Cracbadaboum; Une malédiction, des sorciers. Oserez-vous ?
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 As a soul ... alone

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MessageSujet: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyLun 27 Juil - 23:57

[Premier post pour Satyne]


Savez vous comment commence-t-on a boire ? Lorsque j'utilise le mot boire, je ne veux pas parler du fait de descendre une girafe de vin chaque jours. Je demande simplement les raisons qui poussent une jeune homme pour boire alors qu'il est seul et qu'il ne souffre pas spécialement d'un alcoolisme poussé. Personnellement, je ne sais pas. Je n'apporterai aucune réponses, ne voulant pas m'attirer d'ennemis. Néanmoins, je sais pourquoi Edward est allongé sur le rebord d'un des murets de la volière, les bras balançant dans le vide, alors qu'une averse tombe dehors.

Très bien, tout d'abord un flashback s'impose. Pas de beaucoup, remontons simplement le temps d'environ quatre heures. Flashback nécessaire pour l'explication la plus totale de la scène précédemment décrite.

Dans la fin de la soirée, Edward se dirigeât vers la volière. Il attendait un message d'un de ses amis. Un Moldus, mais un garçon qu' Ed considère peut être comme ce frère qu'il n'a jamais eu. Il arriva donc dans le seul lieu qui permet de rester en contact avec l'extérieur. Lorsqu'il arriva dans l'un des plus hauts monuments de l'école, il siffla pour appeler sa chouette. L'animal arriva, un message tenu fermement dans ses imposantes serres. La lettre lâchée, le bout de papier tomba exactement dans les mains du Gryph' qui s'empressa de l'ouvrir. Le papier était de qualité médiocre et l'écriture hésitante. Edward était habitué a cette écriture. Matt devais être la seule personne qui lui écrivait encore. Les gouttes d'encres grossières éparpillaient un peu partout sur le papier montraient que Matt s'appliquer a utiliser la plume offerte par Edward pour Noël. Ce détail fit sourire Ed. Des gouttes de pluies commencèrent a tomber du ciel. Le garçon se mit donc a labris sous la volière. Il commença sa lecture.

Citation :
Cher Ed,

Rien ne va plus ici. Tout est remis en question. Mon autorité est de plus en plus remise en cause. Le quartier est au plus mal et certaines de mes mauvaises décisions risque de me porter préjudice. Mais ce n'est pas tout mec. La maladie de LJ a empiré et le docteur lui laisse environ deux mois a vivre. Essaye de rentrer avant Dude. Sa nous ferai plaisir de te voir. Rentre faire le ménage.

Matt.

Quoi ? LJ ? Ce petit bonhomme allais donc mourir ? Puis quelle était donc cette histoire de quartier ? Tous ce pour quoi Ed s'était battu allait il s'effondrer ? Une vie de travail pour rien. Edward était anéanti. Il s'assit dans un coin, sa chouette sur son épaule. Il ne bougeait pas et repensait sans s'arrêter a ces quelques lignes. Il resta ainsi quelques heures. Il ne bougea pas. Tout a coup, il fut frappé d'un brin de … folie. Tous ce qui avait était dit dans cette lettre lui était inenvisageable. Il ouvrit son sac. Et sortis une bouteille de whisky. Il en avais gardé une dans son sac pour aller boire une petit coup avec quelques amis. Il s'empara de la bouteille d'alcool, la porta a sa bouche et s'empressa de la vider. Un cul sec et un. Il fouilla encore dans son sac et trouva encore une bouteille (mais combien il y en a la dedans ?). Il porta de nouveau la bouteille a sa bouche. Au bout de quelques instants, le whisky lui monta a la tette. Le garçon se mis a délirer. Il vit partout des silhouettes. Dehors, la pluie augmenta, des éclaires s'invitèrent a la fête. Edward s'approcha du muret qui donnais dans le vide. Il eu l'illusion de lancer quelque chose mais l'alcool l'empêcha de bouger. Il s'effondra sur le muret. Sa tête fixait le bas de la tour et ses bras balançaient dans le vide. Il garda néanmoins le point serré pour ne pas lâcher la lettre si précieuse.
La pluie ruisselait sur son visage. Le garçon resta immobile …

Bien, on en était la quand vous êtes arrivé ? Alors voilà les raisons qui peuvent pousser un garçon a boire jusqu'à s'effondrer...
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MessageSujet: Re: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyMar 28 Juil - 0:22

    Satyne avait passé la journée à travailler sur son devoir de potion. Harassée, elle venait de sombrer dans un sommeil sans rêve, celui des gens qui ne rêvent pas. Elle aurait dormit encore un certain temps, si ce hibou n’avait pas insisté assez fortement pour lui donner cette lettre. Elle émergea et sursauta à la vue du volatile. Elle reconnaissait le hibou de sa mère. Il avait fait un voyage d’assez loin, elle décida de lui offrir de quoi recharger ses batteries à la volière. Cependant, avant elle pris la lettre. Sa mère écrivait de plus en plus souvent. Pour dire que tout va bien et pour entendre sa fille dire que tout va bien. Enfin bien. Si on omet les drames qui ne les touchaient pas directement, oui elles allaient bien. Satyne décacheta l’enveloppe :

      "Satty,

      Ton père et moi avons était au mariage de Mylène, ta cousine. C’était une bien belle fête. Elle a regretté que tu ne sois pas là. A l’occasion écrit lui…
      Ici, la librairie marche bien. Les clients sont toujours fidèles. Ton père a décidé d’ouvrir un rayon sur les voyages. Nous t’attendons pour tout mettre en rayons.
      Prends soin de toi,

      Ta mère."


    Satyne soupira. Elle attrapa un bout de parchemin et griffonna une réponse rapide. Elle signa et roula l’enveloppe. Elle prit le hibou et partit en direction de la volière. Dans les couloirs, les gens la regardaient avec un regard étrange. Comme si se balader avec un hibou dans les bras était une marque de folie. Mais elle n’eut pas le temps de s’en prendre à eux avec fermeté. Elle venait d’arriver à la volière. Le hibou bu un peu et mangea rapidement puis lui tendit la patte. Elle attacha soigneusement le parchemin et le porta dehors. Elle n’eut pas le loisir de l’emmener jusqu’au bord. Elle vit Edward allongé sur le muret, un bras dans le vide. Elle posa rapidement l’oiseau au sol et se précipita près de lui. Il sentait l’alcool à plein nez. Elle avait beau le connaître et savoir que chez lui c’était quelque chose de courant, elle ne pouvait pas s’y habituer. Elle lui attrapa les bras et le tira pour qu’il descende du muret. Il était ivre et il ne l’aidait pas du tout. Après deux minutes d’effort, il était enfin assis adossé au muret. Satyne le regarda et son cœur se serra. Même si çà lui faisait mal, elle savait qu’il y avait quelque chose qui avait déclenché cela. Elle s’agenouilla en face de lui et passa sa main sur sa joue. Le forçant à la regarder. Elle aimait son regard si particulier, mais elle préférait quand il n’était pas embrumé par l’alcool.

    • « -Qu’est ce qui s’est passé ? »


    Elle le fixa un instant et pour toute réponse, il lui montra sa main serrée sur un morceau de papier. Elle desserra ses doigts et défroissa le parchemin. C’était signé Matt. Un de ses amis de Londres, Une lecture en diagonale lui appris qu’un certain LJ était mourant. Elle replia, les yeux las, le papier et le glissa dans le sac d’Edward.
    Le ciel n’en finissait pas de pleurer. Il faisait dégouliner ses cheveux. Plusieurs mèches étaient collées sur son visage. Satyne se passa la main dans les cheveux pour en décoller certaines. Elle ne savait pas quoi lui dire. Il devait être triste, peut être même se sentir coupable. Pourtant il n’avait rien fait. Mais elle le savait, il devait culpabiliser. Elle était assez peinée. Pas qu’il soit dans un état d’ivresse assez surprenant, mais bien de savoir qu’il devait souffrir. Elle ne savait pas les phrases qui apaisent, elle ne connaissait pas les gestes qui changent les idées, alors elle se contenta de s’asseoir à côté de lui et de l’attirer contre elle. Satyne n’était douée pour les relations humaines. Mais avec Edward, elle pensait que çà avait moins d’importance. Peut être qu’il en demandait moins. Elle n’avait jamais vraiment su. Elle lui caressa le front et dit :

    • « -Tu n’y es pour rien… »
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MessageSujet: Re: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyMar 28 Juil - 1:06

L'alcool embrumait les sens du garçon, quoi de plus normal après ces deux bouteille de whisky. Il était sur son muret immobile. Peut être avait il envi de sauter. Pour en finir avec ce monde injuste.
La pluie lui glaçait les membres, mais il s'en moquait. Il n'entendait rien, seulement l'orage. Puis a une heure pareil, il n'y avais rien a entendre. Il songeait a toute sa vie. A l'injustice, a la maladie, a la mort... Il se demandait ce qui valait la peine d'être vécu, d'être accompli. Il fut tirer de ses pensée par une personne qui le sortis de sa position assez particulière. Cette personne l'assit sur le mur et le força a la regarder. Edward ouvrit les yeux et reçus comme un grand flash, l'éblouissant momentanément. La vue lui revint alors progressivement. Il distingua une ombre qui devint une silhouette, qui devint un visage. Il mis quelques instants a reconnaître Satyne, et ne s'attendait pas a la voir ici. A cette heure tardive. Il regarda un instant le visage si harmonieux de la jeune femme. Cette période d'observation ne dura qu'un instant puisque l'alcool ingéré lui brouilla le cerveau.

Il était incapable de parler. Il était comme extérieur a la scène, incapable de faire le moindre geste. Il devait sentir l'alcool et la seule pensé que la Serdaigle le voit dans un tel état le faisait souffrir. Lorsque la jeune fille s'empara du bout de papier, le cœur du garçon s'emballa. Il n'aimait pas embêter les gens avec ses problèmes. Alors Satty... La jeune femme s'assit prêt de lui et l'attira contre elle. Tout en lui caressant le front, elle lui dit : « -Tu n’y es pour rien… »
Le garçon resta silencieux. Encore incapable de parler sans bafouer, ou de bouger sans tomber, il fit la seule chose qu'il était capable de faire. Il pleura. Des larmes coulèrent le long de ses joues, se mélangeant aux gouttes de pluie qui tombaient symphoniquement sur le visage des deux ados. Il se mit a trembler et dans un mouvement calme, et précis se mis en boule contre la Serdaigle. Le temps était comme arrêté. Seule la pluie battante donnait une mobilité a cette scène. Il avait besoin de réconfort et se sentait vraiment mal. Ses sanglots se mirent a augmenter et allaient d'harmonie avec le temps qui se rebellait. Une parfaite scène tragique. On se serai cru dans un Film Noir.

Edward n'osa pas croiser le regard de la jeune femme. Il avait honte. Honte de tous ce qu'il avais fait. Honte de ce qu'il était devenu. Il mit la main dans sa poche, cherchant inconsciemment a sortir l'une des seules choses qui le calme : une cigarette. Il sortit le paquet et essaya d'en sortir une. Ses geste étaient maladroits. Au bout d'une dizaine de seconde, le paquet était inondé, les cigarettes, ruinées. Mais Ed continuait inconsciemment a chercher la cigarette séché. Il frotta dans son paquet encore et encore. Il ne réalisa même pas que dans son sac, au sec, était enfermé deux paquets neuf. Tout le monde dans l'école savait qu'Ed avait toujours un paquet ou deux de rechange sur lui. Malgré cette réserve, Edward continua sa frénétique fouille. Il tremblait de plus en plus. Cet échec commençait a l'énerver et malgré les caresses et la présence de Satyne, il avait besoin d'une cigarette !
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MessageSujet: Re: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyMar 28 Juil - 1:54

    La pluie n’en finissait pas. Mais la pluie n’avait jamais était un problème pour Satyne. Au contraire, elle l’aimait même parfois. Là, elle la trouvait apaisante. Edward se blottit contre elle. Elle ne lui en voulait pas. Il était comme il était et depuis le temps qu’elle le connaissait, elle avait appris qu’il ne fallait surtout pas s’arrêtait à çà. La Serdaigle ferma les yeux. Et ce ciel qui n’en finissait pas de pleurer. Elle ne pleurait pas. Elle était perdue dans ses pensées. Soudain, Edward se mit à pleurer, elle ne fit pas remarquer qu’elle l’avait vu. Elle attendait que l’ivresse de l’alcool retombe, alors seulement, elle pourrait l’aider.
    C’était bien étrange… Depuis qu’elle l’aimait, elle avait perdue l’impartialité de l’amie et elle ne pouvait plus lui reprocher certaines choses. Elle le sentit s’agiter. Elle le vit chercher une cigarette. Un autre déboire que Satyne n’approuvait que moyennement. Mais là encore, elle avait appris qu’il ne fallait pas s’arrêtait à cela. En réalité, elle n’allait pas faire des scandales pour cela, ce n’était pas du tout son genre. La jeune fille indépendante qu’elle était estimait qu’elle n’aurait pas aimait qu’il lui donne son avis. Donc elle ne donnait pas le sien.
    N’arrivant pas à trouver une cigarette, il s’agita et en vint même à trembler. Bientôt, il finit par abandonner. Elle compris qu’il avait besoin de cette cigarette. Elle se décala doucement. Elle s’agenouilla devant lui et un peu attristée de son état, elle s’approcha et déposa un baiser sur ses lèvres. Même dans cet état là, elle l’aimait passionnément. Elle ne s’attarda pas. Elle attrapa son sac et en sortit un paquet de cigarettes neuf. Elle en sortit une. La cala entre ses lèvres et sortit le briquet d’Ed’. Elle cacha l’extrémité de la cigarette de la pluie et l’alluma. Elle en tira une longue taffe et la tendis à Edward. Ce dernier la pris de manière hésitante. Sa main tremblait. Elle le regarda portait la cigarette à ses lèvres et en aspiré la fumée comme si il retrouvait enfin l’oxygène. Elle lui sourit. Il ne la vit sûrement pas mais le coup de stress en le voyant sur le muret était redescendu et, à présent, qu’elle ne s’inquiétait plus, elle allait bien mieux. Après délibération avec elle-même, elle décida que dans cet état là, sous la pluie, il allait probablement tomber malade. Elle décida de le faire rentrer. Elle se leva et lui dit :

    • « -Allez, on va rentrer à l’intérieur… »


    Probablement, qu’il ne l’entendit que de très loin mais elle s’en fichait. Elle prit le sac d’Edward et l’obligea à se lever. Il pouvait difficilement marcher. Elle n’irait pas très loin. Pas grave. Il y avait une classe en face de la volière. Elle ouvrit la porte d’un coup de pied et traversa le couloir en prenant bien soin de vérifier qu’il n’y avait personne. Pas de profs, mais aussi pas d’élèves. Elle ne voulait pas afficher Ed comme çà. Elle lui fit traverser le couloir et poussa la porte d’une salle. Elle l’assit contre le mur. Puis elle alla refermer la porte. A son retour, elle attrapa son sac et fouilla dedans. Elle savait qu’elle avait jeté un paquet de mouchoir dedans en partant ce matin. Elle le trouva et elle entreprit, à l’aide d’un mouchoir, de lui essuyer le visage. Il avait froid. Il grelottait. Elle s’approcha et lui retira sa veste. Elle était trempée. Toute cette pluie, il devait être frigorifié. Elle retira son foulard. Elle n’était pas rester assez longtemps sous la pluie pour qu’il soit très mouillé. Elle lui posa sur les épaules et l’entoura dedans. Après réflexion, elle ne pouvait pas faire plus dans l’immédiat. Elle s’assit en face de lui et le regarda.
    Son regard commençait seulement à s’éclaircir. Pas un changement faramineux mais un changement. Elle lui passa une main sur la joue. Elle allait attendre ici qu’il soit un peu plus clair. Au moins de quoi retourner dans sa salle commune. Elle revint s’asseoir près de lui. La cigarette lui avait fait du bien. Il semblait un peu plus apaisé. Elle recommenca à lui caresser la nuque doucement. Elle avait fermé les yeux. Et sans s’en rendre compte, elle se mit à fredonner une chanson qu’il avait écrite. Pour elle. Sa préférée.
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MessageSujet: Re: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyMar 28 Juil - 22:48

Désorienté complètement. Il sentait que petit a petit il parvenait a retrouver ses esprits. Il s'empara d'un main tremblante de la cigarette tendu par la jeune femme. Chaque lattes tirées lui faisaient du bien. Manquerai plus que la pleine lune ! La pluie lui donnait froid, et quelque chose qu'il aimait particulièrement devint vite contraignant. Il faisait de petit sursaut ; comme si son corps lui disait de temps en temps : « hé oh mec ! T'es la ? ». Satyne essaya de le lever. Tout se mis a tourner dans la tête du garçon. Il ne savait plus ou il allait, ce qu'il faisait... mais il savait qu'en restant prêt de la Serdaigle, il ne craignait rien. Il se fit donc guidé aveuglement, le paysage défilait trop vite. Il avait du mal a marcher et ses pieds devaient sans doutes s'emmailloter puis qu'il nota quelques chute.



  • Saloperies de Whisky.

Cette phrase était la première prononcé par le garçon. Il ne pouvait pas, pour le moment, réfléchir a autre chose. Ils arrivèrent dans une salle. Le garçon resta immobile. Il ne savait pas trop quoi faire. Il se fit dirigé de nouveaux par la belle Serdaigle qui pris soin de lui enlever sa veste. Assis contre un mur, il se laissa faire aux soins de son amie. Il ne parvenait pas très bien a distinguer dans quelle salle ils se trouvaient, mais il était avec Satyne, s'était le principale. Il osa croiser son regard a un moment mais baissa immédiatement les yeux.
Il ne savait plus trop pourquoi il avait bu, il avait ne vague impression...comme une question, comme un « mais s'était quoi au juste ? ». Cette question resta sans réponse. Il n'arrivait pas a se concentrer. Le problème était de toute façon ailleurs. Il était ivre et Satyne était la ! Il bafouilla encore une fois :


  • Saloperies de Whisky.
Il sentit alors la main de la belle Serdaigle se poser sur sa nuque; Ses caresses étaient très agréable. Le garçon fit une chose qu'il faisait souvent avec la Serdaigle : il posa sa tête sur ses jambes. Il resta ainsi un moment. Dehors, les éclaires résonnaient. Le garçon souffla un grand coup, il sentait qu'il commençait a retomber. Il tendit l'oreille un instant et entendu une mélodie. Peut être était-ce le vent qui s'engouffrait dans les allées du château ? Non, ce n'était pas le vent, il s'agissait de Satyne.
La musique ne lui était pas inconnu. S'était une chansons qu'il avait écrite. Un brouillon. Plutôt une chansons manqué. C'était ainsi pour toutes ses compositions. Sans doute le coté artistique et maniaque du garçon qui ressortait. En effet, Ed trouve tout le temps ses compositions nul. Il pense tout le temps qui lui manque quelques chose. Voilà sans doute pourquoi il n'aime pas montrer ses mélodie. Il qualifie lui même son travail de « chansonnette ».
Néanmoins, cette mélodie l'apaisa, et le calma. Il ferma les yeux. Il était bien. La fatigue le frappa d'un coup. Il se laissait bercer. Il se sentait partir et petit a petit, il sombra dans le sommeil.
Il dormait mais il ne savait pas trop pourquoi, il entendait toujours la mélodie. Ce n'était peut être qu'un accompagnement de ce rêve.
Tout a coup, tout lui revint en mémoire : la lettre, le quartier... tout. Il n'était pas réveillé mais une soudaine envie de crier lui vint. Il voulait cracher sur tout. Raconter a tout le monde ce qu'il l'indignait. Il fit ceci dans son rêve. Edward poussa un cris qui dura un long moment avant de s'effondrer a terre. Son âme était agité, mais son corps lui restait immobile sur les jambe de la Serdaigle. Il ne savait pas pourquoi mais dans son rêve, une rivière apparu... non, plutôt un court d'eau qui venait d'on ne sais ou et qui devait sans doute se terminer nul part. Sa tête était en plein dedans. Allez comprendre.
Un homme apparut. Juste une silhouette. Seul ses yeux bleue était visible. Ed fixa se regard pendant un moment qui lui semblait interminable. Ce ''passage'' était, il le savait nécessaire. Comme si le simple fait de regarder ses yeux lui apportait une explication. Lorsque au bout d'un moment il détacha son regard de l'inconnu, Armstrong se réveilla.
Lorsqu'il ouvrit les yeux il sentit une larme couler le long de sa joue. Il ne prêta pas attention a cela. Il attrapa le paquet qui trainait au sol et sortit délicatement une cigarette qu'il alluma. Il resta immobile, son seul geste resté le fait d'aspirer la fumer de la cigarette qu'il avait coincé dans un coin de sa bouche. Il resta immobile. Il ne savait pas vraiment pendant combien de temps il avait dormis. Il savait juste que Satyne était la.
Il chantonna dans sa barbe, cigarette en coin :


  • You know, I love you...
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MessageSujet: Re: As a soul ... alone   As a soul ... alone EmptyMar 28 Juil - 23:49

    Satyne le gardait contre elle. Elle n’allait pas le laisser dans cet état là… Il avait dénigré le whisky. Alors il s’en voulait d’avoir bu. Elle ne voulait qu’il s’en veuille pour avoir bu. Ce qu’elle voulait c’était que même dans ces moments là, il ne monte pas sur ce put** de muret. Elle ne voulait pas qu’il pense à des choses comme çà. Elle ne voulait tout simplement pas le perdre. Comment vivrait-elle si elle le retrouvait 50 mètres plus bas ? Elle préféra ne pas y penser et elle reprit la chanson. Elle chantonnait. Cette chanson, elle s’en souvenait comme si s’était hier. Il était dans le parc, tout près du lac. Elle l’avait rejoint, à cette époque, on avait encore le droit d’y courir sans être inquiété. Elle l’avait surpris en pleine composition et avait fermement insisté pour qu’il lui montre ce qu’il avait fait. Il n’avait pas voulut au début, mais elle s’était montrée insistante et après une multitude de promesses de ne pas rire, de ne rien dévoiler à personne, il avait cédé. Elle avait prit le papier et l’avait lu. Les paroles lui rappelait tellement ses moments avec lui qu’elle ne su pas quoi dire au début. C’est seulement à la fin, quand elle le regarda avec des yeux interrogateurs qu’il lui avait dit que cela parlait d’eux. Aujourd’hui, quand elle la chantait, elle le voyait quand elle fermait les yeux. Oui, elle l’aimait.
    Doucement, il avait posé sa tête sur ses jambes. La serdaigle continuait de lui caresser les cheveux. Elle continuer de chantonner. Maintenant, c’était plus pour elle. Elle le regarda dormir. Il avait un charme, une aura. Petit à petit, elle se mit elle aussi à sombrer dans le sommeil. L’heure tardive, le coup de stress, avec tout çà, elle était fatiguée. Sans s’en rendre compte, elle glissa sur le sol et s’endormie.

    Quand Edward se réveilla, Satyne qui avait le sommeil léger se réveilla aussi. Elle était couchée sur le sol de pierre. Et elle avait mal partout. Edward venait de se lever, et d’allumer une cigarette. Il allait donc mieux. Il semblerait que la veille ne soit qu’un mauvais souvenir. Elle se releva et se passa une main dans les cheveux. Elle ne savait pas quelle heure il était. La pièce n’avait pas de fenêtre ce qui empêchait une quelconque approximation. Mais il était là. Et il était redevenu lucide. Il lui tourné le dos. Savourant sa cigarette. Elle se leva et glissa ses bras autour de sa taille. Elle vint poser son visage sur son épaule. Elle ferma les yeux. Il sentait beaucoup moins l’alcool. L’entendant reprendre les paroles de la chanson qu’elle fredonnait tout à l’heure, elle sourit. Alors il l’avait entendu. Elle reprit la suite dans un murmure. Elle était sa plus grande fan.

    • « -It’s so magic to be with you…»


    Elle déposa un baiser dans son cou. Puis elle desserra son étreinte. Elle n’était pas très expansive en général. Mais là, elle était si heureuse de le retrouver qu’elle n’avait pas pu résister. Elle s’adossa au mur, elle le regardait. Elle ne savait pas trop si elle devait lui parler de la veille. Après tout, c’était passé. Elle hésita puis finit par dire.

    • « -Je veux plus jamais te revoir sur ce muret… »


    En réalité, elle avait eu si peur. Même elle, elle ne devait pas réalisé à quel point. Satyne est comme çà. Avec lui, elle ne peut pas lui en vouloir. Alors elle lui dit quand çà lui a fait mal, et en général, il ne recommence pas. Elle est tout bonnement incapable d’éprouver de l’animosité à son égard. Il suffit qu’il la regarde pour qu’elle lui pardonne tout. Elle lui sourit pour lui montrer qu’une fois encore, elle ne lui en voulait pas. Ses cheveux étaient un peu ébouriffés, faut avouer que dormir sur de la pierre, il y a plus confortable. Elle essaya de les discipliner mais en vain. Alors elle abandonna et les laissa comme ils étaient. Elle reporta son regard sur Edward. Il avait l’air d’être beaucoup mieux.
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