Blessures Et Discussion

Sous peine et misère, Julia tentait bien de cacher sa douleur. Oui. Essayait était le bon terme. Mais elle ne réussissait pas. Elle avait l’impression de sentir battre son cœur dans sa jambe brisé. Oui, elle avait véritablement mal. Elle, une fille très orgueilleuse. Cette situation l’aidait en rien pour son caractère. Mais bon! Elle fit tout pour ne rien montrer à monsieur-qui-habituellement-rit-toujours-de-ceux-qui-tombent-des-escaliers. La jeune femme s’accrochait pertinemment après sa jambes et alla même jusqu’à refuser l’aide de celui-ci. Mais comme à l’habitude, Ludovic mit son nez pour tenter de voir si elle avait d’autres blessures visibles. Mais ça, pas question d’en laisser voir plus que ça! Elle voyait bien qu’elle était une mauvaise actrice, Il voyait clairement qu’elle avait mal…. Pas réussi… Elle l’observa faire, n’y pouvait plus rien faire, et elle croisa le regard de celui-ci.Proches. Un grand bond se fit dans son cœur et un deuxième et ça continua ainsi… Leurs visages étaient si proches… Elle aurait pu avancer d’un pouce et elle aurait embrasser ces lèvres d’homme. Mais sous un instinct de protection, elle pencha son visage vers la gauche pour éviter son regard. Pour la première fois, elle venait de … plier? Jamais elle ne lâchait un regard. Jamais elle flanchait. Pourquoi maintenant? Pourquoi devant lui? Ahhh tout ce qu’elle souhaitait, c’était que tout redevient comme avant. À l’époque où elle pouvait regarder les garçons sans d’arrière pensée. À l’époque où elle prenait un malin plaisir de s’amuser avec les garçons. Mais maintenant… rien n’était plus pareil. Elle le savait. Elle l’avait senti au fond d’elle… Mais ce qui se passait?

Soudainement, Julia vit Ludovic se relever brusquement. Un bruit se fit. Oh non! Il venait de se cogner! Ils n’étaient visiblement pas très chanceux en cette journée ensoleillée. Oubliant durant un bref moment sa douleur au jambe, elle laissa sortir quelques sons de sa bouches. « Ça va ? » Voyant, que celui-ci se remettait bien plus facilement qu’elle avec sa jambes cassé, la douleur à la jambe revenu de plus belle. Plus fort et plus intense. Ce qui fit légèrement couler une petite larme au coin des yeux de Julia. Oui. Pour le coup de ne rien laisser voir, ça ne marchait pas! Julia était bien meilleur que ça et elle n’était pas une de ces filles qui pleuraient à rien! Elle, qui avait de la difficulté à verser un seul larme, visiblement, elle était capable d’en verser dans des cas pareils.

Ludovic se remit à lui parler pour savoir si elle était capable de se mettre debout et ainsi lui proposer son aide de la transporter. Sous cet offre, Julia ne montra pas son air étonner, mais elle l’était au fond d,elle. Depuis quand il se montrait… soucieux? Elle le connaissait bien! Il n’était le type de gars romantique et qui faisait tout pour faire plaisir aux fille. Il pouvait certainement charmer mais faire ce geste relevait presque du miracle. Est-ce que c’était à cause qu’il venait de se cogner? Visiblement, rien de marchait aujourd’hui! Elle allait répondre quand celui-ci qui ne fallait pas qu’elle fasse d’idée. Des idées? Quels idées? Elle n’y comprenait absolument rien. Peut-être à cause de son manque d’expérience en l’amour qui la rendait si… aveugle? Il fallait dire qu’elle n’était celle qui voyait le plus facilement les signes. Elle était meilleure pour voir les nouveaux couples se former et remarquer ceux qui étaient en train de faire l’art de séduire.

Mais Julia souriait. Enfin. Elle ne souciait plus de tous ces questions qui venaient à sa tête. Tout ce qu’elle voulait, c ‘était de se faire guérir. Elle le regarda et elle eut l’impression que tout commença à se replacer. Comme s’il n’y aurait jamais eu cette étrange regard entre eux. Elle l’écouta parler de nouveau et elle ne fit que sourire encore plus. Élargir son sourire. Bon, c’était le moment! Il fallait qu’elle se relève sinon elle resterait dans les escaliers toute la vie! Premier tentative. Douleur. Deuxième tentative, un très forte douleur qui clouait au sol. Julia regarda Ludovic avec son petit air en coin.

- Enfin, je vais pouvoir voir si tu es vraiment aussi fort ce que tu en n’as l’air. Je ne suis pas capable de me relever, comme tu peux voir. Allez aide moi, toi et tes bras! En finissant avec un petit rire. Elle ne rirait pas de lui, mais elle venait de réaliser que la situation était plutôt loquace. Elle tendit ses bras pour qu’il puisse la prendre correctement. Un effet d’apesanteur. De chaleur humaine. C’était la première fois qu’elle se faisait prendre par un homme, de surcroît par son ami. Elle ne pouvait pas dire qu’elle détestait cela! Elle le regarda droit dans les yeux et avec son sourire habituel.

-Hum, on peut véritablement dire que tu es assez fort. Reste à voir si tu seras capable de me transporter à l’infirmerie.Ne se moquant pas tout à fait de lui, elle pouvait dire qu’elle avait confiance en son ami. Elle avait tombé sur un bon gars. Froid certes, mais avec plusieurs qualités qui le rendait… unique? Ainsi, ensemble, ils se dirigèrent vers l’infirmerie et dieu que Julia bénis que le chemin ne soit pas aussi long!

ET enfiin, ils arrivèrent à l’endroit tant attendus! Tant souhaités! Dès que Julia fut posé sur une des lits, elle regarda Ludovic en souriant. « Bien alors, je te lève mon verre. Tu es plus fort que je croyais. La prochaine fois que je vais faire bouger de quoi, je sais à qui je vais faire appel! » En faisant un clin d’œil à celui-ci. Elle vit que les infirmiers étaient occupés mais elle ne s’en occupait plus pour l’instant. Elle était dans un des lits et elle était plus confortable que dans les escaliers. Elle regardait toujours aussi fièrement Ludovic. Ne pouvant pas résister à son ami, elle répliqua aussitôt.

-Approche toi! Je vais te rendre la pareille… du moins, je vais me sentir moins coupable! Julia l’obligea à se pencher et elle déposa un baiser sur sa joue. Sans aucun arrière pensée… quoiqu’elle ressentit son cœur se battre bien plus vite. Ettt… soudainement, il eut une des vieilles infirmières qui venu juste au bon moment. Celle-ci dit « Oups, je vous dérangerais? » Avec sa petite voix dérangeante. Julia fit un saut et elle la regarda croche. Elle avait pratiquement le goût de lui lancer un de ces oreillers par dessus la tête! Aussi rapidement que cette vieille arriva, aussitôt qu’elle quitta. Mais mon dieu, ce qu’elle avait cette femme?

-Je crois qu’elle devient de plus enplus dingue, celle-la. Que Julia dit à son ami. Bien qu’elle se mit à penser qu’elle avait pratiquement rougis à la remarquer de cette dame. Est-ce qu’elle aurait voulu que ça soit la réalité? Ah non! Julia voulait penser à autre chose que ça… Si, elle ne voulait rien voir de ça… Elle voulait faire taire son cœur…

PS: J'espère que ca va aller!

En plus de tout cela, c’était elle qui lui demandait si ça allait! C’était assez fort dans cette situation, il ne s’était que cogné la tête, elle avait la jambe pratiquement démolie. Alors oui, lui, il se portait à merveille. Il conserva tout de même un calme mesuré et dit :

- Dans les circonstances, je peux dire que je vais parfaitement bien. Quand à toi…

Au début il voyait bien qu’elle ne voulait pas accepter son aide. Sa jambe était réellement détruite et elle s’entêtait à faire comme si tout allait bien, non mais, quand même, ce qu’elle pouvait être têtue! Intérieurement, Ludovic sourit en se disant qu’il aurait agi de la même façon, mais lui c’était un garçon et elle était une fille. Les filles, n’était-ce pas ce qu’elle recherchait toute, de l’attention? Visiblement, Julia n’était pas comme ça et cela lui plaisait bien, car il en avait marre des pleurnicheuses et des égocentriques. Il en était venu à un point dans sa vie ou il croyait que les filles ça ne servait qu’au…plaisir? Parce qu’avoir une vrai conversation avec une fille, ça finit toujours par tournée autour de potins, d’ongles brisés et surtout, d’elles et de leurs sentiments! De plus, il est pratiquement impossible de placer un mot et à la moindre blague, on se fait fusillé du regard et on est un sans cœur. C’est était lassant à la longue. Pourtant, c’était différent avec Julia, Ludovic sentait qu’il pouvait discuter avec elle, pas assister à un monologue, discuter et de plus, elle savait rire, elle savait distinguer les plaisanteries et ne se prenait pas trop aux sérieux. Ludovic porta son regard sur elle. Il devait s’avouer qu’elle n’était pas désagréable à regarder non plus, loin de là. Mais qu’est-ce qui lui prenait? C’était Julia, il ne pouvait se mettre à faire son éloge ainsi…pouvait-il? Il se passa de nouveau la main dans les cheveux, geste qu’il faisait quand il était tracassé ou plus nerveux. Ce qu’elle pouvait être têtue! Il vit une larme coulée le long de sa joue. Elle allait lui dire qu’elle n’avait pas mal après? Aller, s’en était assez! Au moment ou il allait protester, dire que ça n’avait plus de sens et la porter de force, elle sourit. Elle souriait? Est-ce qu’elle se moquait de lui? Ludovic ne s’inquiétait jamais de ce que les autres pensaient de lui. Elle pouvait bien se moquer si elle voulait! Mais au fond, il savait que ce n’était pas totalement vrai…Mais, plus il la regardait, plus il comprenait qu’elle ne se moquait pas vraiment. À ce moment précis, il aurait bien eu besoin d’une douche froide ou d’une claque dans la figure pour retrouver ses esprits. Il n’était pas lui-même! Pas que ça lui déplus, mais c’était différent. Pas désagréable, différent. Il y avait toujours ce côté froid en lui et il tentait d’avoir l’air le plus impassible possible, mais une partie de son cœur se révoltait, criait qu’il ne devait pas être de glace en permanence. Qu’il avait le droit lui aussi de sourire, de vraiment sourire, pas de rire des autres, simplement d’être heureux.

- Enfin, je vais pouvoir voir si tu es vraiment aussi fort ce que tu en n’as l’air. Je ne suis pas capable de me relever, comme tu peux voir. Allez aide moi, toi et tes bras!

Il ne put s’empêcher de sourire, mais sa fierté était piquée à vif. Comment ça, s’il pouvait la porter? Bien sur que oui! Il la prit dans ses bras. Est-ce qu’elle doutait de sa force? Il émit un léger rire :

- Alors, tu as fini par craquer pas vrai! On appelle ça de l’orgueil mal placé Miss de rester à se tordre de douleur au sol et pas vouloir le montrer. Malgré que je parie que dans le fond, tu voulais simplement que je te prenne et que tu es en parfaite santé.

Il fit mine de la poser au sol et il senti ses mains se serrer plus fort sur lui. Il sourit.

- Je plaisante, je ne ferais pas ça voyons, je ne suis pas si méchant!

Il devait dire qu’il ne détestait pas le contact chaud de son corps contre le sien. Bien sur, Julia était assez grande, plus grande que la plupart des filles, mais elle était si mince qu’elle ne pesait pratiquement rien! Mais Ludovic devait éloigner ses pensées…se concentrer sur le chemin. S’il devait tomber, qu’elle honte…De plus, il était maladroit parfois dans ces situations alors, il devait vraiment faire attention.

- Hum, on peut véritablement dire que tu es assez fort. Reste à voir si tu seras capable de me transporter à l’infirmerie

Cette fois, il éclata de rire. Il avait un rire franc et sonore.

- Écoute, tu es si légère que je pourrais te porter dans tout Poudlard sans même suer une seule goutte ou forcer le moins du monde!

Ils atteignirent finalement l’infirmerie et Ludovic se dit que le chemin avait passé vite…trop vite? De toute façon, il fut content de la poser sur un lit, car le léger engourdissement qui le prenait lui fit comprendre qu’il était peut-être mieux qu’il s’éloigne…un peu.

- « Bien alors, je te lève mon verre. Tu es plus fort que je croyais. La prochaine fois que je vais faire bouger de quoi, je sais à qui je vais faire appel! »

Il sourit en se tirant une chaise près du lit ou il l’avait installé.

- Hum…heureux de savoir que tu feras appel à moi pour déménager des meubles! C’est moi galant que transporter une demoiselle en détresse…mais enfin…

Il lui fit une œillade.

-Approche toi! Je vais te rendre la pareille… du moins, je vais me sentir moins coupable!

Ludovic s’approcha sans trop réfléchir. Il avait bien envie de s’approcher, mais quand elle déposa un baiser sur sa joue, il se senti rougir. Il tourna la tête et leurs yeux se rencontrèrent. Il se senti l’interroger du regard. Était-ce vraiment pour lui rendre la pareil ou?...Secrètement, Ludovic espérait peut-être que non…mais que devait-il faire? Comment devait-il agir? Pour la première fois…il songeait avant d’agir dans ces choses là. Généralement, il se fouttait pas mal des conséquences…mais la, il n’avait pas vraiment envie de tout fouttre en l’air. Non, ce n’était que des fabulations! Il ne devait pas être gentil et doux. Il n’était pas comme ça. Il ne l’avait pas été depuis la mort de sa mère. Étrangement, Julia lui faisait pensé à sa mère et se souvenir le poussait à ouvrir son cœur, enfermé dans la glace depuis si longtemps.

« Ressaisi toi Ludovic, éloigne toi merde, c’est ton amie et tu as bien vu qu’elle à agit sans arrière penser, arrête de te faire des scénarios, il n’y a rien entre vous! »

Il entendit alors une voix de femme.

« Oups, je vous dérangerais? »

C’était le coup de pouce qui lui fallait. Il s’éloigna avec empressement, mais ses yeux souriaient d’eux-mêmes. Il voyait bien que Julia était rouge et embarrassé. La femme devenait dingue hein?

- Oui, sûrement…mais je dois avouer que la scène devait avoir quelque chose de cocasse.

Il fit un tour de la pièce des yeux, légèrement inconfortables. Il n’avait jamais vraiment aimé les infirmeries et les infirmières et les médecins. Il n’avait aucune confiance en eux et ça lui rappelait des mauvais souvenirs, de si mauvais souvenir. Il tenta néanmoins de sourire et dit :

- Alors, ça ira la jambe? Je veux dire, elle devrait venir te soigné d’ici deux milles ans, grogna-t-il en lançant un regard noir à l’infirmière qui les lorgnaient de loin.

Ludovic soupira. Il était d’un ordinaire patient, mais les blessures et les maladies, ça le rendait mal à l’aise. Il tenta tout de même de garder un air calme et dit :

- Je parie que tu as vraiment eu peur que je te laisse la dans la volière!

Il sourit, en repensant à quand il avait faire mine de la reposer par terre. La vieille femme vint enfin, le bousculant littéralement :

- Bouger de là jeune homme, j’ai un travail à faire.

- Oui, c’est pas trop tôt.

Elle le fusilla du regard et il lui fit un sourire d’ange. Il se leva et s’écarta, se plaçant derrière l’infirmière, la laissant s’agiter autour de Julia. Elle se dandinait et marmonnait des choses alors que Ludovic grimaçait derrière elle, tentant visiblement de déconcentrer Julia. La femme sentant manifestement que quelque chose se déroulait dans son dos, elle se retourna en vitesse, mais Ludovic prit un air sérieux.

- Il y a un problème jeune homme?

Il prit un air offensé et sourit doucement à la femme.

- Voyons, charmante demoiselle, j’admire simplement votre travail admirable.

La femme soupira puis se retourna. Elle n’était pas une demoiselle et n’était pas charmante non plus. Ludovic retint son éclat de rire. Restait juste à l’infirmière à faire son travail. Il décida se s’asseoir à l’écart un instant, jusqu’à ce qu’elle ait terminé son travail. De ou il était, il prit bien le temps d’observer Julia. Il se demanda si elle voyait quelqu’un…ça aurait été normal. Mais il en doutait. Il l’avait senti se tendre, puis, se détendre tranquillement quand elle était contre lui. C’était des choses qui ne mentaient pas. Dans la lune, il sourit. C’était définitivement une journée pleine de rebondissement.

HJ: ouin, j'étais inspiré xD

Soudainement, la vieille dame arriva en poussa carrément Ludovic. Ce qu’elle avait? Celle-ci la prit par les épaule et l’obligea à s’étendre sur le lit. Au complet. Dramatique on aurait dit! Elle entendit la remarque à lequel se délaissa un bref moment d’elle pour fusiller son ami. Elle vit son visage d’ange. Oh oui, ces visages d’anges qu’il prenait lorsqu’il faisait un coup! Un petit sourire. Mais rapidement, elle le perdis quand l’infirmière fouina son nez à sa jambe cassé. Ouhhhh ! Mais… Ce qu’elle faisait à la fin, celle-ci? Elle eut l’envi de tout laisser tomber et de se faire traîner par son Ludovic pour ne plus sentir cette dame! Heureusement que Ludovic était là pour lui changer ses idées. Il faisait quoi? Bien, vous devriez le savoir un peu si vous le connaissez moindrement… Il grimaçait! Tout pour tenter de faire rire la jeune femme. Elle allait laisser échapper un rire quand l’infirmière se retourna de nouveau pour le réprimander. Mais par justesse, il afficha un de ces airs sérieux en lançant une remarque un peu… flatteur. Un semblant flatteur… Julia savait bien qu’il blaguait en disant cela et pour ça, elle afficha un immense sourire.

Puis l’infirmière prit sa tête pour l’obliger à prendre un drôle de boisson. Non pas CET boisson! Julia ne connaissait bien et elle y avait goûté une seule fois dans sa vie et Dieu merci qu’elle avait souhaité de ne plus en reprendre! Mais pas de chance, l’infirmière réussit à lui faire avaler et c’est avec répugnance que Julia goûta de nouveau à ces saveurs… Crime… Julia jura et jura pour l’éternité que la prochaine fois, elle irait dans un hôpital moldu!… hum… NON! Elle n’aimait pas ce monde étrange de ces gens sans pouvoir. Finalement, Après les milles secondes et plus, La vieille dame s’éloigna d’eux en laissant bien soin de lui donner des béguilles à prendre pour les prochains jours… Non... Elle n'avait pas le goût de traîner encore avec des objets en trop. Pourquoi tout arrivait à elle? Ahh, oublions! C'est arrivé. C'est un fait et en plus, c'était de sa faute. De plus.... Elle ne pouvait pas dire qu'elle avait détesté d'être dans le bras de son ami. Elle l'avait senti la prendre. Et... lui faire le coup de faire semblant de la mettre à terre. Sous un moment de panique, elle avait serré de plus en plus fort pour rester accrocher à lui. Elle ne se souvenait pas de la fois elle s'était accroché autant à un garçon.... Non, il avait son grand frère... mais c'était SON frère. Pas un ami. Pas quelqu'un qui ne faisait pas partie de sa famille. Puis.... Ludovic n'était pas comme les autres. C'était son ami. Un ami très proche d'elle...

Julia regarda Ludovic qui était dans la lune. Il porte un certain charme et Dieu savait combien de fille qu'il avait eu dans sa vie. Jamais et jamais elle ne s'était posée des questions sur ses fréquentations. C'était ses affaires et tant que ces filles ne lui posaient pas de problème, tout allait bien! En fait, elle était assez fidèle envers ses amis. Ceux qui était les ennemie de ses amis était aussi ses ennemis. Des fois, sans aucune raison valable. D'autre fois, elle savait qu'elle faisait le bon choix. Julia ne soupçonnait pas que le rythme plus rapide quand elle était auprès de lui était causé par la simple raison qu'elle avait un faible envers lui. Elle ignorait tous cela. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle avait été bien dans les bras de son ami et elle aurait souhaité y rester toute sa vie. car... Pour une fois, elle s'y était sentie protéger du monde... et de Ces dangers. Soudainement, elle vit un de Ces images et ses yeux fermèrent brusquement. Aucun larme ne coulait. Avec les années, elle avait réussi ce miracle. De ne laisser aucun signe qui pouvait laisser croire et CROIRE vraiment qu'il avait réussi.

Les yeux de la jeune femme s'ouvrirent et la première image était toujours Ludovic. Rapidement, elle reprit son sourire. Elle se plaça de manière à être en face de Ludovic tout en étant assis sur le lit . Elle le voyait. Beau. Charmant. Froid peut-être. mais son elle était son ami, c'était à cause qu'elle avait été capable de l'accepter comme il était. Comment il est comme personne. Toujours en souriant, elle coupa enfin de silence qui planait depuis le départ de la veille sorcière.

-Alors, tu es toujours partant pour passer la journée avec moi? Je risque d'être lente aujourd'hui! Et là, la prochaine endroit où on va, ça ne serait pas dans les escaliers! Tu imagines si je tomberais encore? J'aurais l'autre jambe cassé et là, tu serais encore obligé de me transporter... Quoique ça.... Julia arrête de parler en souriant. Non. elle avait dit tout cela avec ironie. Non, elle ne se plaignait pas de sa situation. Ce qu'elle pouvait y faire de plus? Elle serait obliger de marcher avec ces étranges bâtons de bois! Et plus? Dans quelques jours, elle irait le brûler dans la forêt pour se venger. Elle inviterais sûrement Ludovic car seul lui allait pouvoir comprendre pourquoi elle ressentait cette envie!

Épuisée et ennuyée de rester à cette place, Julia prit ses planches à bois. Tante de se mettre debout. Bien qu'elle tenta de se mettre debout! Ahhhh ! Après quelques essaies, Julia réussi à bien de tenir. Prête à affronter tous les dangers du monde! Tous les dangers? ... bon c'était un peu tiré par les cheveux mais.... détail! Julia souriait à son bon vieux ami. Son mignon Ludovic. « Bien, alors. À toi de me diriger à quelque part. je t’ai bien amené à l'infirmerie... Quoique c'est plutôt toi qui a fait le transport à ma place. » En laissant échapper quelques rires en disant cela car c'était vrai. C'était LUI qui avait fait le chemin à deux. Pas elle!

En Julia, elle ne comprenait pas ce soudain désir de vouloir être de nouveau près de lui. De sentir son parfum… De sentir sa chaleur corporel… Ce goût d’effleurer ces lèvres…. Mais elle n’y comprenait rien du tout… Comment elle pouvait ressentir ceci à propos de son ami?… Malheureusement son manque d’expérience en amour qui lui causera plus de problème. Pourquoi? … Peut-être à cause qu’elle n’aura jamais Cet audace de le faire… Peut-être que si…

[ J'espère que ça te va ! ^^ ]