Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 Légère erreur.

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Illusions
Illusions
    A hopeless world
    Like a rainbow without colors



▌Crédit(s) : Fae

Légère erreur. Vide
MessageSujet: Légère erreur.   Légère erreur. EmptyMar 19 Mai - 7:11


    007 – Légère erreur.
    Lieu
      Dortoirs des filles dans la tour des Serdaigles.

    Personnages
      Hope L. McGnew, qui a découvert un amas d'affaires ne lui appartennant pas sur son lit. Elle prend un vêtement au hasard, et sort de sa chambre. Se retouve nez à nez avec Miss Edwards, tenant à la main quelque chose lui appartenant. Oh la voleuse!
      Tina Edwards, qui a découvert un amas d'affaires ne lui appartennant pas sur son lit. Elle prend un vêtement au hasard, et sort de sa chambre. Se retouve nez à nez avec Miss McGnew, tenant à la main quelque chose lui appartenant. Oh la voleuse!
      Les elfes de maisons, cachés, fiers spectateurs de leur oeuvre, qui n'interviendront pas.

    Premier intervenant
      Hope L. McGnew


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Hope L. McGwen
Hope L. McGwen
    hope; let me play with words and your mind »



▌Citation :

    Légère erreur. 34srxxh
    «L'un des pièges de l'enfance est qu'il n'est pas nécessaire de comprendre quelque chose pour le sentir. Et quand la raison devient capable de saisir ce qui se passe autour d'elle, les blessures du coeur sont déjà trop profondes.»

▌Clan : Vive le Ministère, ils vont peut-être nous produire un miracle.
▌Âge : 18 ans
▌Année : Huitième année
▌Maison : Serdaigle
▌Sang : Pur
▌Humeur : incertaine
▌Responsabilité : Préfète-en-chef des Aigles; redresseuse de tords; accessoirement gueularde.
▌Poste au Quidditch : Batteuse.

▌Crédit(s) : (c) zaw & Opium (gif)

AND MORE...
▌Relations:

Légère erreur. Vide
MessageSujet: Re: Légère erreur.   Légère erreur. EmptyMar 16 Juin - 22:56


    On dit souvent, en cours de français, qu’il ne faut pas commencer ses phrases par « il y a ». Ou du moins, qu’il faut éviter le plus possible d’éviter ces quelques petits mots qui, apparemment, ne font pas quelque chose d’assez développé, d’assez complet. L’idéal est de développer ses idées, de les étendre. De faire des phrases à rallonge. Sauf que, parfois, l’envie n’y est pas. Ou alors, ce sont les mots qui n’y sont pas. L’enchaînement ne satisfait pas et vous avez beau retourner la phrase des milliers de fois ; l’illumination ne viendra pas pour autant. Dans ces cas-là, il faut du concret, du précis, du quelque chose compréhensible par tous et non un baratin ambiguë et tortueux qui vous font oublier le sujet de la phrase ainsi que le thème. « Il y a » donc des jours où rien ne va. Où rien ne semble aller. Il suffit d’un commentaire déplacé dans la matinée et vous êtes de mauvaise humeur pour toute la journée. Il suffit aussi d’une dispute, d’informations de dernières minutes qui chamboulent tout votre emploi du temps. Dans le cas de Hope, toutes les conditions étaient à peu près réunies. Au réveil, elle s’était fait attaquer par une série de mots qu’elle ne voulait pas connaître comme : « beau gosse », « trop chou », « embrasser », « coucher ». Et blablabla. C’était parti pour un concert de gloussements et d’autres railleries en tout genre. Des choses que la Serdaigle pouvait comprendre. Oui, elle pouvait faire un effort pour s’y intéresser, pour hocher la tête de temps à autre alors qu’elle n’écoutait que d’une oreille. Elle pouvait également étirer les muscles de ses joues afin de laisser l’impression aux autres qu’elle souriait et qu’elle appréciait la conversation. Elle pouvait. Du moment que la question taboue ne vienne pas au goût du jour. La célèbre et très controversée « Et toi Hope, t’en penses quoi de Ryan. Il est trop chouuuu, non ? Et en plus, il est musclé. Waaa. A ce moment-là, Hope qui s’était redressée sur son lit se laissa glisser contre son oreiller. Bohr. Il y avait franchement des sujets beaucoup plus intéressants. Mais allez parler, vous, d’arithmancie à Sept heures du matin un samedi. A sept heures du matin, oui. Car il est beaucoup plus intéressant, voyez-vous, de se lever tôt un jour de grasse-matinée afin de calmer les pulsions sexuelles de jeunes filles de seize ans. La Serdaigle ne voulait plus entendre un seul mot à propos de garçons. Aussi, après avoir pris ses doigts en guise de « boule quiès », elle décida de se lever. Mais là encore, cela aurait été trop plaisant qu’il ne se passe rien : en déposant son pied à terre, celui-ci rencontra au niveau de la plante, un léger tube mou, chaud et poilu. La réaction fut trop lente, le geste trop rapide, la queue du chat fut tout de même écrasée. Et voici que l’animal crachait, limite s’il n’allait pas l’attaquer. Quoique, qui de l’animal ou de la maîtresse allait attaquer était une question à se poser. Car voilà que la jeune fille bavant littéralement sur les « beaux mecs » était toutes griffes dehors, le flot d’insultes en mode on. Hope la toisa quelques secondes ; histoire qu’elle se la boucle un peu. Car se prendre la tête à sept heures, ce n’était vraiment pas son truc. Et puis quelle idée d’avoir un chat ! Quelle idée de s’énamourer pour ne premier venu ! Quelle idée d’être conne ! Pauvre chérie, ces parents ne l’avaient pas bien fourni.

    Direction la Grande Salle. A défaut de pouvoir se reposer dans le dortoir. A défaut de pouvoir s’installer dans la salle commune qui avait servi la veille de salle de fête. Dans l’espoir de n’y trouver personne. Ou alors juste son ombre et ses pensées. Mais « il y a » des jours où tout va mal. Quelques chuchotements se faisaient déjà entendre depuis le Hall d’entrée. Ce n’était pas grand-chose mais suffisant pour briser les espérances de la Serdaigle et de la mettre sur les nerfs. Des élèves étaient installés à la table des Gryffondors, une dizaine tout au plus. Mais quelle idée de se lever aussi tôt ! Qu’est-ce qu’il leur prenait de prendre un petit déjeuner aussi tôt ? Ils devaient tous s’être passé le mot. Le message et la mission du jour : « Faites Chier Hope Lane McGwen, Serdaigle, 6ème année ». Car ce n’était pas possible autrement. Non, vraiment pas. Paranoïaque sur les bords la Serdaigle ? Certainement. Mais il existe un diction, rappelons-le qui dit : « si nous ne sommes pas paranoïaque, c’est que nous sommes coupable ». Et il était bien évident qu’Hope ne l’était pas. Ou alors, elle cachait très bien son jeu et à soi-même de surcroît, ce qui devait plus relever d’une maladie mentale que d’un cerveau parfaitement saint. Et au niveau des cerveaux déficients, c’était plutôt le cas de cette folle d’Alice, qui venait d’être internée à Sainte-Mangouste si elle avait bien compris. De toutes manières, il lui suffisait de se remémorer la conversation qu’elle avait eu avec elle dans le couloir des murmures pour lever le mystère inexistant qui planait sur la Verte & Argent. Mais de toutes manières, ils étaient tous fous à Poudlard, ce n’était pas nouveau. Si la Directrice si mettait aussi, ça faisait vraiment peur. Plus que d’habitude. La Serdaigle était ainsi dans la Grande Salle. S’installant à table, elle finit par découvrir rapidement le petit déjeuner du jour : du porridge. L’horreur. Car elle voulait du thé, un verre de jus d’orange et trois tartines beurrées. Mais raté. Ce matin, c’était du porridge, ce truc infâme. Hope jeta alors son dévolu sur les tranches de pain. Rassies. Mais c’était quoi ces elfes de maison minables ? Pas capable de faire quelque chose de bon. Pas capable de garder la fraîcheur du pain. C’étaient tous des incapables et cela énervait au plus haut point la Serdaigle. Car ils étaient nourris et logés et, eux, la seule chose qu’ils trouvaient à faire, c’était de … la merde. Hope se releva alors brutalement et prit ses cliques et ses claques en direction de SA salle commune, en espérant que les phoques se soient levés et que les pies se soient calmées. Sinon, la crise était pour bientôt. Très bientôt. Par chance, lors de sa montée vertigineuse, la Serdaigle rencontra les pies en personne et en fut si soulagée qu’elle leur fit un sourire qu’elle ne leur avait jamais fait : un vrai sourire de contentement pas très bien interprété, cela va de soi. Cependant, la Salle commune ne s’était pas vidée de ses phoques ; d’autres avaient même fini par rejoindre cet échouage collectif. S’en était presque flippant. Mais Hope n’y fit pas attention, du moins, elle y fit suffisamment pour les enjamber sans les blesser. A elle sa chambre. A elle.

    Mais la joie fut également rattrapée par un sentiment d’énervement en découvrant son lit. Ses affaires avaient été placé sens dessus dessous et chiffonnées. Ah, les saletés. Elles se vengeaient ainsi parce qu’elle avait écrasé la queue de ce crétin de chat sans y faire attention. Elles allaient voir de quoi se chauffait Hope. La jeune fille fit de même alors sur les lits des autres pies. Cela ne lui prit que très peu de temps. Et puis, dans un sens, c’était tellement distrayant ! Mettre en boule, tordre, lancer. Dévaster. Il faut bien se libérer des pulsions négatives de temps à autre … avant de ranger. De ranger, oui. Car les affaires de la Serdaigle n’allait certainement pas se ranger seules. Ou alors, c’était un vrai coup de magie … Oh la bonne blague. Sauf qu’en découvrant les affaires disposées sur son lit, c’était plutôt un rire jaune qui sortait de la bouche de Hope. Comment cela, ce n’était ses affaires ? Comment cela, elles étaient sur son lit ? Un rapide coup de colère envahit la Serdaigle. Elle les attrapa à pleines mains et se dirigea tant bien que mal vers la porte. Car ce n’était pas chose aisée avec le monticule de vêtements qu’elle avait dans ses bras et la hantise d’écraser ce putain de chat, bien qu’il devait le mériter. Elle se libéra une main, faisant tomber par la même occasion des chaussettes, et actionna la poignée. Et là, elle tomba nez à nez avec une autre fille.

    « Edwards ! C’n’est pas possible. Qu’est-ce que tu fais avec MES affaires. Ca t’amuses, c’est cela ? Va les poser sur mon lit. Et plus vite que cela, veux-tu ? Je n’ai pas que cela à faire de devoir ranger et de prendre du temps. Et tu récupéreras ceci.

    D’un geste franc et sec, de ceux qu’elle avait appris en occupant le poste de batteuse au Quidditch, elle lança les affaires de la Edwards à son visage. Comme quoi … quand on vous dit qu’il ne faut pas chercher McGwen. Et encore moins quand elle est énervée. Mais cela, c’était quelque chose de connu. Car apparemment, sans ses crises de colère, Hope s’apparentait à une droguée qui se fournirait chez Grey. Owen. Notez bien l’emploi du conditionnel. Car ceci n’étaient que des rumeurs. Et malheureusement, c’est le genre de chose qui passe vite parmi les étudiants ; c’est tellement drôle de critiquer les uns les autres. Mais il n’empêchait que si elle découvrait le ragoteur, celui-ci n’allait pas s’en sortir indemne. Foi de McGwen.
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MessageSujet: Re: Légère erreur.   Légère erreur. EmptySam 20 Juin - 17:16

Étrangement, cette nuit là, un drôle et joli petit rêve avait envahit les pensées de Tina. Un rêve ma foi très intrigant, mais qui mit un peu de pep dans son réveil. Elle ouvrit les yeux, remarquant le plafond de son lit. Des rideaux bleu foncés entouraient son petit coin de tranquillité. C'était le seul petit coin de bonheur où elle avait droit. Car, déjà en entrouvrant les rideaux poussiéreux de son lit, elle pouvait voir tous les autres petits crétins qui faisaient du bruit dans son dortoir. Déjà la lumière l'aveuglait. Il était quelle heure, déjà ? C'est vrai qu'à ce temps si de l'année, le matin était trompeur. L'heure, on ne savait point c'était laquelle. Enfin, elle s'était décidée à se lever. Mettant en premier le pied gauche par terre, elle savait que sa journée n'était pas sur le point de finir ! En essayant de garder le sourire, elle s'habilla en tenue de l'école et partit vers la volière pour voir si sa petite Dora lui avait rapporté quelque chose. Comme à chaque matins, sa petite chouette blanche avait les yeux rivés sur la porte quand elle entra. Tout d'un coup, elle commença à émettre des cris perçants. Ces cris, elle ne les avait jamais fait au par avant... Pour la calmer, Tina lui caressa les plumes et la chouette se détendit. La serdaigle remarqua aussi qu'un petit message était attaché à sa patte. Doucement, elle lui enleva et ouvra le parchemin.

Chère Tina,
Ton père et moi s'ennuie terriblement de toi. Oui, nous avons ton frère et ta sœur, mais tu es tout de même notre fille et il va falloir que je m'habitue à te laisser partir pour toute l'année scolaire comme ça ! Et tu veux une bonne nouvelle ? J'ai acheté à ton frère et ta sœur chacun un balais de quiddich, pour le huitième anniversaire ! Ils pourront jouer avec toi cet été ! C'est formidable non ? En tout cas, j'espère que tu t'amuse bien à Poudlard !

On t'aime fort,
Maman & Papa
xxx

« Ahh maman ! Toujours aussi inquiète par rapport à la magie... Bon, je vais chercher un papier et je lui répond immédiatement. » Marchant vers la salle des serdaigle, Miss Edwards pensait au contenu de la lettre quelle allait écrire à sa mère. Elle n'allais quand même pas lui dire qu'un peu tout le monde était bizarre ces temps-ci. Tout le monde avait un petit air bête imprimé dans leur visage. Tina ne savais pas pourquoi... Déjà, une de ces camarades de classe avec laquelle elle s'entendait bien lui avait déjà foutu un miroir devant elle en lui disant : Hé, Tina, regarde toi un peu, on dirait qu'un hippogriffe t'a piétiné le visage ! Peu après avoir retrouvé son sens de la parole, Tina lui a répliqué : Hé, Christine, demande toi pas pourquoi les gens son bêtes quand ils te croisent, c'est simplement parce que tu les insultes à chaque fois! Et tiens, regarde toi le visage avant de parler. En lui tendant le miroir, elle lui fit un sourire et partit vers la bibliothèque. Arrivée à la salle des serdaigles, Tina ne pris pas le temps de regardé les gens qui étaient assis dans la salle commune qu'elle pris directement la direction de son dortoir. Elle pris un papier et une plume et sortit s'assoir au près d'une table et d'un fauteuil près du feu de la salle commune. N'ayant pas trop le temps de consacrer plus de cinq minutes à sa lettre, elle lui écrit un petit mot vite fait.

Chère Maman et cher Papa,
Vous me manquez moi aussi. Tout se passe bien à l'école... j'espère que tout se passe bien de votre côté également. Dora va bien et les cours sont bien aussi. C'est cool pour les balais de quiddich de Frédéric et Sophia. Ne t'inquiète pas maman, la magie ne va pas me manger! Soyez forts,

Tina
xxx

Voilà ! En refermant le parchemin en un rouleau, elle mit un ruban pour l'attacher en boucle et tout était parfais pour l'envoyer. La serdaigle pris la direction de la volière et, une fois arrivée, attacha sa lettre à la patte de Dora et la laissa s'envoler. Restant sur place quelque moments, elle pris le temps de bien respirer l'air frais du matin avant de devoir retourné à son dortoir plein d'élèves immatures qui sont trop énervés.

Arrivée à son dortoir, elle vit son lit. Si bien fait il y a dit minutes, il était tout en désordre, maintenant. Remplis de vêtements qui ne lui appartenait même pas. Des vêtements trop grands sans doute, ils appartenaient à une serdaigle. Mais qui avait pu bien lui faire ça ?! C'était surement ces petits crétins d'elfes de maison qui ne savent pas faire le travail correctement... Et puis quel travail au juste ? « Ils n'ont rien à faire dans mes valises à part nettoyer mes vêtements ! Salles voleurs ! Et où est passé mon linge, maintenant ? » Fâchée, Tina mit tout ces vêtements qui ne lui appartenaient pas dans un gros sac à poubelle et sortit du dortoir avec l'intention de trouver la coupable ! Elle se promena devant les portes des chambrées de d'autres serdaigles jusqu'à temps qu'une serdaigle sorte avec l'air pas mal froissé. Dès que Tina la vit, l'autre serdaigle était déjà nez à nez avec elle. On devait admettre qu'elle avait une allure assez imposante, mais elle n'allait pas se faire marcher sur les pieds comme ça.

« Edwards ! C’n’est pas possible. Qu’est-ce que tu fais avec MES affaires. Ca t’amuses, c’est cela ? Va les poser sur mon lit. Et plus vite que cela, veux-tu ? Je n’ai pas que cela à faire de devoir ranger et de prendre du temps. Et tu récupéreras ceci.

En une seconde, elle reçut toutes ses affaires dans son visages. Des robes de sorcière aux chaussettes. À vrai dire, Hope l'avait mit dans une situation très embarrassante. Car oui, c'était bien Hope qui lui avait fait ça... Elle n'aurait jamais cru ça de la part d'une préfète. N'ayant pas décidé de se faire laisser insulté aujourd'hui, elle répondit à sa remarque quelque peu dégradante et insultante.

« Tiens tiens. Merci d'avoir pris la gentillesse de mettre ça dans un sac... mais je comprends que tu manques de temps... c'est pas grave! Tiens je te rends tes vêtements.

Tina ouvrit le sac de vêtements de Mcgwen et le renversa sur sa tête. Ensuite, elle se pencha pour mettre ses vêtements sans son sac.

« Bon, il y a des solutions à tout ! Répliqua Tina. La prochaine fois que tu veux me montrer que tu porte des bas bruns, tu peux utiliser une autre manière, ça va me faire plaisir de t'écouter. Et pour ta suggestion de mettre TES vêtements sur TON lit, non merci j'ai déjà les miens à ranger. Ah ! Et pendant qu'on y est, à mon avis, c'est les elfes qui on fait ça, alors ne me blâme pas s'il te plait... j'ai d'autre chose à faire que de mélanger nos vêtements. Bonne journée !

Sur ce, Tina lui fit une révérence suivit d'un petit sourire « Non mais elle se prend pour qui, elle ? Je ne suis pas son serviteur ! »
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Hope L. McGwen
Hope L. McGwen
    hope; let me play with words and your mind »



▌Citation :

    Légère erreur. 34srxxh
    «L'un des pièges de l'enfance est qu'il n'est pas nécessaire de comprendre quelque chose pour le sentir. Et quand la raison devient capable de saisir ce qui se passe autour d'elle, les blessures du coeur sont déjà trop profondes.»

▌Clan : Vive le Ministère, ils vont peut-être nous produire un miracle.
▌Âge : 18 ans
▌Année : Huitième année
▌Maison : Serdaigle
▌Sang : Pur
▌Humeur : incertaine
▌Responsabilité : Préfète-en-chef des Aigles; redresseuse de tords; accessoirement gueularde.
▌Poste au Quidditch : Batteuse.

▌Crédit(s) : (c) zaw & Opium (gif)

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Légère erreur. Vide
MessageSujet: Re: Légère erreur.   Légère erreur. EmptySam 11 Juil - 22:26



    La Serdaigle n’avait pas pour habitude de crier, n’aimant ni se montrer en spectacle ni avoir une migraine insoutenable. Pourtant, la deuxième option semblait s’être imposée d’elle-même ; voilà que, étrangement, tout se mettait à valser. Le temps semblait se dérouler au ralenti, dans des gestes lents et presque élégants. S’il n’y avait pas eu cette douleur lancinante qui tapait doucement aux tempes de Hope, l’environnement aurait pu être d’une beauté. En tout cas les gestes. L’ensemble aurait même pu ressembler à un ballet de casse-noisette. La vision de la jeune femme se troublait un peu, lumière blanche et étincelle dans sa vision. Un peu comme dans le ballet. Vraiment. Comme dans le fabuleux royaume des Neiges. Divagation ou simple hallucination ? Hallucination sans aucun doute, c’est tellement plus amusant de voir la réalité se transformer en un chant de danse. « « Tiens tiens. Merci d'avoir pris la gentillesse de mettre ça dans un sac... mais je comprends que tu manques de temps... c'est pas grave! Tiens je te rends tes vêtements. ». Action au présent. Douce symphonie à l’oreille. Même les sons étaient transformés et Dieu que la Edwards avait une belle voix ! Cela faisait penser la Serdaigle à des choses douces. Et agréables. Décidément, le ballet avait avancé bien trop vite. La voix magnifique de la jeune Serdaigle semblait être l’allégorie des sucreries, des petites sucreries. Non, ce n’était même pas l’allégorie ; c’était la réalité. Tout semblait doux dans sa voix, même les petits yeux plissés et pincés qu’elle avait ne reflétaient que la bonté et la douceur. C’était cela même. Edwards était la fée dragée dans toute son élégance. Alors qu’elle était en train de fulminer sur place, Hope la voyait sautiller, bondir allégrement et avec grâce. Sans trop sourire mais c’était déjà cela. « Merci de comprendre, c’est vraiment très gentil à toi. Et merci pour mes vêtements ». Pour une fois, il n’y avait aucune méchanceté et aucun sarcasme à l’horizon. Juste une jeune femme émerveillée par le spectacle qui s’offrait à ses yeux. A ses yeux brûlants. De savoir la suite ? Non, elle la connaissait déjà. Brûlante de fièvre. La demoiselle ne se sentait pas bien et elle divaguait. Elle partait loin aux pays des friandises mais pire qu’une rage de dent après avoir manger trop de sucreries, Hope ne voyait pas les effets néfastes de son excursion au pays des rêves. Un rêve éveillé. Elle était à l’ouest, très loin de son était normal. « Bon, il y a des solutions à tout ! ». Très perspicace la demoiselle. Et d’une vitalité incroyable. La fée dragée. Peut être allait-elle lui donner la solution pour vaincre le roi souris ? Ca serait tellement gentil de sa part. Il y avait sûrement une épreuve à passer, une énigme à résoudre afin d’acquérir les dires de la fée. Mais celle-ci ne semblait pas vouloir livrer la moindre information. Hope fronça les sourcils, réfléchissant à la question qui pouvait être posée. Ainsi qu’à l’identité du roi. Elle avait beau passer toutes les têtes masculines, elle n’en voyait pas. Mais qui était ce fichu roi. Décidément… « Ce n’est pas drôle » Mais alors vraiment pas. C’était le silence radio. Et la Serdaigle n’aimait pas cela. Alors, une énigme s’il-vous-plaît. Yeux pétillants, elle regarda Edwards. Pétillants de malice ou de fièvre, la différence était à peine visible. « La prochaine fois que tu veux me montrer que tu portes des bas bruns, tu peux utiliser une autre manière, ça va me faire plaisir de t'écouter. » Décidément, la fée dragée était pleine de ressources. Hope savait qu’elle était ouverte à tous et à toutes, y compris aux étrangers de son histoire. Mais de là à discuter bas et chaussettes, la Serdaigle aurait eu du mal à y croire si elle n’avait pas vécu la situation. L’histoire. Si elle n’avait pas écouté. Doucement, Hope s’avança vers Tina de quelques pas. Elle piétina quelques uns de ses vêtements que l’autre Serdaigle avait fait tomber par terre. Et elle s’arrêta horrifiée. Elle observa alors les vêtements. Et se demanda si le message qu’elle voulait entendre ne serait pas dans la position des habits. Un peu comme pour le marc de café. Ou pour les feuilles de thé. Et, évidemment, la seule chose qu’elle avait trouvé, c’était de piétiner l’œuvre de la fée. Malheur à elle, il ne fallait pas vraiment être très douée pour faire ceci. Hope ramassa alors ses vêtements et les déposa dans les bras de Tina.

    « Désolée. Je n’avais pas compris que c’était un message. Vous pouvez relancer tout cela contre terre, ma fée ? » Le délire n’aurait pu être que penser et il n’y aurait eu aucun autre incident. Mais voilà que le réel se mélangeait à l’irréel. Le psychédélisme arrivait à grandes enjambées. Et ça pouvait faire peur. Ca pouvait faire mal. Surtout pour la côte. Déjà qu’on disait avoir vu Hope se droguer. Si maintenant on disait qu’elle avait des visions hallucinogènes, le monde n’allait plus tourner rond. Déjà qu’il ne l’était plus tout à fait, et ce depuis pas mal de temps déjà. Pour appuyer sa demande, Hope se rapprocha de nouveau de Tina et la serra fort dans ses bras. Comme on serre quelqu’un que l’on aime, comme on sert son ours en peluche pour se rassurer. « Dites, Madame la fée, j’ai trouvé vos bas à dentelles très jolis. Peut être un peu trop vieillot mais cela, vous n’y pouvez rien. C’est votre créateur qui vous a fait ainsi. Et puis, Hoffman est un peu vieux. » A se demander si la Serdaigle n’était pas plutôt repartie en enfance. Même si, en réalité, elle n’y avait pas souvent séjourné. Sans sa grand-mère et sans son père, peut être aurait-elle eu le temps d’y rester un peu. Mais, malheureusement, c’étaient eux qui l’avaient éduqué. Et tout ce qui était amusement ou autre était prohibé. Au grand damn des enfants. Car il y avait son frère. Jumeau. Sauf que lui avait encore plus de mal. Il était encore moins bien traité. Pauvre de lui. « . Et pour ta suggestion de mettre TES vêtements sur TON lit, non merci j'ai déjà les miens à ranger. Ah ! Et pendant qu'on y est, à mon avis, c'est les elfes qui on fait ça » Quelle égoïste ! Comment n’avait-elle pas pu penser que la fée avait également ses vêtements à ranger. Comme si elle allait s’embarrasser de choses qui n’étaient pas les siennes. Hope effectua dès lors une moue boudeuse. Pour s’excuser. Le genre de moue qu’ont les enfants qui viennent de faire une connerie. Exactement la moue de Ludwig le jour où il avait crayonné sur le tabouret et où il avait réponde : « Mais papa, ce n’est pas moi. C’est le fantôme du chat du voisin ». Rien que ça. Ce n’était pas lui, vraiment pas. Comme la claque avait raisonné dans la maison. Ca lui avait vraiment fait peur à la petite brune. Les elfes ? C’étaient donc les elfes qui avaient fait tout ce remue-ménage ? Ce n’était pas normal. Pas digne des elfes de maison. Des elfes de Poudlard. Ils avaient dû s’enfiler toute la réserve d’hydromel pour faire une telle bêtise. Déclic soudain dans l’esprit de Hope. Elle écarquilla grand les yeux, et regarda Tina avec attention. C’était donc cela le message caché. « Désolée, je n’avais pas compris le message. Peut être que si je n’avais pas piétiné les vêtements… C’était un rebus ? Une charade peut être ? Ouais Ouais. Comme si l’autre Serdaigle allait comprendre un mot. Sûr qu’elle allait la prendre pour une folle ou quelque chose du genre. Hope posa alors sa main sur son front. Brûlant, bouillant, il lui semblait que le monde devenait étoilé. Neigeux. Il recommençait à neiger. Ca faisait mal à yeux. Une fille quitta le dortoir. Il lui semblait qu’elle flottait, que sa cape virevoltait derrière elle. C’était une ballerine. Une magnifique ballerine, dans toute sa grâce et sa pureté. « Alors ne me blâme pas, s'il te plait » Han, la fée était polie. C’était une vraie fée. Et en plus, elle avait utilisée sa plus belle voix. Hope était aux anges. Aux an-ges. Mais quelque chose la gênait. Quelque chose n’allait pas dans le ton que Tina avait employé. Il lui semblait soudain plus dur, plus méchant. Peut être plus malsain. A vrai dire, la bronze & azur ne le savait pas trop ; elle flottait encore dans sa douce bulle. Dans sa bulle de compte de fée et de spectacle de danse. C’était beau la danse. C’était magnifique. Et ça semblait si facile. Un vrai travail d’artiste. Car pour Hope, un vrai artiste, c’est quelqu’un qui maîtrise parfaitement son art. A tel point qu’il paraît facile. Alors qu’il est d’une difficulté sans précédent. Etre danseuse était quelque chose d’extrêmement difficile. La rigueur devait être de mise et, parfois, même si vous exceller, il y a tellement peu de places qu’on favorise les personnes pistonnées. Hope trouvait cela affreux. C’était balayer la concurrence, effacer toute trace de compétitivité. Ou juste un peu. Car nombreux sont les artistes qui désirent prendre la place d’un autre. « Vu que tu me tutoies, tu peux m’appeler par mon vrai prénom. Je m’appelle Clara » Dans une autre vie. Dans un autre monde. Peut être alors Hope pourrait s’appeler Clara. Bien sûr, ce n’était pas le cas. Cela n’avait jamais été le cas. Même son second prénom n’était pas Clara. Non, son second prénom, c’était Poppy. Sacrement différent. Sacrement. D’ailleurs, Hope ne semblait pas la seule à usurper l’identité de quelqu’un. La fée Dragée semblait perdre son masque. D’un coup, elle était plus perfide, plus méchante. Et ce n’était pas la gentille et fraîche fée Dragée. Non, ce n’était pas elle. Un peu comme si l’être mystique quittait petit à petit son masque de bonté. Traitrise. Ce n’était pas bien d’agir ainsi, dans le dos des gens. Ce n’était pas comme si Hope le faisait souvent. Douce ironie. Et malin plaisir de vengeance. C’est cela, on se vengeait. De tout ce que la Serdaigle avait pu faire. Mais qu’avait-elle fait de mal jusqu’à présent ? Rien. Elle n’avait fait que de se défendre. De se protéger. Elle ne voulait pas d’ami. Elle ne voulait pas s’accrocher. Elle ne voulait pas finir comme son père avait fini. Non, elle ne voulait pas. Elle voulait être différente. C’était raté. Echoué. La bateau avait fini par sombré dans les profondeurs de l’océan. Les étoiles avaient fini par s’éclipser. Il n’y avait rien d’autre que le vide, le vide intersidéral. Ou alors le mensonge. La fée mentait. Ce n’était qu’un masque. Ca, c’était le retour vers la réalité. Avant que le mal de tête de revienne à la charge. La Serdaigle n’avait pas fini de divaguer. C’était trop simple sinon. « Vous savez que ce n’est pas bien de se cacher à travers la fée Dragée. Vous êtes démasqué, Roi Souris. » Il suffisait qu’une seule personne n’entende Hope et c’était la fin. De la crédibilité. Tina avait suivi la conversation. Mais ce n’était pas pareil. Tina était Tina. Dans le genre pas très fute-fute selon la vraie Hope. Et même si elle s’était faite balayé par Clara, ses idées étaient toujours présentes. Juste quelques petites idées. Mais c’était déjà ça. « J’ai d'autre chose à faire que de mélanger nos vêtements. Bonne journée ! » Ah, super. Un peu d’intelligence finalement. Et pour tout dire, Hope avait aussi mieux à faire. Genre … ranger ses vêtements. Sauf que elle, contrairement à Tina, elle connaissait un sort bien pratique, à mieux chemin entre récurvite et failamalle. Et voilà que sous le contrôle de la baguette, les vêtements se pliaient tous seuls et se dirigeaient au pas vers l’armoire. Comme de vrais soldats de plomb. De gentils soldats de plomb, qui avait quitté les ordres infâmes du Roi Souris. Mais dans l’histoire, ce n’est pas la petite Clara qui gagne contre le méchant roi Souris. C’est étrange comme les histoires peuvent se répéter dans la réalité. Clara allait de nouveau gagner contre le roi. Bien que de doux et tendres flocons de neige se remettaient de nouveau à tomber su ciel. Le front de la Serdaigle était plus brûlant que jamais, la divagation n’avait pas encore atteint son apogée. Et quand ce serait le cas, ça allait faire mal.

    HJ- Et quand Hope et sa narratrice partent en cacahouète. Tu remercieras Syn, Cha & Alice pour l’idée de casse-noisette. & Bonne chance pour la réponse. & Désolée du retard.

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