjà aux titres dans les journaux : « UN CAPITAINE DE l’EQUIPE DE SERDAILE RETROUVER ECRASER DANS LA TOUR DES SERPENDTARD ». Ne surtout pas rire…..
Après s’être changeait en entier, il décida de prendre sa baguette et d’aller au château. Celle-ci se trouvait sur la poche de devant son sac. « Alors…..mais….m**** ! ». Coltrane se retourna. Le capitaine n’avait heureusement pas entendu son juron. Quel crétin ! Coltrane était d’une nature très méfiante, et il gardait toujours sa baguette dans es poches. Mais il avait pris l’habitude de la laissé pour le Quidditch, se rappelant de l’avoir déjà cassé. Bien sur la seul journée où il oubli, il faut que le terrain sois transformer en stade de boue pour cochon ! Le jeune Serdaigle se précita dehors, à la recherche de sa baguette. « Oh mon Dieu…. ». Le stade était si grand ?
- CS -
Zeké Jordan
▌Citation :
| SATANIS;
Ergo draco maledicte et omnis legio diabolica adjuramus te.
cessa decipere humanas creaturas, eisque aeternae Perditionis venenum propinare !
▌Clan : Avec moi-même, ça en fait moins à trahir. ▌Âge : 19 ans ▌Année : 7e ▌Maison : Serdaigle ▌Don(s) : : Loup-garou. ▌Sang : Mélé ▌Emploi : // ▌Poste au Quidditch : ex-Gardien & Capitaine de Serdaigle.
Sujet: Re: Quand la pluie vient vous casser les pieds... Mer 28 Jan - 14:16
La pluie. La pluie pouvait signifier bien des choses, dans divers contextes différents. La tempête, le vent, la nuit, le froid. C’était une image de la pluie négative, souvent utilisée dans les films d’horreur pour montrer que quelque chose ne va pas. La pluie, toujours là, à attendre le bon moment pour surgir. Ou la pluie lasse, incessante, grise et morne. Une autre image, lassante, de la pluie, qui endormait tout le monde, laissait les neurones tourner au ralenti. Et puis, une autre image, par la petite pluie légère, les oiseaux qui se cachent, le soleil qui ne tarde pas et l’arc-en-ciel, à l’aube ou le matin. C’était cette pluie là que Zeké préférait, elle lui semblait toujours si énergisante, si motivante et positive. La première des pluies, la pluie de tempête, il ne l’aimait pas. Bien que dans son esprit, les deux images données par ces pluies s’entrechoquaient chaque jour, chaque seconde de sa vie. La pluie de l’aube, il l’adorait, parce qu’il la voyait souvent, à l’aube de la pleine lune. Effacer les mémoires douloureux de la nuit précédente. Mais la pluie du crépuscule accompagnée de vent et de turbulences météorologiques, il la détestait. Le plus souvent, parce qu’il la remarquait dès qu’il devait aller dehors, sans bruit, incognito, pour se déshabiller, et laisser le malheur et l’enfer s’abattre sur lui pendant toute une nuit. Il avait gardé cet entraînement prévu à ce moment là, pour se rappeler du pourquoi il était là : Si il pouvait entraîner son équipe, la faire gagner, même par un tel temps, il se serait prouvé qu’il pouvait y survivre. Et, apparemment, même s’il était profondément énervé par la médiocrité du niveau de ses joueurs, Zeké était fier d’eux. Ils avaient résisté, même les plus jeunes.
Dans le vestiaire, il défit avec lenteur ses chaussures, avant de les déposer sur le banc. Il regretterait les vestiaires de Poudlard, où il avait mis les pieds pendant 6 ans : De sa deuxième année à l’actuelle. 6 ans, précisément. Il observa du coin de l’œil Coltrane qui se remettait en état d’être présenté à la table des Serdaigle sans outrager les professeurs, et il sourit. Le pauvre gamin. Par contre, lorsqu’il le complimenta, et que Coltrane lui répondit en le vouvoyant, Zeké éclata de rire.
« Merci Capitaine. Je m’excuse encore pour le cognard que vous avez failli recevoir. »
« J’vais t’le dire combien de fois, tutoie moi, Coltrane. C’est pas comme si j’étais Stern ! » affirma-t-il en faisant allusion au professeur de potions que tout le monde vouvoyait, sans exceptions, et qui était franchement bizarre. Cependant, alors qu’il se décidait si oui ou non il allait se lever et se changer hors du champ de vision de Coltrane, ce dernier perdit toutes ses couleurs en courant jusque dehors. Sur un coup de tête, Zeké se leva à son tour, manquant de trébucher dans ses affaires propres, et rejoignit Coltrane au seuil des vestiaires de Serdaigle et qui contemplait le stade, une véritable mare à canards.
« Oh mon Dieu…. »
Zeké déposa sa main sur l’épaule de Coltrane, se demandant ce qui aurait bien pu provoquer une telle réaction chez le brun pourtant connu pour son sang-froid (Ah. Sans jeu de mot !)
« Qu’est ce qu’il se passe, Coltrane ? Tu as perdu un bijou ? »
Et ben ? C’était la seule chose à laquelle Zeké pensait sur le moment, n’imaginant pas une seule seconde que le bout de bois magique de Coltrane était en train de décrépir sous une couche de bout de plus en plus liquide à cause de l’eau qui ne cessait de tomber. Il fronça les sourcils, d’ailleurs, en cherchant d’autres solutions, sans jamais s’approcher de la bonne.
Quoiqu’il en soit, il ne semblait pas réagir au froid qui le mordait : Il n’était qu’en débardeur, sans chaussures, et en pantalon de Quidditch. Et pourtant. L’habitude, certainement. Coltrane lui était en pull-over, bien réchauffé à tous les coups…
*Sorry pour la qualité du post, j'ai du mal avec mon p'tit doigt xD*
Synthia Grey
synthia; disturbed malicious admin;
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«Méfiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant»
Nietzsche
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