Souvenirs douloureux dans la tour. Mais seul ? Non. {Libre}

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Souvenirs douloureux dans la tour. Mais seul ? Non. {Libre} Cristianoronaldoportugamq8

Un ciel noir, parsemé d’étoiles. La Voie Lactée parfaitement visible, parfois une étoile filante. L’eau parfaitement cristalline du parc de l’école de Magie et de Sorcellerie reflétait ce ciel de rêve, sans une seule vague, sans une seule ride. L’air était froid, mais pas sec. Pas de brise, pas de bruit. Rien. Tout était paisible. Les feuilles des arbres étaient comme figées dans l’air froid de la nuit de Mars qui s’étalait sur l’Angleterre. L’herbe verte était recouverte d’une petite buée, un petit brouillard, rien de plus. A cause du froid encore. Rien ne pourrait briser ce silence paisible, bien que pesant. Il n’y avait rien qui bougeait, rien qui s’animait. Sauf peut-être… Une chouette hulula. Ce ne fut que bref, mais assez pour rendre l’ambiance encore plus calme. Personne n’entendrait ce hululement, sauf les élèves qui étaient encore éveillés. Le cas notamment de notre très cher Zeké. Il tenait fermement son oreiller, contre son torse, tête posée sur le tissu entourant les plumes. Il était en chemise de nuit, adossé à la fenêtre, en train d’observer le calme du parc. Il recherchait la paix à son tour, la paix interne. Un regard vers le haut, un coup d’œil à la lune : Quelques jours le séparaient de la nouvelle lune – Une nuit obscure. Noire. Une de ses mèches de cheveux lui tombait au devant du visage, mais il ne la retirait pas. Il ne bougeait pas. Pas d’un poil. Si ce n’avait été du mouvement de son torse lorsqu’il respirait, on aurait pu le croire mort. Tout le monde dormait dans le dortoir. La respiration de tous les autres garçons créait un rythme particulier dans la pièce. Zeké ne savait pas s’il était le seul à être réveillé. Il ne pouvait plus supporter ce calme. C’était inhumain ! Ce calme qui était complètement contradictoire au véritable combat qui se faisait au plus profond de son être. Comment la vie pouvait-elle continuer son cours, comme si de rien n’était ? Comment tous ces élèves, de la première année à la septième, pouvaient-ils dormir dans la même pièce que lui ? Excepté Griffin. Griffin qui ne semblait pas prendre le poison qui coulait dans ses veines sérieusement – Enfin, pas autant que Zeké. Griffin. Il rendait Zeké un peu jaloux. Zeké qui avait deux énormes cicatrices le long du dos depuis cette nuit, semblable à celle qu’il était en train de vivre. Cette nuit là, il avait perdu l’un de ces amis, Ian. IL avait perdu une joie qu’il venait de découvrir, et sa confiance en soi avait été marquée au fer blanc… Fermant les yeux, Zeké chassa du bord de ces yeux une larme. Une seule. Rien de plus. Il garda les yeux fermés. Les rires de son camarade lui revinrent en tête… La forêt qu’ils avaient décidé de visiter pendant une seule nuit, sur un pari débile. Les couleurs, les odeurs… Tout lui revint en mémoire. Il ne pourrait jamais oublier. Jamais oublier ce soir fatidique où le fil de sa vie avait faillit être coupé. Où il avait frôlé la mort, mais à un prix qu’il considérait terrible…

Deux ans et six mois auparavant. Ian, un étudiant de Beauxbâtons, et Zeké, étudiant de Poudlard, venaient de se retrouver devant ce bois. Ce fameux bois dont les branches des arbres les plus extérieurs frôlaient les maisonnées du camp de vacances sorcier dans lequel Ian et Zeké avaient été envoyés. Ils avaient tous les deux quinze ans maintenant. Ils avaient tous les deux ce même esprit de jeunes, prêt à tout, qui semble incassable, et capable de tout. Même de survivre une nuit entière dans le bois. A ce moment là, Zeké et Ian étaient en train de préparer une virée nocturne dans ce même bois. A cause d’un pari entre maisonnées du camp. Cap ou pas cap de sauter dans le lac… Ils avaient perdu. Et le gage avait été de passer la nuit dans la forêt. Au détriment de ce que les moniteurs avaient dit. ‘Ne sortez surtout pas ce soir…’. S’ils avaient écouté… Si seulement des tas de choses. Poussant le battant de la porte, Zeké plus jeune sourit à Ian en murmurant un Lumos. La lumière surgit de sa baguette, et ils se retrouvèrent à marcher sur l’herbe, aussi froide que comme un soir de printemps. Tout allait pour le mieux, le moniteur avait passé son tour de garde. Tous les moniteurs avaient été tendus pendant toute la journée, comme si quelque chose de terrible allait se passer. Zeké et Ian, en adolescents qu’ils étaient, n’avaient pas remarqué cette tension qui stressait tous les adultes du camp. Marchant tous les deux, avec leurs capes de sorcier sur le dos, ils se dirigèrent trottinant vers l’orée du bois, puis s’enfoncèrent. Une autre lumière dans une autre maison. Ils étaient en train d’être jugés par les autres jeunes. Ceux qui avaient gagnés le pari. La lumière de la pleine lune se voilà une fois arrivés dans la forêt. Les branches se tendaient vers le ciel comme des mains crochues, le vent murmurait un sentiment de détresse, et filait vers la montagne comme s’il fuyait quelque chose. Il devait être aux alentours de deux heures du matin, pas plus. Et pourtant, dès qu’ils avaient perdu le camp de vue, Zeké et Ian avaient sentis un trouble dans l’air. Comme de l’électricité statique.

«- Regarde ! Y a quelque chose qui bougé là bas ! avait dit Ian, en pointant un buisson du doigt.
- C’est qu’un lapin, regarde ! répondit ensuite Zeké, en s’approchant et faisant fuir un lapin qui avait semblé être resté trop longtemps allongé sans bouger.
- Ils sont bizarres les animaux ce soir…
- Tu parles, ils doivent être terrifiés d’avoir un Français comme toi dans les alentours ! marmonna Zeké en posant sa baguette par terre, s’asseyant ensuite à son tour.
- Tu crois peut-être que t’es drôle, avec ta tronche de Russe ? J’vais faire un tour, pour voir si je peux trouver quelque chose à ramener à Jake (ndlr le ‘leader’ de la maisonnée contre qui Zeké & Ian avaient perdu), histoire de prouver qu’on est allés jusqu’ici ! »

Lançant un regard à Ian qui s’en allait vers la droite, mini Zeké soupira longuement avant de s’allonger et fermer les yeux. S’ils devaient passer la nuit ici, au moins dormir. Fermant les yeux, il se laissa aller, oubliant tout. Inquiétude, tensions, bizarres… Un brouillard s’empara de ses sens, et il finit par s’endormir…

Quelques minutes, quelques heures ? plus tard, petit Zeké se réveilla en sursaut, par le hurlement qu’un adolescent poussait, comme s’il était en train d’agoniser. Un espèce de bruit sec, un craquement qui déplut instantanément à Zeké, le hurlement cessa. Se jetant sur ses deux jambes, Zeké se mit à courir en hurlant un ‘Ian’ puissant. Il tomba sur une clairière, et vit son camarade, la nuque placée dans une position impossible – Sauf si la nuque était cassée. Grimaçant, le jeune garçon d’origine russes s’approcha pour voir une large morsure le long de la jugulaire d’Ian. Quelque chose l’avait mordu, et ce quelque chose était dans les parages, à en juger les traces de sang qui se dégageaient du corps d’Ian. Déglutissant difficilement, Zeké murmura un ‘Ian…’ difficilement compréhensible, larmes aux yeux. Le corps de son camarade français était sans vie, déchiqueté, visage marqué par une dernière expression d’horreur. Zeké tomba à genoux. En levant les yeux au ciel. Qu’est ce qu’il avait apprit … Ses yeux se tournèrent vers la pleine lune. QUOI ?! La lune ? Pleine ?! Ian, égorgé… Cela ne pouvait signifier qu’une chose. Loup-garou. Le jeune garçon fut prit de panique en voyant la solution de ces questions lui apparaître aussi claire qu’un verre d’eau. Et puis ce grognement commença à s’élever derrière lui. Une branche craqua, et le sang sembla disparaître du visage de Zeké. La bête était derrière lui. N’osant pas lancer un regard en arrière, Zeké cessa de bouger. Peut-être que le loup ne le verrait pas… Un bruit sec, et il sentit des griffes tranchantes comme des couteaux fraîchement aiguisés s’enfoncer dans la chair de son dos et charcuter son corps le long de la diagonale allant de l’épaule à la hanche. Au départ, c’était comme si on venait de lui glacer le dos. Puis il sentit un liquide chaud lui couler le long de la plaie, son sang. Une douleur fulgurante lui lacéra le corps tout entier, et hurlant pour échapper à cette douleur, il se releva et se mit à courir. Aussi vite qu’il le pût. Mais son pied se tordit dans une racine, et il tomba dans un creux. A plat ventre. Aussitôt, il sentit pleins de petits couteaux s’enfoncer dans son flanc, et lui briser une côte. Il hurla. La douleur lui fendit l’épaule, le bras, le bas du corps aussi. Et puis les couteaux disparurent. Des voix de sorciers commencèrent à hurler des sortilèges, mais l’esprit de Zeké ne cessait de s’embrumer. Il n’eut le temps que de voir deux yeux jaunes comme l’enfer, avant de sombrer dans l’inconscience.

Zeké d’aujourd’hui rouvrit les yeux. Il ne voulait plus penser à cette nuit. Les deux yeux, le corps d’Ian étaient gravés dans son esprit à jamais. Il se souvenait s’être réveillé deux semaines après l’épisode, à Sainte Mangouste, sous l’œil vigilant de ses parents, le dos douloureux. L’un des infirmiers lui avait annoncé qu’il avait été attaqué par un loup-garou, qu’il avait frôlé la mort, mais qu’il en payerait le prix : Il porterait le virus de la lycanthropie jusqu’à sa mort. La colère et la rage qui avaient saisit Zeké à ce moment là s’était répercuté sur la chambre de l’hôpital. Tout avait été mis sens dessus dessous, avant que l’infirmier ne puisse lui injecter un produit calmant dans la gorge. Déglutissant avec difficulté, Zeké de nos jours se remit à sangloter en pensant aux deux cicatrices rouges qui ornaient son dos. Il poussa l’oreiller qu’il avait dans les bras et se dirigea vers la salle commune. Il fut étonné de voir que de la lumière éclairait l’endroit, et posant un œil sur la statuette de Rowena, il chercha l’autre personne qui se trouvait dans la salle. Il ne trouvait personne. Qui ? Essuyant ses larmes du revers de la manche, le jeune élève de Serdaigle se tut, et attendit. Quelqu’un ne dormait pas. Il croisa les doigts pour que ça ne soit pas Théo. Pas lui… Pas lui ! Et ce ne l’était pas forcément. Qui alors ?

Traumatisé à vie !?! C'était le cas à dire pour Charly. Une belle blonde aux yeux bleus qui n'était pas capable de passer à l'acte sexuellement. Même si à 17 ans peu de gens de son âge était encore vierge, non ? Même les sixièmes années de Poudlard étaient pratiquement tous déviergé par un de ses meilleurs amis, Theo. Charly était peut-être détester par ses frères qui lui ont fait vivre un calvaire impossible à l'école. Elle était complêtement différente d'eux. Pourquoi ? Keven et Steven R. Nicholls étaient deux Gryffondor qui détestaient leurs soeurs depuis sa naissance. Charly avait piqué l'Attention que portaient ses parents à ses frères. Elle a prit la place. Parcontre, les garçons n'eurent pas le droit de lui faire ce qu'il lui avait fait. C'est peut-être pas aussi terrorisant aux yeux des autres ou encore au point de les traumatisés. Elle n'aimait pas du tout ce genre de chose, ce qui la pousse à stresser, à chaque fois qu'elle arrivait avec quelqu'un au lit, elle se sauvait avant même qui la pénètre. Sa fâche plusieurs, elle les comprend en quelques sortes. S'était comme si on donnait un cadeau à un enfant, et l'enfant l'attend depuis des mois et voir même des années, et le narguer en lui ôtant son cadeau. Ce n'était pas un plaisir fou, voir la personne abattu par ce qu'il allait surement avoir. Enfin de compte, la personne qui voulait Charly au lit perdait son temps, et avait perdu sa soirée pour que l'attention de Charly soit sur la personne qui a tenté de quoi avec elle. Si vous saviez comment la pauvre petite Charly avait été traumatisé, et encore. Elle ne savait pas comment se défaire de ses images qui lui ont tant fait peur, qui la hante. C'était surement moin pire que ce que les autres avaient peur, peu importait. Elle savait ce que Theo avait en tête, en plus. Comment dire à quelqu'un qui croit qu'à cent pour cent qu'on est dépucelé, et qu'on couche pratiquement chaque soir avec quelqu'un ? Theo avait en tête d'un jour couché avec elle comme il faisait avec les autres filles. Elle essayait de ne pas jouer sur les terrains de jeux dangereux. Charly aimerait tant être capable de ne pas stresser et prendre peur et s'enfuir. C'était étrange vu ce qu'elle a fait à Theo. C'était comme dur à croire qu'elle était encore puceau. Bon, ses frères l'avaient traumatisé d'une façon plutôt non amusante, qui n'était pas du tout drôle. Pendant que les parents étaient partit la gardienne n'est pas venue garder les jeunes enfants de la famille Reese Nicholls, un erreur. Ses frères avaient entendu un temps libre pour mettre leurs plans à l'oeuvre. Malheureusement la benjamine de la famille allait y passer, le plan était destinée à elle. Charly jouant au barbie dans sa chambre tranquille, elle n'avait que six ans c'était comprennable. Elle entendit ses frères rentrés, rien ne devait la traumatisée mais posait beaucoup de question. Keven empogna sa soeur et l'emmena de force et l'attache sur une chaise devant la télévision. Une famille de sang-mêlé pourrait vous paraître bizarre d'avoir la technologie des moldues mais Eileen Reese était une né-moldue qui avait demandé à Cristian de vivre en moldu et en sorcier. Donc les frères l'avait attaché sur une chaise et avait ouvert la télévision. Ayant des amis Moldus ayant de mauvaise intention quand ils allaient sur le net leurs avaient montré de la scatophilie. Charly se souvient encore, des images. Sa pourrait faire vomir bien des gens mais comment des gens font-ils pour aimer sa ? Du gens qui chie dans un verre, puis se vomit dans la gueule. Non mais, où va le monde. Il s'en va tout croche, de tout bart, de tout côté. Charly avait ses images atroces qui l'avaient traumatisé très jeune, elle se souvenait de les madames qui s'embrassaient avec la langue et une chi dans le verre. Déjà c'était terrifiant. Elle donna à sa copine, l'autre madame, qui prit le verre et prit la merde qui avait dedans. Les deux femmes recommençèrent à s'embrasser, et commencèrent à se vomir à tour de rôle et en même temps dans leurs bouches. Charly n'avait pas apprécié de voir cela. C'était normal. Comment des gens pouvaient apprécier ? C'était tout juste si elle comprennait quelques choses, mais pas en rapport avec ce qui l'a traumatisé. Elle était blessée intérieurement ; ses frères ne l'aimaient pas. Charly les aimait de tout son coeur mais apparemment eux, non. Elle voudrait les avoir auprès d'elle malgré qui lui en faisait baver. Alors Charly est devenue une agace, et flirt avec tous ce qui peut se servir pour un flirt. S'inventant en plus une vie, c'était encore plus compliqué que vous le croyez. Elle se ment à soit même pour aucune raison, joue dans le dos, et fait comme si elle déteste les gens. Elle se croit forte mais n'est qu'une simple élève qui un jour perdera les pédales et partira dans une débandade total.

Malheureusement, pendant que d'autres vit une vie paisible, Charly s'en faisait pour ses frères. Elle essayait s'approcher d'eux mais à chaque fois sa chiait. Elle s'ennuyait d'eux même si tous les deux frères qu'elle avait travaillait à pré-au-lard. Keven et Steven les deux frères qu'ils n'aimerèrent jamais leur seule et unique petite soeur. Charly couché sur le dos écoutait les autres ronflés. Elle se sentait seule, perdue et se trouvait chiante, comme une sans coeur. Elle se détestait et détestait sa vie. Elle n'était pas comme sa mère pense. Elle était une salope à s'entendre parler parfois. Elle gardait silence et même elle l'écoutait. Charly n'Aimait personne et n'en aimera pas encore avant longtemps. Pourquoi ? Elle ne'en savait rien, personne ne lui avait montré de l'affection. Elle se sentait haïssable. Charly lui manquait de quoi dans sa vie mais n'en parlait. Elle détestait parler pour rien, elle n'aimait tout simplement pas dire des choses de trop qui ont aucun rapport, sauf peut-être avec ses véritables amis. Si elle en avait de vrai. Elle n'avait aucunement l'idée si Theo la prennait pour une véritable amie ou qu'une prochaine conquête. De toute façon, elle était désespéré. Elle se leva de son lit. Elle s'emmerdait trop et les ronflement des autres autour d'elle la dérengeait un peu. Charly mit ses pantoufles, et se dirigea dans sa salle commune. Où elle s'assit sur un sofa, bien tranquille au coin d'un feu presque éteind, les elfes qui la virent réallumèrent le feu. Elle fixa le feu. Charly pensait à qui elle pourrait défaire un couple, juste pour faire chier la population. Elle était bonne la-dedans mais malheureusement, les gens commençaient à la connaître, un peu trop. Elle quitta son regard bleu sur le feu et son regard se fixa sur un nouveau arrivant. Elle le connaissait. Ils avaient été ensemble en cour mais en 5 ième année, il avait redoublé. Elle le fixait. Charly reconnu bien sur Zeké Jordan. Il sortait avec une certain Ashley Johnson qu'elle détestait pour une raison qui lui est inconnu.

Charly « Pas capable de dormir, Jordan. Ou penses-tu à Ashley nu et sa te fait des cauchemards ? »

Dit-elle sur un ton neutre. Elle ne le connaissait pas
beaucoup mais aimait écoeurer les gens au risque de se faire frapper. Elle se fichait complêtement de Zeké Jordan. Il avait changé de toute façon comme Theo. Elle s'étai habitué au changement mais pas de n'importe qui. Charly était froide depuis quelques temps. Elle était différente. Charly regarda de nouveau le feu, elle s'en allait dans un monde qui était le sien, sa pensé. Vous savez comment elle s'est rendue à Serdaigle ? Par son intelligence et son sens de déduction, mais maintenant l'utilisait-elle ? Pas vraiment. Elle s'inventait une vie, la fille facile et désirée, et non ce qu'elle est vraiment,studieuse, intelligente et très présente, à l'écoute des gens autour d'elle. Tout pour se rendre interessante ce qu'elle faisait en ce moment. Les gens rentraient dans son jeux. C'est ce qui troublait le plus, non ? Elle était là et ne pouvait pas passer inarperçu. C'est aussi pourquoi, Charly avait une jalousie contre Ashley, elle pognait et avec un joli garçon qui était désirée des filles. Charly avait de la misère pour elle de se faire aussi grande que Ashley qui se faisait remarquer. C'était injuste. Elle trouvait qu'Ashley avait trop d'importance dans cette école. Si seulement, elle avait le sens de ne pas stresser, de ne pas être ce qu'elle est, celle qui se ment. Comment allait-elle redonner du sens à ce qu'elle est réelement ? Elle avait aucun sens. Charly voulait changer en quelques sortes mais n'en serait jamais capable, donc elle restera surement la menteuse qu'elle est jusqu'a la fin de ses temps. Elle ne déconnait pas sur la fin de ses temps. Si seulement, elle aurait des frères qui l'aimeraient, sa serait surement différent, elle aurait des liens faciles avec des gens qui la ferait marcher sur le droit chemin. Alors que maintenant, elle dégringolait de ce qu'elle était plus jeune. Les temps changent et Charly suit comme le mouton qu'elle est. Elle ne doit surtout pas être pas cool, faut qu'elle soit être super canon à la hauteur des top's. Charly remit son regard sur Zeké, elle le regardait de son regard bleu bleu qui ressortait beaucoup. Charly le regarda en profondeur et vit qu'il avait pleuré. Un homme pleuré mais c'est une joke. Un grand gailard pleuré, elle devait filmer ce spectacle. Finalement le ridiculiser par la suite. Non, elle allait demander et être chiante. Charly le regardait et un sourire en coin apparu sur son visage. Elle réfléchit à ce qu'elle dit.

Charly « Un grand costaud pleuré. J'dois filmer sa, non ? J'sens que tu vas en pleurer grand garçon que tu es la vie est difficile, mais tu es encore capable de pleurer... PFFF un homme sa ne pleure pas! »

C'était une affirmation plus qu'Autres choses. Elle avait vu des hommes pleurés,mais Zeké était une personne qui était plutôt amusante à s'en prendre. Elle ne savait pas pourquoi mais elle agissait comme une conne. Elle était conne de toute façon. Charly était comme elle était mais à deux heures surement dépassés du matin être encore capable de parler sans broncher était plutôt fort. Demain, elle allait fatiguer et elle s'en fichait. Elle avait un foutisme en développement. Elle devait le travailler. Charly se souvenait en première année, Amie avec a peu près tout le monde sans avoir de problème souriante, enjoué et à son affaire. Pas entrain de perdre son temps à écoeurer les gens et les poussés à se fâcher contre elle. Charly est une âme libre qui avait besoin d'aide.

[ Ce n'est pas aussi long que toi mais bon, on peut se débrouiller avec, non ? ]

Il n’était pas tombé sur Theo, mais sur Charly. Et dieu, qu’est ce qu’il aurait préféré tomber sur Theo. Une fille, répulsive, mensongère et en plus qui flirtait avec tout ce qui bougeait, c’était pas du tout ce qu’il voulait avoir face à lui maintenant. Pas maintenant qu’il avait les yeux rouges de larmes, qu’il avait la tête complètement meurtrie par son retour en arrière. Cette fille, il ne l’aimait pas. Et c’était fort compréhensible aussi d’un côté… Il resta sur les escaliers, main sur la rambarde, au cas où il chuterait, ce qui était fort improbable. Néanmoins, il resta là. L’idée de se réchauffer près du feu lui était passée, et il ne voulait surtout pas rester avec Charly. Il aurait pu faire demi-tour, remonter incognito… Voilà seulement : Charly l’avait vu.

Charly : Pas capable de dormir, Jordan. Ou penses-tu à Ashley nu et sa te fait des cauchemars ?

Zut. Il n’allait pas pouvoir remonter. C’était un peu délicat, il aurait préféré se retrouver face à Theo, avec lui au moins, il pouvait se bastonner. Or, bastonner une fille – Aussi sauvage ou mensongère soit-elle n’était pas digne d’un garçon de Serdaigle. On pouvait taper tout le monde, Theo, Adam, Zayne, ou les autres… Mais pas une fille. Jamais. Charly R. Nicholls ne ferait pas exception à cette valeur. Il pouvait s’attendre à autre chose d’elle… Elle avait très tôt commencé à montrer des signes de jalousie envers Ashley. Zeké ne savait pas si c’était parce qu’elle sortait avec lui, ou si c’était pour autre chose. Quoi qu’il en soit, il s’appuya sur la rambarde et regarda ses pieds. Que répondre à ça ? De toute façon, il n’avait pas envie de riposter verbalement à cette… poufiasse. Il soupira simplement longuement, impassible.

Charly : Un grand costaud pleurer. J'dois filmer ça, non ? J'sens que tu vas en pleurer grand garçon que tu aies la vie est difficile, mais tu es encore capable de pleurer... Pff, un homme ça ne pleure pas !

Un homme ça ne pleure pas. Quelle stupidité. Tout le monde pleurait, on ne l’admettait jamais. Zeké pleurait. La preuve. Si elle voulait filmer (d’ailleurs, ça voulait dire quoi, il n’était pas trop moldu en soit même…) Zeké en train de chialer comme un gosse, elle en avait l’occasion. Elle se moquait de lui. Disait qu’il se plaignait d’avoir une vie difficile. ‘Être un loup-garou, tu sais, c’est pas la joie…’ songea-t-il en lui adressant un simple regard. Un regard sans expression, perdu. Soupirant ensuite une deuxième fois, Zeké se redressa et prit la parole d’une voix un peu rouillée.

« Je pleure si j’en ai envie tu sais… - commença-t-il avant de reprendre – Puis, ça fait maigrir… »

Stupide. Complètement et entièrement stupide. Zeké avait dit ça de manière complètement et entièrement STUPIDE. Il se redressa et s’étira. Un crac le long de son dos se fit entendre et il se passa la main le long de la moelle épinière. Du mieux qu’il le pouvait aussi hein… Il n’aimait pas toucher son dos. Mais il devait le faire de temps à autres… Enfin. Il descendit quelques marches, pour ne pas avoir l’air d’un oiseau sur son perchoir qui a peur de se faire attaquer par le méchant gros minet, et s’approcha du feu en fourrant ses mains dans les poches. Que faire ? Que dire ? Il n’avait absolument aucune idée. Il lança un regard à Charly par dessus son épaule et inspira profondément avant d’amorcer un mouvement pour parler, mais ce coupa lui même. N’importe quoi. Il allait encore dire une connerie. Il se passa la main dans la nuque, et s’ébouriffa les cheveux. Il ne savait pas trop quoi dire, ou quoi faire.

Il songea à la renvoyer dans son dortoir, elle ne l’écouterait pas : Ni préfet, ni préfet en chef. Aucune autorité, si ce n’était sur les petits. Et Charly était aussi vieille que lui, donc bon… Ca n’aurait servit à rien. Il s’appuya sur la cheminée, en face du feu et fixa les flammes dansantes, d’un œil vigilant. On ne savait jamais si Charly avait la mauvaise idée de le pousser dans les flammes. L’idée de voir ses vêtements brûlés, ça ne l’enchantait pas trop trop. Il garda la tête légèrement enfoncée dans les épaules, sans rien dire.

C'est pas terrible...

Charly n'Était pas reposante, pour personne. Sauf que plus qu'on regardait la situation, plus qu'elle passait pour la méchante de l'histoire. Elle n'était simplement chiante parfois. Pourquoi être placée à Serdaigle dans ce cas ? Elle était si différente des autres Serdaigles, sauf peut-être Theo, mais il y a une histoire derrière chacun. Charly peut en témoigner, mais sa vie n'était pas si terrible à comparer d'Autres. Elle ne voyait pas la chance qu'elle a. Surtout depuis que ses frères font que la faire chier pour toute sortes de choses, mais elle ne se rend pas compte que ses frères l'aiment et parfois c'est chiant pour Keven et Steven qui voulaient se faire pardonner en quelques sortes de tous les bêtises qui lui avait pu lui faire vivre. Cependant, Charly ne voulait rien savoir malgré qu'elle les aime beaucoup. C'est que dans leurs familles ses parents, à part son père, pense qu'ils s'Aiment tous. Charly sait que Steven et Keven n'en parle pas à leur mère de leurs froids avec Charly. Il fallait éviter. La mère de Charly pensait que tout allait bien mais pas pantoute, c'était le contraire. Apparamment, il y avait que le père de Charly qui avait remarqué la relation entre ses fils et leurs soeurs. Elle s'en foutait que ses parents croient des choses qui ne sont pas vrai. Combien de gens savent qu'elle ment ? Elle, peut-être le garçon qui se trouvait dans les marches de la tour de Serdaigle menant aux dortoirs. Surement, elle le détestait sans vraiment une raison valable. La jalousie ? Surement. C'Était son genre d'être jalouse des gens, en plus qu'il était beau, et les filles le voulaient pratiquement tous, elle passait inaperçu, comme les autres quand Ashley se trouvait dans le coin. Charly ne se rendait jamais compte qu'elle était égoïste, elle ne voyait que les gens autour d'elle avait le droit d'être bien avec ceux qu'ils aiment pour de vrai. Elle s'est toujours mentit à soi même. C'est sur qu'elle a connu le grand amour, mais ne la jamais démontré, et n'en parle pas à personne. Elle veut pas en parler pour son bien, sauf que deux personnes savent la vérité mais une sait la vérité au complet, Heath la savait mais pas au complet à comparer de Synthia qui la sait au complet. Vous voyez avec les gens avec qui qu'elle traîne ? Theo, Heath et Synthia sont peut-être une mauvaise compagnie pour les gens menteurs et manipulateurs. Sa ne voulait pas dire nécessairement que Synthia, Heath et Theo n'étaient pas des gens bien qui font qu'elle soit comme sa, mais Theo est une Manipulateur et parfois, souvent même un menteur. Parcontre, elle s'attendait bien avec lui donc, elle en profitait au maximum. Du moin pour l'instant. Elle regardait de ses yeux aussi bleu que le ciel, même plus bleu, bien sûr sans nuage à l'horizon. Elle avait peut-être été un peu fort sur Ashley. Elle ne voulait pas que les gens savent pour sa jalousie envers cette fille. C'était trop tard, elle allait se démerder, si il luiposait une question dessus sa.

Zeké « Je pleure si j’en ai envie tu sais…Puis, ça fait maigrir… »

Charly « Tu es con ! Sa te fais pas du bien de pleurer en tout cas, tu t'amoches pas à peu près ! »

C'était vraie de plus en plus qu'on le regardait, plus qu'on voyait que pleurer l'Amochait. Pourquoi avait-il pleuré ? Charly avait quand même un coeur et des sentiments, elle ne passait pas par-dessus un garçon de la carrure à Zeké pleuré, c'était étrange. N'ayant jamais vu pleurer ses frères et son père, elle sa lui faisait tout bizarre. Elle n'était pas habitué mais apparemment, elle devra voir souvent. Charly trouve que les Serdaigles sont fragile à la première vu, trop même. On ne devait pas se fier à l'Apparence souvent elle est trompeuse. Qui qui aurait pensée qu'une barbie aurait été menteuse et méchante ? Qui qui aurait pu savoir que chaque fois Charly mentirait ? C'était comme sa. Autant voir un gars pleuré. C'Était la vie. Charly ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait. Si elle aurait comprit un sens de la vie, elle aurait laissé passer. Parfois la jalousie allait loin, et voilà qu'elle était jalouse de Zeké en plus de Ashley. Elle était tellement une " No life ". Qu'elle avait oublié ce qu'elle était. Est-ce que c'est pour sa qu'elle paraissait à toujours se poser des questions devant la jalousie qu'elle portait au jeune couple ? Surement, elle était seule, et pas de vie. On se foutait qu'elle soit vierge, les gens ne veulent pas savoir c'est truc, et n'y sont pas comme " Ah tu es vierge, nan mais tu t'es tu vu ? ". Bon disons que Charly se fait remarquer par ses cheveux pratiquement et ses beaux yeux bleu. Qui qui ne les avait pas remarqué ? C'était étrange comment elle était capable de vous suivre du regard si intensément. Au direct que les gens avec les yeux aux couleurs voyantes sont plus intense que les autres, surement parce qu'on le remarque plus. Elle suivait des yeux Zeké. C'était bizarre comment leurs relations pas pantoute amical et qu'il n'a jamais été amical d'ailleur pour aucune raison, c'était juste étrange. Charly se lève le matin, elle et décide de s'en prendre à tous. Comme un fois où elle a piqué les vetements de Nathan Blair et en a fait une corde à linge, encore une fois pour aucune raison. Alors Zeké n'est pas le premier à avoir aucune raison. Elle s'en prennait jamais à lui par la force, mais par les mots parce que si un jour, elle tombe sur une journée, il n'est plus capable, elle pourrait se mettre dans une position dangereuse, non ?

Charly prit un coussin et le lança en direction de Zeké qui c'était approché de la cheminée. Elle n'avait pas l'idée de le poussé dans le feu. Elle pourrait mais elle n'était pas aussi folle. En lançant un coussin à Zeké, ce n'était que l'écoeurer. Sa ne faisait pas mal et non salissant. C'était de la chance qu'elle soit de bonne humeur aujourd'hui. Charly regardait tout autour d'elle.

Charly « Sa t'as faites mal moviette ! »

Mais qu'est-ce qu'elle faisait là. C'était la pire des conne ou quoi. Charly se leva et changea de sofa, juste pour Admirer son joli petit cul à Zeké comme plusieurs disaient bien.

Tête rentrée dans les épaules, Zeké fixait les flammes dans la cheminée. Il avait encore les yeux marqués par les larmes qui avaient coulées quelques minutes auparavant. Les flammes dansantes, qui faisaient crépiter le bois. Les éclats de chaleur se reflétaient dans le regard du jeune Serdaigle. Il ne savait trop quoi faire. Il posa le menton sur l’épaule et s’essuya la lèvre dans son t-shirt. Il resta quelques secondes ainsi, à première vue songeur. A quoi songeait-il donc ? Au vide. Il n’écoutait que le crépitement des flammes dans la cheminée. Il se téléportait mentalement autour d’un feu de camp, au milieu d’un cercle d’amis. Avec la lueur des flammes dansantes sur les arbres, sur les rochers, avec une musique de banjo en fond sonore, derrière les rires des personnes présentes. Elles étaient pour la plupart souriantes. Avec un schamalow grillé dans les doigts, s’apprêtant à l’avaler goulûment, du bout des doigts pour ne pas s’en mettre partout. Impressionnant ce qu’un simple feu de cheminée peut rappeler. En si peu de temps ! Il ne se souciait plus trop de Charly. C’était une petite fouteuse de merde, énervante. De la même trempe que Theo en réalité. En moins pire par contre. Il ne l’aimait pas, elle était trop… Trop. Il ne saurait définir ce qui le gênait en elle, c’était trop confus pour lui. Qu’elle le provoque, le frappe, l’insulte… Il ne réagirait jamais violemment comme il le ferait avec Theo. Theo c’était toujours différent. Jamais la même chose qu’avec quelqu’un d’autre. Theo, Zeké le frapperait pour le moindre mal qu’il ferait. Seulement, même si Charly était de la même espèce que Theo, jamais Zeké ne lèverait la main sur elle. C’était trop contraire à ses principes de bon garçon : Jamais frapper une fille. Quelle qu’elle soit. Il retourna la tête pour fixer de nouveau les flammes. Puis il se redressa et se racla la gorge.

Charly : Tu es con ! Ca te fais pas du bien de pleurer en tout cas, tu t'amoches pas à peu près !

Il sourit. Plus pour lui même en fait. Puis il fit disparaître le minime sourire qui venait de faire son apparition, comme s’il enfreignait une loi qui se punissait par la peine capitale. Il lança un regard par dessus son épaule à Charly, comme pour voir ce qu’elle voulait réellement dire par là, mais ne reçut qu’en réponse qu’un oreiller bien lancé. Il se racla de nouveau la gorge, il avait un chat coincé. Puis il renifla, histoire de passer l’épisode une fois pour toutes. Le coussin envoyé ne lui avait pas fait mal, comme l’espérait certainement Charly. Qu’elle le traite de mauviette… Ce n’était pas son problème. Des deux présents, c’était elle – D’après Zeké – qui était la plus mauviette des deux. Obligée de mentir, de frauder, de… Tellement de choses pour arriver à quelque chose. Elle ne savait rien de la vie, la vraie. Des choses qu’on a dites et que l’on voudrait ne pas avoir dites, des choses qu’on a faites et que l’on n’aurait pas dû faire, des choses que l’on aurait dû faire et pas fait, toutes ces choses là. Si Zeké le pouvait, il reviendrait plusieurs années en arrière, s’empêcherait de sortir cette nuit là. Il la vit changer de siège après l’avoir provoqué. Il haussa les épaules et, regardant toujours les flammes, lui adressa une réponse :

« Si tu veux que ça me fasse mal, j’ai mal, sinon, j’ai pas mal… »

Qu’est ce qu’il avait ce soir décidément ? Lui qui répondait avec plus d’ardeur, plus de zèle ! Il se suffisait de quoi, une quinzaine de mots ? Il était vraiment au plus bas alors. Il lui adressa un petit regard, et se cambra encore plus. Il avait mal au bas du dos. Généralement, quand cela arrivait, il se cambrait, arquant le bas de son dos de manière à … faire ressortir le bassin – Donc les fessiers. Il soupira longuement. Puis il reprit :

« A toi de voir », affirma-t-il avec un petit pincement aux lèvres. Elle pouvait décider d’elle même la douleur qu’elle lui infligeait. Enfin, entre nous, lui ne ressentirait rien, mais elle obtiendrait peut-être de la satisfaction. Pour une fois que l’on pouvait choisir…