Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Quand danger il y a ...

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Quand danger il y a ... Vide
MessageSujet: Quand danger il y a ...   Quand danger il y a ... EmptyLun 12 Oct - 11:36

Premier message réservé à Sean Evans.
{Yeurk .. =/}

    Toute cette folie qui ne cessait de s’accumuler, qui ne cessait de valser avec la démence et la perte de contrôle. Tout semblait hors de portée, et pourtant si proche. Jamais l’envie de retourner là où tout n’est pas sans seconds degrés avait été aussi forte chez notre Auror. Au moins, là où il avait passé la dernière décennie, il savait que si un homme l’attaquait, il pouvait le tuer en légitime défense sans devoir passer par la paperasse. Les décisions étaient rapides et efficaces. De retour au bercail, tout avait été compliqué par les phases de discussions, avocats, puis représentants de la justice, et patati et patata. Trop de papiers, pourquoi ne pas prendre action ?! La situation devenait de plus en plus dégénérée, à mesure que l’on avançait. Depuis qu’il était rentré du front, Roderick n’avait jamais tant souhaité y retourner. Mais il avait été rapatrié et honoré d’une médaille d’honneur, s’il retournait, ça ne serait qu’en cas de menace sérieuse, et le Ministère de la Magie avait plus besoin de lui que l’Armée de Terre moldue. Après tout, même s’il était affecté au département de protection des moldus, qu’il les côtoyait chaque jour, pour veiller sur eux, il restait un magicien diplômé de son état, en fonction d’Auror. 36 ans, il était père d’un petit gamin. Il ne voulait pas le voir grandir dans un monde de folie, où les pires tueurs couraient librement dans les rues et pointaient baguette sur personne, après personne, après personne… Heureusement que ce hibou lui était arrivé prestement, manquant de frapper la vitre de la fenêtre par sa rapidité d’arrivée. Pressé, il n’hésita pas une seule seconde lorsqu’il lut la lettre qui lui était adressée, signée de la main d’un des deux Ministres en fonction, et se changea rapidement, de ses vêtements civils moldus pour quelque chose de plus fonctionnel, un pantalon militaire et une chemise blanc recouverte d’une veste aux teints militaires également. Vieille habitude. Il prit ses clés, ferma d’un coup de baguette au lieu d’utiliser le trousseau, et transplana dans le large hall d’entrée du Ministère. Le monde courait dans tous les sens, sorciers en robes noires filaient pressés d’un département à l’autre, des goblins venaient réclamer à haute voix de l’argent, il voyait non loin de là, un centaure dont la queue manquait d’assommer les sorciers qui passaient derrière lui, et deux fantômes qui flottaient, sans vraiment savoir où aller, au dessus de leurs têtes. Il resta une demi-seconde à contempler le monde avant de se diriger, droit comme le saule et certain comme le chêne vers l’endroit qu’il visait, le bureau de son ami et collègue de toujours. Le regard inquiet et alerte, il portait toujours le stigmate au visage de cette balle moldue qui avait faillit lui coûter la vie, et les médecins de Ste Mangouste avaient réussi à faire cicatriser ses blessures dorsales avant la normale. Ce que les médecins moldus avaient dit relever du miracle… Quand on est obligé de suivre les deux, mieux vaut les laisser penser ce qu’ils veulent, il avait dit qu’il n’avait rien fait d’autre. Si seulement ils savaient qu’il avait caché dans la manche intérieure de la veste avant l’examen médical son bout de bois si puissant comparé aux flingues que portaient les vigiles des hôpitaux militaires… Bah. Il n’aurait certainement pas hésité à s’en servir, étant donné les circonstances. Il avait quitté son appartement brutalement, laissant son fils à la garde de son chien, le message qu’il avait reçu lui demandant de venir prestement. Il ne voulait pas avoir à mentir à son fils, et il l’avait laissé dormir dans la matinée qui venait de montrer le bout de son nez. Il faisait confiance à son berger allemand, et comptait sur lui pour veiller sur son fils de 6 ans. Il fila de département en département, croisant parfois un visage familier, mais il ne se contenta que de suivre l’itinéraire qu’il avait maintes fois parcouru. Bientôt, il reconnut le quartier dans lequel il avait passé la fin de ses études et le début de sa carrière, avant d’être envoyé au front pour les sorciers et moldus, là bas, dans l’Est oriental. Le Quartier des Aurors se dressait devant lui, et il fila droit devant lui, avant de bifurquer sur la droite et enfin la gauche, pour tomber sur une queue des trois ou quatre personnes qui attendaient, patiemment. Zut, songea-t-il. Il lança un regard derrière lui, avant de revenir sur ses pas et prendre l’allée adjacente, et arriver devant une porte qui semblait inutilisée et inutilisable. Il posa la main sur la poignée, et il ouvrit la porte, dépassant ainsi les autres personnes qui attendait et parvenant à s’immiscer dans la salle qu’il cherchait, le bureau de Sean Evans, son ami de longue date. Ayant par précaution fourré sa main dans la poche contenant sa baguette, au cas où, avec les temps qui courent, il pénétra dans la salle et croisa le regard de son ami.

      R – « Tu voulais me voir au plus vite, Sean. »


    Il avait dit cela d’une voix posée, en tirant de la poche arrière de son pantalon la lettre qu’il avait prit soin de plier et d’emporter avec lui. Plus pour prouver que c’était bien lui, et pas une personne mal intentionnée – on ne savait jamais. Il adressa un coup d’œil au bureau de Sean, avant de s’approcher de quelques pas. Il lança un coup d’œil à la porte qu’il avait évitée en passant par l’autre, que seuls quelques rares Aurors connaissaient, et un songe amusé surfaça pour les gens qui attendraient encore dehors. Il déposa la lettre sur le bureau de Sean, avant de retirer la main de la baguette, et par réflexe, il resta debout, n’aimant pas s’asseoir sur les chaises dans ce genre de situation. Mieux valait être debout et sur son équilibre si jamais quelque chose arrivait – il avait prit trop d’habitudes de sûreté en passant près de 15 ans en Irak, il avait encore du mal à s’y accommoder. Mais, de toute manière, lui et Sean se connaissaient assez pour que ce dernier ne s’en offense pas.
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Sean Evans
Sean Evans



▌Citation :
« Tous les utopistes, sans exception, ont eu la vue trop basse et ont manqué d’esprit de prévision. Après être arrivés à construire bien péniblement leur triste société d’utopie, de république, de communauté et leur paradis terrestre organisé comme une mécanique dont chacun est un ressort, s’ils avaient fait un second tour d’imagination, ils auraient vu qu’en retranchant le désir et la lutte, il n’y a plus qu’ennui dans la vie. »
    Journal d'un poète; Alfred de Vigny.

-
▌Clan : Neutre, ou presque...
▌Âge : 38 ans
▌Ancienne maison : Gryffondor
▌Sang : Mélé
▌Humeur : Névrosé.
▌Emploi : Chef des Aurors du Minstère de la Magie britannique.

▌Crédit(s) : Ava. Fae

AND MORE...
▌Relations:

Quand danger il y a ... Vide
MessageSujet: Re: Quand danger il y a ...   Quand danger il y a ... EmptyJeu 12 Nov - 4:59

Désolé pour le temps d'attente et la qualité
>.<


    Un simple bruit de verre qui se brise au contact du sol avait eut le don de lui retourner la tête, au sens strict du terme. C'était une migraine lancinante qui lui avait saisit l'esprit depuis que sa conjointe avait, du haut de sa maladresse habituelle et naturelle, envoyé au sol le récipient en cristal que notre sorcier lui avait proposé quand sa douce voix était venu à raisonner à ses oreilles, se plaignant d'une maladie si terrible qu'elle empêchait la dite sorcière de se déplacer de quelques petits mètres pour récupérer elle même de quoi étancher sa soif. La « gorge-sèche », comme elle le disait si bien. Enfin, il avait préféré déguerpir rapidement, prétextant une probable interminable et éreintante journée de travail qui l'attendait aujourd'hui encore afin de ne pas avoir à relever une fois de plus la pathétique science de la maladresse qu'avait cultivée Miss Eden tout au long de ces années. Puis pour éviter de s'attirer la colère de cette dernière également; imaginez la foudre qui s'abat sur le toit de votre demeure, faisant trembler murs et cloisons, illuminant de sa lumière aveuglante si particulière toute personne se trouvant être victime de la scène... Et dites-vous maintenant qu'une Anne-Sophie dont on éveil le caractère de chien dès les prémices de l'aube ferait passer notre cher ami l'éclair pour un simple désagrément dont on s'accommode des plus aisément.

    Le fait était que cette foutue migraine était encore et toujours prompte à lui tirailler l'esprit à chaque maudits instants qui composaient la journée de Sean Evans. De quoi compliquer encore un peu plus la tâche de notre Ministre de la Magie. Évidemment, à la vue du chaos qui régnait dans toute la Grande-Bretagne, il n'avait pas assez de chose à régler comme cela sans qu'un mal de tête ne vienne à lui assombrir les derniers éclairs de lucidités dont il était capable.
    Non, par moment il la détestait belle et bien, elle et sa maladresse légendaire.
    La n'était cependant pas son plus gros problème à vrai dire. Le retour dans le monde des vivants de son mentor lui enlevait un poids considérable, surtout en ces temps troublés ou il portait sur ses seules épaules l'avenir et postérité du monde de la Magie, rien que ça. N'allez pas interpréter par là que la cacher aux yeux de tous, que la préserver si longtemps loin de tout danger extérieur était un supplice, non, bien au contraire, seulement si elle n'avait pas refait surface avant cette monumentale crise qui couvait la perfide Albion cela aurait compliqué sérieusement les plans de notre sorcier. Il était chef du Ministère magique dorénavant, à lui les responsabilités, les directives et autres décisions censés lui permettre de tenir la tête de la population dont il était responsable hors de l'eau. Si l'on ajoute à cela qu'il lui fallait surveiller les agissements de ce crétin de Grey, d'une Maureen à l'aura nettement plus inquiétante depuis quelques temps, tout en tenant compte de cette série de meurtre et autre accident dont le nombre ne cessait de croître, tenir celle qu'il aimait en sécurité aurait été une tâche des plus difficile à assumer convenablement. Tant de difficulté qui lui faisait penser que, même lui, Sean Evans, aurait eu du mal à endosser ce costume de sauveur, de héros national qui lui était destiné... Sans compter qu'une autre « difficulté » se jouait de lui depuis trop longtemps maintenant, profitant de ses erreurs, de son relâchement à son égard pour se frayer un chemin vers la lumière du jour et tout faire pour ne plus jamais la boucler. Il aurait du le tuer quand il en avait l'occasion. Il aurait du le tuer.
    C'est pour cette raison qu'en plein milieu d'une journée de travail des plus remplit il avait, le temps d'une pause, envoyer un hibou à celui qu'il avait choisit pour l'aider à accomplir les sales besognes. Son homme de confiance, peut-être même le bras droit du Ministre. La porte du bureau s'ouvrit brièvement avant de se refermer. Et aujourd'hui, il serait son homme de l'ombre.

    R – « Tu voulais me voir au plus vite, Sean. »
    Les deux hommes se faisaient maintenant face. Un bon point, la loyauté de Roderick à son égard était une atout à ne pas négliger, tant dans son esprit que dans celui de ses opposants. Une main dans la poche qui contenait à n'en point douter sa baguette, l'autre engagée dans un mouvement banal qui amenait le bout de parchemin envoyé plus tôt au nouveau venu à se poser sur le bureau de notre Auror, il soutint le regard de son vis à vis avant de le porter sur le bureau du Ministre.
    Sean n'attendit pas que son ami vienne à s'asseoir sur le siège vide qui se trouvait de l'autre côté du bureau ministériel, il savait cet espoir inutile. Ainsi, ce fut lui qui se redressa d'un mouvement vif du meuble sur lequel il trônait quotidiennement.
    « J'ai une mission à te confier, à toi, tu es le plus qualifié. », commença-t-il d'un ton neutre, son regard plongé dans celui de l'homme qui lui vouait une confiance totale. Manque de tact? Sans doute. Notre sorcier aurait pu parler du temps qu'il faisait dehors, se remémorer des souvenirs plus anciens en compagnie de son ami dans un esprit de franche camaraderie, ou bien simplement prendre des nouvelles de son fils... Mais en venir aux choses sérieuses tout de suite était la meilleure des choses à faire. Et il savait que jamais Roderick ne lui en voudrait d'aller droit au but, qu'au contraire, il ne le comprendrait que trop bien.

    « Si je te dis Raven, vois-tu ou je veux en venir? »
    Traque-le, effraie-le, sois son ombre et frappe au moment ou il ne s'y attendra pas; cela aurait été plus clair de cette façon-là, mais il faisait confiance à son vieil ami pour comprendre ou il voulait en venir. Il fallait l'arrêter, le stopper dans sa progression. Il avait frappé, et pas n'importe ou... Poudlard, voilà le lieu de son exploit, Poudlard l'école pour sorcier. Un mort, un disparu; un triste bilan. Plissant un peu plus les yeux, il espérait que Roderick comprenne pourquoi il le mettait en quête du plus dangereux meurtrier que l'ont est vu depuis des décennies. Il ne pouvait pas, tout chef des Aurors qu'il était, tout Ministre qu'il était, faire face à tout cela seul. Encore moins si ce psychopathe de Raven continuait à œuvrer en toute impunité... Et avec des aides extérieures apparemment, on n'entre pas en territoire de Maureen sans quelqu'un pour nous y immiscer. Mais cela était une tout autre histoire. Pour le moment, il s'en remettait à son ami pour lui ôter une belle et douloureuse épine du pied.
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Quand danger il y a ... Vide
MessageSujet: Re: Quand danger il y a ...   Quand danger il y a ... EmptyDim 22 Nov - 0:06

    Dans ce bureau ministériel, Roderick se sentait plus à l’aise que dans des couloirs étranges et dans la vie de tous les jours. Car ici, il y avait un but à accomplir, et non pas de l’errance. C’était un peu le même sentiment que d’aller faire les magasins – on ne sait pas, mais on va quand même. Aller quelque part, avoir un but, une mission. C’était plus rationnel que de ne pas savoir ce qui se passait dans les mondes alentours et y aller quand même. Prévoir, savoir, survivre. Face à son ami, supérieur et collègue, Roderick se sentait à sa place. Errer, sans avoir de but, il n’aimait pas. Après un quotidien bien trop chargé en guerre, il avait besoin d’avoir quelque chose en tête et d’agir pour le bien de quelqu’un ou d’une nation entière. Sean représentait ce principe, et c’était pour cette raison que Roderick était loyal à la mort à son supérieur. Incorruptible et invariable, il ferait ce que Sean lui demanderait sans rechigner, aussi sale que soit la besogne demandée. Peut-être qu’il la jugerait lui même immorale, mais il l’effectuerait sans rouspéter. Une éducation militaire typique, aux ‘chef oui chef’ habituels, il avait simplement laissé un statut d’homme sans reproches se forger autour de lui. Alors oui, il ferait ce que Sean lui demanderait de faire. Sans discuter. Alors quand son ami se leva de son bureau pour lui faire face, Roderick le suivit d’un regard calmé, mais alerte. Si Sean prenait le soin de lui envoyer une lettre fermée, et en lui demandant de venir prestement, il devait y avoir urgence et secret à garder. Alors, quand son supérieur prit la parole, Roderick écouta attentivement, muet comme une carpe.

      S – « J'ai une mission à te confier, à toi, tu es le plus qualifié. »


    Ce qu’aimait Roderick chez Sean, c’était sa franchise et son ton direct. Pas dix mille chemins pour aller ou venir à un but qui devait être urgent. Alors, que le Ministre lui confie une mission, en lui disant être le plus qualifié, il devait y avoir une bonne raison. Et Roderick pensa savoir de quoi il était question, et Sean le confirma lors de sa seconde prise de parole.

      S – « Si je te dis Raven, vois-tu ou je veux en venir? »


    Hochant la tête, Roderick savait parfaitement ce que le mot Raven signifiait. Psychopathe, sociopathe, sorcier fou furieux, évadé d’Azkaban, meurtrier et autres qualifications peu glorieuses entouraient le personnage dont il était question. Et, une rencontre brutale entre eux deux, il y avait une petite décennie, où Raven avait remporté le duel en graciant Roderick car ce dernier ne ‘méritait pas la mort’. Alors oui, Roderick savait où Sean voulait en venir. Surtout depuis que Raven avait sorti un élève de Poudlard, et avait laissé un mort dans son passage, qu’il avait sorti une internée en psychiatrie de Ste Mangouste, et qu’il avait tué un joueur de Quidditch… C’était à cause de personnages comme ça, sans limites, que Roderick avait peur. Peur pour son fils. Pas peur pour lui, car il ferait face. Mais avec des gens comme ça au pied libre de toutes lois, fuyant et narguant les forces magiques, c’était trop. Alors Roderick hocha la tête et comprit le message de Sean.

      R – « Il doit disparaître ou retourner à Azkaban ? »


    Il connaissait pourtant la réponse à la question. Il lui avait fait face une fois, avait à peine survécu. Sean avait été l’auror qui l’avait embusqué et envoyé dans un premier temps à Azkaban après un combat inégal après les trois années de cavale du meurtrier, fatigué, affamé et incapable de livrer un combat véritable. La réponse était simple : disparaître. D’une façon discrète. Être le bourreau d’un tel monstre ne gênait pas Roderick. L’histoire de Poudlard s’était ébruitée, la Gazette des Sorciers avait parlé de l’affaire. Le Département de Régulation des Créatures Magiques avait fait parvenir des informations sur l’élève kidnappé, loup-garou de son état. Et comme les loup-garous qu’on avait rattrapés depuis l’étrange événement de la St Valentin, il devait être sujet à des métamorphoses instantanées et imprévisibles. Roderick songea aux malheurs que pourraient rencontrer les aurors face à un tueur en série, accompagné d’une élève folle à lier et d’un loup-garou sujet à des changements brutaux. Alors oui, il fallait absolument que Raven disparaisse. Expédié d’un coup de baguette…

    La tâche ne serait pas facile. Si Roderick avait manqué de peu la mort la dernière fois, Sean avait également rencontré des problèmes. Après son combat, Roderick avait creusé dans le dossier Raven, et il avait lu que les résultats scolaires de Raven à Poudlard étaient parfaits, cas rarissime. Pas une seule fausse note. Un magicien hors pair, comblé d’une folie indescriptible… Le type était le danger numéro un. A la fois honoré d’être nommé comme bourreau de ce fléau, Roderick se sentit légèrement intimidé. Retrouver, affronter, vaincre un tel homme. La tâche serait difficile. Et Ô combien difficile !

      R – « Ewing et Jordan aussi ? »


    Liquider les trois? Tant qu’à faire. La fille pouvait tout aussi bien disparaître, elle était folle à lier, et le loup-garou, bien qu’humain la plupart du temps devait être dans un état presque irréparable. Enchaîné comme un animal à la boucherie à Poudlard, pris dans les mailles d’un couple de fous furieux, il avait dû être brisé au plus profond de son âme. Alors, tant qu’à liquider Raven, prendre tous ceux qui avaient été sous son influence récemment, et projetant un risque potentiel au ministère. Le problème étant simplement, que Raven avait manipulé les deux petits. Les exécuter en tant que tels… C’était peut-être un peu exagéré. Le Ministre à qui Roderick faisait face devait certainement connaître la réponse à la question que venait de poser Roderick. Parfaitement calme dans une situation pourtant dramatique, l’auror attendit une réponse. Jordan avait 19 ans, Ewing également. Pouvaient-ils être redressés ? Avec le temps, certainement…
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