Miss. Peyton. Williams. ~

Nom: Williams
Prénom(s): Peyton
Age & Année : 17 ans, 7^ème année
Date & Lieu de Naissance: Huit. Septembre. Deux milles quatorze. Allemagne. Berlin.
Sang : Pur.
Maison : Serpentard.

Apparence

Physique: Elle est grande, juste un peu plus que la majorité des filles de son âge. Pas trop, mais assez pour qu’allié à sa taille mince, elle puisse avoir l’allure d’une mannequin. Pas une de ses anorexiques n’ayant que la peau sur les os, par contre. Non. Elle a un peu de muscle, probablement aussi une couche de graisse, assez pour l’envelopper un minimum, pas trop, pour ne pas lui donner l’allure d’un bonhomme de neige. Non, être grosse, sa ne lui irait pas, être carrée non plus. Ses traits sont trop fins pour ça. Son visage est proportionné, mais il semble quand même fait en minuscule. Je veux dire, son nez est tout petit, ses lèvres le sont aussi, elle n’a pas de grosses joues, ni de grosse pommette, ni de gros menton. Non, tout est discret, prenant simplement sa juste place dans son visage. C’est plus équilibré ainsi, lorsque rien ne retient l’attention, que la beauté de l’ensemble. Sauf peut-être ses yeux. Eux, ont les remarques souvent. Ils sont verts, d’un beau vert, passant parfois par le turquoise, pour atteindre le bleu à travers ses nuances. Ils sont bordés de longs cils aussi, et elle s’arrange généralement pour les faire ressortir à travers son maquillage. Rien de trop tape à l’œil. Elle préfère, malgré ses tenues voyantes, un effet belle au naturel, mais au naturel qui prend tout de même la peine de s’arranger. Oh, et ses cheveux. On ne pourrait pas ne pas en parler. Car c’est probablement eux que l’on voit en premier, d’avantage que ses yeux. Ils sont roux. D’un beau orange, à travers lesquels passent dans une cascade sans fin des reflets châtains, blond, de feu, de braise, se chevauchant, pour donner une couleur digne des feuilles d’automnes. Rien de trop fluo, pas une couleur carotte. Un roux doux, foncé, sauvage, indompté. Elle les aime bien, malgré tout ce que l’on peut dire sur les roux. Elle les laisse d’ailleurs pousser pour le moment, aimant la longueur. Enfin. En somme, elle est assez belle. Probablement pas la plus parfaite, ni la plus si, la plus sa, mais elle est bien dans sa peau, et de son attitude se dégage un petit quelque chose, qui rajoute une petite touche à son charme.

Style vestimentaire : Dans le château, la majorité du temps, elle ne porte que l’uniforme scolaire, aussi laid et inconfortable soit-il. Elle n’a pas vraiment le choix, car évidemment, si elle l’avait, ce n’est pas cela qu’elle porterait. Sa ressemblerait d’avantage à ce qu’elle enfile dès que l’on ne l’oblige plus à porter la robe des sorciers. En effet, dès qu’elle c’est débarrassé de cette horreur, elle enfile jupe courte ou jeans, ainsi qu’un haut, variant selon son humeur. La plupart du temps, elle aime provoquer grâce à son accoutrement. Des gilets courts, des décolletés plongeant, des agencements un brin vulgaire ou oser, selon l’occasion. La plupart du temps, elle tente de suivre un semblant de mode, mais bien qu’elle aime séduire, ses goûts ne se baseront jamais sur ce que d’autres pourront penser d’elle.

Signe particulier : Son nombril et sa langue son percé. Rien de très extraordinaire… Prochainement, elle songe à se faire tatouer. Mais où et quoi, elle l’ignore encore.

Caractère

Description : Peut-être avez déjà entendu quelque chose à son sujet. Probablement, même, il s’en raconte beaucoup, ses temps si. On dit d’elle qu’elle n’est qu’une fille facile, une traînée, une mauvaise fréquentation, qu’elle a une mauvaise réputation. Bref, de bien méchante chose à son sujet, rare sont ceux qui la tarissent d’éloges. Elle ne les mériterait pas, elle n’en voudrait pas, de toute manière. Elle sait qui elle est, ce qu’elle fait, ce qu’elle vaut, c’est tout ce qui compte. Les autres, ils peuvent bien se faire voir à raconter ce qu’ils veulent à son sujet. Bon… Bien sûr, ils ont raison sur la plupart des choses qu’ils disent. Mais sa change quoi? Ils auraient beau lui balancer un tas de mensonge, sa ne ferait pas plus de différence pour elle. Elle n’a jamais eu besoin de l’opinion des autres, pourquoi s’en servirait-elle pour se juger, alors qu’il ne la connaisse pas? Ce qu’ils savent, c’est l’apparence. Qu’elle couche un peu partout. Pas trop dur à savoir, dans un château, les rumeurs et les réputations, sa va vite. Alors, lorsque c’est fondé… Enfin. Oui, c’est vrai. Elle aime ça, qu’elle en profite alors? Comme si elle allait se gêner pour plaire à quelqu’un de probablement trop sage pour déjouer un peu les règles. Elle sait ce qu’elle veut; elle l’atteint. Elle ne se pose pas souvent de question, trop impulsive, déterminé pour prendre le temps de réfléchir. Non pas qu’elle soit idiote. Il s’agit d’une jeune femme intelligente, ayant simplement des valeurs et un sens moral différent de la majorité. Elle ne fait pas de nuance entre le bien et le mal, sa se confond, il n’y a que le plaisir qui compte. Elle ne pense pas à l’avenir, à l’importance de se construire un futur. Le temps passera, de toute manière. Demain sera demain, le présent est plus important. Elle aime bien déjouer les interdit, les sensations fortes, provoquer encore plus le monde, leur donner raison, parfois même, de la juger aussi mal. Sa l’amuse. Elle n’est pas très porté sur le social, si ce n’est les fêtes ou coulent alcool, ou la drogue est présente, et ou tout le monde se fond dans la masse. Elle a des connaissances, des rares amis, majoritairement masculin, plusieurs histoires dont elle a déjà oublié le nom. Elle ne donne simplement pas sa confiance souvent, elle juge et catégorise assez facilement. C’est un genre mélange entre une femme fatale et un tomboy, un résultat, pour le moins, explosif.

Principales Qualités: Déterminée, fière, fonceuse, persévérante, autonome, intelligente. Franche.

Pricipaux Défauts: Orgueilleuse, insouciante, impulsive, dévergondée, sarcastique, arrogante. Colérique.

En plus : Aussi étonnant cela soit-il, cette jeune femme n’est pas complètement une gourde au niveau scolaire. Comme je l’ai déjà indiqué, elle a bien des défauts, mais elle est loin d’être cruche, elle est tout de même assez intelligente. Alors, lorsqu’il arrive que des matières l’intéresse un peu plus, comme la métamorphose, sortilège, ou les potions, bref, pour les trucs plus pratiques, elle se débrouille bien. Lorsqu’il s’agit de devoir étudier, par contre, là, ne compter par sur elle.

Historique

Histoire : Lorsqu’on commence une histoire, normalement, ça finit bien. C’est toujours comme ça dans les comptes, sinon, ce n’est pas assez beau à entendre, pas assez rassurant pour les petits enfants. Les histoires, c’est toujours beau, plein de morales et de message d’espoirs. Mais c’est pas la réalité. La réalité, elle, elle ménage personne, elle fait pas de cadeau, ça finit pas toujours bien.

Son histoire, à Peyton, n’avait eu droit ni à un début, ni à un milieu, et encore moins à un fin heureuse, digne d’un compte de fée. Non, il n’y avait eu aucune petit ange gardien au dessus de son berceau pour lui accorder trois petits miracles, aucun parents fous de joies de la voir naître, elle n’avait pas été accueillie dans la vie avec de grands éclats de bonheur. Elle était un accident dans une famille déjà assez complète au goût de ses parents. Un seul fils, leur fierté, sa leur suffisait amplement. Il était si beau, si drôle, si intelligent du haut de ses 10 ans. Leur vie recommençait à prendre un rythme normal lorsqu’elle était venue, pour tout gâcher.

Non, on n’avait pas été content de la voir venir au monde. Personne. Personne ne s’était penché au dessus de son berceau, le sourire aux lèvres. Sauf une. Une personne qui allait faire toute la différence dans sa vie. Son grand frère, qui ne comprenait pas grand-chose aux histoires d’adultes, qui était simplement content de la voir rentrer dans sa vie. C’est probablement pour ça qu’il fut tout pour Peyton. Car personne n’était aussi présent pour elle, car personne ne l’avait aimé autant, car c’était avec lui qu’elle avait eu l’impression d’être importante. C’était son idole, son modèle. Il avait grandi, évidemment, et était rentré à Poudlard. Mais à chaque visite, rien n’avait changé pour la gamine qu’elle était; il était toujours aussi beau, intelligent, drôle. Il n’était pas nécessairement un ange, il défiait parfois ses parents, il n’avait pas les meilleurs notes du monde, il était un tantinet rebelle, mais avec elle, il était toujours gentil. Elle l’adorait. C’était son idole. Elle ne vivait que pour le revoir, durant ses congés. Elle le suivait autant qu’il le lui permettait, et la plupart du temps, il jouait un excellent rôle de grand frère. Avec lui, elle vivait. Avec ses parents, elle prenait son trou, espérant leur faire plaisir un peu, de temps en temps.

Puis, tout changea. Trop vite. Trop injustement. Trop gravement. Trop difficilement pour la petite fillette. Un truc idiot. Une connerie de trop. Accident qu’on disait. Un mot que Peyton ne comprenait pas, une situation qui la dépassait. Elle ne savait pas qui, quoi, comment et pourquoi. Elle s’en fichait, ce n’était pas ça l’important. L’important, c’est que ses parents, directement, frustré, sans la ménagé, lui avait dit qu’il était mort. Mort. Ce mot la, à lui seul, avait eu le pouvoir de tout changer, de tout chambouler, de la tuer elle aussi. De tuer ses espoirs, ses joies. De tuer son frère. Peyton hurla, frappa tout, s’isola, et pleura. Pleura autant de larme qu’une fillette de 7 ans pouvait en verser, alors que son idole, son frère de 17 ans à peine disparaissait. Elle lui en voulait de l’avoir abandonner, ses parents lui en voulaient aussi. Ils ne l’avaient jamais voulu, et c’était elle qui restait, alors que l’enfant désiré partait.

Cet évènement détruit encore plus la famille. Elle ne s’en remit jamais. Ses parents non plus. C’était son frère qui l’avait tenu lié, car tout le monde se rattachait à lui. L’atmosphère devint étouffante. Peyton grandit. Elle n’oublia pas. Les relations avec ses parents se détoriorèrent avec le temps, alors qu’elle leur en voulait pour tout, qu’elle hurlait ce qu’elle pensait. De leur coté, ils l’équivalaient, hurlant aussi contre elle, lui disant à quel point elle n’était qu’une erreur, qu’elle ne devrait plus être là, elle. Que lui, il devrait encore y être. Qu’il était leur fils, leur héritier, qu’elle, elle leur faisait honte. Joyeuse atmosphère? C’était un calvère permanent dans la maison…

Les moments de répits, ils n’arrivèrent que lorsqu’elle rentra à Poudlard. Enfin. De répit. Elle ne se calma pas. Elle était frustré, elle détestait tout le monde, elle leur en voulait. C’était, en quelque sorte, ancré en elle, de désobéir, d’être colérique, de ne pas accorder beaucoup d’attention, à beaucoup de personne.

Évidemment, en vieillissant, elle continua de changer. La petite boule de frustration qu’elle était à son entrée se calma un peu. Pas assez pour la faire rentrer dans le moule, elle garda son air de défi dans le regard, elle resta un tantinet à vif, elle n’était pas complètement différente. Mais elle se souvenait de son grand frère. Des soirées qu’il lui racontait –du moins, en partie, puisqu’elle était quand même jeune, à l’époque-, de ses amis qu’il lui présentait, de temps en temps, du fait qu’il avait été réellement heureux, dans cette école. Elle se souvenait de ses yeux qui pétillaient, alors qui lui disait qu’elle aussi, elle verrait un jour. Qu’il lui disait qu’elle serait belle, la plus belle, qu’elle se ferait un tas d’amis, découvrirait un tas de chose, vivrait vraiment la vrai vie, rien de comparable à l’atmosphère pourrie de la demeure familiale. Peut-être n’était-ce pas si mal? Elle avait décider de faire un effort. Pour lui. Pour qu’il soit fier, là ou il était. Avec le temps, elle finit par se faire des connaissances, de rares amis. Elle finit par vouloir tout essayer. Elle finit par assister à des partys, par essayer l’alcool, la drogue, le sexe. Par mener, de plus en plus, une vie remplie de débauche, dépourvue de conviction morale.

C’était quoi, en, le bien, le bonheur? Ce concept la, elle le connaissait pas. Elle y avait eu droit alors qu’elle n’était qu’enfant. Le bonheur, le vrai de vrai, il n’était qu’un souvenir. Déchiré par la tristesse. Elle avait déjà tout perdu. Elle n’avait plus peur, elle n’y avait plus grand-chose que la vie pouvait lui arracher. Pourquoi ne pas en profiter au maximum, alors? Pourquoi s’arrêter sur des détails? Comme s’ils changeaient quelque chose, de toute manière. Elle, elle aimait sa, tout ce qu’elle faisait. Y’avais que ça qui comptait. Elle aimait sa, être qui elle était, foutre le bordel, attirer l’attention, pas se fixer de limite, pas laisser les autres lui en fixer. Tout ce que certains qualifiaient de conneries ou d’erreurs de parcours, c’était son quotidien, c’était sa vie.

La réalité, ce n’est pas comme une histoire. Les choses arrivent, qu’elles soient heureuses ou non. Des enfants naissent sans qu’on les entoure d’amour. Les personnes meurent en brisant des vies. Certains ne se relèvent jamais complètement des tragédies. La drogue, l’alcool, le sexe, ce n’est pas que d’horribles légendes proscrites, sa fait parti du vrai monde. La fin n’est pas toujours heureuse.

Non, la réalité, ça n’a rien à voir avec un compte de fée. Mais c’était sa vie, c’était tout ce que Peyton avait pour elle. Autant l’utiliser au maximum, en profiter, écrire sa propre histoire, à sa propre manière.

Son frère aurait été fier d'elle?

Découverte de la Magie : Provenant d’une famille de sang pure, il aurait été difficile pour elle d’ignorer l’existence de la magie. Ça a toujours fait partie de sa vie, de son quotidien. Évidemment, comme tous les autres gamins, il vint un jour où elle en fit la première expérimentation. Pour elle, cependant, sa avait attendu plus longtemps que la moyenne. On avait même craint qu’elle n’ait aucun pouvoir, la honte. Mais finalement, vers environ 6 ou 7 ans, il eut une première manifestation. Déclencher par une émotion forte, en? Son frère était mort. Elle l’avait appris de ses parents. Elle pleurait. Elle hurlait. Elle voulait pas y croire. Elle avait projeté toutes sortes de bibelots au mur, sans s’en rendre compte, sans comprendre ce qui arrivait, sur le coup. Son frère était mort, après sa, qu’est-ce qui pouvait encore l’affecter? C’est néanmoins ainsi qu’elle a découvert la magie.

Famille : La famille n’occupe pas une grande place pour la belle. En fait, ses parents ne l’aiment pas, et c’est réciproque. Il est donc logique qu’elle fasse comme s’il ne vivait pas. Qu’elle ne leur adresse plus la parole, qu’elle ne leur écrive plus, tout comme ils ne le font pas plus. On dit qu’elle est une déception. Dommage pour eux, mais elle-même n’est pas déçue de son sort. Sa ne la dérange pas d’être coupé de sa famille… Quoiqu’elle est toutefois en assez bonne relation avec un de ses cousins, plus vieux, lui ressemblant d’avantage, chez qui elle va vivre lorsqu’elle peut quitter le château. Oh, et elle avait une excellente relation avec son frère, lorsqu’il était encore vivant…

Relations amoureuses: Des relations plus ou moins longues, elle en a déjà eu quelques unes, et beaucoup d’autres plutôt courtes, dont elles ne tient plus le compte. Mais en sommes, rien de vraiment sérieux, rien ne l’ayant marqué.

Relations amicales: Euhm.. À voir prochainement!

Détails

Orientation sexuelle: Elle n’en a pas vraiment. Elle préfère les hommes en général, mais disons qu’elle est avant tout au plaisir. Et il se trouve que le plaisir, lui, n’a pas de sexe, et que plusieurs de ses expériences le lui ont prouvé.

Baguette Magique: 26 centimètre, en bois de cerisier, avec un cheveux de vélane, et une ventricule de dragon. Sa reflète, si l’on veut, d’une étrange manière, le mélange de ses personnalité.

Balai: Elle n’a aucun balai, et aucun argent à investir là dedans. Peut-être, si c’était dans ses moyens, elle s’y intéresserait, car elle sait voler, et aime bien le sentiment de liberté que ça procure, mais des choses plus terre à terre l’occupe d’avantage.

Animaux: Pas plus trois animaux dans le chateau. Et pas de dragon ou autre dans le même style...

Forme du Patronus: Une lionne.

Forme de l'Epouventard: Sa plus grande peur, c’est rester de revoir son frère. Pour le reperdre ensuite, pour qu’il lui dise qu’il était déçu. Elle se fou de l’avis de tous, sauf du sien, et ça, sa n’a pas changé.

Futur envisagé: Elle ne sait pas ce qu’elle fera demain, dans une semaine, dans un mois.. Alors, elle n’a encore aucune idée de ce qu’elle fera de sa vie.

Hors-Jeu

Multicomptes? Ouii
Star sur l'avatar: Daneel Harris
Personnage prédéfini? Non

Prénom ou Surnom: Ariiane
Age: 17 ans
Code Règlement: Fidelitas
Commentaires: Euhm… Peace N love?! ><’’ J'aime beaucoup de fow!
Taux d'activité |/7| : 5-6/7 ?! Relativement présente la..!
Où avez vous connu le forum : Sur Émeraude, v’la un p’tit bout.!

" De la détermination pour un être bléssé,
De l'arrongace et de la colère...
Ma foi tu seras mieux chez les

Serpentards!"

Bon jeu =)