Alizée Maigny

Alizée Maigny

« I'm just a little girl lost in the moment
I'm so scared but I don't show it
I can't figure it out
It's bringing me down I know
I've got to let it go
And just enjoy the show »

CARTE D'IDENTITE

Nom : Maigny, qui aurait cru que ce nom faisait partie de l'aristocratie française? Probablement pas la jeune femme elle-même qui l'appris de la bouche même de sa chère cousine, Corrine. C'est en suivant ses recherches qu'elle découvrit qu'un ancêtre aurait même porté le nom de baron, mais que ce terme ce serait perdu avec la modernité puisque ce genre de statut n'est plus aussi reconnu qu'avant. Cela n'enlève tout de même pas le prestige de la famille, qui lui, reste bel et bien reconnu.
Prénom(s) : Alizée, tout simplement Alizée.
Age & Année : 15 ans, 5e année.
Date & Lieu de Naissance : Le 3 août 2016, à Marseilles, en France.
Sang : Sang-pur; la famille étant très conservatrice sur ce point. L'on raconte qu'un membre aurait été banni de l'arbre généalogique pour avoir osé fréquenter un moldu. Cependant, bien que ceux-ci ne soit pas les bienvenue au sein de la famille comme membre de celle-ci, ils les respectent tout de même.
Maison : Aléatoire

APPARENCE

Physique: D'une nature plutôt angélique, la donzelle est une jeune femme qui dégage une joie étonnante. De taille moyenne, elle n'est ni trop grande, ni trop petite. Son corps est élancée, aux mouvements gracieux qui la caractérisent bien. Sans extravagances, il est proportionnel à sa grandeur. Accentué d'une peau douce et pâle, sans toutefois sembler être malade, la jeune femme est menue, soit mince sans être maigre. Ses cheveux qu'elle porte longs, tant qu'à eux, peuvent passer du blond au brun foncé selon les saisons, mais sa couleur bien à elle est d'une teinte au milieu, soit un châtain tout aussi joli. Un visage plutôt rond aux traits fin, tracés en douceur, possède des yeux en amandes de couleurs noisette, un nez droit et des lèvres légèrement charnues et parfaitement rosées au naturel. Légèrement maquillée, elle opte toujours pour des teintes naturelles; préférant usé le maquillage de façon à mettre uniquement en valeur ses yeux tout particulièrement grâce à un crayon pour les yeux et une fine couche d'ombre à paupière, d'un peu de fard sur ses joues, etc. En somme, la jeune femme peu être jugé comme étant très jolie et naturelle, tout dépend des goûts, bien sûr.

Style vestimentaire: Sa famille l'a toujours habillée en petite fille du dimanche bien élevée. Pour elle, tous les jours sont des jours de messes. Fervante des robes, particulièrement des jupes, Alizée porte un peu de tout en autant que ce "peu de tout" reste assez chic et réservé, sans toute fois se cacher sous une tonne de tissus. Aimant particulièrement le noir, le blanc, le rouge/rosée et le bleu, elle n'est pas du genre à mélanger dix couleurs ensemble. Toujours bien agencés, ses vêtements ne sont pas tout droit sortie de n'importe où. Même pour son uniforme, elle se doit de personnaliser le tout à sa façon. Moins classique que sa cousine Corrine, Alizée reste un peu spontanée sur son habillement auquel elle aime mettre de la vie à l'aide d'accessoires légers ou encore, de couleurs bien particulières...

Signe particulier: Elle a une cicatrice dans le bas de son dos que lui a laissé une opération lors de son accident avec ses parents. D'ailleurs, la jeune femme a de léger problème d'asthme, mais cela ne l'empêche pas de vivre sa vie pleinement.

CARACTERE

Description: Fille parfaite en apparence; jolie, riche et surtout, d'une famille à qui le nom n'est plus à refaire, Alizée Maigny est un petit ange cornu. Pas forcément méchante, elle est une jeune femme entraînante qui souris à vous, mais à la vie aussi. Très dynamique, il est rare de la voir déprimer. Probablement parce qu'elle est une fille qui entreprend sa vie de façon à ne jamais vivre dans les émotions et sentiments négatifs. D'ailleurs, elle aspire une grande confiance en elle; Alizée est une personne fière, mais pas au point d'en devenir un défaut. Charismatique, elle a une façon de parler qui lui est bien propre, toujours dans le respect et dans les bonnes manières.On la croirait tout droit sortie d'un autre univers, ce qui n'est pas nécessairement faux. Une petite attitude de gosse de riche souvent trop rêveuse, elle ne cache pas ses ambitions parfois trop grandes qui dissimulent un peu d'égocentrisme et d'égoïsme de sa part. En effet, assez mesquine, la jeune femme n'est pas du genre à venir en aide aux gens parce qu'elle en a envie ou du moins, cela arrive très rarement. D'ailleurs, cette jeune femme est très instable... Parfois elle peut être le plus gentil des anges tout comme elle peut être, une seconde après, le pire des diables. Élevée dans une famille qui priorisait le sang-pur, il va de soi que la jeune femme en ait garder les mêmes valeurs qu'elle s'efforcent de suivre à la lettre, ce qui fait d'elle une fille plutôt conservatrice. Qui plus est, non pas qu'elle est capricieuse ou surprotectrice, mais elle a une tendance à être jalouse; mais cela n'est jamais vraiment méchant puisque sa jalousie ne l'a rend pas entièrement haïssable... Par contre, cela peut toujours arriver.

Principales Qualités: Joviale, dynamique, souriante, charismatique, fière, raisonnable, tranvaillante, courageuse, intelligente, artistique, ambitieuse et entreprenante.

Pricipaux Défauts: Jalouse, instable, conservatrice du sang pur, indiscrète, mesquine, taquine, rêveuse, parfois égoïste et égocentrique.

En plus: Alizée a touché un peu de tout dans sa vie, particulièrement les arts vu la famille où elle est. Cependant, elle n'y a jamais vraiment porté une grande attention bien qu'elle adore porter oreille aux mélodies de sa cousine Corrine. Dans le cas d'Alizée, elle a toujours préféré l'écriture, mais uniquement comme passe-temps bien à elle. Ses écrits sont d'ailleurs personnels.

Spoiler:

Histoire:
Rêmy Maigny était le frère cadet du grand Vivien Maigny, aîné d‘une famille d‘aristocrates français au nom réputé et aucunement à refaire. On dit que l’un ancêtre aurait même été jusqu’à porter le statut de baron, mais que ce dernier se serait perdu dans la modernité qui ne reconnaissait plus ces statuts hiérarchiques. Connus dans le monde magique pour la pureté de leur sang, de leur richesse à n’en plus finir et bien entendu, pour leurs manières qui frôlaient la perfection, les Maigny se situaient dans un manoir fort luxueux et dont la construction ramenait aux siècles passés, à Toulouse, en France. Rêmy, désirant un peu plus de liberté sans toutefois renier ses liens avec sa famille, décida de partir à Marseilles, là où résidait le manoir de vacances des Maigny, afin de faire carrière sans suivre les pas de son aîné. Travaillant tout de même pour le ministère de la Magie, Rêmy n’entra pas au Bureau de la coopération magique internationale comme son frère, mais bien au Département des mystères où il y fit son nom comme étant un employé modèle qui travaillait non pas parce que l’argent lui manquait, mais bien uniquement parce qu’il ne désirait pas sombrer dans l’oisiveté. Ce fut dans ce même département que Rêmy rencontra Jacynthe Déry, jeune femme travaillant comme secrétaire et qui devînt quelques années plus tard, sa femme. De sang-pur elle aussi, sans quoi aucun mariage n’aurait été possible et encore envisageable entre les deux, le couple était charmant et sophistiqué. Jacynthe étaitt elle aussi de bonne famille et prônait les mêmes valeurs que celle de la famille de son mari, qui était le sang-pur et avant tout.

Vînt par la suite le premier enfant; une jolie petite fille frêle au teint pâle que l‘on baptisa, Alizée. Silencieuse, l’enfant n’était pas un fardeau pour ses parents. Au contraire, elle était un ange. Rayonnante, elle semblait porter avec fierté son nom de Maigny avec la grâce qui lui était propre. Sa mère avait cessé de travailler pour profiter des jours en compagnie de sa fille, l’élevant comme il se devait dans une telle famille. La fillette toucha à tout durant son enfance, passant de la lecture à l’écriture, qu’elle affectionna par-dessus tout, puis, de la peinture à la musique qui lui plaisait mieux à écouter qu’à en jouer. Tout de même talentueuse, elle avait un sens artistique qu’elle mettait au travail lors des moments d’écriture avec sa mère. Évoluant des petits mots enfantins jusqu’aux fables et poèmes, la jeune fille était étrangement en avance dans son temps dans ce domaine. Probablement parce que sa mère y plaçait énormément du temps vu le bonheur de sa fille dans ce domaine. Bien entendu, il fallait avouer que sa mère lui faisait les classes à la maison; cela lui permettait de mieux suivre les progrès de sa fille et de contrôler ce que celle-ci étudiait afin d’améliorer son éducation. Rêmy approuvait cette méthode et participait une fois le soir venue, à faire la lecture à sa fille des livres antiques de la bibliothèque de la famille.

Parlant de famille, ils leur arrivait souvent, les vacances des fêtes ou encore d’été, de rendre visité ou encore de recevoir les autres Maigny, soit l’oncle Vivien et la tante Agnès d’Alizée. Par le fait même, elle pouvait entretenir des liens assez proches avec ses cousins Ludovic, Corrine et bien sûr, Claire, la petite dernière qui n’était par contre, pas la fille de sa tante, mais d’une maîtresse de son oncle qui l’avait abandonnée. Heureusement pour Claire, la tante d’Alizée avait un bon cœur et n’avait donc pas réussis à détesté l’enfant, ni même son mari malgré l’adultère. Elle l’aimait tellement que son amour la rendait aveugle et en parler ne servait plus à rien. Toutefois, Alizée adorait passer ses séjours à Toulouse en compagnie de ses cousins qu’elle affectionnaient particulièrement. Cependant, les petits bonheurs avaient toujours une fin… Habituellement, les Maigny utilisaient la voix des cheminés, mais cette journée-là, la leur était désuète et le réparateur magique se faisait attendre. Rêmy Maigny n’était pas d’un tempérament patient et entreprit de prendre la voiture pour se rendre à Toulouse. Tout se passait bien jusqu’à ce qu’un carambolage eut lieu sur l’autoroute tout près de leur destination finale. Il y eurent plusieurs blessés ainsi que de morts. Sur le coup, Rêmy décéda et les secours moldus arrivèrent pour venir en aide à Jacynthe qui avait perdu conscience et à Alizée qui se retrouvait dans le même état…

En soin intensif, l’on venait de constater le décès de la mère dès son arrivée à l’hôpital. Elle avait succombé d’une hémorragie interne. Pour ce qui était du cas de la petite, elle n’avait toujours pas repris conscience et on avait cru bon de devoir l’opérée vu l’état de son examen. La jeune fille avait elle aussi une hémorragie interne mineure, mais qui ne pouvait tout de même pas être négligé et ont avait détecté un problème à propos de sa vertèbres à cause du choc de la collision. Heureusement, l’opération fut un succès et tous les petits problèmes fut réglés. La question maintenant était, quand est-ce allait-elle se réveiller?

La gamine n’avait que huit ans et se retrouvait désormais orpheline. Les autres Maigny vinrent à son chevet à l’hôpital de Toulouse et prirent la décision d’adopter leur nièce. Après tout, elle était déjà de la famille et ils n’acceptaient pas que la jeune fille se retrouvent dans une famille qui n’était pas digne de leur standard. Au réveil d’Alizée, sortie de son coma, les nouvelles furent difficile. Elle vécu longtemps dans la peur, se sentant affreusement seule malgré la présence de son oncle, sa tante et ses cousins. Après avoir longtemps pleurer en silence, il ne lui restait plus suffisamment de larmes pour continuer et après quelques temps qui furent tout de même assez long, le cœur de la jeune fille cicatrisa à son rythme. C’est d’ailleurs Corrine qui l’épaula le plus et avec qui elle pu mieux s’ouvrir, ayant environ le même âge toutes les deux. Les deux cousines se virent devenir d’excellentes amies, beaucoup plus liées qu’auparavant. Ce n’était pas pour rien qu’elles étaient souvent ensemble lors des soirées mondaines auxquelles était invité la famille au complet. C’était certes une bonne occasion de porté la robe de soirée, chose que les deux filles adoraient, mais le tout était d’un ennuie qui aurait pu en faire mourir la pauvre Alizée. Pourtant, cela était un habitude pour eux de se rendre à de tels endroits… À la maison, Vivien Maigny n’était jamais présent, toujours à son bureau au ministère. Après tout, il n’était pas chef de son département pour rien! Puis, lors des rares moments où ils étaient à la maison, l’atmosphère devenait froide. Les enfants étaient les témoins d’une guerre froide entre Vivien et Agnès qui déjà au départ, faisait chambre à part. Agnès, folle et aveugle d’amour, croyait que la crise passerait et s’efforçait de faire plaisir à son mari, mais ce dernier n’était pas du genre à voir cela. Longue histoire, les véritables enfants de ce couple pourraient peut-être mieux vous expliquer les circonstances plutôt qu’Alizée, mais une chose est sûr, ce mariage n’était pas né dans l’amour. Sans quoi son oncle ne couraillerait pas de tout bords, tout côtés, oubliant qu’il avait une femme qui l’attendait à la maison.

Puis, vînt l’entrée à l’école de sorcellerie, à la suite de Ludovic qui y était déjà entré un an auparavant. Sachant très qu’elle allait être dans la même année que sa cousine Corrine, cela la rassurait un peu plus bien que l’expérience elle-même allait être, selon elle, captivante. Pouvoir enfin usée de magie comme les adultes de sa famille l’excitait et la plongeait dans une joie enfantine qui jamais ne s’éteignit aux cours des années. Une fois le choixpeau sur la tête, on l’avait envoyée dans une des quatre maisons de Poudlard où Alizée apprit rapidement à se faire des amis. Malgré tout, la jeune adolescente avait un peu de difficulté à se lier d’amitié avec les enfants de moldus vu l’opinion dans laquelle elle avait grandit. Ce petit problème se vit changer avec le temps, mais les valeurs étaient difficile à modifier dans l’esprit d’une personne qui avait grandit au sein de celles-ci. Du point de vue académique, Alizée Maigny se montrait douée. Sérieuse et attentive, malgré quelques défauts lors de certains cours, elle était une jeune femme qui prenait ses études à cœur. Pourtant, elle était aussi une élève qui en dehors de la classe, adorait s’amuser et les gens passant à côté d’elle pouvait très bien l’apercevoir… Elle passa ainsi sa première année jusqu’à sa cinquième qu’elle allait entamer cette année, après avoir vécu d’énormes péripéties dans sa vie d’étudiante.

Bref, Corrine et Alizée étaient devenues inséparables avec les années, tellement liées qu’entre les deux, plus aucun secret n’existait. Corrine savait beaucoup de chose sur Alizée, particulièrement sur sa vie amoureuse plutôt mouvementée, mais qui finit par se calmer après une véritable peine d’amour lors de sa quatrième année -certes, elle était jeune, mais ça faisait mal tout de même pour une fille qui se contentait plutôt de s’amuser avec les garçons et non pas de s’y attacher!- , tout comme Alizée était au courant pour le rêve de Corrine à propos de devenir pianiste malgré les projets de son père ainsi que le fils de moldus que celle-ci affectionnait tout particulièrement, au plus grand comble d’Alizée qui essayait de la mettre ne garde à propos de la famille. Cette dernière aimant trop, Alizée était au désespoir à force de la voir aller et fini très vite par se dire que jamais elle n’allait succomber aux désirs d’un amour interdit par sa famille tout comme sa cousine… Non, Alizée allait se faire plus forte que l’Amour lui-même et déjouer la flèche de Cupidon, mais quoi de plus naïf venant d’une jeune femme comme elle, n’est-ce pas?

Cinquième année débutée, Alizée Maigny revient d’un été mouvementé dans les défilés, soirée mondaines, voyages ici et là en famille… Bref, sa vie habituelle qui encore aujourd’hui, croule sur l’or.

Découverte de la Magie: Énévitable qu'elle fusse sorcière, la jeune femme a grandi dans un monde de magie ou du moins, c'était ce que la mentalité de sa famille disait. Grande famille de sang-pur, elle devait continuer cette lignée; le temps pressait pour elle de montrer enfin de quoi elle était capable, prouver qu'elle était belle et bien une Maigny. Le jour arriva où la fillette, voulant agripper un de ses jouets disposé trop pour elle, réussis à l'attirer vers elle tranquillement sans dégât. Les parents, fiers, purent finalement dormir en paix et vanter leur petite fille comme étant une fière et futur grande sorcière.

Famille: Alizée est la fille unique de Jacynthe Déry et de Rêmy Maigny, aujourd'hui décédés lors d'un accident de voiture. La jeune femme a donc été recueillie par son oncle, Vivien Maigny, soit le frère de son père, ainsi que sa femme, Agnès de Beaufort. L'adoptant ainsi, la cousine est devenue entre autre la soeur de Ludovic Adrien Maigny, de Corrine Laure Maigny, mais aussi de la fille issue d'une aventure de son oncle, Claire J. Maigny. Il lui est souvent arrivée de ne pas se sentir à sa place, non pas parce qu'elle n'était pas bien aimé au contraire, mais bien parce qu'elle savait qu'elle n'était pas nécessairement là où normalement, il aurait fallu... Pourtant, le destin en a voulu autrement et c'est à Toulouse que la jeune femme rends visite à la tombe de ses parents.

Relations amoureuses: Quelques relations sont notées dans son carnet de bord, mais jamais rien de sérieux. Peut-être a-t-elle aimer réellement une fois, mais son petit nuage s'est vite évaporé. Contrainte selon ses idéaux et ceux de sa famille, il est impensable qu'elle s'entiche d'un fils de moldu. D'ailleurs, la jeune femme à la naïveté de croire qu'elle aura un pouvoir là-dessus, étant certaine qu'elle pourra contrôler l'Amour lui-même et le détourner de ce qui est défendu. Entre-temps, elle s'amuse par-ci par-là. Cela ne fait pas d'elle une "casanova" féminine, mais elle ne crache pas sur un peu de réconfort venant d'un garçon.

Relations amicales: Alizée peu parfois être quelqu'un de difficile, même si elle n'est pas très méchante ou du moins, pas toujours. Malgré qu'elle respecte les sang-mêlés, elle n'ose pas trop dépendre d'eux, ce qui la résous à ne pas tisser de liens extraordinairement grands avec ceux-ci. Cela n'empêche tout de même aux exceptions de se manifester. Sans quoi ses plus fidels complices sont ses cousins, Ludovic, Claire et Corrine, dont la dernière est considérée par le fait même comme étant sa meilleure amie.

DETAILS

Orientation sexuelle: Hétérosexuelle
Baguette Magique: La baguette de la jeune femme est bien unique comme toutes les baguettes en ce monde; vingt-quatre centimètres, sculptée dans l'oranger et additionnée d'une griffe de dragon à crête noir.
Balai: Un modèle qui appartenait à son père, la jeune femme ne s'en séparerait pour rien au monde. Mordue de Quidditch par le fait même, elle adorerait pouvoir pratiquer ce sport à l'école. Voyons voir ce qu'en dira son audition!
Animaux: Elle n'en possède pas. Alizée a de la difficulté à s'en occuper puisqu'il grouille partout et ne s'arrête jamais, pas même une seconde. Elle s'est dont rapidement convaincu que, pour le bien des pauvres bêtes, elle allait se contenter de regarder les animaux du reste de sa famille, sauf peut-être le serpent de Ludovic qui la met en horreur... C'est visqueux!
Forme du Patronus: Ce dernier prend la forme d'un renard roux plutôt petit, mais qui semble malgré tout, bien se défendre.
Forme de l'Epouventard: Sa plus grande peur? Alizée a connu la perte d'êtres chers dans sa vie, cela pourra donc paraître cliché, mais la jeune femme est effrayée de perdre ce qu'il lui reste de famille ou encore, de voir celle-ci décimée ou séparée. Ce n'est pas très compliqué en soi, mais il semblerait que cette bestiole s'amuse follement à réinventer des scénarios les plus tordus les uns des autres, au plus grand malheur de la pauvre Alizée.
Futur envisagé:

Re-bienvenue sur crac =)
Je te réserve l'avatar.
Et de mon côté, tout va bien, je passe avec le Choixpeau d'ici peu. Ta maison est d'ailleurs toute désignée:giggle:

Quelle personne ambiguë que voilà...Tu as des qualités qu'aurait apprécié Serpentard, tu sais? Mais ton dynamisme, ton entrain, ton orgueil et ton ambition te mènent droit vers...

GRYFFONDOR!

Bon jeu =)