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 |  Sujet: ~ Léa McNeil ~ Sam 10 Mai - 2:24 | |
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Carte d'Identité
Nom: McNeil
Prénom(s): Léa
Age & Année: 15 ans, 5ème année
Date & Lieu de Naissance: Dans un petit village perdu, reculé, dans un petit coin tout aussi reculé d'Allemagne. Le genre de ville mondaine où tout le monde se croit mieux que tous les autres, où le gazon est toujours vert, où tout est toujours en ordre, où l'on croit que le bonheur est relatif à l'argent et à la classe social. Un p'tit village de riche, du nom de Freybourth, où la petite Léa est venue au monde le 2 septembre 2015.
Sang: Puree sorcière
Maison : Serdaigle
Apparence
Physique: Est-ce qu'elle est belle? Ou vraiment laide? Ou, tout simplement, extravertie? Différente? Originale? Probablement un joyeux mélanges de toutes ses termes. En fait, Léa n'est probablement pas une jeune fille laide, ni particulièrement belle, et pourtant, le regard se posant sur elle y restera accroché. Ses yeux d'un bleu turquoise pétille de vie, ses lèvres abordent la plupart du temps un sourire malicieux, remplis lui aussi de vie. En fait, oui, c'est ce qui ce dégage d'elle ; la vie. Le bonheur d'être là, le fait qu'elle savoure les instants, cette attitude fière et assurée qui imprègne ses mouvements. Elle n'est pourtant pas nécessairement gracieuse, elle n'est ni grande ni petite, dans la moyenne, elle n'est pas plus belle que les autres, encore là dans la moyenne. Ses cheveux sont d'un noir jais, et s'il pourrait être banal, sa manière des les coiffer chaque matin, dans un désordre calculer, leur redonne une touche d'énergie, les faisant sortir du lot. Elle pourrait être normale, mais elle ne l'est pas; son corps entier aspire à laisser transparaître l'énergie qui l'habite, la rendant attractive, comme si elle était une source inépuisable d'un bonheur mystérieux, incernable.
Style vestimentaire: Oh, pour le style vestimentaire, elle y met le paquet. Depuis les bijoux, en passant par le maquillage, elle aspire à créé un look décontracté mais calculé, quelque part entre l'étrange, le gothique et le pop-fashion-coloré. Elle mélange couleur et accessoire, pour un effet remarquable. La véritable beauté provenant de son style est probablement toute l'assurance qu'elle possède.
Signe particulier: Elle détonne, on ne peut le nier. Mais cerner exactement en quoi, ce serait difficile à dire. Probablement son style, sa chevelure de jais, et ses yeux, que l'on ne peut que remarquer.
Caractère
Description: Elle est heureuse de vivre. De vivre heureuse. En fait, elle n'aspire qu'à ça ; de bref moment ephèmère de joie totale. Et elle les provoque, par un sens de l'humour percutant, et une légèreté troublante. Prendre les choses aux sérieux, elle le fait, mais elle garde ça pour elle. Ce qu'elle montre, c'est la fille vraiment heureuse, souriante, confiante, qui ne manque pas une occasion de foutre le bordel, sourire aux lèvres, un air de défi dans le regard. Elle aime provoqué, s'amuser, elle se fout un peu des limites que l'on croit pouvoir lui fixer. Enfin, en apparence. Oui, pour tout le monde, elle est une boule d'énergie, légèrement cinglé, arrogante et charmante. Et pour elle, et elle seule, il y a celle qui est un peu plus renfermé, celle qui veille tard la nuit pour rattraper le temps perdu et étudier, celle qui philosophe sur tout et rien pour elle même. Bref, derrière l'apparence frivole et superficielle, il y a celle qui est profonde et songée.
Principales Qualités: Sens de l'humour, capacité sociale très grande, facilité de s'intégrer. En fait, l'Aspect social, ça lui dicte sa conduite, c'est là où elle est véritablement à l'aise. Oh, et elle est douée à l'école, brillante et studieuse, mais ça, elle garde ça pour elle.
Pricipaux Défauts: Euhm, son léger manque de respect pour les règlements, ou plutôt, sa faculté fascinante à les oublier. Son arrogance, parfois légèrement bornée. Et puis, sa manière de ne pas être capable de voir publicquement les choses assez sérieusement, elle est trop frivole, diront certains.
En plus: Il n'y a pas grand chose à rajouter sur son caractère, si ce n'est qu'il faut savoir qu'il existe un peu deux elle, sans qu'elle n'est de dédoublement de personnalité. Non, elle n'entends pas de voix qui dicte sa conduite. C'est plutôt qu'il y a elle, pour elle seule, profonde, philosophe et brillante. Et puis, il y a elle pour les autres, drôle, frivole, charmante et pétillante.
Historique
Histoire: Léa jeta un regard de défi à sa mère. Oui, hurlait-elle silencieusement. Oh que non, ma très chère fille, lui répondait sa mère dans un regard empreint du même air que celui de sa fille. Mais elle ne répondait point, elles gardaient toutes deux un silence borné. Répliquer n'aurait fait qu'aggraver la situation, elles le savaient toutes deux, tout comme elles étaient toutes deux convaincues d'avoir raison, et que l'autre avait tort. Léa soupira bruyamment, avant de toussoter, sans la moindre délicatesse. Les trois personnes présentes savaient bien qu'elle n'avait aucun mal à la gorge, elle ne voulait que presser le dénouement de l'histoire. Sa mère, Miss Tifanny, lui jeta un regard de reproche, encore. C'était impoli, ça ne se faisait pas, elle l'avait élevé mieux que ça. Mais elle ne leva pas la voix, elle était en accord elle aussi avec ce petit toussotemment pour accélérer l'action. La scène devenait interminable.
Les deux femmes se quittèrent des yeux, reportant leur attention sur le troisième membre dans la pièce. Celui-ci siègeait sur ce qu'il avait auto-proclamé son trône. C'était en fait, simplement le fauteuil d'apparat, dans un salon richement décoré. Wilson aimait simplement l'idée d'être le roi de cette maisonnée, et c'était le cas. C'était à lui que l'on se reportait pour une question, une réponse, une permission. Léa et Tiffany le savait toutes deux, et cette fois, la mère avait la chance de savoir le père de son coté. Il ne tarda à l'appuyer, reprenant encore une fois ses sermons contre sa fille aînée. «Non, Léa. Il n'en ai pas questions. Tu n'iras pas t'amuser à la vermine, en t'impreignant de leur manière arriérée. Cette petite gamine, oui, l'autre, cette.... Magdalena.» Il pris soin de mettre une emphase dégoûté sur ce dernier prénom. Il ne la connaissait pas, ne voulait pas la connaître, elle le répugnait déjà. Elle était une moldue, son sang était contaminé par l'ignomie de ses ancêtres, elle était inférieur. «Tu devrais fréquenter des personnes de ton âge, de ta classe, surtout. Mais pourquoi t'entêtes-tu donc? Nous t'avons déjà expliquer.»
Oh, oui, bien sûr, il lui avait déjà expliquer. Mais sans prendre le temps d'entendre ses arguments. C'était ainsi. Elle en avait marre. L'été, elle n'était pas à l'école, mais chez elle. Dans ce petit village de riche borné et prétentieux. Elle était leur opposé, celui de tout ces gens qui voit en l'argent une classe sociale. Mais elle avait découvert une autre fillette, de son âge, Magdy. Cette fille, elle riait, souriait, s'habillait bien, mais se foutait de l'énorme forturne de son paternel. Tout de suite, ça avait cliquée entre elle. Pour Léa, dans cet univers pincé et rétrograde, il y avait quelqu'un qui lui ressemblait. Elles étaient rapidement devenues amies, et puis, de fil en aiguille, elles étaient devenues plus. Léa se souvenait de leur premier baiser, tendre, sucrée, hésitant. Et il y avait eu le deuxième, le troisième, et elles avaient arrêter de compter. C'était Madgy, et elle, Léa. Léa McNeil. Léa Mcneil, sorcière. Madgy, moldue.
C'était ça, le problème. Elle venait de dire à ses parents qu'elle avait une amie, moldue, afin d'expliquer pourquoi elle ne passait pas ses journées estivales à étudier. Pfff. Et puis quoi encore. En? Mais bien sûre, madame Tiffany et monsieur Wilson avait mal pris l'histoire. Une amie moldue? Toi? Mais tu es pourtant de sang pure? Où as-tu pris de telle idée? Ne t'avons nous pas élever? Ne t'avons nous pas tout offert, tout mis à ta disposition pour éviter que tu te retrouves avec la basse classe?
S'ils avaient sues. Léa supporta le regard de son père, se battant au nom de leur amour. «Oui, je sais. Oui, tu me l'as dit. Mais papa, c'est toi qui est rétrograde! C'est toi qui ne comprend rien de rien! Tu es si... Si... Borné! Voilà!» Ces mots étaient de trop, elle le savait. Mais elle ne pouvait s'arrêter. Elle ne pouvait pas ne pas hurler la colère, la peine qui l'habitait. Mieux valait le faire maintenant, car après, se serait trop tard. Son père la punirait, la ferait taire, l'été passerait, elle ne reverrait plus Madgy, elle irait à l'école. Son coeur pleurait déjà la séparation, elle la savait inévitable, depuis le début. Elle savait qu'elle partirait, que son père la blâmerait, sa mère aussi, elle serait la honte de la famille. Cette famille modèle au sang pure, et siiii parfaite. «Tu comprends pas en? Tu comprends pas toi que j'm'en fou moi du sang? Les sangs pures comme toi, et comme maman, vous êtes que des idiots qui s'croient mieux, pour rien! RIEN! Vous êtes comme tout le monde, sauf que vous réalisez même pas la valeur des autres!» Ses mots étaient de trop. Elle avait déjà mal à la joue, quelques secondes avant que sa mère ne la gifle.
La suite ne tarda pas à venir. La voix de son père gronda, mais elle n'entendait que se tonnère, elle ne discernait pas les mots. Elle s'en fichait de toute manière. Elle haïssait cette famille. Elle haïssait depuis toujours cette atmosphère. Elle était toute petite déjà qu'à la place de courrir dans l'herbe avec les autres gamins du quartier, elle se faisait lire des bouquins, on lui apprenait à en faire de même, elle comptait, elle faisait de la broderie, elle cousait, elle ... elle était une p'tite bonne femme de bonniche bien élevé. Que n'aurait-elle pas donner, en cet instant précis, pour ne pas avoir le moindre pouvoir, ne pas aller à l'école de magie cette année, et se retrouver de nouveau lèvre à lèvre avec Magdalena? Elle monta dans sa chambre, pleurant sa peine, sa déception. Était-ce vraiment un crime d'être né de sang moldu? Non, elle ne pouvait y croire. Madgy, elle n'avait pas l'air de l'idiote que lui décrivait ses parents. Et Léa pleura, encore, et encore.
Elle avait 14 ans. Elle l'oublia. Elles s'oublièrent. Ce n'avait été qu'un amour d'été, impossible, inachevé. Mais elle n'oublia pas le goût de ses lèvres, elle n'oublia pas que ses parents ne comprenaient rien. Elle en oublia toutefois ses bonnes manières et son envie de plaire à tout prix. Elle devint celle qu'elle était ; elle n'était plus la petite fille bien élevé, mais plutôt celle qui, à l'école, profitait des moindres occasions de s'amuser, sachant qu'elle ne le pourrait plus une fois de retour à l'été. Chez elle. Dans tout son argent, dans ce milieu snobinard. Elle était heureuse au moment présent, car ce ne serait plus le cas plus tard.
Découverte de la Magie: La magie, ça à toujours fait partie d'elle, de sa routine, de sa vie. Elle a vécue dans un monde basée sur la magie et la convenance, sur la prédominance des sorciers. Aussi, aucune révélation particulière, elle a toujours su ce qu'était la magie, et qu'un jour, elle deviendrait elle-même une petite sorcière.
Famille: Son père, monsieur Wilson McNeil, et sa mère, madame Tiffany McNeil. Une sorcière, un sorcier, des gens respectables et riches. [PNJ]
Relations amoureuses: Rien de sérieux jusqu'à se jour.
Relations amicales: Elle connaît un tas de personnes, mais elle n'a aucune amie en particulier, à nommer ici.
Détails
Orientation sexuelle: Bisexuelle
Baguette Magique: En bois de ceriser, longue de 22 centimètre, avec en elle un crin de crinière de licorne et un cheveux de vélane.
Balai: Elle performe à cette activité, sentant lorsqu'elle en fait un puissant sentiment de liberté la parcourir. Ses parents lui ont offert, une année, un Nimbus 2029, dans l'espoir qu'elle pourrait rentrer dans l'équipe de sa maison, faisant ainsi honneur à la famille.
Animaux: Une petite chouette toute blanche, avec des yeux bleux percants, portant le nom de ''Blanche'', question de faire dans l'originalité. Très gentille. Très excitée aussi.
Forme du Patronus: Une loutre. Sauf que celui-ci, elle ne l'a encore jamais vu, n'étant jamais parvenu à produire un réel Patronus. Saauuf que, le jour où elle y parviendra, alors, il prendra cette forme.
Forme de l'Epouventard: Oh, elle craint des tas de choses. La solitude, en partie. Mais un épouvantard ne peut prendre cette forme. Non, en fait, la forme qu'il prendrait, si elle se retrouvait confronté à une telle créature, serait celle d'une dame, vieille et fanée, voulant l'amener avec elle, l'appelant. L'Épouvantard prendrait la forme réelle de la solitude, aux yeux de Léa.
Futur envisagé: Elle est encore si jeune, pour elle, toutes ses questions sur l'avenir, ce sont des sottises pour les adultes. Elle deviendra reine du monde, voilà! Elle gagnera un gros prix dès l'âge adulte, voilà! Elle héritera d'une faramineuse forture, voilà aussi, pourquoi pas? Elle n'aime pas envisager quelque chose de sérieux, elle préfère prendre ça à la légère, et répondre des idioties à cette question. Elle verra lorsqu'elle sera plus vieille, si elle n'est pas déjà richissime.
Hors-Jeu
Multicomptes?: Nop
Star sur l'avatar: Brookelle
Personnage prédéfini? : Nop
Prénom ou Surnom: Ariees
Age: 16 ans
Code Règlement: Oubliettes
Commentaires: ~
Taux d'activité |/7| : 5/7
Où avez vous connu le forum.: Sur Émeraude
Dernière édition par Léa McNeil le Mar 17 Juin - 15:06, édité 4 fois |
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