Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -17%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular ...
Voir le deal
249 €

Partagez | 
 

 You said you wanna loose control;

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Synthia Grey
Synthia Grey
    synthia; disturbed
    malicious admin;



▌Citation :
«Méfiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant»
Nietzsche

▌Clan : Le pouvoir mène au succès.
▌Âge : 19 ans. (7 août)
▌Année : 9ème année
▌Maison : Slytherin
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Solitaire
▌Poste au Quidditch : Poursuiveuse.

▌Crédit(s) : (c) fae

AND MORE...
▌Relations:

You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; EmptyVen 5 Juin - 9:00

Premier post réservé à Adrian J. Hennessy usedesu
    Errant dans les cachots avec à ses côtés sa petite boule de poils bleue, Synthia Grey était à la recherche d’un fait, d’un évènement, de quelque chose pouvant la sortir de sa monotonie constante. Elle n’avait pas de cours aujourd’hui, et pour être honnête si elle en avait eu un, il aurait été fort possible qu’elle ne s’y rende pas. Cela lui arrivait de plus en plus, l’envie de ne pas vouloir suivre les enseignements. Elle préférait rester seule, et s’en prendre au premier venu qui ne faisait que croiser son regard ou bien encore, pire, l’effleurer. Le retour de la peste égocentrique. Elle s’en était bien rendue compte de ce changement, mais la situation ne lui déplaisait pas plus que cela bien au contraire, à vrai dire elle se demandait même comment elle avait fait durant presque deux ans pour ne plus se permettre de monter son existence aux autres ? Comme le lui avait sans cesse répété Rafael, elle avait un nom dont il ne fallait pas avoir honte, sang-pur et magie noire, elle se devait de leur faire honneur. Envolée la haine envers l’oncle ? Non, certainement pas, mais elle le comprenait. Il ne pouvait que lui en vouloir que d’avoir sali la famille par son impureté, tout comme elle, elle commençait à en vouloir progressivement à sa mère. Que Merlin en soit témoin, Synthia ne tournait pas rond, si avant elle était perturbée par des décisions à prendre ou des souvenirs absents, là c’était indescriptible, surtout quand on savait le profond attachement qu’elle avait toujours pour cette mère morte qu’elle aurait tant voulu connaître. Peut être avait-elle trouvé la solution lui permettant d’avancer, l’oublier et la renier. Pour le moment cela semblait fonctionner, elle continuerait donc sur cette voix. Un miaulement la sortit de ses pensées, il fallait vraiment qu’elle trouve quoi faire. A qui pouvait-elle donc faire appel pour l’accompagner en cette fin de journée… Bien des noms se bousculaient dans son esprit. Un était plus récurant, Damian James Turner. Son petit copain, depuis un an. Comment était-ce possible ? Etrangement elle n’arrivait même plus à savoir qu’est-ce qui avait pu les rapprocher autant pour qu’elle puisse le supporter de la sorte… Lui avait-elle seulement été fidèle durant toute cette année ? Elle n’en savait strictement, et à voir son radical retour en arrière niveau comportement, il fallait parier que si elle ne reprenait pas très vite ses esprits son couple allait voler en éclats. Et alors, cela serait-il un réel problème ? Evidemment que non, le problème était d’être en couple plutôt, aux yeux des autres elle était donc rangée aux côtés d’un ancien Gryffondor. De quoi vous rendre encore plus malade, par moment on se demande vraiment ce qu’il vous passe par la tête… Eden lâcha un nouveau miaulement et se frotta contre le bas de son jeans, mais qu’est-ce qu’il voulait encore celui-là. Certes il était le seul dont elle appréciait la compagnie plus de quelques minutes mais au point de se rendre exigent il ne fallait pas non plus pousser le bouchon trop loin. Elle posa donc son regard au niveau du sol et compris. « D’accord on sort. »

    C’est en se rendant dans le hall qu’elle remarqua le temps incroyable qu’elle avait passé à marcher dans les sous-sols à ne faire que penser. Il n’était guère étonnant donc de voir Eden se précipiter dans l’herbe du parc afin de goûter à autre chose que le sol froid d’en bas. L’air était tiède au dehors, pas trop chaud pas trop froid, juste ce qu’il fallait pour une journée de fin de printemps. Au loin elle apercevait les marches de la volière qui avait sur elle un effet attractant. Notre verte et argent avait enfin trouvé compagnie à son goût. Non je vous arrête tout de suite elle ne comptait pas terminer sa journée dans le brouhaha des chouettes et des hiboux, elle allait plutôt se servir d’eux pour envoyer un message. Et qui donc en serait le destinataire ? Adrian. Unit dans les bons comme dans les mauvais coups, ils avaient fait trembler les murs de Poudlard plus d’une fois avec leurs histoires. D’ailleurs, certains devaient encore se souvenir de leur menus larcins et farces. Au-delà de ce côté de troubles fêtes une relation d’amitié profonde s’était installée laissant la confidence et la confiance s’immiscer entre eux. Ainsi donc elle s’était attachée à quelqu’un d’autre ? Plus elle faisait le tour de ses relations, plus elle se rendait là aussi compte, qu’elle avait fait preuve cœur et de sympathie envers des personnes avec qui cela n’aurait jamais du se faire. Il y avait par exemple, le loup-garou et sa copine, comment se faisait-il qu’elle ait pu passer des moments en leurs compagnies ? Une serdaigle était presque omniprésente dans sa tête, et des souvenirs d’éclats de rire et d’intimités lui revenaient régulièrement, qu’est-ce qui l’avait poussé à faire d’elle une de ses proches ? Au moins pour Adrian elle ne se posait pas la question, il était Serpentard quoi de plus normal. Nouvelle preuve du déclin de mademoiselle Grey. S’il y avait bien des individus qu’elle ne pouvait supporter dans cette école, après ceux du corps enseignant –notons par là que son petit ami en faisait partie, je laisse imaginer l’étendu des dégâts-, c’était les serpentards avec leur supériorité et leur air d’arrogance. Et voilà que maintenant c’était tout le contraire, elle ne vivait plus qu’avec eux, et ils étaient ceux qui lui tapaient le moins sur le système. Décidément le monde ne tournait vraiment pas rond dans la sphère de Synthia Grey.
    Etant dans la volière une masse grise vint se poser sur une des fenêtres, pendant qu’elle était à la recherche de la pierre derrière laquelle elle avait mis plume et parchemins. Une technique bien pratique et qui ne vous oblige pas à retourner à l’intérieur pour écrire un stupide mot. Une fois la cachette trouvée elle prit ce dont elle avait besoin et rejoignit sa chouette. Son compagnon à quatre pattes quant à lui était resté dehors, il n’avait jamais vraiment aimé les oiseaux… A vrai dire tout ce qu’un chat relativement normal devait apprécier n’était pas sa tasse de thé et inversement, la preuve la plus marquante étant le fait qu’il pourrait se prélasser dans l’eau sans en ressentir aucune gêne… Pendant qu’elle écrivait Anne-So’, le nom de sa chouette, tentait de lui piquer sa plume. Mais ce qu’elle pouvait être agaçante celle là aussi. Et puis qu’elle idée de lui avoir donné un nom aussi ridicule. Pour note, sachez que le nom complet de la mère de Synthia était : Anne-Sophie Eden. Voilà ce quoi faire la lumière sur certains détails de sa vie. Le mot terminé elle le lit une dernière fois :

    Forêt interdite. Tout de suite.
    S.

    Elle roula le parchemin, et dans les secondes qui suivaient la chouette partait en direction du château à la recherche du Serpentard à qui elle avait déjà délivré plusieurs messages. Vous vous direz certainement que Syn’ était culottée de lui envoyer ce genre de mot, comme si elle voulait disposer de lui immédiatement et surtout sans attente. Chose qui n’était pas totalement fausse d’une certaine manière, mais il fallait savoir qu’entre eux tout avait toujours été question de défi. C’était à celui qui arrivait le premier à mettre hors de lui le professeur de métamorphoses et à se faire coller par exemple –évidemment quand l’un réussissait le second faisait tout pour participer à la colle lui aussi, c’était la moindre des choses tout de même-. Il n’avait pas été rare donc que l’un d’en eux reçoivent des messages types, demandant clairement de tout laisser tomber. Etrange mais il en était ainsi, et c’était plutôt amusant, au moins cela vous donnait un prétexte pour être de mauvaise humeur. Et si l’un d’entre eux ne réussissait pas le pari ou ne se présentait pas au lieu demandé, que se passait-il ? Un gage était alors donné au perdant afin de prolonger le jeu un peu plus longtemps. Néanmoins, Syn’ n’était pas tellement sûre d’avoir envie de grands moments de rire lors de ce rendez-vous. Si elle avait choisi la forêt interdite ce n’était pas pour rien, c’était pour l’imprévu et le danger omniprésent. Egalement aussi parce que dans ce type d’environnement en cas de problème vous étiez comme coupé du monde –mis à part la présence du garde-chasse mais il était facilement neutralisable celui-là – et rien n’était sous votre contrôle. Perdre le contrôle de soi, c’était ce qui lui arrivait depuis quelques temps, et elle y prenait goût. Cette sorte de force qui prenait possession d’elle et qui la rendait toute autre. Si la pauvre savait qu’elle était son l’effet d’une malédiction elle trouverait certainement la force beaucoup moins fascinante.

    C’est avec Eden la suivant, qu’elle se rendit au lieu de rendez-vous fixé : l’orée de la forêt interdite.
Revenir en haut Aller en bas
https://cracbadaboum.keuf.net/t22-synthia-grey https://cracbadaboum.keuf.net/t3020-boite-de-synthia https://cracbadaboum.keuf.net/t2120-synthia-lost-far-away https://cracbadaboum.keuf.net/t2673-anneso-eloise-maureen-miranda-muse-synthia
Adrian J. Hennessy
Adrian J. Hennessy



▌Citation :
« L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. »
You said you wanna loose control; 870136MV24

▌Clan : Avec moi-même, ça en fait moins à trahir.
▌Âge : 19 ans
▌Année : 9e année
▌Maison : Serpentard
▌Sang : Pur
▌Humeur : Ça dépend de qui j'ai affaires.
▌Responsabilité : Emmerder les gens
▌Crédit(s) : Avatar:
(c) White Rabbit

AND MORE...
▌Relations:

You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: Re: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; EmptyLun 8 Juin - 18:10

    Post naze.. je suis désolé, je me reprendrai, promis!

    Ennuyant… Il n’y avait sans doute pas un autre terme pouvant mieux décrire le moment. Pas une âme qui vive ou alors, pas une qui semblait intéressante. Toutes étaient insignifiantes aux yeux du serpentard qui se plaisait habituellement à les malmener. Étrangement, il n’en faisait rien aujourd’hui. Certaines première année le regardaient s’approcher vers les tables d’un air terrorisés, mais pas un seul regard ne leur avait été porté vers leur direction. Certains en furent soulagés, d’autres en furent étonnés. Effectivement, tel un automate, Adrian James Hennessy s’était dirigé vers la table au nom de ses propres couleurs sans causer le moindre problème. L’esprit ailleurs, le dos droit et les mains dans ses poches de pantalon comme à l’accoutumée, il avait fini par prendre place et s’étirer le bras pour prendre un fruit qu’il croqua à pleine dent. Fixant les carreaux des grandes fenêtres de la grande salle, il n’entendit même pas ses camarades de classe l’appeler par son nom. Habituellement, il aurait fait un signe de tête avec un grand sourire ou n’importe quoi, mais il leur aurait répondu quelque chose, fait un geste, peu importe… Cette fois-ci, rien; le néant. Il leur fallu donc qu’ils ne s’approchent du jeune homme pour qu’il capte enfin leur présence en sursautant. Les autres avaient beau rire, Adrian grogna quelque chose tout en mangeant son fruit…

    «Qu’est-ce que vous voulez, les gars?»

    «Ho! Rien du tout. Tu sembles t’ennuyer et on s’ennuie aussi. Donc, on s’est dit : Pourquoi pas un peu de piquant?!»

    Arquant un sourcil suspicieux vers les autres garçons, Adrian finit par lever son regard vers celui qui avait pris la parole. Il avait vu clair en affirmant qu’il s’ennuyait, mais où voulait-il en venir avec le piquant? Espérant qu’il ne songeait pas encore à faire boire l’eau des toilettes au pauvre Nelson, élève de Poufsouffle en troisième année, car le mal était déjà fait… Détrompez-vous, ce genre de blague était loin de satisfaire Hennessy qui ne se rabaissait pas à ce genre d’exercices. Néanmoins, il avait vu, en chemin, trois garçons maltraité le malheureux. Pourtant, une fois que l’on avait piqué la curiosité du fils aîné des Hennessy, on ne pouvait rien faire d’autre que de continuer sur sa lancée et tout révéler. Or, le jeune homme invita celui qui lui faisait face à poursuivre d’un signe de main. Systématiquement, tous les garçons, Adrian compris, se rapprochèrent comme si il s’agissait là d’un coup d’État. Pourtant, les ridicules petites manigances d’étudiants étaient encore bien loin de pouvoir être comparés à tous ces coups d’État qui se passaient réellement autour d’eux; Adrian en savait quelque chose pour être né dans une famille qui excellait dans ce genre de chose. Bref, portant une oreille attentive au plan de jeux de son camarade, Adrian ne put s’empêcher de sourire, mais de se montrer ennuyer par le coup qu’ils planifiaient. Pour avoir désiré du « piquant », il assaisonnait mal leur recette. Se redressant alors vers l’arrière en s’étirant, le serpentard de septième année avait déjà pris sa décision : il n’allait pas prendre part à ce genre de pari idiot.

    « Allez Hennessy! Tu gagnes le cœur de la fille que l’on te choisit et tu… »

    « Et j’y gagne quoi, hein? Absolument rien. Y a que vous qui aller vous marrez derrière. Non merci… Des plans pour que vous me sortiez le nom de Georgie Fletcher comme victime! »

    Les garçons partirent à rire, sauf Adrian qui fit une grimace de dégoût. La pauvre Georgie n’avait pas été très aimée par la nature. Cette élève de Gryffondor était si myope qu’il lui fallait deux fonds de bouteille pour composer un seul verre de ses lunettes, sans compter l’acné qui envahissait son visage tel un champ de mines moldus et de son corps à la corpulence assez large, pour ne pas dire qu’elle était grosse, voire énorme! Bref, c’était la personnalité parfaite pour les genres de concours de beauté « Avant/Après », si seulement il était possible de faire quelque chose avec son cas. Il était alors inimaginable pour Adrian de jouer le jeu! Non seulement il ne serait pas crédible –après tout, il n’arrive même pas à la regarder plus de deux secondes dans les yeux tellement ses lunettes l’étourdisse!-, mais il en serait malade! Ce pourquoi il préférait quitter la compagnie de ces Serpentards avant de vomir. Cependant, une main vînt le ralentir lorsqu’il eut envie de se lever. On le força donc à se rasseoir violemment, ne le lui laissant pas autre choix que d’écouter le reste de leurs conneries, malheureusement. Soupirant, Hennessy s’accouda sur la table. Il n’avait rien de mieux à faire, mais il aurait préféré éviter de participer à de tels jeux avec ses idiots. D’ailleurs, pourquoi devait-il être l’arme qui achèverait la victime? C’est alors que l’un deux commença à déblatérer sur le fait qu’une cible plus « inaccessible » serait bien plus amusante pour eux. Bien entendu, Adrian n’avait retenu que le « pour eux ». *Bande d’idiots…* se dit-il en détournant le regard. Il constata alors qu’un hibou venait délivrer du courrier à une heure assez étrange. Plus étrange encore, ce hibou semblait voler en sa direction. Effectivement, l’oiseau de malheur manqua lui mettre une de ses serfs dans l’œil tout en libérant le bout de parchemin qu’il tenait… Tous curieux, tous se ruèrent sur la lettre :

    Forêt interdite. Tout de suite.
    S.


    «Qui est S.?»
    «Synthia… Bye les gars!»

    Le message qu’il devait sans doute rêver de recevoir sans le savoir! Après tout, il allait devoir la remercier de l’avoir délivrer d’un groupe de quatre garçons stupides et immatures! Ils devaient apprendre à grandir, ça c’était certain. Pourtant, ce n’était pas de mauvaise personne, mais ce n’était que des camarades de classe et non pas de véritable amis. D’ailleurs, leurs mauvais coups étaient beaucoup trop ridicules et enfantins pour Hennessy. Synthia, elle, elle savait comment s’amuser, au moins! Ce n’était pas pour rien que ces deux là s’entendaient aussi bien, malgré les deux caractères plus ou moins différents qu’ils étaient. Pour tout dire, il était rare qu’un Serpentard s’entende bien avec un autre Serpentard. Du moins, il avait toujours une petite bisbille à quelque part, voire de l’hypocrisie. Toutefois, c’était toujours agréable de croire que l’on avait des amis, pour certains. Dans le cas de Hennessy, il ne croyait pas que sa relation avec Grey pouvait se résumer par ce stéréotype débile. En tout cas, il l’espérait! Ainsi, avec un sourire en coin, le garçon s’apprêta de nouveau à se relever, se croyant enfin libre. Pourtant, deux autres bras vinrent l’arrêter dans sa lancée, une autre fois.

    « Mais quoi, merde! Vous n’avez rien de mieux à faire?! Trouvez-vous une vie, bon sang! »

    « Wouah! Tout doux, Hennessy! Attend un peu! Ça y est, on l’a notre cible! Synthia Grey! Quoi de plus inaccessible que ça? Parait-il qu’elle soit enceinte d’un membre du personnel… Je parie que tu n’y arriveras pas, Hennessy! Je te prédis un râteau douloureux! Haha!»

    «Effectivement… Si tu me le prédis, je préfère ne pas m’essayer. Encore moins sur Synthia.»

    «Tu as peur… Haha!»

    ------------------

    Il ne savait même plus comment il avait bien pu faire pour se débarrasser des abrutis… Sans doute avait-il finit par accepter leur pari, à contre cœur. Peu importe, il allait alors devoir en payer le prix que les quatre garçons avaient exigés en cas d’échec. Ce n’était pas trop grave : courir en caleçon dans tout le château, ça n’allait que lui mériter que quelques heures de retenues pour avoir foutu la panique et pour indécence. C’était peu cher payer que de perdre la seule personne à qui il pouvait se confier, pas vrai? Du moins… pas se confier pour tout. Il était hors de question d’avouer à sa famille qu’il vivait dans une vie similaire à la mafia et que sa vie durant les vacances se résumait à ramasser des corps, puis nettoyer les lieux pour effacer toutes traces de crimes évidents! Tout le monde savait que sa famille était louche, mais personne n’avait jamais eu de preuve pour le prouver… Il n’allait donc pas tout foutre en l’air et révéler la vérité. Même si il s’agissait de Synthia, il préférait garder ce secret pour lui. D’ailleurs, en l’ignorant, leur relation se portait sans doute que mieux. Or, Adrian marchait le long du chemin qui le rapprochait de l’orée de la forêt, se demandant aussi pourquoi la jeune femme avait choisi un tel endroit comme lieu de rencontre. Ça faisait un peu louche, même si il n’avait rien contre le fait que ce le soit. Ça ne faisait que rajouter une dose de mystère à la rencontre. Après tout, la forêt interdite était synonyme à mystère et danger. Deux choses que Synthia et lui semblait bien apprécier de temps à autre. D’ailleurs, il reconnu une silhouette au loin, doté d’une chevelure blonde qu’il reconnu sur-le-champ.

    « Syn! Toujours aussi ravissante! En quoi me vaut cette honneur?»

    Esprit taquin comme à son habitude, Hennessy lui sourit tout en lui faisant face. C’était vrai qu’elle était très jolie, il l’avait toujours vu –il n’était pas aveugle!-, mais ces idiots semblaient avoir déréglé son cerveau… Enfin! Détournant le regard de la jeune pour regarder l’entrée de la forêt sombre, le jeune homme se mit à rire.

    «Tu avais besoin de moi, au cas où tu te faisais attaquer par une grosse araignée?»
Revenir en haut Aller en bas
Synthia Grey
Synthia Grey
    synthia; disturbed
    malicious admin;



▌Citation :
«Méfiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant»
Nietzsche

▌Clan : Le pouvoir mène au succès.
▌Âge : 19 ans. (7 août)
▌Année : 9ème année
▌Maison : Slytherin
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Solitaire
▌Poste au Quidditch : Poursuiveuse.

▌Crédit(s) : (c) fae

AND MORE...
▌Relations:

You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: Re: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; EmptyJeu 18 Juin - 11:32


Je tente de mettre un peu d'action heiin, 'fin un minimum quoi xD
Faut pas m'en vouloir ^^' J'espère que ça t'ira.


    La forêt interdite, un lieu qu’elle avait toujours affectionné. Non pas pour la rencontre qu’elle y avait faite l’année passée, mais plutôt parce qu’elle était intrigante et source de mystère. Et puis rien que le fait qu’elle lui soit interdite suffisait à en faire un des lieux qu’elle avait le plus fréquenté lorsqu’elle mettait le nez dehors ! Après maintenant à savoir si c’était le meilleur endroit pour y retrouver Adrian c’était une toute autre histoire. Et d’ailleurs, cela faisait pas mal de temps qu’Anne-So’, reprécisons le qui est sa chouette, était partie en mission, qu’est-ce qui avait bien pu le retenir cette fois-ci. La dernière fois, il lui avait parlé d’une bande d’idiots relativement encombrants qui ne voulait pas le lâcher. Par la suite, elle les avait rencontrés, à l’insu de son compagnon, et elle avait fini par comprendre l’état d’esprit du Serpentard. Serpentard dont elle apercevait enfin la silhouette se détachant du décor. Ce n’était pas bien compliqué de savoir que c’était lui et pas un autre, il faisait partie de ceux dont la carrure était ancrée dans sa mémoire, que voulez vous, les filles ont des techniques de reconnaissances bien plus pointues qu’on le croit. En fait, en ce qui concernait la verte et argent, tout le monde avait le droit à un détaillage (j’crois pas qu’il soit dans le dico ce mot –-‘) complet de haut en bas, il fallait bien qu’elle se fasse une appréciation personnelle tout de même…

    « Syn ! Toujours aussi ravissante ! En quoi me vaut cet honneur ? … Tu avais besoin de moi, au cas où tu te faisais attaquer par une grosse araignée ? », il n’y avait pas à dire sa compagnie serait bien plus agréable que la solitude dans laquelle elle s’enfermait depuis quelques jours. Et comme pour illustrer les propos du jeune homme un buisson vers sa gauche se mit frémir pour en laisser sortir le chat de la demoiselle qui refaisait enfin apparition. Mais quel abruti par moment j’vous jure. Syn’ ne se faisait pas trop de soucis pour lui, le mois dernier elle l’avait retrouvé au pied du Saule Cogneur, qui évidemment se mit à devenir agressif qu’en sa présence. Une histoire qui lui avait valu un court séjour à l’infirmerie, mais elle n’en parlait pas trop autour d’elle, allez dire que Synthia Grey glaçon de Serpentard avait joué l’imprudente pour son chat au pied de l’arbre le plus dangereux de l’école. S’il y en avait bien un qui avait ri, après coup, c’était ce fameux Turner dont elle s’était entichée depuis un temps qu’elle semblait avoir oublié. Mouais il fallait vraiment qu’elle fasse quelque chose pour lui, surtout qu’il paraissait plutôt attaché à elle, chose qu’elle ne comprenait pas, ou plus. Par moment, il lui revenait des brides de souvenirs les concernant, mais de toutes évidences ils n’étaient pas encore assez fréquents pour lui rappeler l’idylle qu’elle était sensée vivre avec cet homme. Et en parlant d’homme, elle se trouvait maintenant en charmante compagnie, alors qu’elle en profite pour passer un bon moment.

    « Je m’ennuyais et malheureusement le hasard a voulu que je pense à toi durant ce temps. J’espère que ça t’ira… », finit-elle par lui répondre, tout en commençant à s’enfoncer dans la forêt. « Penses un peu à ma générosité… Je partage mon ennui… Mais si tu veux t’en aller libre à toi, vu le temps que tu as mis une charmante demoiselle t’attend peut être ailleurs.». Taquine à son tour, elle continua dans son avancée. La nuit avait commencé à tomber, en d’autres termes la pénombre n’allait pas tarder à se faire sentir au sein de la forêt. Avec tous les évènements récents, elle aurait du ne pas s’aventurer en ces lieux. On ne sait jamais quelle bête déréglée pourrait s’en prendre à vous. Il paraissait que les centaures étaient de plus en plus agités et que certaines créatures s’étaient faites plus agressives envers les sorciers. Enfin tout cela elle n’en était pas réellement sûre, elle l’avait entendu dire de la bouche d’élèves, alors c’était à prendre avec des pincettes. Pourtant il lui semblait avoir entendu le professeur de potions échanger des propos concernant la forêt avec le prof de soins aux créatures magiques. Discussion dont elle avait pris connaissance parce qu’elle avait voulu entreprendre la fouille du bureau du professeur Stern, mais malheureusement pour elle, elle s’était faite attrapée par son comparse préfet en chef de Serpentard. Forcément elle avait donc du remettre son exploration à autre jour, qui n’était pas encore venu soit dit en passant –entre parenthèse, elle avait baratiné l’autre vert et argent lui faisant croire qu’elle avait vu entrer un Poufsouffle dans les lieux-. Mais comme on dit, tout vient à point à qui sait attendre, elle trouverait un moyen. Pour en revenir à la forêt, même si elle prenait un certain risque, elle n’était pas seule. Oh puis qui a dit que la forêt interdite est toujours truffée de créatures prêtes à vous tomber dessus… « Oh et c’est quand tu veux que tu viens me chercher pour aller ‘emprunter’ le Veritaserum à la réserve… J’attend toujours.. ». Ce pari remontait à deux semaines. Ils étaient à cours d’actions –comme bien souvent ces derniers temps- et pendant leur recherche très profonde –si si croyez moi- ils virent passer le concierge une fiole de Veritaserum à la main. C’était une chose courante depuis le changement du règlement intérieur. Beaucoup d’élèves avaient subi les effets de cette potion afin d’avouer leur méfaits. Car si les pratiques de punitions et d’extirpations des informations étaient moins pédagogiques qu’à l’accoutumé, les méfaits avaient augmenté considérablement. A croire qu’il y avait une période prévu à ce genre d’action. Une nouvelle fois nous nous égarons. Et c’est donc en voyant le concierge passer qu’elle dit…

      Flash back

      « Tu vois la fiole là, j’ai faillit en boire la semaine dernière. »
      « Inutile de demander pourquoi je suppose ? »
      « Comme d’habitude Dri’, comme d’habitude. »
      « Et si on contrecarrait les plans de la Directrice… »
      « Penseriez-vous comme moi, Monsieur Hennessy ? »
      « Je pense surtout qu’on risque un nouveau tête à tête dans la tour… Mais cela ne vas nous faire reculer n’est-ce-pas ? »
      « Tout à fait », dit-elle en se redressant et quittant l’arche sur laquelle ils s’étaient reposés, « Mais pour le moment tu m’en veux pas mais on m’attend. »
      « Je viendrais te chercher, et soit prête. »
      « Ouais ouais… »

      End flash back


    Et elle était repartit, lui lançant cette vague réponse affirmative. Depuis elle attendait toujours. Certainement avait-il du être très occupé, ou bien il avait oublié, ce qui serait moins amusant pour le coup. Il fallait dire que l’idée d’empêcher l’équipe professorale de s’en prendre à aux élèves avec des potions de ce type lui plaisait bien, étant donné qu’elle ne pouvait pas faire grand-chose concernant les sortilèges impardonnables qui étaient utilisés, c’était déjà ça. N’allez pas croire que son envie était d’aider les autres élèves, non loin de là, elle pensait plus à sa petite personne pour l’heure et rien que le fait d’être soumis à ce liquide avait le don de lui arracher quelques frissons. Soit dit en passant, la Syn’ d’avant l’ouverture d’une certaine boîte aurait un peu plus fait attention au sort de son prochain…

    Laissant aller son esprit à de telles divagations, la jeune fille ne faisait même pas attention à l’environnement qui l’entourait. Enfin juste un minimum, assez pour qu’elle ne se prenne pas de plein fouet un arbre qui aurait l’outrecuidance de se trouver sur son chemin, mais visiblement, elle n’était pas assez attentive pour éviter la branche qui se trouvait à la hauteur de son visage et qui lui arrache un : « Aïe. Merde ! » Phrase très gracieuse ne masquant pas l’envie de faire brûler l’objet de sa douleur dans la minute qui suivait. C’est là que ça fit tilt dans son esprit, pourquoi n’avait-elle pas entendu de rires ou une remarque suite à incident –tout simplement pourquoi n’avait-elle pas entendu autre chose que le son de sa propre voix depuis le début-, il n’aurait tout de même pas laissé passer ça ? Frottant doucement ses yeux elle regarda autour d’elle. « Adrian James Hennessy montres-toi tout de suite… ET ARRETE DE ME LAISSER PARLER TOUTE SEULE !! ». Bizarrement elle se dit qu’elle aurait mieux fait de le laisser passer devant plutôt que de lui offrir une possibilité de lui fausser compagnie en tentant de la faire sursauter par exemple… ce qui ne serait guère étonnant…
Revenir en haut Aller en bas
https://cracbadaboum.keuf.net/t22-synthia-grey https://cracbadaboum.keuf.net/t3020-boite-de-synthia https://cracbadaboum.keuf.net/t2120-synthia-lost-far-away https://cracbadaboum.keuf.net/t2673-anneso-eloise-maureen-miranda-muse-synthia
Adrian J. Hennessy
Adrian J. Hennessy



▌Citation :
« L'homme n'est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête. »
You said you wanna loose control; 870136MV24

▌Clan : Avec moi-même, ça en fait moins à trahir.
▌Âge : 19 ans
▌Année : 9e année
▌Maison : Serpentard
▌Sang : Pur
▌Humeur : Ça dépend de qui j'ai affaires.
▌Responsabilité : Emmerder les gens
▌Crédit(s) : Avatar:
(c) White Rabbit

AND MORE...
▌Relations:

You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: Re: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; EmptyLun 20 Juil - 2:41

    C’était à ce demander pourquoi on spécifiait clairement que la dite forêt du château était interdite. Aussi bien dire à un enfant de ne pas faire quelque chose pour que ce dernier le fasse, pour le simple plaisir de désobéir. Même avec les explications derrière un tel interdit, les jeunes gens trouvaient le moyen d’être attirés vers ce lieu dangereux. Après tout, tous ces mystères qui planaient autour du lugubre endroit piquait la curiosité n’innombrables jeunes gens, tout particulièrement celle des plus courageux ou des plus rebelles. Rien ne pouvait être comparable à l’adrénaline et les frissons que pouvait nous procurer la forêt et c’était sans doute là l’un des principaux aspects qui plaisaient au Serpentard de dernière année. Il était impossible de prévoir notre destin au fur et à mesure que l’on s’enfonçait dans un tel environnement et c’était ce qu’il y avait de plus excitant… Tout particulièrement lorsque l’on était en bonne compagnie. Bien que le jeune homme n’ait point songé à venir faire une escapade à cet endroit, malgré son ennui depuis le tout début de la journée, le hibou de sa comparse de maison avait été le bienvenu. Non seulement elle l’avait sauvé –pour la deuxième fois- des mains d’abrutis qui insistaient peut-être un peu trop pour faire un pari bidon, qui, même s’il s’agissait de tourner autour de Synthia Grey, Adrian était sûr de remporter peu importe le temps que cela prendrait si seulement ce dernier l’intéressait. Trop sûr de lui? Peut-être et alors? Cela ne changeait en rien au fait que Synthia était avant tout une amie qui lui était chère. Pourtant, Hennessy ne pouvait dire si leur relation était réellement saine. Ils passaient le clair de leur temps à vouloir tuer le temps, à se désennuyer ensemble dans tout et rien. On pouvait aller jusqu’à dire que leur amitié résidait derrière des désirs égoïstes ou la simple peur d’être seuls. D’ailleurs, si c'était vrai, alors cela n’y changerait rien… Adrian James Hennessy vivait bien avec cela. Qu’on l’utilise n’était pas une grosse affaire tant et aussi longtemps qu’il pouvait en faire de même de son côté.

    « Je m’ennuyais et malheureusement le hasard a voulu que je pense à toi durant ce temps. J’espère que ça t’ira… » Simple réponse, mais qui en disait long. La jeune femme s’était mise en route une fois que le garçon était arrivé à sa hauteur, puis, commençait peu à peu à s’enfoncer dans la forêt, Adrian dans ses pas. N’importe qui aurait pris mal ce que Synthia venait de dire, soit que n’importe qui se serait sentie comme un bouche-trou, un outil de dernier recours, mais cela n’était pas le cas pour le septième année. En fait, aucune pensée négative ne lui était venu à l’esprit avec ces mots. Il connaissait suffisamment la Serpentard pour se sentir toucher et puis, il était loin d’être quelqu’un qui s’importait réellement de ce que les autres pouvaient penser pour faire semblant d’être triste ou quoique ce soit. Haussant simplement les épaules en gardant son sourire plein de malice sur les lèvres, il se contentait de l’écouter parler d’un ton qui se voulait taquin : « Penses un peu à ma générosité… Je partage mon ennui… Mais si tu veux t’en aller libre à toi, vu le temps que tu as mis une charmante demoiselle t’attend peut être ailleurs.» Sur ce coup-là, Adrian ne pu s’empêcher de retenir son rire. Passant une main dans ses cheveux toujours en souriant, il ne pouvait pas dire qu’en réalité, aucune fille ne l’attendait cette fois-ci. D’ailleurs, il ne pouvait ne pas la remercier de partager ainsi son ennui avec lui; comme elle était généreuse, cette Synthia Grey! Les bonnes sœurs pouvaient bien retourner prier leur Dieu et laisser le domaine de la générosité à cette jeune sorcière… Le monde s’en porterait sans doute mieux, -ou pire encore-. Puis, il était hors de question de quitter sa compagnie et ainsi risquer de recroiser les idiots de ce matin. Disons-le, cette fille était bien plus intéressante que ces nigauds et tout particulièrement plus –voire beaucoup plus- sexy aussi. La comparaison et l’affirmation n’était pas difficile à faire, il fallait l’avouer. Il ne suffisait que d’un simple regard pour se décider.

    « Ne t’en fais pas, la seule fille qui m’attends, ou de moins qui m’attendais aujourd’hui, c’est toi miss Grey. Puis, j’imagine que je dois te remercier pour bien vouloir partager tout ça avec moi… Je m’en vois honoré. »

    Répondant à son tour de la même façon qu’elle, il la suivait non loin derrière, prenant la peine de regarder les lieux aux alentours. La nuit ne tardait pas à tomber vu la noirceur dans laquelle les deux jeunes gens étaient plongés depuis quelques instants déjà, ce qui n’avait rien de rassurant pour des ceux saints d’esprits. On racontait toutes sortes de bizarreries à propos de la forêt; fondées ou non, une chose était certaine : il fallait être sur ses gardes. Si les rumeurs trouvaient le moyen de circuler ainsi de bouches à oreilles, c’est qu’elles avaient bien vu le jour à quelque part, pour sûr. Néanmoins, ce n’était pas suffisant pour inquiéter le Serpentard, qui, au contraire, trouvait cela plutôt amusant. La plupart aurait eu la frousse dans des lieux semblables, mais Adrian se faisait bien plus que courageux… En effet, il était bien calme et arborait son éternel sourire en coin sur son visage, les mains dans ses poches de pantalons. Si il s’inquiétait pour quelque chose, c’était uniquement pour Synthia : savait-elle seulement où elle les amenait ainsi? Ils avaient beau s’enfoncer encore et encore plus profondément dans la forêt et ainsi attiser la colère des centaures qui détestaient habituellement la présence des humains dans leur territoire, cela ne les mèneraient nulle part. Du moins, nulle part ou alors, dans les dents acérées d’une créature inconnue, qui sait? Il avait beau y penser vaguement, il fut néanmoins couper par la voix de sa compagne qui faisait allusion un vieux plan à eux. Le Veritaserum… comment avait-il bien pu oublier? Pour dire vrai, il n’avait pas oublié, disons plutôt qu’il n’avait pas eu le temps de se baser sur un soit disant plan en sa compagnie pour arriver à leur fin. Cette potion allait finir par les nuire, tous les étudiants y compris! Dire la vérité, toute la vérité, n’était pas toujours ce qu’il fallait. Effectivement, cette dernière pouvait parfois faire très mal, tout particulièrement lorsque vous deviez rendre des comptes sur votre conduite qui défiait la politique de l’école! Bref, aussi en désaccord avec la nouvelle technique d’extirpation d’information du personnel pouvait être Adrian et Synthia, aussi efficace pouvait-elle se montrer envers les élèves pris sans échappatoire. Or, comme de preux chevaliers qui devaient accomplir leur devoir, il était inévitable –ne serait-ce que pour défier l’interdit encore une fois et sauver leur peau- de voler la fameuse fiole tant convoitée. Pourtant, les heures de retenues qu’Adrian avait héritées après avoir essayé de tromper un professeur lui en avait empêché…. Ce stupide professeur voyait en tout objet et action tout autre chose qui se voulait être de la tromperie, chose qui n’en avait pas été cette fois-là. Peu importe, ce n’était pas comme si les retenues étaient quelques choses qu’il détestait… Disons plutôt qu’à force d’y être appelé, on finissait par apprendre à apprécier la chose… -Bon d’accord, c’est faux! Adrian a les retenues en horreur!-.

    « Disons que j’étais occupé ailleurs… mais je n’ai pas oublié. »

    Sans doute alors n’avait-il tourné les yeux que quelques instants pour vérifier que rien ne s’apprêtait à lui sauter dessus par derrière qu’il perdit toute trace de la jeune femme. Pourtant, il y avait de cela une minute, tous les deux discutaient tranquillement, pas vrai? Au diable toute cette noirceur! Sortant instinctivement sa baguette, le garçon s’écria : « LUMOS! » afin d’allumer son chemin. Peut-être essayait-elle de lui rendre l’appareille pour toutes les fois où il lui avait fait peur de la même façon?

    « Tu sauras, Grey, que tu ne m’auras pas. Tu peux aussi bien sortir tout de suite de ta cachette… C’est mon rôle, pas le tien. Tu ne peux pas y exceller autant que moi… »

    Se forçant à rire, il la cherchait du regard et commençait sérieusement à trouver ce petit manège peu intéressant. Pour dire vrai, c’était très agaçant. Tout particulièrement parce qu’il l’avait suivi jusqu’ici sans même s’être attardé au chemin qu’ils avaient pris. D’ailleurs, il refusait de penser qu’il l’avait peut-être tout simplement perdu de vu. Sa baguette toujours brandit devant lui, le Serpentard enjamba des buissons afin de couper vers une certaine direction tout en prenant soin de faire attention où il mettait les pieds. Leur escapade nocturne était moins palpitante une fois seul. S’arrêtant net, il tendit l’oreille… Il avait cru entendre un certain : « ARRÊTE…SEULE!!! » un peu plus loin. Pourtant, il avait l’impression d’être suivit et le bruit qui ressemblait étrangement à celle d’une respiration près de sa nuque était loin de le rassurer. Telle une statue, l’adolescent jeta un regard en biais pour constater qu’une certaine ombre se tenait derrière lui…

    « Je t’ai trouvé Synthia G….. Me-merdeeee!!! »

    Cette silhouette était loin d’être celle toute délicate de la belle blonde… À moins bien sûr qu’on lui disait qu’elle avait fini par prendre du poids en moins de deux, avait une pilosité étrange et un teint un peu trop verdâtre à son goût. Reculant doucement pour ne pas brusquer la créature qui le regardait sans émotion –même si Adrian aurait pu parier qu’elle le voulait comme casse-croûte-, Hennessy finit par rebrousser chemin en courant aussi vite que le lui permettait ses jambes. Il était si concentré à essayer de se sauver loin de l’immonde bestiole géante avec laquelle il avait bien pu faire face qu’il ne remarqua même pas la racine d’un arbre qui vînt se placer entre ses pieds et ainsi le faire trébucher… Laissant échapper un juron durant sa chute, il n’aurait jamais pu imaginer que cette dernière aurait pu être aussi agréable –si on oubliait la créature derrière lui, si bien sûr elle l’avait suivit-… En effet, comme coussin amortisseur, Synthia Grey était sans doute d’une qualité extraordinaire. On pouvait se cogner le genou très fort contre une pierre comme Adrian, mais trouver le moyen d’être hypnotisé par ses yeux et afficher un sourire… La scène devait être assez louche : un garçon sur une fille, sur un sol terreux entouré de buisson… Bref, c’était très loin d’être commun.

    « Boo! »

    Comme entrée remarqué, il méritait une main d’applaudissement même si rien de tout cela n’avait été voulu. C’est alors que la même respiration que tout à l’heure se fit entendre au-dessus d’eux… Levant les yeux pour voir, Adrian pu apercevoir le monstre avec qui il avait eu le malheur de faire face un instant plus tôt. Faisant signe de se taire à Synthia, ou plutôt en lui plaquant littéralement sa main contre sa bouche pour l’éviter qu’elle ne se plaigne de son poids sur elle, le garçon analysa la situation. L’herbe haute et les buissons étaient suffisants pour pouvoir les cacher de cette créature étrange qui semblait perdu. Penchant alors davantage son visage vers celui de Synthia, le Serpentard alla lui chuchoter à l’oreille : « Tu ferais mieux de ne pas trop bouger à moins de réellement tenir à faire la connaissance de mon nouvel ami vert… Très beau, pas autant que moi, mais j’imagine qu’il a son charme… Enfin, si c’est un mâle…. ». Il retira alors doucement sa main de sur la bouche de la jeune blonde sans néanmoins cesser de la fixer dans les yeux. Il pouvait très clairement sentir ses courbes sous lui et même si elle le voulait, il ne pouvait pas se relever afin de la libérer à moins d’avoir des envies suicidaires tous les deux.

    Se mordant la lèvre inférieure, il ne pouvait s’empêcher de la regarder et d’agrandir son sourire. C’était parfois étrange comment les choses étaient faites. Certes, se retrouver dans une telle position avec une fille comme Synthia était loin d’être désagréable et il l’aurait sans doute déjà souhaité, mais il aurait volontiers retiré l’intrus à la peau verdâtre du décor… D’ailleurs, l’embrasser ici, dans une telle situation, cela devait être assez mal placé, non? Au diable les réflexions insignifiantes et inutiles! Dans les cas comme celui-là, il ne suffisait pas de réfléchir, mais bien d’agir, voire même d’oser. En cas d’échec, ce n’était qu’une vulgaire baffe à laquelle on avait droit ou sinon, on profitait de moment simplement… Hennessy s’approcha alors encore plus près et s’empara alors des lèvres de la préfète. Douces et mielleuse, elles étaient fort agréables à toucher, particulièrement à embrasser. Pendant ce temps, il alla poser une main contre sa nuque en une douce caresse… Petit ami ou pas, il s’en foutait. Il en avait envie et puis, si elle le désirait, cela allait rester leur petit secret à tous les deux… à moins bien sûr qu’elle ne veuille recommencer. Bien entendu, jamais il n’oserait dire non à celle jolie fille… D’ailleurs, ils ne remarquèrent sans doute pas que la créature avait fini par disparaître pendant ce temps.

Revenir en haut Aller en bas
Synthia Grey
Synthia Grey
    synthia; disturbed
    malicious admin;



▌Citation :
«Méfiez-vous de tous ceux en qui l'instinct de punir est puissant»
Nietzsche

▌Clan : Le pouvoir mène au succès.
▌Âge : 19 ans. (7 août)
▌Année : 9ème année
▌Maison : Slytherin
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Solitaire
▌Poste au Quidditch : Poursuiveuse.

▌Crédit(s) : (c) fae

AND MORE...
▌Relations:

You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: Re: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; EmptyMar 4 Aoû - 13:04


    Voyant les ténèbres prendre leurs aises au sein de la forêt une petite voix que l’on pourrait qualifier de conscience vint titiller la jeune demoiselle. Déjà les reproches fusaient dans son esprit, qu’est-ce qui avait bien pu lui passer par la tête quand elle avait décidé en fin de journée de venir s’enfoncer en ses lieux lugubres. Pour sûr, elle n’était pas seule, ou tout du moins presque, puisqu’elle se retrouvait bête, maintenant à la recherche d’Adrian qui avait mystérieusement disparu de son champs de vision. D’un côté, elle n’avait pas tellement fait attention au chemin que suivait ce dernier quand elle-même empruntait le sien pensant les mener nulle part. La réflexion ne semblait plus vraiment faire partie des capacités de la préfète, et elle s’en rendait compte à ses dépends, tandis que la témérité prenait le dessus, ce qui était fort regrettable et qui avait le don de la mettre dans des situations qui commençaient à devenir, de manière croissante, difficilement gérables. Une légère brise vint à faire danser les feuilles des arbres, donnant ainsi une illusion de vie à la forêt, par le chant de son branchage. Un fait qui ne fut pas là pour rassurer la jeune demoiselle, qui commençait sérieusement à déplorer la perte de son compagnon. Pestant contre elle-même, elle finit par se dire qu’elle n’allait pas commencer à tourner de l’œil à la première ombre d’arbre déformée, elle en avait vu d’autre en ces sept années passées ici. Cependant, il lui sembla entendre derrière des bruits de pas précipités, ce qui causa chez elle un mouvement de volte-face et la prise de son arme, juste au cas où. Plissant les yeux, elle vit arriver en sa direction une lumière artificielle, ce qui laissait donc croire qu’elle venait d’une baguette magique donc normalement d’un être humain. Elle eut bien vite le loisir de se rendre compte de l’identité du projectile quand il la percuta de plein de fouet dans un moment de déséquilibre dû à une racine mal placée. Synthia sous l’effet du poids et de la vitesse de son camarade fut donc entraînée au sol, lui coupant momentanément le souffle.

    « Boo ! », fronçant les sourcils et le regard quelque peu amer, contrastant avec celui de son voisin, on ne pouvait pas dire que la jeune fille était aussi enjouée que le paraissait l’intéressé, néanmoins il était clair qu’elle ne comprenait pas du tout quelle mouche l’avait poussé à se mettre à courir. De plus, si la chute avait pu paraître agréable pour Hennessy, cela n’avait pas été le cas de notre blondinette, qui regrettait déjà que la terre soit aussi sèche, même les herbes hautes n’avaient pas suffit à amortir convenablement leur chute –au contraire, étant donné que cela s’apparentait plus à des buissons, c’était plutôt épineux-. Occupée par la douleur naissante de la rencontre avec le sol et avec celui qui se retrouvait littéralement étalé sur son corps –et qui malgré son physique remarquable pesait légèrement-, elle ne prit pas même la peine de regarder aux alentours, ce fut juste un bruissement rapproché qui l’alerta quand elle sentit une main, délicate, faire barrage aux flots de paroles qu’elle s’apprêtait à faire sortir de sa bouche. « Tu ferais mieux de ne pas trop bouger à moins de réellement tenir à faire connaissance avec mon nouvel ami vert… Très beau, pas autant que moi, mais j’imagine qu’il a son charme… Enfin si c’est un mâle… ». Jetant un très bref regard par-dessus le jeune homme, il lui sembla voir une ombre qui passait non loin de l’étrange couple qu’ils formaient. Mais bizarrement à la vue de la situation, la serpentarde ne prêta pas plus longtemps attention que le temps d’un coup d’œil au dit « ami vert », préférant plonger ses pupilles azurées dans celles d’Adrian Hennessy qui n’avaient jamais été aussi captivantes, et qui lui était bien un vert qui avait du charme. N’ayant rien de mieux à faire que d’attendre en silence, elle ne pouvait que rester rivée vers son visage et son sourire grandissant, mais il y avait fort à parier que si cette situation ce serait reproduite sans la présence de créature verte le résultat aurait été le même.

    Malgré la situation, dans la minute qui suivait, leurs lèvres vinrent à se rencontrer pendant que leur assaillant continuait tout droit loin de se douter qu’il aurait pu avoir une double ration pour son repas. Embrasser Adrian était loin d’être un acte désagréable, tout comme le fait d’avoir son corps contre le sien, avec comme unique porte de sortie, le retrait du dit corps. Au final, son poids s’avérait supportable, du moins pour l’instant. Il fallait dire que ce moment de délicatesse occultait tous les éléments environnants et les facteurs de risques, mais pas pour autant le fait qu’ils étaient dans la forêt interdite, ce qui rendait l’acte déplacé et donc fort plaisant par ailleurs. Il ne fallait pas non plus aller trop vite en besogne, il ne s’agissait là que d’un simple baiser échangé lors d’un tête à tête rapproché, normalement... Tête à tête qui soit dit en passant était loin d’avoir été commandité, si cela avait été le cas, il serait évident que les jeunes gens auraient eu vite fait de ne pas prendre l’option de la chose verte et des épines, u moins concernant la demoiselle. Sentant la main du vert et argent au creux de sa nuque un fin sourire étira les lèvres de la jeune fille, savourant le moment pour le ce qu’il était et rien de plus. Notons le fait, que l’idée de le repousser ou bien d’apposer sa marque sur la joue d’Hennessy ne lui était venue pas même une seule seconde, et qu’elle semblait avoir oublié la notion de fidélité qui, normalement, va de paire avec celle de petit ami et futur mari – de toutes manières pour ce qu’elle en pensait elle se moquait bien du dit petit ami et il était bien de dommage de voir combien leur relation idyllique tournait au cauchemar-. Une fois le contact rompu, leurs visages restés proches l’un de l’autre, Synthia se contenta de continuer à soutenir le regard d’Adrian. Pourquoi devrait-elle le fuir ? Y’avait-il quelque chose qu’elle devait se reprocher ? Pas le moins du monde. Quel que le soit l’ambiance dans laquelle vous vous trouvez, il ne faut jamais baisser les yeux. S’étant forgée toute seule, ou presque, la jeune demoiselle avait des réactions assez étonnantes par moment, encore plus depuis l’ouverture de la boîte de Pandore. L’exemple le plus récent en sera certainement cette soirée. C’est alors qu’elle murmura à celui qui lui faisait face :

    « Est-ce un moyen détourné pour me faire taire ? », pas ce que cela fusse désagréable vous l’aurez bien compris je présume. C’était le genre de phrase à laquelle on n’attendait pas de réponse, le genre de phrase inutile en un sens, mais là pour combler un blanc qui aurait pu devenir pesant à la longue. Et puis Miss Grey sans ses petites piques à toutes épreuves, ce ne serait plus Miss Grey. Regardant toujours le Serpentard, la mine malicieuse, elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle avait à disposition, à sa disposition, les lèvres du jeune homme, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Après tout, une fois la forêt quittée qui pourrait soupçonner ne serait qu’une seconde ce qui aurait pu se passer. Personne. A part peut être une bébête verte, encore fallait-il qu’elle soit douée d’un instinct autre que celui que de se nourrir. Mais au final, Synthia se moquait bien de se faire surprendre. Evidemment cela pourrait compliquer certaines de ses relations. Et alors ? Seul importait le moment présent, elle prendrait en compte les conséquences de ses actes un autre jour. Le présent se voulait hasardeux, mais fort appréciable. Tout comme les lèvres d’Adrian qu’elle ne tarda pas à embrasser à son tour, se redressant un minimum sur ses coudes –n’oublions pas qu’elle était presque étalée au sol-. Il était là, sur elle, et il était manifeste que leurs visions des choses demeuraient semblables. Pourquoi s’en priver. C’était doux, sucré, vous regretteriez de ne pas y avoir cédé, en un mot c’était tentant, au moins autant qu’elle avait déjà pu l’imaginer dans le passé. Car oui Adrian c’était un ami, un excellent un ami, ou tout un moins une personne capable de la supporter des journées entières et qui avait un point de vue similaire au sien, mais en somme ce n’était qu’un ami. Peut-être étaient-il une fois ou deux, voire plus que sais-je, allés ensemble à un des nombreux bals de l’école, peut-être s’étaient-ils déjà retrouvés collés l’un à l’autre, mais rien ne s’était jamais déroulé de la sorte. C’est le genre d’évènement dont vous souvenez un bon bout de temps, si ce n’est pas éternellement. Certes Synthia Grey était le genre de fille qui ne pouvait pas avoir de relations nettes et claires avec les hommes qui l’entouraient, mais jusqu’à preuve du contraire celui qu’elle embrassait en ce début de soirée, avait été l’exception à la règle. Comme on dit, toute chose finit par se rompre un jour. Même son cousin qu’elle considérait à l’égal d’un frère avait eu, et avait toujours, une place de choix dans le cœur de la jeune Grey, puisqu’il était le premier pour lequel elle avait connu de véritables sentiments, qui peut être n’étaient pas totalement effacés. C’était à se demander qui n’avait pas ne serait-ce qu’effleuré une partie intime de la demoiselle quand il faisait partie de son entourage quotidien, lequel ne l’avait pas embrassé, lequel n’avait-elle pas cherché à séduire, lequel n’avait-elle pas perdu à cause d’un geste déplacé... A croire que seules les relations ambiguës étaient faites pour elle, celles où l’on ne sait pas très bien vers quel avenir on tend, mais l’on y va tout de même d’une démarche toujours aussi assurée, ou qui en a au moins l’air pour les autres. Cessant d’embrasser le vert et argent, elle continua néanmoins à jouer avec les lèvres de ce dernier tout en les effleurant doucement. Petit jeu qui ne dura pas bien longtemps puisqu’elle pris la parole pour dire simplement, un sourcil arqué et d’un air mi-triomphant, mi-provocateur : « Egalité. »

    Un bruit sur sa gauche lui fit tourner la tête vers sa source, la déconnectant complètement du moment qu’elle venait de partager avec Adrian, un moyen bien direct de lui rappeler que les lieux n’étaient pas sûrs. « Dis ton ami vert, il était plutôt du genre pacifique ou pas ? Pas que tu me déranges, mais j’aimerai bien pouvoir me relever finalement. » Afin d’appuyer ses dires un mouvement se fit sentir venant toujours de sa gauche, suivi d’un étrange grognement, qui de toutes évidences n’appartenait pas à un vulgaire sanglier mais à une chose un peu plus grosse, et Syn’ ne tenait pas particulièrement à en voir l’intégralité. Quoique, avec un peu de chance et de rapidité –ce qui vu sa position n’était pas compatible- elle aurait le temps de pétrifier la chose afin de continuer et surtout de ne plus être dérangée. Et puis les situations ambiguës à trois n’étaient ce dont raffolait la préfète, surtout quand il s’agissant d’un truc vert non identifié, pas qu’elle est déjà testée entendons nous. De nouveaux grognements parvenaient à ses tympans d’une manière plus prononcée que précédemment laissant donc penser que la chose était beaucoup plus proche. Ce qui poussa Synthia à poser les paumes de ses mains sur le torse d’Adrian, d’un air de dire « debout je ne tiens pas à moisir ici ». Pour sûr, il serait du même avis, bien qu’elle aurait préféré que ses mains soient en cet endroit pour d’autres raisons. Une autre fois peut être, ou un peu plus tard.
Revenir en haut Aller en bas
https://cracbadaboum.keuf.net/t22-synthia-grey https://cracbadaboum.keuf.net/t3020-boite-de-synthia https://cracbadaboum.keuf.net/t2120-synthia-lost-far-away https://cracbadaboum.keuf.net/t2673-anneso-eloise-maureen-miranda-muse-synthia
Contenu sponsorisé





You said you wanna loose control; Vide
MessageSujet: Re: You said you wanna loose control;   You said you wanna loose control; Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

You said you wanna loose control;

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ? :: Sujets inachevés-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Cookies | Forumactif.com
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser