Qui suis-je ?

PREMIER POST POUR VICTOR <3

Alec « Eh Poupée... Attend... Eh! Attend »
Charly « Va te faire foutre... »
Alec « Oh du calme ! Du calme ! »
Charly « Non... »
Alec « Mal baisé »
Charly « Pense ce que tu veux »

Elle en avait de ce connard. Elle s'appelait Charly. Combien de fois qu'elle lui avait dis ? Des milions de Fois. Elle n'était pas une poupée. Charly avait beau ressemblé à Barbie, mais elle ne l'était pas pour autant. La blondasse détestait de se faire comparé à barbie. Toutefois, elle devait s'avouer qu'elle leur ressemblait minimum. Alec, le connard, aimait bien faire "joue-joue " avec elle. Justement, Charly, elle, en avait justement pas envie. Elle ne l'aimait certainement pas, et elle n'avait juste pas envie qu'on lui touche. D'un, Alec lui tapait sur les nerfs. Elle avait le droit de ne pas vouloir se faire tripoter jour et nuit par une personne qui la fait chier depuis un bon moment. Deuxièmement, elle avait un garçon en tête, elle arrêtait pas de penser à lui, malgré qui n'a rien qui se passe encore entre ses deux là. Elle l'avait aperçu au ministère, malheureusement, elle ne réussissait pas à lui parler [ Je dois avertir que ce topic est comme disons avant le topic du party... ]. Elle ne savait pas que dans quelques jours, elle allait y parler, danser avec lui, et peut-être même l'embrasser. Ce garçon s'appelait Derek Oliver Johnson, il était beau, il sentait bon et Charly le regardait toujours quand il passait près d'elle. Contrairement à Alec, Derek la rendait complêtement folle sans même qu'elle n'est jamais lui parlée. Charly ne voulait rien savoir de ce Alec. Il était qu'un garçon comme un autre avec qui elle avait partagé des nuits, mais elle ne voulait pas le revoir plus que ça. En plus, elle n'aimait pas se faire appeler Poupée. Alec le savait, elle lui avait pourtant dis. Puis en plus, elle ne voulait pas le voir ce soir, ni le lendemain soir... Elle avait le goût du nouveau. Elle avait le goût qu'un garçon différent vienne dans son lit, pas Alec. Okay ! Il était bien beau et il avait un magnifique corp musclé, mais c'est pas ça qu'il allait déterminer si elle voulait l'Avoir dans son lit. Elle savait ce qu'il voulait mais cette dernière n'avait rien à faire de lui. Charly voulait avoir du nouveau dans sa vie. Elle voulait changer un minimum. Elle n'était pas totalement sevrée. Elle avait retouché à l'héroïne. Faible dose. Très faible. Pourtant ce n'était pas assez encore. Synthia allait être vraiment pas contente. Elle n'allait pas lui dire, elle allait commencer par réussir à réduire de plus en plus la consommation pour ne plus en prendre du tout. Charly allait sûrement demander de l'aide à Heath, cependant, elle savait pertinamment qu'il allait aller à l'extrême. Elle n'avait certainement plus le choix. Heath allait certainement lui faire regrettrer son choix d'avoir touché à la drogue. Elle savait qu'elle le détesterait, mais elle ne voulait pas que SA meilleure amie lui en veut... Elle veut pas Perdre SA meilleurs amie. Elle voulait pas la perdre. Elle avait perdu assez de chose... Un être cher en plus, elle deviendrait folle. Alors, Alec n'était qu'un joue-joue comme un autre, qu'elle aimerait bien qui lui lâche les baskets. Elle voulait avoir la paix. Alec osa la toucher. Charly s'arrêta et se retourna fâché, parce qu'il l'avait touché.

Charly « QUAND JE VEUX LA PAIX CE N'EST PAS POUR RIEN. LAISSE MOI TRANQUILLE. COMPRIS ? »
Alec « Peut-être, mais moi je veux.... »

Voilà, Charly se fâcha pour de bon, elle le poussa violemment, et fit signe qu'elle ne voulait pas, pas du tout même. Charly partit en courrant, et quand elle fut loin à la vue des gens, elle transplana. Elle était une sorcière et Alec un moldu. Un simple moldu ne devait pas voir qu'elle est une sorcière, le ministère ne serait pas trop content de savoir qu'un moldu ai vu des choses. Elle transplana ailleurs loin de ce connard. Il l'avait mis dans un tel état. Elle tremblait tellement qu'elle était enragée. Elle était fâchée contre lui, mais aussi de ce qu'elle était devenue. Si seulement elle n'allait pas se mettre dans des merdes constantes, peut-être se ferait-elle respecter ? Est-ce qu'elle serait plus heureuse ? Aurait-elle un endroit où aller ? Serait-elle aussi indépendante au sexe et la drogue ? Charly voulait changer. Pourquoi tout était si compliquée pour elle ? Si elle n'avait pas séduit ce garçon, il ne l'aurait jamais mis dans cet état. Elle avait beau mettre toute la faute du monde sur lui, elle savait clairement que s'était de sa faute. Elle se détestait. Elle ne s'aimait pas. Charly savait qu'elle était la source de plusieurs problèmes. Ses amis allaient en souffrir. Ça, elle ne voulait pas que sa arrive. Elle les aimait trop ses amis. Elle avait besoin d'eux. Elle s'en voulait encore pour avoir fait de la peine à Synthia. Elle était une mauvaise amie, et elle le croyait sincèrement. En même temps, elle avait besoin d'eux, mais eux n'avaient pas besoin d'elle. Elle mettait le trouble partout. Charly se sentait mal. Elle devait peut-être disparaître de leurs vies. Est-ce Synthia allait être heureuse ? Est-ce que Heathie lui en voudra? Certainement, même si il ne veut pas le dire. Charly s'en voulait tellement. Elle s'en voulait comme jamais. Synthia, Heath, Léa, Alice... Étaient sa vie. Ils le sont toujours. Mais les méritait-elle ? Elle ne croit pas. Synthia l'avait vu en train de se droguer et Heath détestaut la drogue, cela donnait qu'elle ne méritait pas leurs amitiés. Oh et Léa, sa petite soeur pour elle. Elle demanderait n'importe quand à sa mère de l'adopter, mais comment demander à sa mère d'adopter une élève quand la mère de Charly n'était pas capable de s'occuper de sa propre fille ? Charly n'aimait pas sa vie qu'elle vivait. Elle voulait changer pour eux... Elle voulait changer pour se faire aimer. Peut-être que Sean serait plus fière d'elle, aussi ? Elle voulait plaire à tous, c'est ce qu'elle ne faisait certainement pas en ce moment. Charly s'en voulait toujours. Elle voulait devenir ce qu'elle aurait du devenir. Pourtant, ses frères l'ont tellement fais changer. C'est de leurs fautes. C'est la faute aux personnes qui l'entouraient, peut-être pas de ses amis, mais les gens qui se trouvaient à Poudlard... Ceux qui s'amusais à rire d'elle. Ceux qui avait décidé de lui faire tant de mal, maintenant, elle s'en prennait à tous. Voilà, Charly avait changé. Elle avait changé à cause des gens, mais elle aimerait faire la paix avec soit même.

[Charly était dans une ruelle. Elle sortit rapidement de la ruelle pour marcher à quelques parts dans Londre. Elle se regarda dans une vitrine. Elle se mit tout simplement à pleurer. Qui était-elle ? Elle s'appelait Charly Reese Nicholls, c'était une ex-Serdaigle, elle a toujours été blonde, elle a deux frères plus vieux qu'elle, elle avait un parrain merveilleu, son parrain -Sean Evans - est aussi son patron... Ça les gens le savait, en fait, c'est ce qu'elle pensait, car elle savait aussi que plusieurs penses que Charly tournait autour de Sean. Non, mais... Elle avait pas le droit de parler à son patron qui est aussi à son parrain. Une en particulier lui faisait terriblement peur... Maïka Oliver Allen, une espèce de Folle... Pourquoi se comportait-elle ainsi envers elle ? Charly ne lui avait jamais parlé de la vie, et là voilà qu'elle était sur son cas. Wow ! Quel adulte ! Charly regardait le reflet que renvoyait la vitrine, elle était là son visage légèrement maquillé, ses cheveux blonds presque blanc tombé en cascade sur ses épaules jusqu'au milieu de son dos, son regard bleuté semblait désespèré, elle était vêtue d'un simple Jean Skinny et d'un chandail tout a fait normal... Elle était là à se fixer. Elle vit du coin de l'Oeil un garçon qui lui disait quelques choses... Elle le regarda quelques instants, mais elle hocha de la tête, en croyant qu'elle se trompait. Elle soupira.

Charly « Qui suis-je ? » Elle respira bruyamment de nouveau et essuya les larmes qui coulait toujours sur ses joues « J'ai honte de moi même, et ... » Elle ne pu finir sa phrase...

La boutique « Harmonie » était décoré avec des couleurs blues et blanc. Un immense sapin blanc qui scintillait au milieu de la pièce attirait tout les regards surtout ceux des enfants. De toutes petites fées volèrent un peu partout. Les boutiques « Harmonie » était des établissements de luxe. Seul de riches nobles et toutes hautes sociétés venaient s’habiller dans ses lieux. On compte, une boutique à Londres et au Prés au lard. Puis une dizaine dans le monde entier réservé aux sorciers. Mme Stevenson, l’une des plus grandes couturière, styliste au monde fasse des vêtements pour les moldus. Elle donne volontier un coup de main à quelques créateur moldus de grandes marques, tel que Chanel ou Yve Saint-Laurent. Mme Stevenson est aussi une femme très généreuse, elle organise des soirées caritatives pour les sorciers les plus pauvres, la défense pour les créatures magiques ou même pour la lutte contre les discriminations contre les moldus. Amélia Stevenson était dans son bureau en compagnie de son fils, Victor. Il regardait les dernier croquis pour le défilé du printemps. Le Bureau était situé en hauteur, dans une sortes de bulle en verre au milieu du plafond de la boutique. Amélia comparait différents tissus de couleurs différentes. Elle était dans une intense réflexion à savoir : un rouge ou du blues pour ma robes de mariages … Hum ! Chose qui dépassait complément Victor. Il se retourna sur cet femme qui l’avait mis au monde. Elle était belle avec ses cheveux blonds, légèrement bouclés qui lui tombait doucement sur le visage. Il n’était pas évident de connaître l’âge de cet dame. Elle avait l’air jeune mais pas très jeune. Quelque rides s’étaient installées au coin de ses yeux blues. Amélia releva son regard et sourit.

_ Tu sais tu peux y aller ! Tu m’as bien aidé avec les commandes.

Une voix féminine et tendre. Victor se mit à sourire à son tour. Normalement il devait être à Poudlard, pour son week-end au Prés-au-Lard. Il avait décidé de passer un peu de temps avec sa mère. L’aider était un moyen de laisser ses cours de côtés. Il en avait bien besoin, lui du tumultes et des histoires d’étudiants. C’était agréable de revenir à la maison. Londres était aussi une ville merveilleuse surtout en cet période de fête.

_ Tu veux te débarrasser de moi ?
_ Ne soi pas stupide … dit elle avec un pincement de lèvre. Elle avait bien compris que c’était de l’humour et se remit à sourire. Tu devrai profiter de la ville, faire les magasins, ce genre de choses …
_ Tu as raison, je vais aller faire un tour. Je te rejoints à la soirée des Wellington ?
_ D’accord ! Mais s’il te plait si tu pouvait faire un effort d’être gentil avec la fille des Wellington

Grrr … il lâcha un grognement. Mademoiselle Vanessa Wellington, jeune fille de bonne famille qui étudiait à l’école de magie de Salem. Une snobinarde qui ne connaissait rien de la vie. A chacune de leur rencontre, Victor s’amusait à la rabaisser. Elle parlait sans savoir, toujours à tord et à travers. Victor fit un clin œil à sa mère avant que celle-ci lui demande de promettre d’être gentil. Victor n’était pas quelqu’un de gentil, en tout cas pas avec les gens qu’il n’appréciait pas ou peu. Cette soirée allait certainement être longue et fastidieuse. Il avança vers l’ascenseur en verre et descendit au rez-de-chaussée. Il traversa la foule de clients et surtout de clientes qui venaient acheter leurs cadeaux Noël. La boutique Harmonie était dans une allée à l’écart des rues de Londres. Les moldus ne pouvaient pas la voire. Pour leur yeux c’était une allée condamné par un mur en brique. Victor sorti de la boutique et traversa le mur délabré. Il passait plutôt inaperçus parmi la foule des moldus. Il était habillé de façon sombre, rien d’extraordinaire. En bifurquant dans un rue, il aperçut un visage familier. Une jeune femme à la chevelure blonde. Elle était en train de regarder une vitrine. Peut être est-elle en train de faire ses achats de Noël ? Devait il aller à sa rencontre ? Il passa derrière elle. Celle-ci n’avait pas l’air de le voir, elle avait l’air perdue dans ses propres pensées. Des larmes coulaient sur le visage angélique de la demoiselle.

« Qui suis-je ? J'ai honte de moi même, et ... »

Elle était en train pleurer. C’était bien ça vaine ! Victor avait cet élan de générosité de se préoccuper des autres. Un trait de caractère qui lui venait certainement de sa mère. A Poudlard, il était plus considérait comme étant un homme indifférent aux autres et méchant. Comme quoi, tout le monde cache sa vraie nature. Il ne pouvait rester là, passer à côté d’elle, Charly comme si de rien n’était. Victor resta figé derrière elle et regardait le reflet de la jolie blonde.

_ Tu t’appel Charly et tu es une femme magnifique qui devrait se retourner pour dire bonjour à un veille ami

Il ne s’était pas revu depuis leur nuit dans un hôtel. Il avait appréciait sa soirée avec la demoiselle et avait songeait à elle de temps en temps, surtout lorsqu’il passait devant l’hôtel en question.

_ Où peut être préfère tu rester seul ?

Certaine personne aime la solitude, surtout lorsqu’elle se sente malheureuse. Victor lui essaye toujours de voir le bon côté de chaque chose.

Avait-on à plaindre Charly Reese Nicholls ? Non. Elle avait vécu des évènements difficiles, mais... Elle a tout ce qu'elle veut en quelques sortes. Elle ne manque pas d'eau. Elle ne manque pas de Nourriture. Peut-être d'argent, mais elle réussissait à se nourrir et à boire. Elle aurait plus d'argent, si elle mettrait fin à la drogue. En tout cas, Charly n'était pas encore à plaindre. On devrait plus plaindre les gens qui l'entouraient dont ses amis, car ceux-ci enduraient ce que Charly était devenue. Elle était maintenant une Héroïnomane, salope qu'on qualifierait de nymphomane. Elle n'était pas nymphomane. Elle aimait le sexe, mais elle ne passait pas sa vie à ça, même si on avait l'impression que si. Oui, elle passait une bonne partie de sa vie couchée sur le dos, mais elle ne pense pas juste à ça. Charly avait déjà pensé de se prostituer pour avoir l'argent qui paierait sa drogue. Elle coucherait pour de l'argent pour payer sa came. Elle a besoin de ça pour vivre. Elle ne veut pas souffrir, même si... Elle avait fait des promesses. Même si elle avait promis de ne jamais plus toucher. Elle savait que ses amis n'allaient pas être heureux d'apprendre qu'elle continuait ou qu'elle touchait encore à ça. Que c'était compliqué sa vie, mais elle n'avait pas encore la plus compliqué. Elle n'était pas la plus chanceuse, mais elle n'était pas à plaindre totalement. Oui, ses parents l'avaient mis dehors de la maison, oui ses frères étaient abominables avec elle, oui elle cherchait souvent un endroit pour se couvrir la tête... un endroit ailleurs que chez Judith et Theo. Elle tentait d'arrêter, mais habité chez des Dealeurs étaient très dur. Elle se laissait aller en croyant qu'elle est plus forte que la substance. Pourtant, elle le sait très bien qu'elle n'est pas plus forte que la petite poudre blanche ou le liquide transparent. En même temps, elle est accrochée. Elle est une Junkie. Elle est une Héroïnomane. C’était trop dur. Pourtant, elle pourrait s’en aller. Centre de Désintoxication ? Hum, facile à dire, mais difficile à faire. Tout est si dur, mais elle n’avait pas tant de ça de problème. Oui, elle en avait. On ne pouvait les ignorer, mais il y a des gens qui souffrent chaque jour de la famine, de la chaleur, sécheresse, guerre… Elle devait se compter chanceuse de ne pas vivre ça. Elle était chanceuse en quelques sortes. Un jour où l’autre, elle allait finir par avoir une meilleure vie. Elle allait avoir mieux de ce qu’elle vivait aujourd’hui. En plus, ses années de malheurs allaient bientôt finir. Un jour… un jour…

Charly ne s’aimait pas. Comme plusieurs personnes dans le monde. Elle n’en pouvait plus. Parfois, elle pensait à mettre fin à ses jours. Pourtant, elle avait peur de mourir. Elle ne se sentait pas encore prête. Elle avait souvent pensé à se suicider. Pourquoi ? Elle ne se sentait pas bien. Elle se sentait souvent mal face à ses amis qui étaient sûrement déçu par sa façon d’être et agir. En plus, elle a besoin de SA béquille qui est la drogue. Elle adore prendre. Elle adore les effets. Pourtant, elle n’était pas plus heureuse. Elle aimerait un jour devenir stable... Elle voudrait un endroit où habiter, un petit copain fidèle, une famille, du bonheur, une bonne job… L’ex-Serdaigle avait des projets. Elle en avait comme tout le monde. Elle voulait vivre une vie calme. Elle ne voulait plus être celle qu’elle était en ce moment. On devait la comprendre. Sa vie n’était pas saine. Elle était tout ce que personne ne voulait être ou voulait. Elle ne voulait plus être Charly. L’apprenti auror voulait oublier pour toujours son passé. Charly voulait changer, mais pour cela, elle avait besoin d’aide et de soutient. Elle aurait tout cela, sauf qu’elle ne sait pas où trouver nécessairement. Elle voudrait que beaucoup de gens la soutiennent, car elle n’avait personne dans sa petite vie. Elle se trouvait tout sauf gentille, aimable, belle, intelligente… Charly se voyait maintenant, comme les gens la croyaient. Elle voulait être une meilleure personne. Elle voulait changer d’identité pour recommencer à zéro. Elle voulait se faire lancer un oubliette… Elle voulait changer. Elle voulait devenir quelqu’un de bien. Par contre, elle veut toujours garder ses amis tels que Synthia, Heath, Léa, Victor, Theo, Judith… Elle ne voulait pas perdre ses amis, mais elle voulait pourtant changer son comportement. L’ex-Serdaigle était considérée comme une mauvaise personne. Qui qui n’avait jamais dit que Charly n’était pas une mauvaise personne ? Peut-être ses amis très proches d’elle, mais à part de ça… Il n’y a pas grand monde. Les gens croyaient en plus aux rumeurs à son sujet. Personne n’avait la même opinion sauf ceux qui avait vécu les évènements qu’elle était capable de créer. Elle était tout sauf saine, pourtant elle avait un cœur. Charly savait aimer. Elle voulait aimer. Elle veut se faire aimer en retour. C’était tellement compliqué. Elle voulait ce qui était simple, mais elle-même n’était pas simple, alors tout paraissait si compliqué quand en fait ce n’était que si simple. Vous comprenez ? Sûrement que non. Pourtant c’est si évident et simple. Rah que la vie de Charly est compliquée.

Ce qui nous emmènes à cette scène. Une Charly se fixant dans une vitrine en larme. Elle se détestait. Avez-vous idée du comment elle se déteste ? Elle savait bien des choses, mais elle ne voulait pas voir l’évidence… Elle était une mauvaise personne à l’extérieur. Elle s’en voulait. L’ex-Serdaigle ne s’aimait pas et avec raison. Elle avait détruit des couples, elle avait changé pour devenir ce que personne n’aurait voulu devenir, elle se droguait, elle mettait la merde où elle était… Quoiqu’Il arrive, elle était une vraie sangsue ou encore une « faiseuse » de « Marde ». En tout cas, elle ne s’aimait Réellement pas. Elle croyait qu’elle mettait dans le trouble ses amis. Elle ne voulait pas ça. Elle voulait ne pas leurs attirer des ennuis. Elle les aimait trop. Charly savait aimer à la différence de certains. Elle était comme un petit animal sauvage. On lui avait fait du mal si souvent dans la vie, qu’elle en était extrêmement craintive. Elle était un animal, carrément. Elle ne s’était pas rendue compte qu’un jeune garçon… Qui était bien sûr un bon ami, même si elle ne pouvait le considérer comme ami, à cause qu’elle a couché avec lui une seule nuit. En tout cas… Une autre histoire de coucherie. Charly essuyait avec une main ses larmes qui coulaient sur ses joues. Donc, elle ne vit pas le reflet du jeune homme derrière elle. C’est seulement quand elle entendit sa voix, qu’elle sut que quelqu’un était en arrière d’elle et répondait à sa question lancé en l’air pour elle-même. Charly eut un petit saut. Son cœur battait un peu plus vite, car celle-ci avait eut tout de même peur se demandant qui qui pouvait répondre. Elle leva la tête et se retourna. Ses yeux étaient rougis par les larmes. Elle regarda Victor. Elle l’avait reconnu en voyant son visage. Elle le regarda et renifla un peu. Charly ne voulait pas pleurer devant lui. Elle ne voulait pas passer pour une pleurnicharde, comme dirait Heathie.

«Tu t’appel Charly et tu es une femme magnifique qui devrait se retourner pour dire bonjour à un veille ami. Où peut être préfère tu rester seul ? »

« Non non. La solitude me fait trop réfléchir, je… je n’aime pas ça »

Elle avait une boule dans la gorge qui serrait à chaque mot qu’elle essayait de prononcer. Charly se permit de lui faire un câlin, comme pour lui dire bonjour. Elle n’avait rien d’autres en tête. Elle essayait de sécher ses larmes. Charly desserra son étreinte avant de prendre la parole.

« Que fais-tu ici ? Tu n’es pas à Poudlard, sachant que tu es à Poudlard encore » Elle soupira « Je m’ennui de Poudlard. J’aimerais recommencer à Zéro. Être à Poudlard. Ne jamais avoir été Charly Reese Nicholls. Celle que les gens connaissent comme la sale garce de Serdaigle ». Ce fut plus fort qu’elle… Elle sortit tout ça sans que ce dernier parle. « Je dois être… La seule au monde qui veut revenir à l’école »

[ Désolée c'est nulle. Je vais me reprendre dans le prochain ]

« Non non. La solitude me fait trop réfléchir, je… je n’aime pas ça »

« Que fais-tu ici ? Tu n’es pas à Poudlard, sachant que tu es à Poudlard encore. Je m’ennui de Poudlard. J’aimerais recommencer à Zéro. Être à Poudlard. Ne jamais avoir été Charly Reese Nicholls. Celle que les gens connaissent comme la sale garce de Serdaigle. Je dois être… La seule au monde qui veut revenir à l’école »

Je ne pense pas que recommencer à Poudlard ne soit une solution. De plus … le prend pas mal mais toute les femmes sont des garces, même la plus douce des femmes peut faire preuve de beaucoup de fourberies surtout entre vous. Sache qu’être une garce peut être un compliment, en tout cas chez moi s’en est un. Les femmes comme toi sont des demoiselles qui savent se défendre, qui ont un caractère fort et bien que tu soit … a l’évidence déprimé

… tu es une battante et je suis sûr que tu t’en sortira.

Quant à ceux qui désirent retourner à Poudlard … c’est un sentiment normal. Pour la plupart d’entre nous Poudlard est notre seconde maison, remplit de souvenirs qu’ils soient heureux ou malheureux.

Je suis en week-end en ce moment. Normalement je devais rester au Prés-au-lard mais là plupart du temps je m’ennuie là-bas. J’ai décidé de venir aider ma mère dans sa boutique. Tu devrais éviter de te miner autant, la vie est belle, profite de ce moment avec moi, s’il te plait. Est-ce que quelque chose te ferrait plaisir ? Manger ? Boire ? Te serrer dans mes bras ? … dit moi ce qui tu désire et j’exaucerai ce vœux même s’il s’agit de quelques heures de bonheur.

Charly était triste. Elle avait de la peine, comme jamais elle en avait eu auparavant. L’ex-Serdaigle avait l’impression qu’elle n’avait jamais rien accompli de bon, mais elle avait tout de même accompli quelques choses. Elle était une apprentie auror, mais sa vie semblait vide. C’est que maintenant qu’elle réalisait qu’elle avait été du mauvais côté. Qu’elle avait détruit ses rêves et sa vie avec une substance, elle avait détruit ce qu’elle était avec sa came. Alors pourquoi elle continuait dans ce chemin ? Elle était une junkie. Elle s’était crue plus forte que la substance. Elle avait voulu une nouvelle expérience de plus, mais qui avait été de trop. Elle s’était transformée à quelques choses que je ne serai expliquée, elle semblait vide depuis qu’elle se droguait. Ses parents avaient peut-être raison ? Elle était un déshonneur. Il y avait raison d’Avoir honte, mais pas à abandonner leur propre fille. Il n’avait pas le droit de l’abandonner ainsi. Comment pouvait-il l’aimer en l’abandonnant de la sorte au moment où elle avait besoin d’eux. Elle avait véritablement d’un support et ça… Ses parents avaient plus tôt écouté les mauvaises personnes qui étaient leurs fils tant adoré. Qu’avait-elle fait pour mériter ça ? Devait-elle essayer de trouver du support ailleurs que chez les junkies ? Oui. Elle devait trouver quelqu’un qui voudrait bien l’aider. Synthia ? Non, elle était à Poudlard. Elle ne pouvait donc pas se fier sur elle qui devait déjà en avoir bien assez. Ce que Synthia était chanceuse d’être encore à Poudlard, pendant que elle doit jouer chez les grands. Elle aurait bien voulu redoubler pour avoir un toit sur la tête. Elle voulait tout recommencer à zéro, mais elle ne pouvait pas aller en centre de désintoxication. Pourquoi ? Elle n’avait pas le temps. Si elle ne travaillait pas, elle n’allait avoir aucun argent pour s’en sortir par après et elle retomberait encore une fois. Aujourd’hui, face à Victor, elle avait décidé de souffrir et elle s’était rendue compte que sa vie n’était pas jolie qu’elle voulait mieux. Elle pleurait face à une vitrine dégoutée d’elle, de sa vie… de tout en fait. Elle se détestait. Sa vie était nulle. Elle était nulle… Elle était une ratée… Charly avait essayé de sécher ses larmes devant Victor, qui était une vieille connaissance considérée comme un ami et un ex-amant. Il essayait de la consoler, comme il le pouvait, mais elle était inconsolable.

« Je ne pense pas que recommencer à Poudlard ne soit une solution. De plus … le prend pas mal mais toute les femmes sont des garces, même la plus douce des femmes peut faire preuve de beaucoup de fourberies surtout entre vous. Sache qu’être une garce peut être un compliment, en tout cas chez moi s’en est un. Les femmes comme toi sont des demoiselles qui savent se défendre, qui ont un caractère fort et bien que tu soit … a l’évidence déprimé … tu es une battante et je suis sûr que tu t’en sortira. »
« Oui, j’aurais un toit sur ma tête. Je serais sure d’avoir un endroit pour dormir et manger. Je suis d’être près de ceux que j’aime quand j’en ai besoin. Je serais entourée pour lutter contre mon problème, sachant que des gens m’aiment… Sachant que je ne serais plus seule. » Elle se fit prendre la main et elle ne lutta pas pour ne pas le suivre. Il était le seul qu’elle pouvait suivre, le seul qui prenait soin d’elle en cette journée. Il était tellement gentil avec elle. Elle ne savait pas quoi faire face à cette trop grand gentillesse, personne n’était comme ça normalement avec elle. Elle était totalement perdue à cause de ça, mais elle restait avec lui. Charly n’avait pas envie de fuir. Il était le seul qui voulait d’elle, le seul qui ne la repoussait pas. Alors pourquoi ne pas profiter du moment avec lui. Il avait l’air tellement heureux, contrairement à elle.

« Quant à ceux qui désirent retourner à Poudlard … c’est un sentiment normal. Pour la plupart d’entre nous Poudlard est notre seconde maison, remplit de souvenirs qu’ils soient heureux ou malheureux. Je suis en week-end en ce moment. Normalement je devais rester au Prés-au-lard mais là plupart du temps je m’ennuie là-bas. J’ai décidé de venir aider ma mère dans sa boutique. Tu devrais éviter de te miner autant, la vie est belle, profite de ce moment avec moi, s’il te plait. Est-ce que quelque chose te ferrait plaisir ? Manger ? Boire ? Te serrer dans mes bras ? … dit moi ce qui tu désire et j’exaucerai ce vœux même s’il s’agit de quelques heures de bonheur. »
Elle était montée dans une calèche. Elle se sentait comme une petite princesse, même si c’était peu. Charly n’en demandait pourtant pas beaucoup pour être heureuse. « J’aimerais manger. J’aimerais avoir des câlins. J’aimerais de l’aide. Je sais que c’est beaucoup ça ! » Elle accota sa tête contre Victor. « Je suis bien, là » Elle ferma les yeux profitant de l’épaule et des bras de Victor. Sa chaleur qui la réchauffait et de sa gentillesse pour réchauffer son cœur. Elle ouvrit grand les yeux passant qu’elle le dérangeait peut-être pendant sa fin de semaine de liberté. « Est-ce que je te dérange ? Tu as peut-être prévu autre chose ? Je me sens mal de détruire tes plans… » Elle le regarda droit dans les yeux sincères.