Micah G. Lewis { Finishes

CARTE D'IDENTITE

Nom: Lewis
Prénom(s): Micah Gordon
Age & Année : 17 Ans en 7iéme Année
Date & Lieu de Naissance: 26 Janvier 2018 à Londres.
Sang: Pur
Maison : Serpentard <3

APPARENCE

Physique:

Micah Gordon Lewis, le frère de Sherry. Comment ça tu connais pas ? Il est en septième année. Ici, tout le monde le connaît. Ce grand maigrichon tout pâlot, le nez dans ses livres, qui ne relève jamais sa tête… Toujours silencieux, enfermé dans ses bouquins. D’ailleurs, c’est dommage qu’il ne lève pas la tête, il a des yeux à faire pâlir de jalousie tout Poudlard. Vert émeraude, comme la feuille qui pend à l’arbre, là bas. Mais il a la peau trop blanche, et il est trop maigre. Il ne plait pas aux filles. D’ailleurs, je ne sais même pas s’il connaît leur existence. Il n’a pas d’amis, ici, même sa sœur ne lui parle que rarement. Toujours plongé dans son manuel de potions dangereuses. Étrangement, tout le monde le respecte. On ne lui parle presque jamais, mais on ne vient jamais lui chercher de noises. Il doit bien être doué pour quelque chose, non ? Oh oui, il est excellent en cours. Mais n’allez pas croire qu’il a atterrira obligatoirement à Serdaigle grâce à ses Optimal à répétition. Il n’est certes pas doué pour les relations humaines, mais je crois savoir que son cerveau est totalement perpendiculaire au notre. Il n’a pas l’air du même monde, à errer seul dans les cachots, à s’asseoir tout seul sous les seuls arbres où personne ne va tant ils sont miteux, et, entre nous, je crois même que s’il ne venait pas d’une si riche famille, il s’habillerait en lambeaux, oui, comme un clochard. Je ne comprends rien à cet ahuri là, pourtant, sa sœur est loin d’être comme lui, mais, je vais te dire, quand je le regarde trop longtemps, assis tout seul dans un fauteuil isolé de notre salle commune, je me sens mal. Comme s’il me fixait sans me regarder. J’ai du mal à respirer, et je détourne le regard. Aussitôt après, je me sens mieux. Tu crois qu’il est dangereux ? Je ne sais pas… Je ne lui ai jamais parlé, mais quand je le vois en cours, adulé par le professeur de potion, quand j’entends ses réponses toujours exactes, je me dis qu’il en sait beaucoup plus qu’on ne le pense, et qu’il est loin d’être l'idiot qu’il parait… . Avec les années, le physique ingrat de Micah s'est plutôt amélioré. Il a cessé de grandir, mais a pris un peu de poids et de carrure, et même si sa silhouette est toujours aussi svelte, ses épaules, elles, sont beaucoup plus carrées.

Style vestimentaire:

Pour son style vestimentaire, Micah aime la simplicité. Tee-shirts gris basiques, chemises en soie plus classes mais toujours sobres, jeans et pantalons toujours parfaitement taillés … Mais cet assemblage de jolis vêtements rend un peu chaotique quand on constate que la ceinture du pantalon est un peu trop basse, que la chemise est boutonnée juste le minimum syndical, ou que le nœud de cravate est à revoir, ou encore qu’un pantalon se repasse parfois. Bref, appréciant les choses classiques et monochromes mais peu adepte des coquetteries dédiées aux filles, Mic'’ est classé parmi ces spécimens qui peuvent « toujours paraître débraillés même dans leurs smokings ». Et ça ne lui va pas si mal.

Signe particulier:

Pour son 17iéme anniversaire il s'est offert un tatouage moldu sur le dos que ces parents ne savent pas, et même s'il savait n'aurait point intérêt a enlever.

CARACTERE

Description:

Il y a de ces gens qui le considèrent comme un être prétentieusement indifférent qui ne pense qu’à lui-même et qui se complait dans sa situation de petit con arriviste et trop futé. D’autres aiment à le dépeindre comme une incarnation parfaite de cet attrait ténébreux qui attire tant les plus faibles de cœur, un de ces jeunes hommes dont le regard attire les convoitises, les questions et les intérêts les plus malsains. Pourtant, entre ces deux pôles, il y a un monde, et c’est sûrement celui là même qui correspondrait le plus pour définir Micah Gordon Lewis.
Certes sa plus grande qualité réside dans sa finesse d’esprit, toutes ces petites subtilités, ces vices qui le caractérisent. A ses yeux vous pouvez être tout ou rien, mais ne vous pensez pas plus malin que Sir Lewis au jeu de qui devancera les pensées de l’autre. Bien qu’il n’en prenne rarement du plaisir, le jeune sorcier de ces dames apprécie les duels visuels, les longs regards éloquents, les gestes plus significatifs que certaines paroles superflues et ridicules. Il parle, il n’est pas asocial, mais si il vous tient la conversation, c’est plutôt par souci de son impitoyable et insondable politesse, cette courtoisie presque hypocrite qui irradie de lui autant que de cette élégance gracieuse. Il aime prendre un malin plaisir à parfois mettre en scène ses petites humiliations quand quiconque ose le déranger pendant ses répits ; cette âme artistique s’inspire surtout de ses nombreuses lectures et ses heures passées à rêvasser en silence. Micah n’a pas les pieds sur terre, malgré ce cynisme affligeant qu’on lui penserait, et il aspire souvent à du changement, de l’imprévisible, pour pimenter une vie qui lui paraît fade, bien que celle des autres bat tout record en matière d’insipide.
Intelligent, Micah a sa patience, et elle est royale, frôlant les limites dangereuses de cette insolence qu’on déteste. Comme s’il ne prenait jamais le sérieux « au sérieux » … Les choses les plus graves le font parfois sourire et il se permet des légèretés déplacées, mais toujours franches. Car alors qu’on associe là encore à cette image de petit trouble-fête courtois mais provocateur une image de menteur, il n’en est rien. Si Micah tient à la sincérité, alors il peut l’être, et violemment, plus violemment encore qu’un coup de poing de sa part dans votre abdomen. Et ce n’est pas vos gémissements de douleur lui quémandant d’arrêter qui le feront se stopper. Persévérant, travailleur sans pour autant forcer le destin à lui amener des notes correctes – qui pourraient pourtant bien écraser un troupeau de Serdaigles -, le jeune homme n’est pas particulièrement misogyne ou même misanthrope, mais choisit avec beaucoup d’exigence ses amis, par peur de mal s’entourer. Considérant que le reflet de ses amis peut jouer en sa faveur ou contre lui, il préfère éviter tous ces crétins qui se prennent pour des dons juans de pacotille. Peu dragueur ou amateur de jeunes filles, il a déjà vécu quelques aventures à Poudlard, mais bien loin de nous l’idée que sa priorité soit de se trouver une petite copine sur le champ pour le bal. A noter que Micah n’est pas inhumain et n’est pas dépourvu de sentiments. Il n’est pas un animal, et a une certaine sensibilité, puisqu’au fond de lui-même un peu mélancolique, un peu rêveur, un peu joueur avec l’imaginaire. Le toucher n’est pas impossible, et il est même bien probable que vous le fassiez sans vous en rendre compte.
Avec les autres en général, c’est assez compliqué la première fois. Attentif à vous et à ce que vous faites ou pouvez dire en sa présence, il en faut peu pour passer de la colonne « parfait inconnu » à « crétin à ignorer ». Beaucoup plus pour aller dans la case « Intéressante connaissance ». Mais pour atteindre un summum de catégorie « haine totale et viscérale », les limites sont totalement repoussées. Et Micah, qui possède un certain caractère dépendant, ne peut s’empêcher d’affectionner autant les gens qu’ils aiment qu’ils détestent. Ses égaux lui paraissent comme des rivaux, qu’il doit cependant garder pour lui. Possessif, enclin à une jalousie qui peut paraître maladive, il est de notoriété publique que pour lui, « il faut connaître son ennemi pour mieux le combattre ». Les négliger lui paraîtrait bien bête.

Principales Qualités:

Franc - Sociable ( par moment ) - Amical - Confiant - Persévérant

Pricipaux Défauts:

Égocentrique - Froid - Mystérieux - Franc - Insensible

En plus: /

HISTORIQUE

Histoire:

Je m’appelle Micah Gordon Lewis. Dix sept ans que je porte ce nom ridicule qui ne me va pas. Dix sept ans que je suis en vie. Et j’en ai déjà marre. J’aime la vie, mais pas celle qui s’offre à moi. Je veux toujours plus que ce que je n’ai, je suis sans cesse en train de désirer, je fais tout pour obtenir ce que je veux, et une fois que je l’ai, je désire directement autre chose. Mon père s’appelle Alastar Lewis, Anglais de pure souche, juge à mi temps au Magenmagot. Des études à Serpentard, des fréquentations, du piston, et finalement, une entrée au ministère de la magie par la voie dite « pistonnée », plus communément appelée « relationnelle », pour faire mieux. Riche mais laid, il est allé se chercher une femme des plus belles, qui pourrait au moins sauver la face de ses progénitures. Il est allé chercher Oona, ma mère, jusqu’en Albanie. Oui, j’ai de jolies origines, pas vrai ? Anglais, Albanais. Peau blanche, extrêmement blanche, yeux vert émeraude. Je suis né 11 mois avant ma sœur, Sherkane. Je suis sortit beaucoup trop tôt, beaucoup trop maigre, beaucoup trop silencieux, bref, je suis mal sortit, j’ai totalement raté mon entrée dans ce monde, et pourtant, je ne compte pas rater ma sortie. J’étais un enfant silencieux. Je me contentais d’observer le monde autour de moi, et j’ai très vite compris que, là ou pas, ça ne changerait pas grand-chose. Je me suis donc fait tout petit, en espérant qu’on me laisse vivre tranquille… Ma mère est une femme aimante. Belle, aimante, une intelligence moyenne, une brave femme. Mon idiot de père a eu de la chance. Sorcier médiocre issu d’une bonne famille, ce qui l’a sauvé, puisqu’il a appâté ma mère avec son pitoyable argent. Elle a du avoir pitié de lui. En tout cas, elle m’a toujours aimé plus que je ne le méritais, je n’ai pas à m’en plaindre. En revanche, j’ai toujours eu du mal à rendre en retour l’amour que l’on me donne. Je dois posséder un caractère à tendance sadique. J’aime me faire souffrir. Déjà petit, je me regardais pleurer devant le miroir, et j’adorais ça. Voir mes larmes d’enfant ruisseler sur mon visage blanc, voir le malheur et la douleur se peindre dans mes yeux me remplissait d’une satisfaction sadique. Voir les autres souffrir m’a toujours ennuyé. Les gens en rajoutent, et ne savent pas souffrir avec classe. Ils ressemblent à de petits tas misérables, sanglotant, leur moignon entre les bras, triturant leur malheur en attendant qu’on vienne les réconforter. Alors qu’ils méritent amplement le malheur qui les touche. Mon père, qui désirait orner le dessus de sa cheminée de belles peintures de bambins rondouillards aux bonnes bouilles, a eu plus de chance avec ma sœur qu’avec moi. Je voyais dans son regard qu’il l’adorait, simplement parce qu’elle était belle. Peu importe les résultats fantastiques que je ramenais, ils passaient inaperçu, en revanche, lorsque ma sœur ramenait un Acceptable, c’était l’euphorie. Et vas y qu’elle est belle et intelligente, et qu’elle ira loin, sa fille… Et le fils, tu sembles l’oublier… Et bien j’irai loin, père, beaucoup plus loin que ton misérable petit chemin d’homme pitoyable. Ma mère nous aimait tous deux identiquement, nous étions sa chair et son sang, deux jumeaux parfaits. Ma sœur lui renvoyait un amour éperdu, des étoiles pleins ses yeux gris, ses petits bras ouverts se resserrant autour du cou de sa mère, et moi, pauvre moi, je ne pouvais qu’ignorer les caresses de ma génitrice, sourd à ses « je t’aime », la regardant s’éloigner, déçue, du coin de l’œil, savourant intérieurement ma petite vengeance… Si ma mère ne voyait pas de différence entre ses enfants, mon père, lui, en voyait. Son regard ne m’échappait pas, ses yeux remplis d’amour envers ma petite sœur, sa moustache tressaillant sous son sourire fier de père aimant, qui s’assombrissait lorsqu’il tombait sur moi. Moi, l’erreur. Moi, celui qui ne parlait pas, qui n’aimait pas, qui ne portais même pas sur son visage maigre les couleurs de la vie. Mon père est un bon vivant au QI médiocre. Il aime la vie, il aime manger, les femmes, et gagner de l’argent. Le voir me regarder avec son air sévère, dégoûté d’avoir engendré une pareille tare, me réjouissait intérieurement. J’en étais malheureux, très gêné, j’en détestais ma sœur, et puis au fond, je m’en faisais une force. J’étais un héro martyr, détesté par son père, aimé de personne. Je me regardais souffrir, je m’admirais énormément. Ma sœur ne s’est jamais vraiment rapprochée de moi. Tout comme mon père, et tous les autres, elle me trouvait trop bizarre pour être fréquenté, trop blanc et trop silencieux, trop angoissant – on ne peut pas le lui reprocher, elle ne possédait pas l’amour d’une mère envers moi. Je n’ai rien à lui reprocher. Elle a toujours été correcte avec moi, m’ignorant malgré elle, m’aimant parce que j’étais son frère. Elle a fait le strict minimum, et je n’ai rien à reprocher à son comportement. J’ai passé toute ma petite enfance à essayer de satisfaire mon père, à lui ramener des bulletins scolaires surbrillants, mais j’ai compris très lentement que jamais je ne pourrais lui rapporter ce qu’il aurait désiré. Cet imbécile. Le fils qu’il aurait aimé avoir ? Un grand dadais d’un mètre quatre vingt, fort sur pattes, musclé comme un Dieu, qui fume le cigare, qui ramène des bulletins minables et des filles à la maison, un tombeur, un beau gosse, un gagnant. Un homme, quoi. Un bagarreur, qui reviendrait à la maison des croûtes pleins les bras. Un petit bonhomme, un petit homme, un fils de son père. A la place, il n’a eu qu’un petit intello maigrichon qui ne s’intéresse ni aux filles ni aux combats. Heureusement que ma mère la lui a faite, sa princesse, sa battante, sa dragueuse fumeuse de cigares, sinon, il serait sûrement mort plein de regrets. Je compatis. Pas du tout.

J’ai maintenant dix sept ans, je suis mature et plus sûr de moi, j’ai renoncé depuis longtemps à plaire à mon père, à la place je cherche à me plaire à moi-même. J’admire mon esprit éveillé, mes déductions qui se font d’elles mêmes, j’ai un petit sourire de suffisance lorsque les professeurs m’admirent, lorsque je vois la fierté briller dans l’œil de mon professeur de potions lorsqu’il parle de moi. Je suis quelqu’un de puissant. Si j’avais eu le bien en moi, l’amour en moi, j’aurais fait un sorcier merveilleux, adulé, j’aurais fait le bien et la protection autour de moi. Ce n’est pas le cas. Je me passionne pour tout ce qui vous fait peur. Vous avez peur de l’inconnu, de ce qui ne vous ressemble pas. J’ai toujours fait peur aux autres. Fait peur à ma mère, à mon père, à ma sœur, à mes camarades. Je me sens dans mon élément avec le reste de la famille des « qui font peur », à nommer, les serpents, les araignées, tous ces animaux qui terrorisent les ménagères, je me sens dans mon élément au milieu de la mort, de la magie noire, de la douleur et la souffrance. J’essaie de comprendre ceux qui souffrent, de savoir ce que vous leur trouvez de si étrange pour les détester à ce point. Qu’ais je de si étrange pour que mon père me vomisse dessus ? Grandit en moi une haine que je ne saurais définir, une terrible envie d’exploiter mon intelligence, seule chose positive que je possède, et de semer le mal, la douleur, l’incompréhensible, tout ce dans quoi je baigne depuis mon arrivée sur cette terre. Tu m’as fait naître… Il ne fallait pas.

Découverte de la Magie:

9 Ans, 9iéme Anniversaire. La tension dans la famille était des plus palpables et c'est devant sa famille de sorciers qu'il fit exploser l'immense gâteau fait pour lui sur sa mère. Le jour suivant ses parents l'amenèrent fêtait son premier acte de magie involontaire, sa mère elle est en froid avec lui, depuis toujours. Par la suite ses accès de colère furent pratiquement tous dirigés vers elle, avec modération bien sûr.

Famille:

MERE > Oona Lewis ( 35 ans ) : Grande jeune femme brune, de nationalité anglaise, ancienne élève brillante surtout en art des potions à Poudlard également. Elle travaille au ministère de la magie et entreprend pas mal de voyages afin d’explorer le monde. Micah n’apprécie guère justement. Elle est assez aimable envers quiconque, mais il ne faut pas pousser le bouchon non plus, car elle peut très bien s’énerver, et dans ce cas-là, gare à la personne en face d’elle... Folle amoureuse de Gordon, pourtant Micah a bien essayé de lui faire ouvrir les yeux.

PERE > Alastar Lewis ( 37 ans ) : Homme assez grand et assez robuste ... De caractère assez froid envers certain(e)s, mais sait amplement se contrôler avec – par exemple – sa ‘famille’. Nationalité anglaise également, a suivit ses cours à Poudlard. Il travaille avec Oona au ministère de la magie entreprenant avec son épouse les fameux voyages détestés par Micah. Par contre son père était familièrement ‘un gosse de riche’ ou encore ‘enfant pourri gâté’ d’où ses projets d’explorer le monde en laissant tomber ses propres enfants ... Mais bon, lorsqu’il était petit, vers 5 ans, son père s’occupait tout de même de lui, ce n’était pas vraiment un ‘monstre’. Bien que des fois on pourrait s’en poser la question.

Relations amoureuses:

Aucune.

Relations:

Ses amis sont rares, mais précieux, il s'en entoure que quand il sait qu'il lui seront utiles un jour ou l'autre ou pour quelconque caprice. Ce servir des gens est tout un art et il excelle en cet art.

DETAILS

Orientation sexuelle: Hétérosexuelle.

Baguette Magique:

33.5 Centimètres de Séquoia contenant une plume d'hyppogryphe.

Balai: Un nouveau chaque année qu'il ne touche pas.

Animaux:

Micah possède le corbeau que sa mère lui a offert à ses onze ans, cependant, c'est un passionné d'animaux. Micah aime les reptiles. Il n’aime pas les animaux dont tout le monde est fanatique, comme les chats, les félins, tous ces animaux qui ressemblent à sa sœur dont tout le monde est amoureux, pas ces animaux auxquels la nature a offert la grâce et la beauté. Il préfère donner tout son amour aux animaux laids et rejetés des autres, comme lui. Micah fait collection des mues de serpents. Il les classe par taille et par espèces.

Forme du Patronus: Un être sorti de son imagination, un serpent a deux têtes, mais lorsqu'il l'a vu véritablement cet être est devenu son favori, dressé par ces chers parents pour lui a ces 14 ans il en garde un bon souvenir avant de l'avoir cloué a sa porte. Il revient sous la forme de son patronus.

Forme de l'Epouventard:

Un Détraqueur.

Futur envisagé:

Micah est un amoureux de la gloire. Il a des rêves d’ascension, il veut aller loin. Pour le moment, sa carrière est assurée, grâce à ses notes, les portes du ministère ou de la recherche magique s'ouvrent à lui, mais, loin de s'arrêter là, il compte aller beaucoup plus loin. Il a très vite saisi que de l'argent en trop ne lui serait pas inutile pour mener à bien ses expériences, aussi passe-t-il toute son adolescence à préparer son avenir.

HORS-JEU

Multicomptes? Nop'
Star sur l'avatar: Ed Wastwick
Personnage prédéfini? Non

Prénom ou Surnom: Zid.
Age: 18 ans bientôoot
Code Règlement: Ok
Commentaires: A priori nan.
Taux d'activité |/7| : 6/7
Où avez vous connu le forum. Une amie sous le nom de Siria S. Slater.

Désolé du Triple Poste :

Fini :)

Rien à dire en ce qui concerne ce que tu as écrit. Je vais juste chipoter.
Pour Qualité/Défaut, il me fait 5 adjectifs au minimun, ça permet par moment de bien faire comprendre un trait de caractère que l'on a pas bien su exprimer juste avant.
Et pour la découverte de ma magie, c'est 5 lignes minimun.

Voilà, j'ai enlevé mon message précédent pour rendre la lecture plus agréable. Le Choixpeau pourra venir par la suite ;)

Pour la découverte de la magie j'ai pas pu mettre grand chose, mon message était encore trop grand.

Je finis enfin cette fiche :)

Bienvenuve Micah !
Et, je ne vois rien à redire, les modifications ont été effectuées. Le Choixpeau ne devrait pas tarder venir t'envoyer chez ta nouvelle maison ! (:

« Oh, je vois en toi nombreuses choses.. Tu as l'esprit intelligent, calculateur. Tu as le profil intellectuel d'un Serdaigle. Mais tes intérêts sociaux penchent plutôt vers Salazar.. Hum. Laisse moi voir.. Je vois beaucoup d'ambition. C'est bon, la balance à penché en la faveur d'une maison, et ce n'est autre que celle de Salazar;

SERPENTARD ! »

Voici voilou, bon jeu (: !Si tu as commentaires ou autres à faire, nous sommes à ta disposition (;