Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas?

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La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas? Vide
MessageSujet: La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas?   La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas? EmptyJeu 24 Juin - 13:44

Il devait être près de dix heures du matin, lorsque j’étais assise dans l’herbe du parc de Poudlard. Je n’avais pas cours aujourd’hui, j’avais donc du temps libre, je pouvais faire tout ce que je voulais, enfin presque, hors de question que je crée des problèmes à Poudlard, ou à ma maison, je ne voulais en aucun cas être la cause des points enlevés à Serdaigle. Déjà que nous n’étions que deuxième derrière les Serpentards je n’allais pas nous écarter encore plus de la victoire même si nous avions tout de même nos chances. Il était indispensable que l’on gagne cette année, enfin quoi, y’en a marre que se ne soit que les Griffondors et les Serpentards qui se fassent la guerre pour la première place. Donc pas questions que je ne nous fasse perdre des points. Mais bon, tant que je ne faisais pas de conneries il n’y avait aucune raison pour que je cause du tord à ma maison. Alors réfléchissant à ce que je pourrais faire en attendant la fin de la journée je regardais autours de moi espérant apercevoir des têtes connues. Mais il n’y avait personne, pour une fois j’étais seule, enfin presque, du moins c’était tranquille dans le parc, pour une fois qu’il n’était pas saturé de monde ça faisait plaisir, sauf que là j’avais envie de voir quelqu’un… Alors me levant tranquillement je lissais ma robe aux couleurs de Beaux-Bâtons, j’avais eut droit à garder les couleurs de mon ancienne école lorsque je n’avais pas cours, et se qui m’arrangeait étant Serdaigle c’était que même si je portais une robe de Poudlard j’arborais le bleu des aigles et des Beaux-Bâtons. Mais je préférais garder la robe que j’ai arboré pendant cinq ans dans mon pays natal. Ma sœur, Dakota devait les porter fièrement, c’était sur, elle adorait cette école autant que moi même l'adorait lorsqu'y étudiais et elle voulait à tout pris rendre la directrice ainsi que toute l'école fière d’elle, autant qu’elle me rendait fière lorsque j’étais encore avec elle là bas. Elle ne comprenait pas que tout le monde était déjà vraiment fier d’elle. Elle était une des meilleures sorcières de sa promotion mais elle voulait toujours faire mieux, dépasser ses limites pour être la meilleure. Qu’Est-ce qu’elle me manquait… Son visage si doux, son sourire qui nous faisait tout le temps sourire, sa démarche gracieuse digne d’une étoile filante et tout ce qui faisait qu’elle était la plus mignonne jeune fille de l’école de Beaux-Bâtons. Cela faisait bientôt trois ans que je ne l’avais pas vue et chaque jours son absence se faisait encore plus pesante. Le trou de mon cœur s’agrandissait de jours en jours pour y faire entrer le néant et la douleur de la tristesse. Malgré ça j’essayais de garder le sourire devant ceux qui ne pouvaient pas comprendre ou ceux qui ne le voulaient pas car ça leur rappelaient à quel point ils avaient de la chance d‘avoir une famille ici à Poudlard. Je ne laissais rien paraitre devant ceux qui te jugeaient lorsque tu changeais ou que tu étais différente d’eux. Et je ne voulais pas leur laisser la joie de le faire avec moi. Ils ne méritaient pas que je leur donne ce plaisir alors je cachais mes émotions gardant un masque d’indifférence qui maintenant m’allait si bien que lorsque j’en changeait je ne me reconnaissait plus, et d’un coté ce n’était pas si mal, vous ne croyez pas? Après m’être levée je récupérai mon sac et commençais à marcher vers l’entrée du château flânant à droite, à gauche observant le doux soleil levant de ce beau mois de juin. Bientôt, lorsque le soleil sera haut dans le ciel nous nous retrouveront à l’ombre des grands arbres pour échapper à la chaleur. Mais pour le moment la température était douce et personne ne pouvait se plaindre d’avoir chaud. Plus je pensais et m’approchais de l’entrée du château et plus les bruits de voix s’intensifiaient m’arrachant un soupir de soulagement, j’allais enfin croiser des gens, j’en avais marre d’être toute seule, il fallait que je vois quelqu’un sinon j’allais devenir folle. L’isolement ne faisait que du mal, il fallait que j’essaye plus que tout, maintenant de me plonger dans la masse, de faire comme si rien ne m’éloignait de Poudlard. Entrant dans le château je suivais la provenance des éclats de voix jusqu’à la grande salle ou une vingtaine d’élèves étaient rassemblés. M’approchant de la table cyan et bronze des Serdaigle je m’assis au fond, juste à coté de la sortie près d’une sixième année qui révisait un cours de défenses contre les forces du mal. Jetant un œil par dessus son épaule je regardais qui était assis à la table après. Hum… Ce n’était pas maintenant que j’allais parler à quelqu’un en fait. Alors laissant tomber je sortais un parchemin de mon sac ainsi que mon livre d’histoire de la magie afin d’avancer dans les deux parchemins que je devais écrire pour dans deux jours sur le thème de la naissance de l’ère du seigneur des ténèbres. Contrairement à beaucoup d’élèves qui n’aimaient pas cette matière moi elle faisait partie de mes préférées. Bien sur ce n’était pas toujours la matière la plus intéressante du château, mais j’aimais bien, je trouvais qu’il était important de connaitre le passé. Pour ne pas être esclave du futur. Plongeant ma plume dans l’encre je commençais à écrire tranquillement grattant la plume contre la surface gravant à jamais les mots sur le parchemin. Posant la plume sur la table je passais la main dans mes cheveux avant de les attacher en une que de cheval haute pour pas qu’ils me tombent dans les yeux. Et puis je recommençai à écrire mais me lassai vite. Ecartant le parchemin sur le coté pour lui laisser le temps qu’il sèche. Rangeant l’encre et la plume je les mettais dans mon sac avant de le poser devant moi sur la table. La salle se remplissait peu à peu, bientôt cela serait l’heure du repas et la grande salle serait à nouveaux pleine d’élèves qui étaient affamés et de professeurs qui faisaient un break entre deux cours. Détachant mes cheveux je les secouais un peu pour qu’ils se remettent normalement et observais les autres tables. Celles ci étaient un peu plus remplies que celle des Serdaigle mais ce n’était pas l’inondation non plus, beaucoup devaient être dehors, ou entrain de participer à différentes activités en plus des cours normaux. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi tout le monde voulait absolument avoir des options en plus, ça ne servait pas à grand-chose, mais bon, je faisais partis de l’équipe de quidditch de ma maison donc je ne pouvais pas dire grand-chose mais quand même… C’était mieux d’avoir du temps libre non? Enfin bref, je ne vois pourquoi je pensais à ça, c’était leur problème si ils n’avaient le temps de rien faire… Quoi que moi j’avais du temps mais rien à faire durant ce temps alors cela ne me servait pas à grand-chose. Mais bon, autant avoir du temps et rien à en faire qu’avoir des choses à faire et pas le temps pour les réaliser.

Johan _ Eh Lorens tu ne saurais pas ou est passé mon livre de potion?
Aloysia _ Tu crois sérieusement que je suis tout le temps entrain de chercher tes livres de potions?! J’ai pas que ça à faire mon chou, va falloir faire marcher ta cervelle cette fois.

Dis je en secouant la tête pour exprimer mon mécontentement. Mais pour qui me prenait il? Ce n’était pas parce que je lui avais rendus sa baguette qu’il avait oublié dans la salle de sortilège que j’étais son service de recherches. Comme si il croyait vraiment que j’allais l’aider alors qu’il ne devait même pas avoir cherché encore. Ca me faisait presque rire enfin presque, ça me faisait rire mais je ne le montrais pas vraiment ça serait vraiment méchant tout de même. De toute façon si il faut, son livre, il était dans son dortoir sous son lit, avec des chaussettes sales dégueulasses alors j’allais pas m’amuser à faire de l’exploration rien que pour ses beaux yeux. Faut pas rêver non plus. Voyant qu’il n’avait toujours pas bougé je lui demandai du regard se qu’il faisait encore là, ne sachant que dire il fit demi tours pour rejoindre ses amis de septième année qui étaient plantés à l’entrée de la grande salle. Non, je n’étais pas comme ça d’habitude mais j’étais particulièrement irritable en ce moment et j’en avais marre de passer pour la bonne poire qui faisait tout ce qu’on lui demandait. Je ne savais même pas pourquoi certains croyait que je l’étais car je ne leur avais jamais donné l’occasion de me voir faire quelque chose pour quelqu’un, sauf si c’était un ou une amie à moi bien sur, je ne suis tout de même pas sans cœur. Et puis en général j’étais plutôt serviable mais pas pour certains ou certaines, voir pour beaucoup de personnes mais voilà quoi.

Premier poste réservé à Muse
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Muse A. Steadworthy
Muse A. Steadworthy
    « The prodigal daughter » muse



▌Citation :

«Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.»

▌Clan : Plus de libertés, moins de contraintes.
▌Âge : 18 ans (25 avr.)
▌Année : 9ème année.
▌Maison : Serdaigle.
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Les 7 nains tu connais ? Imagine le mélange entre prof et joyeux, ça t'aideras.
▌Responsabilité : Cela fait 3 ans qu'elle refuse le poste de préfète.
▌Poste au Quidditch : A choisi d'être remplaçante.

▌Crédit(s) : (c) fae

AND MORE...
▌Relations:

La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas? Vide
MessageSujet: Re: La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas?   La vie est parfois si injuste, tu ne crois pas? EmptySam 26 Juin - 12:35

Journée à moitié libre aujourd’hui. La Serdaigle s‘était levée tôt pour assister au premier cours la journée, celui de mythologie. De loin un des cours qu’elle préférait, c’était comme si à chaque fois qu’elle y allait elle devait s’attendre à ce qu’on lui raconte une nouvelle histoire. Et comme Muse aimait les histoires, autant dire que c’était l’esprit léger qu’elle se rendait en salle de mythologie. Evidemment, elle connaissait toujours pas avance les histoires qu’on allait lui conter. Mais c’était comme ces vieux livres que l’on aime relire plusieurs fois. C’était exactement la même chose pour Miss Steadworthy. Ce qui expliquait donc le fait qu’elle ait choisi cette matière comme option. Elle ne pouvait pas y échapper. Cela dit, aux autres non plus. Elle n’y pouvait rien, elle était une passionnée, toujours prête à vouloir enrichir un peu plus ses connaissances. Une sorte d’obsession en fait. Il fallait toujours qu’elle fasse quelque chose, qu’elle trouve le moyen de s’occuper. Pourtant, elle était d’une douceur et d’une patience pour le moins hors norme. Fait illustrant son besoin d’être occupée, à peine eut-elle terminé le cours de mythologie qu’elle s’enferma dans une salle vide du septième était pour aller lire ses notes de potions. Oui mais là, il y avait tout de même une raison autre que celle de vouloir s’assurer de ne rien oublier. C’était les notes de ses cours particuliers, cours plus poussés serait plus juste. Et ceux qu’elle avait dans les mains portaient sur la médicomagie, diverses potions que Harris lui avait montré et qui était hors programme. Mais ce n’était pas seulement que des recettes bêtes et méchantes, non il y avait un détail minutieux des effets et moyens de réussites plus facile si par exemple on ajoutait tel ou tel ingrédient. De plus, il y avait également une partie qui consistait à reconnaître la potion selon différents aspects, tels que couleur, fluidité, consistance générale, tests… Bref. Elle était carrément passionnée, et trouvait bien dommage que tout le monde ne puisse pas bénéficier de ces enseignements là, bien qu’elle voulait bien croire qu’il serait difficile de convertir tout le monde à l’art des potions, c’était assez pointu comme cours particuliers. Enfin. Si elle relisait les cours portant sur la médicomagie c’était parce que le moins prochain plutôt que profiter de ses vacances, elle serait en stage à Sainte-Mangouste. Alors autant ne pas être totalement à côté de la plaque le premier jour venu. Était-elle stressée ? Totalement. Et c’était peu dire. Elle avait emprunté tous les livres se trouvant à la bibliothèque traitant le sujet. Bon forcément, cela ne lui donnerait pas l’expérience que l’on acquiert par la pratique, mais cela pouvait constituer une bonne base non ? Surtout, ça ne coûtait rien de se renseigner, à part du temps. Mais ça le temps, elle avait pris l’habitude de ne plus en avoir, donc, ça ne coutait rien.

Une rumeur plus importante dans le couloir lui rappela que l’heure du repas n’allait pas tarder à arriver. Elle rangea avec soin ses feuilles, en veillant qu’elles soient toutes dans le bon sens, et surtout que pas une ne soit cornée. Vous n’imaginez pas la catastrophe si ses feuilles n’étaient pas dans le bon ordre. Elle serait capable de pousser un petit cri de stupeur en se rendant compte de l’horreur. Une fois son rangement terminé, elle posa la lanière de son sac sur son épaule et sortit de la pièce tranquillement. Sur son chemin la menant à la grande salle, par un hasard assez illogique elle se retrouva à papillonner dans les parcs de l’école. C’était vraiment un temps agréable pour une ballade. Scrutant les élèves étendus au sol, elle chercha du regard un certain rouge et or qu’elle pourrait déranger quelques instants. Personne. Cela dit, s’il avait été là, elle n’aurait pas été très sûre de vouloir aller le voir. Oh une jolie marguerite. Se penchant sur la fleur, la jeune fille se mit à la briser au niveau de la tige, pour ensuite reprendre le chemin qui la mènerait aux marches de pierres. Se faisant, elle était en train d’essayer de la coincer entre l’élastique qui tenait ses cheveux. Ce fut quand elle put apprécier la fraicheur du hall qu’elle réussit son affaire. Voilà maintenant qu’elle se promenait une fleur dans les cheveux. Du Muse tout craché, il fallait vraiment la connaître pour être certain du fait qu’elle soit la meilleure élève de sa promotion.

Suivant un petit flot d’élèves, pas bien nombreux encore à cette heure-ci, elle se rendit dans la Grande Salle. Parfait il n’y avait encore pas grand monde. A peine passa-t-elle les grandes portes qu’elle put voir qu’il n’y avait, ni Russelow, ni Turner de présents. Sur le coup elle se demanda où est-ce qu’ils étaient passés ces deux là. Tout ce qu’elle espérait c’était que Turner n’avait pas encore été entrainé par son ami d’enfance dans une sombre histoire de mauvais coup. Elle soupçonnait souvent le premier d’aider le second, parce qu’il s’ennuyait trop vite. D’un vague regard, ses iris ses posèrent sur un visage familier. Un grand sourire étira ses lèvres, lorsqu‘elle fit de simples pas pour rejoindre Miss Lorens. Prenant place en face d’elle, elle jeta un coup d’œil par-dessus le parchemin de la française. Ah elle était en train de faire le devoir d’histoire de la magie. Muse n’avait pas tellement aimé le sujet, m’enfin cela n’engageait que elle.

« Je maintiens. La classe des uniformes français n’est pas la même que celle des anglais. », elle dit cela à mi-voix, et d’un ton complice. Muse savait bien d’où venait Aloysia, et elle en savait même plus sur son compte. Depuis que la française était dans l’école, elles avaient partagé des moments que l’on pourrait qualifier de fort en émotions. Disons simplement que Muse était venue à elle lorsqu’elle en avait besoin sans rien lui demander, sans lui poser de questions sur son état, sans chercher à faire renaître ses pleurs, elle avait juste présente pour sécher ses larmes, alors qu‘elle ne la connaissait pas du tout. C’était peut-être cette absence de curiosité qui les avait rapproché, jusqu’à ce que une part de confidence entre dans la danse. Avant de savoir, la brune avait déjà compris que les lettres étaient en jeu. Cela dit, Muse, ne tentait jamais de mettre le sujet sur le tapis, la blessure était assez importante pour ne pas être déterrée continuellement. La situation d’Aloysia l’avait par moment fait penser à la sienne. Sauf que bien sûr l’éloignement n’était pas physique. Mais disons qu’elle avait quelques problèmes de communication avec sa petite sœur. Sa relation avec Edwina n’était pas tous les jours au beau fixe, mais qu’y pouvait-elle finalement ? Elle n’avait jamais voulu lui faire de l’ombre, tout ce qu’on pouvait lui reprocher c’était d’être elle-même. Sacré reproche que celui-là.

« Alors qu’est-ce qui se cache derrière ton sourire aujourd’hui ? », ajouta-t-elle sur le même ton que précédemment, voyant des élèves de plus en plus nombreux entrer dans la grande salle, prouvant que le repas était imminent. La question qu’elle avait posé à son ami n’était pas anodine, voire pas du tout. Aloysia était réputée pour sourire très souvent, un peu comme Muse d’ailleurs. Elle souriait sans cesse, même à ceux qu’elle n’appréciait pas forcément d’ailleurs. Son sourire paraissait tellement naturel, que l’on pourrait aisément s’y méprendre, c’était exactement ce qu’il arrivait dans les trois quarts des esprits de ceux qui la côtoyait. Cela dit, ce n’était là que le moyen le plus efficace et agréable qu’elle avait trouvé pour de ne pas laisser ses peines ou ses tracas apparaître sur son visage. Il en était exactement de même pour la française. Finalement, elles avaient bien plus de points communs qu’il n’y paraissaient au premier abord. Leur relation particulière avec leur sœur, avec un éloignement constant mais un amour sans faille et cette manière de cacher leur trouble. Il était donc dans le droit de la jeune Steadworthy de poser cette question à son amie. D’autant plus que cela faisait un petit bout de temps qu’elle n’avait pas eu de discussion avec elle. Il fallait dire qu’avec l’emploi du temps plus que chargé de la demoiselle, il était compliqué de trouver un moment de libre pour parler à ses amis. Cela dit, si cela devenait important, elle trouverait toujours le moyen d’être présente. Elle était tout le temps là au bon moment. C’était un trait du personnage qu’elle était, cette façon qu’elle avait d’être omniprésente dans votre vie sans être réellement en face de vous. Elle trouvait divers moyen pour garder le contact. Lettres, petits mots glissés dans le sac ou sur l’oreiller pour ceux et celles de la maison des aigles, ou bien encore elle leur envoyait des origamis ensorcelés pour leur redonner le sourire. C’était Alpha qui lui avait donné cette idée, il y avait pas mal d’années maintenant. Comme elle avait trouvé cela amusant, et bien elle avait décidé de s’en servir. Et puis, il fallait dire que ça l’amusait toujours autant de faire voler des petits papillons ou des oiseaux miniatures en papier.
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