DesHayes Consuelo ♦ Take it easy ... but take it

Consuelo Alejandra DesHayes Sarmiento
( ou Coni DesHayes )

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Elle
est appelée Coni par tout le monde ♦ adore le sucre ♦ a une relation amour-haine avec le Chocolat ♦ aime écouter des vieilles séries télévisées comme Ally McBeal ♦ aime le bleu ♦ connaît deux chansons en inuktitut ♦ a sauté deux années scolaires moldues♦ n'a jamais aimé le popcorn ♦ a déjà porté une robe à carreaux ♦ est diplomée de Harvard en Psychiatrie ♦ abhorre les gens qui portent des bas avec des sandales ♦ est appelée Fraise par sa mère ♦ a été mannequin de lingerie ♦ considère le végétarisme comme une compétence ♦ est naturellement blonde ♦ a déjà filrté avec son beau-frère gay ♦ écoute parfois du Muse ♦ paie mensuellement 723 euro pour une manicure - et seulement pour la manicure ♦ possède deux emplois officiels et un qu'il l'est moins ♦ possède des pantoufles en (faux) poil de lapin rose bonbon ♦ se promène avec un Taurus Raging Bull dans son sac a main Louis Vuitton

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Nom - DesHayes Sarmiento
Prénoms - Coni (Consuelo) Alejandra
Age - 38 ans (Disons 23 pour le reste de l'humanité).
Date & Lieu de Naissance - 21 janvier 1994. Nantes, France.
Sang - Mêlé. Mélangé avec du sang de Vélane (de son arrière-grand-mère)
Ancienne Maison - Gryffondor.
Emploi - Directrice du département de justice magique et professeure de vol

DÉTAILS

Orientation sexuelle – Hétérosexuelle. Quoique qu’elle n’est pas fermée à l’idée de sortir de sa zone de confort.
Baguette Magique - 34 centimètre, en Aniba rosaeodora (bois de rose). En son centre se trouve un ventricule de dragon. Carpe Diem Quam minima Credula Postero est gravé sur toute la longueur de la baguette en lettre d’or. Le manche est incurvé et incrusté de saphirs jaunes qui ne sont pas sans rappeler la couleur des yeux de Consuelo. Cette baguette est un cadeau de son premier - et seul - mari. Sinon, elle possède toujours sa première baguette en bois d’hêtre avec un cheveu de vélane (de son arrière-grand-mère qui, oui, est encore en vie).
Balai – Un éclair de feu fait sur mesure. Il est plus rapide que les modèles sur le marché actuellement ; il a une accélération de 320km/h en 10 sec. Il est également équipé d’un dispositif d’invisibilité (Tous les membres de la Brigade Magique en sont équipés).
Animaux – Un chat, nommé Daemon.
Forme du Patronus – Son patronus est une Louve.
Forme de l'Epouventard - Un énorme miroir sur pied. Consuelo a peur de son reflet, peur de découvrir ce qu'elle est en réalité ; un monstre.

APPARENCE

Physique -
Signe particulier - Coni a les yeux - naturels - d'une couleur jaune-dorée. Elle porte toujours des lentilles de couleur brune ou noire. Sa jumelle identique, Pera, a les yeux argentés.

CARACTÈRE

Description -
Principales Qualités - Généreuse - Loyale - Fonceuse - Persévérante - Organisée
Principaux Défauts - Entêtée - Intransigeante - Méprisante - Cynique - Méfiante
En plus -

HORS-JEU

Spoiler:

HISTORIQUE

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Toute ma vie, j’ai vécu dans le mensonge et les faux-semblants. Rien de ce qui ne m’entourait n’était vrai. Tout n’était qu’apparences et de tromperie. Le seul moment de vérité de mes journées était lorsque je dansais. Mes soucis s’envolaient pour me laisser ivre de bonheur et de liberté. Tout l’opposé du reste de ma vie…

001.
« Those who danced were thought to be quite insane by those who could not hear the music »

Troisième position. Grand battement. Double battement fondu. Deuxième position. Demi-plié. Plié. Et on recommence. Troisième position. Grand battement. Double battement fondu. Deuxième position. Demi-plié. Plié. Dégagé. Développé. Mieux … On recommence. Troisième position. Grand battement. Double battement fondu. Deuxième position. Demi-plié. Plié. Dégagé. Développé. Rond de jambe. Grand battement. Plus droite la jambe …

Ces ordres, comme une litanie, emplissaient mon oreille. Loin de m’ennuyer, ils m’enchantaient. Chacun d’eux étant autant de porte vers un bonheur enivrant. Chaque fois que mes bras, mes jambes fendaient l'air, j'avais l'impression que le monde s’arrêtait et qu'il n'y avait que la danse et moi, enlacées dans un inexorable pas de de deux. Lorsque je me mouvais dans le l'espace, je défiais le la vie, je défiais le temps, je défiais la gravité... je défiais l'univers tout entier. Mon corps ne semblait plus rattaché à la terre, je levais plus haut, la jambe plus droit, plus haut... plus haut. Puis la répétition toucha à sa fin, subitement, sans que je m'en rendisse compte. Je redescendis sur terre, étonnée de sentir mon corps gourd et endolori après ce qui m'a semblé n'être qu'un effort minime.

- Félicitations mon ange, tu étais magnifique.

Je me retournai pour voir que Julian m'attendait, près de la porte du studio, un sourire ravi aux lèvres. Automatiquement, mes lèvres sourirent en réponse. Je ne pouvais pas ne pas répondre. Un ange tombé tout droit du ciel me regardait avec approbation, je me voyais mal l'envoyer sur les roses avec un air rébarbatif. Je m'approchai rapidement pour l'embrasser sur la joue qu'il me tendait. Il sentais le bois de santal comme d'habitude... Je le serrais contre moi, comme pour m'imprégner de son odeur.

- Merci. Je cours me changer et je reviens!

Et je courus, effectivement. Comme si le diable était à mes trousses; je voyais déjà les filles de ma classe s'agglutiner autour de lui en battant des cils si fort qu'elles devaient provoquer des tsunamis au Japon. Je ne pouvais les blâmer... Un bel apollon blond, avec des grands yeux bleus comme un ciel d'été sans nuages, un sourire à ravager la forêt amazonienne, ça ne laissait aucune fille indifférente, même pas une ballerine de treize ans. Je me changeais dans des mouvements mécaniques et désordonnés. Non mais vraiment, ça n'allait pas vite aujourd'hui. Mon maillot de corps était trop serré et je n'arrivai pas à retirer mes pointes aussi aisément qu'à l'accoutumée. Allez, Coni, un peu de nerfs! Tu es une fille ou une baleine?, m'admonestai-je. Comme si j'avais du temps à perdre! Julian n'était jamais venu me chercher après un de mes cours de ballet, généralement, il passait me prendre à la maison et nous passions l'après-midi du samedi ensemble. Mais là, je gagnais la possibilité d'avoir toute la journée avec lui et au lieu d'être à ses cotés, je me débattais avec ma chaussure comme une espèce de mijaurée. Il y avait des journées où ma stupidité frôlait la déficience. Je lâchai une litanie de jurons. Satanées pointes. Un sifflement admiratif retentit.

- Quel répertoire Coni ! Je ferais mieux de te sortir d'ici avant que tu te transformes en véritable charretier.

Je relevai la tête et je vis Julian pencher vers moi, avec un sourire en coin. Avec un soupir, je lui montrait la pointe, accrochée à mon pied. Je ne restais pas dans le vestiaires pour le simple plaisir d'admirer le parquet joliment ciré... quoique.

- Peut-être... mais je serais alors une magnifique charretière.

Il ne répondit pas et se contenta de prendre mon pied en secouant la tête. Dès que sa peau rentra en contact avec la mienne, j'eus une sorte de frissons. S'il savait à quel point il avait de l'effet sur moi, peut-être se garderait-il de me toucher... et à ce moment précis, je fus férocement soulagée d'être beaucoup trop jeune pour qu'il puisse me considérer comme une femme. Il passait tant de temps avec moi que si je n'avais que serait-ce deux ans de plus, on nous soupçonnerait entretenir une relation amoureuse. Mais personne n'avais l'esprit assez tordus pour s'imaginer que c'était le cas... Il avait dix-neuf ans, j'en avais treize, c'était comme mon frère... En tout cas lui me considérait comme sa sœur. Son père et mon père était comme les deux doigts de la mains et je suppose que de fil en aiguilles... J'étais tombée amoureuse de son charme facile et de son sourire. Et lui me voyais comme une fillette. J'avais beau avoir une poitrine complètement développée, être presque cinq pied six pouces, il me voyait comme un bébé. Au moins, il m'aimait bien... comme petite sœur. Je fis une grimace.

- Ça va mon ange?
- Euh.. Oui! Non, je pensais que... je... j'avais … faim!

Il me jeta un regard interrogateur avant de me tendre ma pointe que je fourrai dans mon sac avec empressement. Il me tendit la main et nous sortîmes de l'Académie de Danse Lys Blanche main dans la main, souriant, riant et heureux. Plus heureux que nous le serions jamais du reste de nos vies.

***

- Lâche-moi!
- C'est vraiment ce que tu veux, mon ange?

Le sarcasme, tout comme ses mains autour de mes hanches, me fit l'effet d'une claque. Je le repoussai avec véhémence, l'hystérie me gagnant. Rien n'y fit. Il me regardait, hilare, j'avais beau me déchaîner, il restait maître de la situation. En désespoir de cause, je lui enfonçai les ongles dans les dos, comme une vrai furie et je ne me souciai pas une seconde des dommages que je pourrais causer. Il lâcha un cri de douleur et je profita de sa seconde d’inattention pour me soustraire à son étreinte . Je me mis à courir en direction de la porte. Non. Je ne courais même pas; je me lançais de toutes me force vers la seule issue de la pièce mais je ne l'atteignis jamais. Il me rattrapa par le poignet et me projeta avec hargne sur le mur, que ma tête heurta dans un bruit sourd. Je sentis tout mon être s’effondrer au sol, seul la peur m'empêchait de fermer mes paupières qui s'alourdissait lentement... J'avais peur de ne jamais les rouvrir si je fermais. La douleur irradiait de ma tempe et se répandait dans tour mon corps. De la douleur ou de l'angoisse, je ne savais laquelle me paralysait le plus. Je savais seulement ce qui m'attendait et j'en tremblais d'avance. L'ombre se glissa près de moi, tel un rapace étendant ses ailes. L'ombre cacha le soleil, je ne voyais plus qu'un halo l'entourant. Comme si on aurait pu croire un seul instant qu'il puisse être un ange. Ses yeux brillaient d'une cruauté vorace. Un gémissement de douleur anticipé m'échappa. J'eus envie de fermer les yeux. D'abandonner. Je ne voulais pas souffrir. Je ne bronchai pas lorsqu'il s'empara avec une rage possessive de mes poignets. C'est comme si la volonté de résister m'avait quitté. Je me sentais sans défense, faible. Que pouvais-je bien faire? J'étais condamnée, je l,avais été dès le moment ou Julian avait quitté la maison pour me laisser sous le regard concupiscent de Tomas. Puis, quelque chose claqua en moi. Soudainement. Non... je n'allais pas le laisser s'en tirer comme ça. D'accord, il m'emmenait aux enfers, mais il allait venir avec moi. Si je devais mourir aujourd'hui, ce hijo de puta allait souffrir autant que moi. Lorsqu'il souleva ma tête, je lui crachai au visage. Un instant, il resta interdit, puis, il pris mon visage entre une de ses mains en me contraignant à le fixer dans les yeux. Et il me gifla. Avec une violence toute contrôlée, juste pour me montrer qu'il dirigeait. C'est peut-être à ce moment là que je réalisai qu'il avait l'intention juste l'intention de violer, mais qu'il voulait aussi me faire souffrir. Peut-être que je le compris-je, confusément, mais je me débattis avec une ardeur toute renouvelée. Jamais. Je refusais d'être une victime de son esprit détraqué et dénaturé.

- Si tu collaborais... tout cela serais beaucoup plus facile, tu sais.

Malgré le danger de la présente situation, je réalisai l'absurdité de cette affirmation. Bien sûr.. Sorry if I'm trying to stop you from assaulting me. Do I really think that I should to save myself from your perverted fantasies ?Comme si il lisait dans mes pensées, il me regarda avec suffisance et je lui jetai un regard méprisant; oui, j'avais peur, j'avais mal mais je n'avais en aucun cas l'intention de rendre tout cela plus facile. Voyant que je n'avais pas l'intention de capituler, j'eus l'impression qu'il allait laisser tomber. J'étais si naïve, c'était mal connaître les dépravés dans son genre. Il se releva, et un soulagement intense m'envahis, peut-être qu'il avait réalisé l'horreur du geste qu'il avait l’intention de poser. Mon soulagement ainsi que tout mon être se figea lorsque je réalisai ce qu'il sortais de sa poche; un couteau. Doucement, il se pencha à nouveau vers moi et appuya la lame glacée contre ma gorge. Je vis bien dans son regard qu'il triomphait et ça me donna envie de vomir. Il jubilait de me voir et de me savoir à sa merci. On voyait que c'était un fantasme qui le hantait depuis un moment déjà. Combien de fois s'était-il imaginé déflorer la jeune fillette innocente que j'étais? Il m'allongea sur le sol, malgré ma résistance. Je le repoussai avec mes mains,malgré la lame qui entaillait ma peau. mais la force que je déployais était minime comparé à la sienne et je ne réussis qu'à l'agacer…Et je savais qu'il n'hésiterais pas à me blesser sérieusement si je continuais à résister. Il taillada un morceau de ma chemise et attacha ensemble mes deux poignets. Ce n'était peut-être pas douloureux mais les larmes commencèrent à s'accumuler derrière mes paupières, j'étais vraiment sous son emprise. Alors je fermai les yeux. Je ne voulais plus entendre son souffle dans mon oreille, je ne voulais plus sentir ses mains s'égarer sur mon corps qui se tendait sous l'intrusion, je voulais seulement m'évader . Ne plus penser. Ne plus vivre.

***

Je ne me souviens plus vraiment de la suite des événements, je sais seulement que Julian fut le premier à me trouver, étendue sur le sol, sanglotante, couverte d'hématomes et à peine consciente (et à peine vêtue). Le reste s’est perdu dans la brume. On m’a raconté que j’avais été hospitalisée pendant plusieurs jours pour traiter mon état catatonique. Chose que je comprenais absolument ; je m’étonne même qu’ils m’aient laissé sortir. Cette évènement m’avait profondément bouleversé et je n’avais plu été la même.
Auparavant, je n’étais qu’une gosse de riche superficielle et égoïste qui avait tout. Oh, je n’étais pas superficielle de la façon traditionnelle ; je ne dépensais pas l’équivalent du PIB d’un petit pays simplement pour mon amours des vêtements griffés, je ne n’étais pas snob des autres qui n’avait ni ma puissante famille ni ma richesse. J’étais égoïste par mon indifférence. Sans mépriser les moins nantis, je n’avais jamais vraiment fais l’effort de les comprendre ou des les aider. Je me contentais de donner un montant dérisoirement élevée au œuvre caritatives me soucier de savoir pourquoi. Je faisais ce qu’une fille comme il le faut faisait, voilà tout. C’était dans le manuel de la bonne petite fille de milliardaire : être gracieuse, courtoise, plaisante, modeste, réservée, industrieuse et philanthrope. Bien que tous ces mots n’avait de véritable sens à mes yeux, je les appliquais comme un automate… jusqu’à l’indicent.
(UC)

Découverte de la Magie:

Formation :

Famille:

Relations amoureuses:

Relations:

Hello et bienvenue sur Crac' =)
Bon courage pour la suite de ta fiche hug

WelcOooooooome sur Crac' Miss !
(enfin pour moi c'est un re-welcome, cela dit je me trompe peut-être =p )
Alors ton avatar est réservé pendant une semaine, le temps qu'on te laisse pour faire ta fiche. Cela dit, si tu as besoin de plus de temps, il te suffit de poster à la suite et de le faire savoir. Le code règlement est validé !

Bonne chance pour ta fiche, et pour les questions bah tu connais déjà la technique *sbaaaf*

Bienvenu =)
Bonne continuation sur ta fi-fiche <3 !

*O* le seul mot que je puisse dire *sbaff*

HellooOo !
Cela va faire un petit bout de temps que tu n'es pas passée, on garde toujours la fiche ? ^-^

Ouep ouep. *feel ashamed*
J'essais de la finir le plus vite possible =D

Okidou, on prend en note. =p

Coni-chou, on te garde toujours ? smiley

Hello Coni !

Comme cela fait un bout de temps que nous n'avons pas parlé je viens m'assurer que l'on fait bien de garder ta fiche. Je vois d'ailleurs qu'il y a eu des ajouts depuis ma dernière lecture.

Coni je déplace ta fiche et libère ton avatar. Tu pourras sans problème tout récupérer sur demande ;)